Mexico-Tenochtitlan

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Fichier:Aztec Empire 1519 map-fr.svg
Mexico-Tenochtitlan, capitale de l'Empire aztèque, a été construite dans le plateau central du Mexique, sur une île du lac Texcoco.
Fichier:Basin of Mexico 1519 map-fr.svg
Mexico-Tenochtitlan se trouvait dans la partie ouest de la vallée de Mexico, dont la géographie est ici reconstituée telle qu'elle est apparue aux conquistadors, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Fichier:Tenochtitlan.jpg
Dans la partie occidentale du lac Texcoco, Mexico-Tenochtitlan occupait la partie sud de l'île au centre de la carte, au-dessous de la ligne rouge, la partie nord étant Mexico-Tlatelolco (reconstitution de Hanns J. Prem, 2008).
Fichier:Tenochtitlan y Golfo de Mexico 1524.jpg
Plan de Mexico-Tenochtitlan publié en 1524 avec la deuxième lettre d'Hernán Cortés à l'empereur Charles Quint.

Mexico-Tenochtitlan (souvent abrégée Tenochtitlan) était la capitale (Modèle:Citation étrangère) de l'Empire aztèque. Elle fut bâtie sur une île située sur le lac Texcoco (dont une grande partie a été asséchée par la suite). Elle était coupée par de longues avenues, traversée par des canaux et reliée au continent par des chaussées. En 1521, les conquistadors espagnols et Modèle:Unité indigènes, principalement tlaxcaltèques, sous les ordres d'Hernán Cortés, détruisirent une grande partie de la ville, et plus particulièrement tout ce qui pouvait rappeler les cultes aztèques, puis y fondèrent Mexico, qui devint la capitale de la vice-royauté de Nouvelle-Espagne.

Étymologie

Modèle:Source unique La capitale aztèque, à l'époque de la conquête espagnole, avait une double appellation : Modèle:Citation<ref group="s" name=s025>Page 25.</ref>. La plupart des historiens s'entendent que l'appelation Modèle:Citation a son origine dans la culture aztèque. L'origine de Modèle:Citation est moins consensuelle. D'après Christian Duverger, la version Modèle:Citation est que l'appellation Mexico vient du nom de ces fondateurs qui s'appelaient mexitli. À cette version, il oppose la version selon laquelle « Mexico » existait avant l'arrivée des aztèques et que ceux-ci y auraient ajouté la seconde appellation « Tenochtitlan » et, de plus, se seraient donner le nom de mexitin, tiré d'un personnage ayant des noms variés tels Mexitl, pour pouvoir ainsi revendiquer plus légitimement un enracinement ancestral sur ce territoire<ref group="d" name=d131>chapitre IV.</ref>.

Mexico

Modèle:Article détaillé L'origine du nom de Mexico a fait l'objet de nombreuses interprétations.

Les chroniqueurs du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont presque tous repris la « version officielle » de l'Empire aztèque<ref group="d" name=d131/>. Celle-ci s'appuyait sur des étymologies douteuses faisant référence à des spécificités de la vallée de Mexico (mexixin, le cresson sylvestre qui y abonde, ou les mexitli, les sources qui y sont nombreuses). Cette version était renforcée par une autre hypothèse étymologique basée sur la ressemblance avec le terme de Mexitin, nom que Huitzilopochtli aurait donné aux Aztèques lors de leur migration vers Mexico<ref group="d" name=d134>Page 134.</ref>, dérivé Modèle:Lesquelles de Mexitl, nom d'un chef aztèque ancestral peut-être identifié à Huitzilopochtli lui-même<ref group="d">Pages 131 à 133.</ref>. Christian Duverger a estimé pour sa part que le terme Mexitin a probablement été artificiellement créé par les dirigeants Aztèques pour donner à leur droit territorial une origine divine que personne ne pourrait donc contester<ref group="d" name=d134/>.

Les travaux étymologiques contemporains<ref group="s">Note 3 Modèle:P. : Lawrence Ecker, Testimonio otomí sobre la etimología de « México » y « Coyoacán », dans México Antiguo, tome V, Mexico, 1940, Modèle:P.. Voir aussi C. A. Castro, Testimonio Pame Meridional sobre la etimología de Modèle:Citation, dans Tlatoani, Modèle:N°, Mexico, 1952, Modèle:P..</ref> confirment en fait ceux du père Antonio del Rincón, qui a indiqué, en 1595, que Mexico signifiait à l'origine Modèle:Citation (du nahuatl metztli, « lune » et xictli, « ombilic », « centre »)<ref>Antonio del Rincón, Arte Mexicana, Mexico, 1595 : Modèle:Citation (Modèle:P. de la réédition de 1885, Mexico), cité par Soustelle (Modèle:Op. cit., Modèle:P., note 4) et Duverger (Modèle:Op. cit., Modèle:P., note 1).</ref>. D'autres interprétations décomposent davantage le nom « Mexico » en rattachant le radical -mexi à d'autres éléments symboliques de la Lune dans les mythologies mésoaméricaines du Plateau central, l'agave (metl, dont le nom ésotérique, metzcalli, signifie littéralement « la maison de la lune ») et le lapin (citli, « lièvre », associé à la fois au pulque, l'alcool d'agave, et à la lune)<ref group="d">Page 138.</ref>.

Toutes ces versions attribuant une symbolique lunaire au toponyme sont étayées par l'ancien nom nahuatl de la lagune, Metztliapan, ainsi que, surtout, par le nom que donnaient les Otomi à la ville (amadetzânâ, Modèle:Citation)<ref group="d">Note 3 Modèle:P. : Modèle:Citation</ref>.

Tenochtitlan

Les sources indigènes donnent aussi des explications étymologiques contradictoires pour le toponyme « Tenochtitlan » : certaines évoquent une éponymie avec un chef nommé Tenoch et les autres font référence au figuier de Barbarie évoqué dans le mythe de la fondation de la ville.

Tenoch

Plusieurs évoquent un certain Tenoch, qui aurait été un des fondateurs de Tenochtitlan. Tenochtitlan serait donc la Modèle:Citation. Cependant cette étymologie a été récusée par des historiens du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref group="s" name=s025/>, car elle est suspecte à plusieurs titres. D'abord, ce type d'éponymie ne correspond à la tradition mésoaméricaine d'aucune autre cité<ref group="d" name=d338>Partie IV, chap. 2, 1. La valorisation sacrificielle de Tenochtitlan, Modèle:P..</ref>. De plus, les sources sont contradictoires sur le rôle de Tenoch : il est parfois représenté comme un chef militaire, parfois comme un chef de quartier, parfois comme un épicier. Enfin, Tenoch semble en surnombre et fait figure d'intrus dans plusieurs sources, en rupture avec la symbolique mésoaméricaine, comme s'il avait été rajouté a posteriori dans certains récits<ref group="d">Partie IV, chap. 2, 1. La valorisation sacrificielle de Tenochtitlan, Modèle:P..</ref>. Christian Duverger émet l'hypothèse que cette étymologie de substitution est apparue sous l'influence des missionnaires car elle correspond aux explications étymologiques gréco-latines classiques<ref group="d" name=d338/>.

Le mythe fondateur

Les autres explications font référence au mythe de la fondation de la ville qu'on retrouve dans le glyphe de la cité (un aigle, sur un cactus, dévorant un serpent, un oiseau ou une figue de barbarie). Elles proposent en effet comme traduction de Tenochtitlan Modèle:Citation, Modèle:Citation ou encore Modèle:Citation. Étymologiquement, ce nom viendrait des mots nahuatl Modèle:Citation étrangère (qui pourrait signifier figuier de Barbarie)<ref group="s" name=s025/> ou plus précisément Modèle:Citation étrangère (pierre) et Modèle:Citation étrangère (figuier de Barbarie ou figue de Barbarie)<ref group="d">Partie IV, chap. 2, 1. La valorisation sacrificielle de Tenochtitlan, Modèle:P..</ref>.

Le mésoaméricaniste français Christian Duverger, en s'appuyant sur les sources qui indiquent que nochtli signifie figue de Barbarie, remarque que ce fruit rouge symbolise le cœur de la victime du sacrifice humain<ref group="d">Page 348, Duverger cite le codex florentin : Modèle:Citation.</ref> ; selon lui, cette explication étymologique est crédible non seulement parce qu'elle aurait permis aux Aztèques d'insister ainsi sur la vocation de Tenochtitlan à être l'endroit où l'univers est perpétuellement régénéré par les sacrifices humains, mais aussi parce qu'elle expliquerait qu'à partir du dernier quart du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle les représentations du mythe de fondation de la ville montrent l'aigle dévorant un serpent à la place de la figue de barbarie pour occulter la dimension sacrificielle du symbole<ref group="d">IV, 2, 1, Modèle:P..</ref>.

Origines

Avant l'arrivée des Aztèques, la région actuelle de Mexico fut occupée par des tribus chichimèques, des nomades venus du nord par plusieurs vagues de migration qui s'intensifièrent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Au contact des derniers Toltèques et des agriculteurs de Tula (dont la civilisation venait de s'effondrer), ces guerriers chasseurs fondèrent de nouvelles cités (Texcoco, Colhuacán, Azcapotzalco) en assimilant une grande partie de leur culture<ref group="s">Page 14.</ref>.

Les traces d'occupation les plus anciennes du site, qui n'était alors qu'un ensemble d'îlots sur le lac Texcoco, remontent à la phase Mazapa (800-1100), peut-être entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Fondation">Modèle:Article.</ref>.

Fondation

Fichier:Codex Mendoza folio 2r.jpg
Au centre de ce folio du Codex Mendoza, on reconnaît le glyphe de la capitale aztèque faisant référence au mythe de la fondation de la cité.

Mythe

Selon les inscriptions et les codex aztèques, les Mexicas, qui étaient les derniers arrivés dans la vallée de Mexico, furent chassés par le souverain de la ville de Culhuacan, dont ils avaient sacrifié la fille et s'enfoncèrent dans les marécages du lac de Texcoco. Selon les prédictions de leurs chefs religieux, les Mexicas, jusqu'alors nomades, devaient se sédentariser définitivement lorsqu'ils apercevraient un aigle sur un cactus (nopal). Selon le mythe de la fondation de Mexico-Tenochtitlan, c'est en 1325 que les Mexicas virent se réaliser la prédiction, sur un îlot au milieu du lac Texcoco.

Histoire

La date des plus anciennes constructions retrouvées par les archéologues a été évaluée aux alentours de 1300<ref name="Fondation"/>.

Les historiens pensent que les Aztèques s'installèrent dans ces marécages hostiles parce que tous les autres endroits étaient occupés par des tribus plus puissantes, qui les rejetaient<ref group="s">Page 20 : Modèle:Citation</ref>. Cependant, la situation ne les découragea pas. Ils pratiquèrent la culture sur chinampas, des radeaux d'osier couverts de limon qu'ils posèrent sur le lac Texcoco<ref group="s">Page 21 : Modèle:Citation</ref> pour accroître les surfaces de culture du maïs.

Population

Avant l'arrivée des Espagnols, la ville de Mexico, qui Modèle:Citation<ref group="s">Page 30.</ref> (son ancienne rivale), semble avoir été une des villes les plus peuplées de l'époque. C'est du moins ainsi que l'ont décrite les conquistadors espagnols dans leurs témoignages.

Selon ces sources anciennes, sa population comptait entre Modèle:Nombre et Modèle:Unité<ref group="s">Page 33 et la note 23 page 283.</ref>, ce qui aurait représenté, selon Jacques Soustelle, entre Modèle:Nombre et un million d'habitants<ref group="s">Modèle:P. : Modèle:Citation.</ref>,<ref name="QSJ51">Modèle:Harvsp</ref>, voire bien plus encore si on considère qu'un grand nombre de villes et villages qui forment actuellement le District fédéral de Mexico, sur les rives de la lagune, étaient déjà devenus Modèle:Citation, formant ainsi une agglomération, au centre de la vallée, de certainement plus d'un million de personnes<ref group="s">page 34.</ref>.

Cependant, ces estimations ont été contredites par celles, plus récentes, fondées sur les recherches archéologiques. Selon l'étude de la distribution des céramiques retrouvées dans le bassin de Mexico, la population de Mexico-Tenochtitlan aurait plutôt été comprise entre Modèle:Nombre et Modèle:Unité<ref>Deborah L. Nichols et al., Neutrons, Markets, Cities, and Empires: A 1000-Year Perspective on Ceramic Production and Distribution in the Postclassic Basin of Mexico, 2001, in Journal of Anthropological Archaeology, Modèle:N°, 2002, page 26 (Modèle:Doi).</ref> ; ces chiffres sont corroborés par d'autres études<ref>Edward Calnek, dans une étude présentée en 2002 au musée national d'anthropologie, a évalué à Modèle:Nombre le nombre d'habitants de Mexico-Tenochtitlan (Modèle:Harvsp, page 117).</ref>, dont certaines sont fondées notamment sur la production des chinampas actuelles<ref>William Sanders (dans The Basin of mexico, Ecological Processes in the Evolution of Civilization, Academic Press, New York, 1979) évalue sur cette base entre 170 000 et 200 000 le nombre d'habitants (Modèle:Harvsp, page 117).</ref>, qui l'estiment généralement inférieure à Modèle:Nombre voire, au maximum, à Modèle:Unité<ref>Michael E. Smith, Hernán Cortés on the Size of Aztec Cities: Comment on Dobys, Latin American Population History Bulletin, Modèle:N°, 1994, page 26.</ref>.

Superficie et urbanisme

Fichier:Valley of Mexico c.1519-fr.svg
Tenochtitlan et la vallée de Mexico vers 1519.
Fichier:Tlatelolco Marketplace.JPG
Représentation du marché de Tlatelolco (Musée Field de Chicago).

La ville s'étendait sur un carré d'environ Modèle:Unité de côté, pour une superficie approximative de Modèle:Unité<ref name="QSJ50">Modèle:Harvsp.</ref>, depuis le nord de Tlatelolco annexé en 1476 jusqu'à une série de hameaux<ref group="s">Page 31 : hameaux de Toltenco, Acatlan, Xihuitonco, Atizapan, Tepetitlan et Amanalco</ref> au sud, et d'Atlixco à l'est jusqu'à la rivière Chichimecapan et l'actuelle rue de Bucareli (à Atlampa) à l'ouest<ref group="s">Page 31.</ref>.

Elle était divisée en quatre grandes sections (campan) dont le centre était le Templo Mayor : Cuepopan au nord, Teopan à l'est, Moyotlan au sud et Atzacalco à l'ouest. Ce découpage gouvernemental (le chef militaire de chaque campan était nommé par le pouvoir central) et religieux (chaque campan avait son propre temple) se superposait à celui, à la base de la société aztèque, de multiples calpullis (Modèle:Citation). Quatre grandes chaussées traversaient la ville. Bernal Díaz del Castillo rapporte que 10 chevaux pouvaient y passer de front.

Chaque calpulli possédait son marché (tianquiztli), mais il y avait un grand marché concernant toute la ville à Tlatelolco. Cortés estima ce marché comme deux fois plus grand que la ville de Séville avec plus de Modèle:Unité. Bernardino de Sahagún donna lui des chiffres plus raisonnables avec Modèle:Unité les jours habituels et jusqu'à Modèle:Nombre les jours de fête. Ce centre commercial était composés de boutiques diverses ; il disposait d'une police et d'un tribunal spécialisés<ref name="QSJ53">Modèle:Harvsp.</ref>.

Des marchés spécialisés dans certains types de produits se tenaient dans les petites villes autour de Tenochtitlan. À Chollolan, les bijoux et les pierres précieuses ; à Texcoco, les vêtements ; à Acuma le marché aux chiens (offerts en sacrifice, utilisés comme animaux de compagnie ou mangés).

La ville avait une grande symétrie. Toutes les constructions devaient être approuvés par le calmimilocatl, un fonctionnaire chargé de l'urbanisme de la ville. Chaque maison, même modeste, possédait son jardin et son bain de vapeur (temazcalli)<ref name="QSJ54">Modèle:Harvsp.</ref>.

La ville possédait aussi des latrines publiques. Les excréments étaient recueillis pour être utilisés comme engrais. Environ Modèle:Unité travaillaient de plus au nettoyage de la ville. [[Moctezuma Ier|Moctezuma {{#if:

 | Modèle:Abréviation discrète
 | I

}}er]] avait fait construire un premier aqueduc de Modèle:Unité de long<ref name="QSJ54"/>. Un deuxième fut aménagé sous Ahuitzotl entre Coyoacan et le centre<ref name="QSJ54"/>. En 1449, une digue de Modèle:Unité a été édifiée pour protéger la ville des inondations<ref name="QSJ55">Modèle:Harvsp.</ref>.

Le centre religieux (Templo Mayor)

Fichier:Templo Mayor and Cathedral.jpg
Les ruines des différentes étapes de construction du Templo Mayor, à Mexico, en 2008.

Modèle:Article détaillé

Au nord de la place centrale, qui coïncidait à peu près avec l'actuel Zócalo de Mexico<ref group="s">Page 39.</ref>, une quarantaine de bâtiments publics formaient le centre religieux (Templo Mayor)<ref group="s">Page 45 : Modèle:Citation et note 49 page 285 : Modèle:Citation.</ref>. Il comptait une pyramide avec deux sanctuaires, d'autres temples (de Quetzalcoatl, de Tezcatlipoca, de Ciuacoatl, de Coacalco)<ref name="QSJ51"/>, mais aussi un collège (calmecac), le Mecatlan (école de musique) et des arsenaux<ref name="QSJ52">Modèle:Harvsp</ref>.

Ce centre religieux était fortifié par une enceinte crénelée de têtes de serpents (Coatepantli, Modèle:Citation) de Modèle:Unité de large sur 400 de long, qui longeait le nord de la place centrale et le flanc du palais de l'empereur Moctezuma II (actuelle rue de la Moneda) et dont les portes étaient protégées par une garnison d'élite<ref group="s">Pages 44-45 : Modèle:Citation (Modèle:Citation, Modèle:P.).</ref>. Il s'inscrivait dans un espace de Modèle:Unité de côté et comportait plusieurs bâtiments distribués autour d’un jardin : appartements impériaux, tribunaux, magasins, trésor, volière, jardin zoologique, salles de musique et de danse<ref name="QSJ52"/>.

Société

Modèle:Article détaillé

Bernardino de Sahagún rapporte qu'on trouvait dans la capitale aztèque des mendiants, des voleurs et, la nuit, des prostituées aux tenues voyantes, aux dents peintes et qui mâchaient bruyamment le tzictli (ancêtre du chewing-gum) pour attirer les clients.

Tenochtitlan comptait aussi un autre type de femmes : les ahuianis, femmes chargées d'avoir des relations sexuelles avec les guerriers.

Souverains

Modèle:Liste des dirigeants successifs

Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Références

  • Autres références :

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Modèle:Autres projets

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