Voir la source de Raymond VII de Toulouse

{{Titre mis en forme|{{noble-|Raymond VII de Toulouse}}}}
{{voir homonymes|Raymond}}
{{Infobox Biographie2
| charte = prince}}
[[Fichier:Raymond7 sceaux.jpg|vignette|gauche|Raymond de Toulouse.]]'''{{noble-|Raymond VII (IX)|+}}<ref> Selon la généalogie traditionnelle des comtes de Toulouse faite par les Bénédictins dans l’''[[Histoire générale de Languedoc]]'', il serait ''{{noble-|Raymond VII}}'', mais des études critiques ont établi que deux comtes du prénom de Raymond avaient été omis. Il serait donc ''{{noble-|Raymond IX}}'' : voir {{Ref-Settipani-MidiCarolingien|passage=28-35}}.</ref> de Toulouse''' (° {{date de naissance|juillet 1197}} à [[Beaucaire (Gard)|Beaucaire]] – † {{date de décès|27|septembre|1249}} à [[Millau]]), est un [[Liste des comtes de Toulouse|comte de Toulouse]], de Saint-Gilles, duc de [[Narbonne]], [[marquis de Gothie]] et [[Liste des marquis de Provence|de Provence]] de [[1222]] à [[1249]]. Il était le fils de {{noble|Raymond VI de Toulouse|-}}, comte de Toulouse, de Saint-Gilles, marquis de Gothie et de Provence et duc de Narbonne et de [[Jeanne d'Angleterre (1165-1199)|Jeanne d'Angleterre]]. Par sa mère, il était petit-fils du roi {{noble|Henri II d'Angleterre}}, neveu des rois d'Angleterre [[Richard Ier d'Angleterre|Richard Cœur de Lion]] et [[Jean sans Terre]] et par conséquent cousin du roi {{noble|Henri III d'Angleterre}}.

== Biographie ==
En [[1215]], le [[IVe concile de Latran|concile de Latran]] dépossède son père {{noble-|Raymond VI}} de tous ses États pour les donner à {{noble|Simon IV de Montfort}}, ne laissant que le [[marquisat de Provence]] à {{noble-|Raymond VII}}, si sa conduite montrait sa droiture religieuse. Profitant de la présence de Simon de Montfort en [[Île-de-France]] pour rendre hommage au roi [[Philippe II de France|Philippe Auguste]], les deux Raymond débarquent à [[Marseille]] en {{date||mai|1216}}, prennent [[Beaucaire (Gard)|Beaucaire]] et assiègent le château, tenu par une garnison de Montfort. {{noble-|Raymond VI}} se rend ensuite en [[Couronne d'Aragon|Aragon]], tandis que {{noble-|Raymond VII}} assiège les troupes de Montfort. Pour sauver la garnison du château, Simon de Montfort est obligé de livrer le château et de lever le siège de la ville le {{date|24 août}} : c’est la première défaite d’importance de Simon de Montfort en [[Occitanie (région culturelle)|Occitanie]]. Et la révolte commence à poindre. Profitant d’un moment où Montfort guerroie dans le [[Valentinois]], {{noble-|Raymond VI}} reprend Toulouse, et est bientôt rejoint par son fils. Simon de Montfort se dirige vers sa propre tombe ; il [[Siège de Toulouse (1218)|assiège Toulouse]] en [[1218]], où il est tué.

[[Fichier:Donation de Frederic II 1 - Archives Nationales - AE-I-1 n°1.jpg|vignette|gauche|Bulle de l'empereur {{noble-|Frédéric II}} donnant à {{noble-|Raymond VII}}, comte de Toulouse, le Comtat Venaissin et diverses autres terres, {{date-|8 septembre 1234}}. [[Archives nationales (France)|Archives nationales]] AE/I/1 {{n°|1}}.]]

Pour éviter que la lutte ne s’envenime religieusement, {{noble-|Raymond VI}}, excommunié depuis dix ans, reste en retrait, tandis que {{noble-|Raymond VII}} mène la lutte contre {{noble|Amaury VI de Montfort}} et regagne le terrain perdu. {{noble-|Raymond VI}} meurt en {{date||août|1222}} et {{noble-|Raymond VII}} lui succède, sans qu’Amaury de Montfort ne puisse s’y opposer, mais qui le place automatiquement sous le coup de l'[[excommunication]]. {{noble-|Raymond VII}}, allié au comte [[Raymond-Roger de Foix]], puis à son fils {{noble|Roger-Bernard II de Foix|-}} continue la lutte contre Montfort et reconquiert l’ensemble du « Grand [[Languedoc]] ». Amaury, à qui il ne reste que la ville de [[Carcassonne]], doit renoncer en {{date||janvier|1224}}, se retire en Île-de-France et cède tous ses droits sur ses terres occitanes au roi {{noble|Louis VIII de France|-}}.

À l'occasion des conciles de Montpellier ({{date|25|août|1224}}) et de Bourges ({{date|30|novembre|1225}}), {{noble-|Raymond VII}} prend l'engagement de se soumettre et de lutter contre les [[Catharisme|cathares]], mais ces promesses n'empêchent pas l'organisation d'une nouvelle « croisade » contre lui<ref>{{Ouvrage|langue=allemand|titre=Histoire des conciles d’après les documents généraux|volume=5|passage=1141-3|lieu=|éditeur=|année=1863|pages totales=|isbn=|lire en ligne=|auteur=Charles Joseph Hefele|traducteur=Dom H. Leclercq|publi=1912}}.</ref>. {{noble-|Louis VIII}} intervient au sud, [[siège d’Avignon|prend Avignon]], reconquiert les trois vicomtés [[Trencavel]]<ref>[[Albi]], [[Béziers]] et [[Carcassonne]].</ref> qu’il rattache à la Couronne et transforme en sénéchaussées, soumet le Toulousain, mais meurt au retour, à [[Montpensier]]. [[Blanche de Castille]], la régente, envoie {{noble|Humbert V de Beaujeu}} pour restaurer l’autorité royale en Languedoc.

Après deux ans de guérilla, et quelques semaines de négociations à [[Meaux]], Raymond se résigna à signer le [[Traité de Paris (1229)|traité de Paris]] en [[1229]], par lequel il cédait les anciennes vicomtés [[maison Trencavel|Trencavel]] au [[roi de France]] et accordait Jeanne, sa fille et unique héritière, à [[Alphonse de Poitiers]], frère du roi {{noble|Louis IX de France|-}}. Il y apposa sa signature le jeudi {{date|12 avril}} qui était, cette année-là, le [[jeudi saint]]. Le jour-même et conformément aux clauses du traité, il se rendit sur le parvis de la [[cathédrale Notre-Dame de Paris|cathédrale Notre-Dame]] pour faire amende honorable du ralliement de son comté et de certains membres de sa maison à la doctrine des cathares. Les fêtes de Pâques purent ainsi être célébrées dans la concorde et la communion doctrinale<ref>Voir dates de Pâques durant le {{s-|XIII}}, 1229 : {{date-|15 avril}}.</ref>. Certains historiens ont mis en doute la sincérité de son ralliement doctrinal et affirmé qu'on lui avait imposé une humiliation qu'il avait dû subir sous la contrainte. Cette opinion n'est pas admise par tous les auteurs<ref>Le fait en effet d'avoir subi une sentence d'excommunication ne signifie pas forcément qu'elle était mérité : la justice des hommes peut se tromper, même quand elle est rendue au nom de Dieu.</ref>.

Cette soumission restaura une véritable dépendance du comté de Toulouse à la Couronne de France<ref>Le comté de Toulouse avait été, dans son ensemble, une partie de la [[Gaule]] de [[Jules César]]. L'appartenance de la région de Toulouse au royaume de France remonte à [[507]] : ce furent les Toulousains qui avaient fait alors appel à {{noble|Clovis Ier}} pour qu'il les libérât de la tutelle [[Arianisme|arienne]] des rois [[Wisigoths d'Espagne]]. À cette époque, seul le Haut-Languedoc (l'actuel [[Midi-Pyrénées]]) était entré dans le royaume [[mérovingien]]. Le Bas-Languedoc (qui devint [[Septimanie]] lors du [[concile d'Agde]] en [[506]], et appelé aujourd'hui le [[Languedoc-Roussillon]]) resta sous tutelle étrangère jusqu'en [[759]]. Il subit en effet la tutelle arienne jusqu'en 719 puis devint pendant quarante ans une province de l'[[émirat de Cordoue]].</ref>, et le pape {{noble|Grégoire IX}} créa bientôt, en [[1233]], l’[[Inquisition médiévale|Inquisition]] pour lutter contre la doctrine cathare. Des magistrats, envoyés de Paris, fondèrent dès 1229 une [[Université de Toulouse (ancienne)|université]] à Toulouse où s'illustrèrent des savants appartenant à l'[[Ordre dominicain|ordre fondé par saint Dominique]]. Le comte et les consuls de la ville de Toulouse réussirent par la suite avec le temps à exercer un certain contrôle sur cette université.

Par ailleurs, le [[Marquisat de Provence]] étant toujours occupé par les forces pontificales depuis la croisade des Albigeois, il en demanda la restitution au pape {{noble|Grégoire IX}}. Ce dernier tergiversant et usant de manœuvre dilatoire pour conserver son emprise sur ce pays, le comte de Toulouse eut recours à un coup de force pour récupérer ses terres en violation du [[Traité de Paris (1229)|Traité de Paris]], avec le soutien tacite du roi de France qui veut conserver le possible héritage des Saint-Gilles. Le [[Comtat Venaissin]] ne passera à l'église qu'en 1274, 3 ans après la mort d'[[Alphonse de Poitiers]].
[[Fichier:LouisIX RaymondVII.jpg|vignette|{{noble-|Raymond VII}} se soumettant au roi de France {{noble-|Louis IX}}.]]
Pour se débarrasser de la tutelle royale, Raymond entre, en [[1241]], dans une coalition dirigée contre le roi {{noble|Louis IX de France}} et son frère [[Alphonse de Poitiers]], qui était devenu gendre de Raymond. Cette coalition est formée du [[Henri III d'Angleterre|roi d’Angleterre]], du [[Roger IV de Foix|comte de Foix]] et des seigneurs poitevins, parmi lesquels {{noble|Hugues X de Lusignan}}, dont il épouse la fille. Cette coalition doit susciter des révoltes simultanées dans le Poitou et le Languedoc, mais des imprudences de Lusignan la font révéler prématurément, et les conjurés, vaincus en {{date|juillet 1242}} à la [[bataille de Taillebourg]], doivent faire leur soumission. Raymond attaque le [[Roger IV de Foix|comte de Foix]], son vassal, en {{date|janvier 1243}} car ce dernier avait quitté la coalition avant même le début des hostilités. Finalement, le comte Raymond doit rendre hommage au roi de France [[Louis IX de France|Louis]] en 1243 et rendre les terres conquises au comte de Foix. Par prudence, il n’aidera pas la révolte de {{noble|Raimond II Trencavel}} cette même année.

En {{date|janvier 1244|dans les croisades}}, Raymond envoie l'ingénieur [[Bertrand de la Bacalaria]] pour aider les [[Siège de Montségur|assiégés de Montségur]] à se défendre avec des machines de guerre.

En [[1248]], le roi {{noble-|Louis IX}} part en croisade, accompagné d’une grande partie de son [[ost]]. Raymond reste en France, espérant profiter de son absence pour reconquérir ses domaines, mais la maladie le prend alors qu’il se trouve à [[Creissels]]<ref>{{Ouvrage|nom1=Association des amis du Musée de Millau.|titre=Millau : histoire et secrets oubliés|éditeur=Association des amis du Musée de Millau|date=1996|oclc=466986685|lire en ligne=http://worldcat.org/oclc/466986685|consulté le=2020-07-02}}.</ref>, près de [[Millau]], où il meurt en {{date|septembre 1249}} à l'âge de 52 ans. Son gendre devient comte de Toulouse et, après la mort de ce dernier en [[1271]], le comté est annexé par la [[domaine royal français|Couronne de France]].

== Mariages et enfant ==
En [[1211]], il avait épousé [[Sancie d'Aragon (1186–1241)|Sancie d'Aragon]] (1186-1242), fille du roi-troubadour {{noble|Alphonse II d'Aragon|-}} et de [[Sancha de Castille (reine d'Aragon)|Sancha de Castille]]. Elle donne naissance à [[Jeanne de Toulouse]] (1220-1271), comtesse de Toulouse, marquise de Provence et de Gothie, duchesse de Narbonne, mariée le {{date|13|mars|1234}}<ref>La date de 1241 est également proposée pour le mariage de Jeanne de Toulouse.</ref> à [[Alphonse de Poitiers|Alphonse de France]], [[Liste des comtes de Poitiers|comte de Poitiers]].

Comme celle-ci ne lui a laissé qu’une fille promise en mariage à un [[Capétien]], et qu’il espère un fils permettant d’annuler les clauses du traité de Paris, Raymond répudie Sancie en [[1241]] et négocie avec le comte {{noble|Raimond Bérenger IV de Provence}} son mariage avec [[Sancie de Provence]], mais ce mariage nécessite l’accord du pape. Or, {{noble|Célestin IV}} vient de mourir et il n’y aura pas d’élection de pape avant un an. Lassé d’attendre, le comte de Provence marie Sancie avec [[Richard Ier du Saint-Empire|Richard de Cornouailles]] et Raymond épouse en [[1243]] Marguerite de Lusignan (1228 † 1288), fille d’{{noble|Hugues X de Lusignan}}, [[Liste des comtes de la Marche|comte de la Marche]] et [[Liste des comtes d'Angoulême|d’Angoulême]]. Mais le mariage est annulé en [[1245]] par sentence des juges délégués par le pape pour des raisons de [[consanguinité]].

== Ascendance ==
{{Boîte déroulante/début|alignT=center|titre=Ascendance de Raymond VII de Toulouse}}
<center>{{Ancêtres-compact6
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|1= 1. Raymond VII de Toulouse
|2= 2. [[Raymond VI de Toulouse]]
|3= 3. [[Jeanne d'Angleterre (1165-1199)|Jeanne d'Angleterre]]
|4= 4. {{noble|Raymond V de Toulouse}}
|5= 5. [[Constance de France (1128-1176)|Constance de France]]
|6= 6. [[Henri II (roi d'Angleterre)|Henri II d'Angleterre]]
|7= 7. [[Aliénor d'Aquitaine]]
|8= 8. [[Alphonse Jourdain|Alphonse-Jourdain de Toulouse]]
|9= 9. [[Faydide d'Uzès]]
|10= 10. [[Louis VI le Gros|Louis VI de France]]
|11= 11. [[Adélaïde de Savoie]]
|12= 12. [[Geoffroy V d'Anjou]]
|13= 13. [[Mathilde l'Emperesse|Mathilde d'Angleterre]]
|14= 14. {{noble|Guillaume X d'Aquitaine}}
|15= 15. [[Aénor de Châtellerault]]
|16= 16. [[Raymond de Saint-Gilles|Raymond IV de Toulouse]]
|17= 17. [[Elvire de Castille (comtesse de Toulouse)|Elvire de Castille]]
|18= 18. [[Decan Ier d'Uzès|Decan I{{er}} d'Uzès]]
|19= 19. [[Baronne de Posquières]]
|20= 20. [[Philippe Ier (roi des Francs)|Philippe I{{er}} de France]]
|21= 21. [[Berthe de Hollande]]
|22= 22. [[Humbert II de Savoie]]
|23= 23. [[Gisèle de Bourgogne]]
|24= 24. [[Foulques V d'Anjou]]
|25= 25. [[Erembourg du Maine]]
|26= 26. {{noble|Henri Ier d'Angleterre}}
|27= 27. [[Mathilde d'Écosse]]
|28= 28. {{noble|Guillaume IX d'Aquitaine}}
|29= 29. [[Philippe de Toulouse]]
|30= 30. {{noble|Aymeric Ier de Châtellerault}}
|31= 31. [[Dangereuse de L'Isle Bouchard]]
|32= 32. [[Pons de Toulouse]]
|33= 33. [[Almodis de la Marche]]
|34= 34. [[Alphonse VI de León]]
|35= 35. [[Jimena Muñoz]]
|36= 36. [[Elzéart d'Uzès]]
|37= 37. ?
|38= 38. {{noble|Rostaing Ier de Posquières}}
|39= 39. ?
|40= 40. [[Henri Ier (roi des Francs)|Henri I{{er}} de France]]
|41= 41. [[Anne de Kiev]]
|42= 42. {{noble|Florent Ier de Frise occidentale}}
|43= 43. [[Gertrude de Saxe (1028-1113)|Gertrude de Saxe]]
|44= 44. {{noble|Amédée II de Savoie}}
|45= 45. [[Jeanne de Genève]]
|46= 46. {{noble|Guillaume Ier de Bourgogne}}
|47= 47. [[Étiennette de Bourgogne]]
|48= 48. [[Foulques IV d'Anjou]]
|49= 49. {{noble|Bertrade de Montfort}}
|50= 50. {{noble|Élie Ier du Maine}}
|51= 51. Mathilde de Chateau-du-Loire
|52= 52. [[Guillaume le Conquérant|Guillaume I{{er}} d'Angleterre]]
|53= 53. [[Mathilde de Flandre]]
|54= 54. [[Malcolm III d'Écosse]]
|55= 55. [[Marguerite d'Écosse (sainte)|Marguerite de Wessex]]
|56= 56. {{noble|Guillaume VIII d'Aquitaine}}
|57= 57. [[Hildegarde de Bourgogne]]
|58= 58. [[Guillaume IV de Toulouse]]
|59= 59. [[Emma de Mortain]]
|60= 60. [[Boson II de Châtellerault]]
|61= 61. [[Aliénor de Thouars]]
|62= 62. Barthélémy de l'Isle Bouchard
|63= 63. Gerberge de Blaison
}}</center>
{{boîte déroulante fin}}

== Notes et références ==
=== Notes ===
<references/>

=== Bibliographie ===
* Florence Ferrari, ''Le dernier comte cathare'', Monaco, LiberFaber, 2013.
* Jean-Luc Déjean, ''Les comtes de Toulouse (1050-1250)'', Paris, Fayard, 1979 (réimpr. 1988), p. 329-392.
* Foundation for Medieval Genealogy : [http://fmg.ac/Projects/MedLands/TOULOUSE.htm#RaymondVIdied1222B {{noble-|Raymond VI}} et {{noble-|Raymond VII}}, comte de Toulouse].

== Voir aussi ==
=== Bibliographie complémentaire ===
* {{Chapitre|langue=fr|prénom1=Laurent|nom1=Albaret|titre chapitre={{noble-|Raymond VII}} de Toulouse et son engagement dans la défense de l’orthodoxie. D’excommunications en réconciliations (1229-1249)|auteurs ouvrage=Ariane Boltanski et Franck Mercier (dir.) |titre ouvrage=Le salut par les armes |sous-titre ouvrage=noblesse et défense de l'orthodoxie, {{sp-|XIII|e|-|XVIII|e}} |lieu=Rennes |éditeur=[[Presses universitaires de Rennes]] |collection=Histoire |année=2011 |pages totales=302 |isbn=978-2-7535-1315-0 |passage=19-35 |lire en ligne=https://books.openedition.org/pur/120504}}.
* {{en}} [[Laurent Macé]], « {{noble-|Raymond VII}} of Toulouse: The Son of Queen Joanna, « Young Count » and Light of the World », dans Marcus Bull et Catherine Léglu (éd.), ''The World of Eleanor of Aquitaine : Literature and Society in Southern France between the Eleventh and Thirteenth Centuries'', Woodbridge, Boydell et Brewer, 2005 {{ISBN|9781843831143}}, p. 137-156.
* {{article| auteur=[[Laurent Macé]] | titre=Jeunesse et légitimité dynastique dans le chant de l’Anonyme La mortz o la terra | journal=Médiévales | périodique=OpenEdition | volume=74 | numéro=74 | date=2018-07-15 | issn=0751-2708 | doi=10.4000/medievales.8523 | pages=83–98}} (Représentation littéraire de {{noble-|Raymond VII}} de Toulouse, Roger Bernard de Foix et {{noble-|Bernard V}} de Comminges dans la continuation anonyme de la ''Chanson de la croisade albigeoise'').

=== Articles connexes ===
* [[Croisade des Albigeois]]

=== Liens externes ===
{{Autres projets|commons=Category:Raymond VII of Toulouse|commons titre={{noble-|Raymond VII de Toulouse}}}}
* {{Autorité}}
* {{Dictionnaires}}
* {{Bases}}

{{Début dynastie|titre={{noble-|Raymond VII de Toulouse}}}}
{{Insérer dynastie|couleur1=#ffffff|couleur2=#ffffff|couleur3=#ffffff
 | avant = {{noble|Raymond VI de Toulouse |Raymond VI (VIII)}}
 | nom   = [[Fichier:Blason_Languedoc.svg|thum|64 px]]<br />[[Liste des comtes de Toulouse |comte de Toulouse]]<br />[[Liste des rois, comtes et marquis de Provence |marquis de Provence]]
 | après = [[Jeanne de Toulouse |Jeanne]] et<br>{{noble|Alphonse de Poitiers|Alphonse II}}
}}
{{Fin dynastie}}
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