Guigues II de Forez

Modèle:Titre noble Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Modèle:Noble-<ref>Modèle:Chapitre.</ref>, aussi nommé Modèle:Noble-<ref>Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup, Bruno Thévenon, Dictionnaire historique de Lyon, Stéphane Bachès, 2009, Lyon, 1054 p., Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> (1130 - † Modèle:Date), petit-fils de Modèle:Noble-, comte de Lyon et de Forez<ref>""In nomine sanctae et individuae Trinitatis, amen. Ego, Ludovicus, Dei gratia Francorum rex (...) amicus noster Guigo, comes Lugdunensis et Forensis (...)", https://sites.google.com/site/agerjarensis/.</ref>.

Biographie

Fils de Modèle:Noble, comte de Lyon et de Forez et de Sibille/Sybille, dame de Beaujeu, fille de Modèle:Noble, seigneur de Beaujeu<ref>Modèle:Article.</ref>.

Il fut confié par son père au roi Modèle:Noble (1137-1180) qui le prit sous sa protection et le fit élever à la cour<ref>J.-E. DUFOUR, Dictionnaire topographique du département de la Loire, Presses Universitaires de Saint-Étienne, 1946 (réed. 2006), Modèle:P..</ref>.

Il devient comte de Lyon et de Forez en 1138 en succédant à son père, et régna sur le comté soixante ans jusqu'en 1198.

C'est avec lui que naîtront les litiges entre le comté de Forez et les sires de Beaujeu au sujet de leurs terres respectives<ref name="GuigueP446">Modèle:Google Livres, page 446.</ref>.

Dépossédé de ses droits sur Lyon par la bulle d'Or de Frédéric Barberousse, il entre en conflit avec l'archevêque Héracle de Montboissier. Avec le soutien de Modèle:Noble<ref>Lettre de Modèle:Noble-, comte de Lyon et de Forez (ap. 1136 et av. 1158 -1206), à Modèle:Noble-, roi des Francs (1137-1180) au sujet de l'entrée de ce dernier en Auvergne, puis à propos de l’agression perpétrée par le comte Modèle:Noble-, comte de Vienne et de Mâcon (1157-1184), et les schismatiques visant à le dépouiller et à remettre son comté, dépendant de la Couronne, à l'Empereur germanique, https://sites.google.com/site/agerjarensis/.</ref> et du pape Modèle:Noble et l'élection de Guichard de Pontigny, il est rétabli dans ses droits par une première transaction en 1167 mais finira par céder ses possessions en Lyonnais par la permutation de 1173.

Marié à Guillelmine<ref>Vuillelma, comitissa Forensis, mater domini Raynaudi , quondam archiepiscopi Lugdunensis (...)Guillelmine, comtesse de Forez, était femme du comte Modèle:Noble- et mère de Modèle:Noble-, de Renaud, archevêque de Lyon, et d'Humbert, abbé de St Just et de St-Irénée. (...) — Guillelmine, comtesse de Forez, mourut après 1227. M.C. GUIGUE, Obt. de l'Église de Lyon Lire en ligne.</ref>, il eut trois enfants :

• Modèle:Noble, à qui il abandonna le comté de Forez peu de temps avant de mourir ;
• Renaud de Forez, archevêque de Lyon (1193-1226) ;
• Humbert, chanoine-comte de Lyon.

À la mort de Modèle:Noble c'est son deuxième fils Renaud, alors archevêque de Lyon qui assura la tutelle du futur Modèle:Noble-.

Modèle:Noble-, Humbert ainsi que Ermengarde appelée plus souvent Guillemette (de Vuillelma en latin) eurent leur sépulture en l'Église Saint-Irénée à Lyon. Fondation faite en cette église par son Modèle:3e fils Humbert de Forez pour célébrer tous les Modèle:Date- l'anniversaire du décès de Guillemette<ref>Jean Marie de La Mure, Histoire des Ducs de Bourbon et du Forez, 1809, volume 1, page 159.</ref>.