Albas (Aude)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Albas <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française des Corbières, située dans le département de l'Aude, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Berre, le ruisseau de Moure, le ruisseau des Vals et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « Corbières orientales ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Albas est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1836. Ses habitants sont appelés les Albassiens ou Albassiennes.
Devise d'Albas : « qual va a Albas se'n tòrna pas ». Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Albas est une commune des Corbières située au pied du mont Tauch, sur le terroir Corbières (AOC).
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
La série sédimentaire d'Albas fait l'objet de nombreuses études géologiques, les différentes couches s'étendant du secondaire au quaternaire, dans lesquelles on a trouvé des fossiles d'œufs de dinosaures. Le paysage va de la garrigue aux chênes verts.
Le village ancien est construit à une altitude moyenne de Modèle:Unité, la mairie est située à Modèle:Unité d'altitude.
Albas se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Voies de communication et transports
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Berre, le ruisseau de Moure, le ruisseau des Vals, le ruisseau de Guèguinte, le ruisseau de la Mayré, le ruisseau de la Pinède, le ruisseau de la Pinède, le ruisseau de la Roubine, le ruisseau des Quiés, le ruisseau du Bois Nègre et le ruisseau du Prat, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Berre, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Quintillan et s'écoule d'ouest en est. Elle effleure la commune sur son flanc sud et se jette dans le golfe du Lion à Port-la-Nouvelle, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durban-Corbières », sur la commune de Durban-Corbières, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « corbières orientales »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « castillou Roumanissa et pinède de Durban » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et le « cours amont de la rivière de la Berre » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : les « Corbières centrales » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Albas.
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Albas est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (67,9 %), forêts (20,5 %), cultures permanentes (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Albas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 69,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 89 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Albas est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Histoire
Datant du second âge du fer, on trouve sur le Roc de Carla un modeste oppidum. Exploitation de ferrières (extraction du fer) dès le {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleIII
}} avant notre ère. Les Romains ont probablement nommé l’endroit « Albares » à cause des peupliers aux feuilles argentées qu’ils ont trouvé aux abords de l’actuel village.
Dans un acte de 963 concernant la donation du village voisin de Fontjoncouse à Aymeric, archevêque de Narbonne, on trouve pour la première fois écrite la mention « Villa Albares (Albas) ».
En 1226, Guillaume de Laroque de Carcassonne cède les biens qu’il possède à Albas à l’abbaye de Lagrasse. Dans le courant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le comte de Foix en est le seigneur, puis en 1271, Aymeric, vicomte de Narbonne redevient le seigneur légitime du Castrum d’Albaribus Ferreriarum (Albas les Ferrières).
L'église est consacrée à saint Paul, qui aurait été évangélisateur de Narbonne.
En 1503, Jean de Cascastel (village voisin) est cité comme seigneur du lieu. En 1523, Jean de Narbonne dit tenir du roi la seigneurie d’Albas. Au cours de ce siècle, Rogier de Lubès, baille d’Albas, organise une association intercommunale pour défendre les intérêts de la population ruinée par les guerres franco-espagnoles. Le village de pisé est détruit, les habitants s’installent dans le castrum.
Le Modèle:Date-, le parlement de Toulouse attribue des biens de la famille Bellisens, dont Albas, à Pons Thomas Joseph Dadvisard.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Richelieu décide de reconquérir le Roussillon, Narbonne devient la place forte du dispositif français. Dans une ordonnance du Modèle:Date-, Louis XII place Albas dans la liste des localités dépendant de Narbonne.
À la Révolution, les biens de la famille Dadvisard sont confisqués, Albas les Ferrières devient une commune.
En 1830, la culture de la garouille (chêne nain qui fournissait le colorant vermillon) et la fabrication du charbon constituent l’activité économique principale d’Albas, avec la culture de la luzerne et l’élevage (chèvres pour le lait, ovins pour la viande, mulets pour les déplacements).
L’exploitation du fer qui se bornait à recueillir le minerai à fleur de roche (ferrières) au Moyen Âge, laisse place au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à des mines sur le plateau de Lacamp. Le fer était emporté par chariots et par la petite voie ferrée reliant Durban à Tuchan, jusqu’en 1930. La voie ferrée est délaissée au profit des premiers camions, les mines deviennent trop coûteuses, elles sont abandonnées en 1930. Les puits de mine ont été fermés, seuls quelques initiés savent y pénétrer par des galeries discrètes. On peut apercevoir les restes d’une carrière de marbre rose sur la route de Cascastel, près du village.
Les Templiers et les Hospitaliers
En 1196, la vicomtesse Ermengarde de Narbonne fait don dans son testament du castrum (lieu fortifié) d’Albas, aux ordres militaires. Mais son neveu, Pierre de Lara, ne donnera qu’une partie d’Albas aux ordres Templiers et Hospitaliers. Une commanderie Saint Jean est mentionnée à Albas en 1243.
Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Albas fait partie de la baronnie de Talairan, et se place sous l’autorité spirituelle de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. C’est pourquoi l’actuel blason d’Albas représente une croix de Malte blanche sur fond rouge.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Albas est membre de la communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Lézignan-Corbières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Corbières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la première circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Population : viticulteurs, éleveurs, maçons, retraités de divers pays d'Europe, familles en vacances l'été.
Enseignement
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Sports
Économie
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 58,5 % d'actifs (48,8 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 41,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 21 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 21, soit un indicateur de concentration d'emploi de 57,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 34,7 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 21 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 71,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
11 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Albas au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 11 entreprises implantées à Albas), contre 14 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricoleModèle:Note de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Deux troupeaux de moutons ouvrent une alternative à la viticulture qui était l'activité dominante du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village comptait Modèle:Nb, Modèle:Nb et Modèle:Nb habitaient la capélagne (presbytère). Avant la vigne, on y cultivait les céréales et la luzerne d'Albas était renommée.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Régis Barailla (1933-2016) : personnalité politique né à Albas.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes