Buis-les-Baronnies
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Buis-les-Baronnies Modèle:API-fr est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont dénommés les Buxois(es).
Géographie
Localisation
La commune de Buis-les-Baronnies est située dans les Baronnies, une région naturelle et historique du Dauphiné et de la Drôme provençale.
Limitrophe du Vaucluse, elle est située au sud-est de Nyons.
Modèle:Carte communes limitrophes
Relief et géologie
Hydrographie
La commune est arrosée par :
- l'Ouvèze (la commune est située sur la rive droite).
- le Menon.
- le ruisseau Aigue-Julianne, affluent de l'Ouvèze, est attesté en 1891<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Climat
Voies de communication et transports
La route des Princes d'Orange : Buis-les-Baronnies est situé sur cet itinéraire autrefois emprunté par les princes d'Orange (dynastie qui régna sur Orange de 1115 à 1702) pour rejoindre leur baronnie d'Orpierre.
Urbanisme
Typologie
Buis-les-Baronnies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Buis-les-Baronnies, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), cultures permanentes (12 %), zones urbanisées (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Morphologie urbaine
La ville est situé au pied de l'arête crénelée du rocher Saint-Julien ; elle s'étend au milieu de prairies et de belles oliveraiesModèle:Refnec.
Hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Colonnes
Anciens quartiers :
- Aiguille est un quartier attesté en 1891<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- l'Adret-de-Saint-Julien est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé in Adrechiis en 1520 (terrier de Mévouillon)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- l'Aire-de-la-Cour est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Aream Curie en 1520 (terrier de Mévouillon)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- les Aires est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Las Ares en 1498 (inventaire de la chambre des comptes)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Logement
Projets d'aménagement
Risques naturels et technologiques
Toponymie
La commune est dénommée Lo Bois dei Baroniás en occitan ou Lo Bois dei Baronias en provençal alpinModèle:Refnec.
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref> :
- 1221 : claustrum de Buxo (cartulaire des Templiers, 125).
- 1222 : mention de l'église de la paroisse du Buis : ecclesia de Bucxo (cartulaire des Templiers, 131).
- 1283 : mention du mandement : mandamentun Buxi (inventaire des dauphins, 228).
- 1293 : castrum de Buxo (Valbonnais, I, 35).
- 1300 : mention du magistrat (bailli) chargé de rendre la justice à tous les vassaux des Mévouillons : bajulus Buxi (Valbonnais, II, 102).
- 1400 : Boix (choix de documents, 235).
- 1447 : Le Bois et Le Boys (Statuta Delphin.).
- 1549 : Le Boix (rôle de tailles).
- 1705 : Le Buix (dénombrement du royaume).
- 1788 : Le Buis (alman. du Dauphiné).
- 1850 : Buis-les-Baronnies (décret du 24 juillet 1850).
- 1891 : Le Buis-les-Baronnies, commune de l'arrondissement de Nyons.
Non datéModèle:Refnec : Buis-les-Baronnies(l'article défini n'est plus prononcé).
Étymologie
Ce toponyme dériverait de l'occitan bois, « buis »<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, page 1226, Modèle:ISBN.</ref>, arbuste de la famille des Buxacés (ou du provençal médiéval bois (prononcez : boïs)Modèle:Refnec).
Les Baronnies sont une région naturelle et historique qui s'étend entre le sud-est de la Drôme, l'ouest des Hautes-Alpes et le nord de Vaucluse.
Histoire
Protohistoire
Le Buis est l'ancienne capitale de la tribu gauloise des Boxsani (confédération des Voconces)Modèle:Refnec.
Antiquité : les Gallo-romains
Le futur mandement du Buis est probablement habité par les Bocx(ani), mentionnés avec les Noiomagenses (habitants de Nyons) dans une inscription découverte à Tain<ref name=":0" />.
Le lieu est appelé Arx Apollinaris par les Romains<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Du Moyen Âge à la Révolution
D'une manière générale, à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les villages des Baronnies dépendent de la baronnie de Mévouillon et de la baronnie de MontaubanModèle:Refnec.
1178 : les seigneurs de Mévouillon sont les vassaux directs de l'empereur Frédéric BarberousseModèle:Refnec.
La seigneurie : elle ne comprenait que la paroisse du Buis<ref name=":0" /> :
- Possession des barons de Mévouillon, dont elle est la capitale.
- 1317 : la terre passe aux dauphins.
- 1422 : passe aux Avaugour.
- 1553 : passe aux Vadel.
- 1643 : passe aux princes de Monaco, derniers seigneurs.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Sancte Marie de Projactis (actuellement Saint-Denis-de-Projat) et l'église Saint-Julien, dont elle percevait les revenus<ref>Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Xe{{#if:| }} }} au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dans Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L'abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon Modèle:N°, Mane, 2001, 448 pages, page 216, Modèle:ISSN, Modèle:ISBN.</ref>.
Du temps des barons de Mévouillon, Buis-les-Baronnies était la résidence du magistrat chargé de rendre la justice à tous leurs vassaux<ref name=":0" />.
(Après son annexion au Dauphiné, en 1317, Le Buis deviendra le siège d'un bailliage (1336 : bayllivia baroniarum montis Albani et Medullioni (Valbonnais, II, 320)) dont le ressort comprenait tout l'arrondissement de Nyons et quelques communes des cantons de Grignan et de Dieulefit<ref name=":0" />. À partir de 1447, ce tribunal, appelé bailliage du Buis, n'aura plus qu'un vibailli à sa tête Modèle:Refnec).
Depuis 1270, les Mévouillon sont endettés : en 1288, Raymond VI de Mévouillon donne une charte de franchise aux habitantsModèle:Refnec. Cette charte de libertés sera confirmée en 1337 par les dauphins<ref name=":0" />.
1291 : Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie à Jean de Genève, évêque de Valence et de Die. La vente pour Modèle:Nombre est ratifiée par le traité de Chamaloc, signé le 16 août 1291Modèle:Refnec. Cet acte de vente n'est pas reconnu par Raymond V de Mévouillon car il est contraire aux dispositions testamentaires de Raymond IV de Mévouillon qui interdisait l'aliénation du domaine. Raymond VI de Mévouillon est condamnéModèle:Refnec.
Le 10 juillet 1293, Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie au dauphin qui profite de son endettement. Raymond de Mévouillon a confié ses castra au dauphin à condition de pouvoir les reprendre en fief franc, noble et antique, et à fidélité non ligeModèle:Refnec.
Concernant le reste des Baronnies, en 1294-1295, le domaine de Montauban est cédé au dauphin par Hugues Adhémar, héritier de Roncelin de LunelModèle:Refnec.
1309 (démographie) : 3500 habitants<ref name=":0" />.
Vers 1310, on compte 700 maisons, soit environ Modèle:Nombre<ref>Marie-Pierre Estienne, Châteaux médiévaux des Baronnies {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIV|-| – | XIV }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}s, Alpara, Lyon, 2008, pages 99-136, Modèle:ISBN (lire en ligne)</ref>,<ref>Marie-Pierre Estienne, Châteaux, villages, terroirs en Baronnies {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}, Presses universitaires de Provence, Aix-en-Provence, 2004, Modèle:ISBN (aperçu)</ref>,<ref>Modèle:Dr Claude Bernard, Histoire de Buis-les-Baronnies, Macabert, Vaison, 1956 ; 240 pages</ref>.
1317 : les Baronnies passent définitivement sous le contrôle des dauphinsModèle:Refnec.
La partie orientale a été l'objet de négociations avec les comtes de Provence qui y avaient des intérêtsModèle:Refnec.
Le Buis fut la ville préférée des dauphins de ViennoisModèle:Refnec.
Humbert II signe plusieurs de ses chartes au Buis. La ville avait alors Modèle:Unité ce qui, pour l'époque, représente une grande citéModèle:Refnec.
1347 : la peste y fait des ravages. La moitié de la population péritModèle:Refnec.
1349 : le Dauphiné est vendu au royaume de France.
Louis XI repeuple la ville en y attirant des reitres allemands avec leurs familles et en fait le siège d'un bailliage. En 1447, il y annexe la cour de justice de NyonsModèle:Refnec.
Les guerres de Religion font beaucoup de mal au BuisModèle:Refnec.
La baisse de la population est citée en 1656. Elle s'est accélérée après la révocation de l'édit de Nantes en 1685Modèle:Refnec.
1720 (démographie) : 400 chefs de familles<ref name=":0" />.
1762 (démographie) : le conseil de ville déclare que la population est réduite à 400 habitants<ref>Compte-rendu du livre de Claude Bernard par Joseph Billoud dans Provence historique, 1956, tome 6, fascicule 26, Modèle:P.</ref>.
Avant 1790, le Buis était une communauté de l'élection de Montélimar, chef-lieu de subdélégation et de bailliage.
Elle comprenait trois paroisses : le Buis, Proyas et Ubrieux<ref name=":0" /> :
- La paroisse du Buis en particulier était du diocèse de Vaison, et son église, sous le vocable de Notre-Dame de Nazareth, était celle d'un prieuré qui, connu en 1221, fut uni dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la charge de capiscol du chapitre cathédral de Vaison. Son titulaire perçut, de ce chef, les dîmes de la paroisse du Buis jusqu'à la Révolution.
- Il y avait en outre, dans cette ville, un couvent de dominicains fondé en 1294 par les barons de Mévouillon. En 1891, les bâtiments servent de mairie et de collège.
- Il y avait aussi un monastère d'ursulines fondé en 1643. En 1891, c'est un hôpital.
Le mandement du Buis ne comprenait que les paroisses du Buis et de Proyas. La paroisse d'Ubrieux formait un mandement séparé<ref name=":0" />.
De la Révolution à nos jours
En 1790, le Buis devient le chef-lieu d'un canton comprenant le Buis et la Roche-sur-Buis, et celui d'un district comprenant les cantons du Buis, de Mirabel, de Mollans, de Montauban, de Montbrun, de Nyons, de Rémuzat et de Vinsobres<ref name=":0" />.
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait un simple chef-lieu de canton, comprenant les communes de Beauvoisin, Bellecombe, Bénivay, Bésignan le Buis, Eygaliers, Mérindol, Mollans, Ollon, la Penne, Pierrelongue, Plaisians, le Poët-en-Percip, Propiac, Rioms, Rochebrune, la Roche-sur-Buis, la Rochette, Saint-Auban, Sainte-Euphémie, Sainte-Jalle, Saint-Sauveur, Vercoiran<ref name=":0" />.
La Révolution lui porte un coup fatal en lui enlevant toute son administration qui est transférée à NyonsModèle:Refnec.
1811 : des platanes sont plantés pour la naissance du roi de Rome (fils de Napoléon I)<ref name=":1" />.
Au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des tilleuls sont plantés en nombre et devinrent la spécialité de Buis-les-BaronniesModèle:Refnec.
En 1907, la ville est reliée à Orange par une ligne de chemin de fer à voie métrique dont elle accueille la gare terminus<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le service des trains a pris fin en 1952 et la ligne a été démantelée<ref>Modèle:Article.</ref>.
La gare est aujourd'hui un centre des finances publiques<ref name=":2">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=":3">Modèle:Lien web.</ref>.
Seconde Guerre mondiale
Histoire récente
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:...
Administration municipale
Liste des maires
Modèle:Section à sourcer Modèle:Article connexe Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées : de la Révolution au Second Empire Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées : depuis la fin du Second Empire Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Rattachements administratifs et électoraux
Administrativement la commune est comprise dans l'arrondissement de Nyons, dans le canton de Nyons et Baronnies.
Elle est également une commune adhérente de la Communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale.
Politique environnementale
Finances locales
Jumelages
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|300px|Localisation des villes jumelées avec Buis-les-Baronnies.]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte Villes jumelées avec Buis-les-Baronnies.
- Gomadingen (Modèle:Pays)<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Waimes (Modèle:Pays)
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 23,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 44,2 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53,8 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,55 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Services et équipements
Le trésor public a maintenu un serviceModèle:Refnec.
Enseignement
Un regroupement scolaire des onze communes alentour se trouve dans la ville : école maternelle et collègeModèle:Refnec.
Santé
Un petit hôpital avec principalement une unité gériatrique complète les services locauxModèle:Refnec.
Manifestations culturelles et festivités
- « Les Lointaines », festival de musiques du mondeModèle:Refnec.
- Sérénades en Baronnies, festival de musique classique réparti sur l'annéeModèle:Refnec.
- Janvier (troisième week-end) : fête de l'huile d'olive et de l'olive AOCModèle:Refnec.
- Juillet : festival d'art dramatique<ref name=":1" />.
- Juillet (troisième samedi) : fête du Tilleul en Baronnies est un marché du tilleul et des plantes aromatiques associé à un salon du livre des plantesModèle:Refnec.
- Août : festival de jazzModèle:Refnec.
- Août (9 au 12) : fête de Saint-Laurent<ref name=":1" />.
- Août (dernière semaine) : les Flûtes en Baronnies, académie du Trio d'Argent<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Septembre (quatrième dimanche) : la Ronde des Baronnies se compose de plusieurs randonnées pédestres dans les BaronniesModèle:Refnec.
Loisirs
- Cinéma Le Reg'ArtModèle:Refnec.
- Chasse et pêche<ref name=":1" />.
Sports
- Site d'escalade réputé : rochers d'Ubrieux et de Saint-Julien, un des beaux sites de la liste des sites d'escalade en FranceModèle:Refnec.
Evénements sportifs
- Le trail de la Drôme dont le départ et l'arrivée ont lieu à Buis-les-BaronniesModèle:Refnec.
- Mai (premier dimanche) : La Buiscyclette<ref>Modèle:Lien web.</ref>, raid et balades à vélo pour tous les niveaux (VTT et vélo de route).
- Juillet (premier week-end) : Dans les Pas du Géant est un rendez-vous sportif (trail, randonnée, tournoi de football, au profit des enfants malades)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Août (deuxième dimanche) : Le Buis j'aime j'y cours est une course pédestre (1,4 et Modèle:Unité pour les enfants, Modèle:Unité pour les femmes, Modèle:Unité pour les hommes)Modèle:Refnec.
Médias
Cultes
Économie
Agriculture
En 1992 : oliviers (olives noires / tanches, huile d'olive / coopérative oléicole), vignes (vin AOC Coteaux des Baronnies), vergers (amandes), lavande (essence), truffes, apiculture (miel), ovins (fromage Picodon)<ref name=":1" />.
DiversModèle:Refnec :
- Vin de pays Coteaux-des-baronnies.
- Abricots (orangers de Provence).
- Huile d'olive.
- Olives de bouche classées en AOC de Nyons (la variété Tanche est la plus répandue).
- Petites industries de plantes aromatiques et médicinales (huiles essentielles, parfums naturels de plantes, etc.).
- Plantation de Modèle:Nombre tilleuls<ref name=":1" /> représentant 75 % de la production française de tilleul<ref>Le tilleul dans les Baronnies.</ref>
- Autour du tilleul et d'autres plantes et herbes aromatiques comme la lavande, le thym, la sauge et la sarriette, se développa une filière locale de négociants-producteurs qui lancèrent des marques renommées (voir ici). Chaque année est organisée une fête du tilleul.
Marchés et foires<ref name=":1" /> :
- Marché : troisième mercredi du mois (sauf janv., nov., déc.).
- Foire : premier mercredi du mois (sauf avril, août, nov.), le 21 janvier, le lundi après Rameaux, le 18 août, le 2 nov., le 18 décembre.
- Marché aux fruits et aux olives : mercredi et dimanche.
- Grand marché du tilleul : premier et second mercredi de juillet.
Marché de la laine (août)Modèle:Refnec.
Tourisme
- Des visites commentées du village sont organisées par l'Office de Tourisme (les mercredis à 15h d'avril à octobre et à 17h en juillet-août, sur réservation uniquement).
- Station climatique d'été<ref name=":1" />.
- Piscine municipale ouverte pendant la période d'étéModèle:Refnec.
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges de l'ancienne enceinte et de la tour du Saffre (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name=":1" />.
- Enceinte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : quatre tours (tour carrée du Safre, tours rondes de la Gendarmerie, de l'Office du Tourisme et une troisième), remparts sudModèle:Refnec.
- Église Notre-Dame de Nazareth des Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Refnec.
- Église (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : baptistère (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), maître-autel en bois doré polychrome (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name=":1" />.
- Place du Marché (classé MH) avec ses façades, toitures et arcades (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name=":1" />.
- La place du marché : encombrée avant 1291, d'échoppes de bouchers, savetiers et autres artisans. Elle est entourée de belles arcades en grande partie gothiques qui rappellent certaines villes de la Suisse alémanique ou de l'Allemagne du Sud. Elles doivent cette ressemblance à la construction qu'en firent, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les reîtres allemands que Louis XI établit au Buis après la grande peste du siècle précédentModèle:Refnec.
- Place des Arcades {{#switch:
| e | er | = {{#switch:
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: |-| – | }}Modèle:S mini- siècleXVI
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: |-| – | }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}} (classée)Modèle:Refnec.
- Ancien couvent des Dominicains (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : cloître ancien, réfectoire puis salle de justice de paix avec boiseries<ref name=":1" />.
- L'ancien couvent des dominicains : fondé en 1294 par Raymond V de Mévouillon, le couvent fut élevé près du ruisseau de Malguery. Incendié en 1562 par Paul de Mouvans, l'un des chefs calvinistes, il n'en reste aucune trace. Rebâti à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'évêque de Vaison y autorisa le Modèle:Date la création d'un séminaire et d'un collège. Les Dominicains devinrent les instructeurs de la jeunesse buxoise. Vendu comme bien national après 1791, le couvent est devenu la propriété de la ville. Dans la cour, existent encore deux galeries du cloître de l'ancien monastèreModèle:Refnec.
- Vieux pont sur l'Ouvèze (1690) : une arche<ref name=":1" />.
- Ancienne chapelle des ursulines (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : portail Renaissance (classé MH)<ref name=":1" />.
- Porte Renaissance au centre-ville (classée)Modèle:Refnec.
- Digue (1776)<ref name=":1" />.
- Cette digue, qui protège la ville des crues de l'Ouvèze, est pendant la saison hivernale une promenade ensoleillée d'où l'on aperçoit le vieux village de La Roche-sur-le-Buis avec les ruines de son château féodalModèle:Refnec.
- Ruelle pittoresques, vieilles maisons<ref name=":1" />.
- Fontaine (Premier Empire)<ref name=":1" />.
- Platanes (protégés) plantés en 1811 pour la naissance du roi de Rome<ref name=":1" />.
- Vestiges de l'ancienne synagogue (rue des Juifs)<ref name=":1" />.
- Esplanade<ref name=":1" />.
-
Porte du village. Portail Renaissance (à gauche), rue des Quiastres.
-
Tour du Pin.
-
Place du Marché.
-
Place des Arcades.
-
Sous les arcades.
-
Église Notre-Dame de Nazareth.
- Ubrieux : château ruiné<ref name=":1" />.
- Ermitage de Saint-Trophime<ref name=":1" />.
- Chapelle Saint-Trophime dite de l'ermitage, située à Modèle:Unité du village, près du rocher Saint-Julien, elle est mentionnée dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Refnec.
- Chapelle Saint-Martin (ancienne paroisse ruinée lors des guerres de Religion)<ref name=":1" />.
-
Chapelle Saint-Trophime dite de l'Ermitage.
-
Chapelle Saint-Trophime.
-
Rocher Saint-Julien.
-
Vue sur le mont Ventoux.
Patrimoine culturel
- Exposition de peinture et d'artisanat provençal<ref name=":1" />.
- Association des Amis du Buis et des Baronnies<ref name=":1" />.
Patrimoine naturel
- Gorges d'Ubrieux (SI)<ref name=":1" />.
- Vue du col d'Ey (718 m)<ref name=":1" />.
- Rocher de Saint-Julien<ref name=":1" />.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Le Maçon (né vers 1500 à Buis-les-Baronnies, mort en 1559) : traducteur.
- Jean Jacques Jacomin (né en 1764 à Buis-les-Baronnies, mort en 1843): notaire, député de la Drôme.
- Joseph-Boniface Franque (né en 1774 à Buis-les-Baronnies, mort en 1833) : peintre.
- Jean-Pierre Franque (né en 1774 à Buis-les-Baronnies, mort en 1860) : peintre.
- Henri Rivière (1864-1951) : peintre et graveur, réfugié à Buis.
- Jean-Joseph Coupon (né en 1822 à Buis-les-Baronnies, mort vers 1871) : sculpteur.
- Eugène Descamps (né en 1922, mort en 1990 à Buis-les-Baronnies) : syndicaliste.
- Guy Bontempelli (né en 1940, mort en 2014) : auteur-compositeur-interprète français, y a résidé.
- Jacques Bompard (né en 1943) : député de Vaucluse, y a passé son enfance.
- Desireless (née en 1952) : chanteuse française. Elle y réside depuis 1995.
Héraldique, logotype et devise
Modèle:Blason-ville-fr comme l'atteste le blason sculpté dans la salle du conseil municipal de la mairie de Buis, le dauphin n'est pas comme sur l'illustration mais tête en bas.
Annexes
Bibliographie
- 1980 : Claude Bernard, Histoire de Buis-les-Baronnies, Vaison-la-Romaine, imprimerie Meffre, 1980 (Modèle:3e).
- 1997 : Guy Barruol, Michèle Bois, Marie-Pierre Estienne, Patrick Ollivier-Elliott, Maurice Jorda, Jean-Yves Royer, Les Baronnies au Moyen Âge : femmes, hommes, territoires, villages, châteaux et églises, Les Alpes de Lumière, 1997.
- 2001 : Patrick Ollivier-Elliott, Les Baronnies, mode d'emploi d'un fragment de paradis, Edisud, 2001.
- 2006 : Conservation du Patrimoine de la Drôme, Patrimoines des Baronnies, paysage, architecture et histoire, Conseil général de la Drôme (diffusion La Mirandole), 2006.
Articles connexes
- Communes de la Drôme
- Anciennes communes de la Drôme
- Route des Princes d'Orange
- Ligne d'Orange à Buis-les-Baronnies
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Buis-les-Baronnies sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Modèle:Bases géographie
- Site de l'Office de Tourisme des Baronnies en Drôme provençale
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes