Gondrin

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France

Gondrin est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Bas-Armagnac, ou Armagnac noir, un pays s'inscrivant entre les vallées de l'Auzoue, la Gélise, la Douze et du Midou.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Osse, l'Auzoue, le ruisseau du Gressillon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Gondrin est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Ses habitants sont appelés les Gondrinois ou Gondrinoises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Gondrin est une commune située en Armagnac, dans l'ouest du Gers et à l'est d'Eauze et la route départementale 931.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:... Gondrin se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gondrin.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Osse, l'Auzoue, le ruisseau du Gressillon, le ruisseau de Bourras, le ruisseau de Castagnériou, le ruisseau de la Brouquère, le ruisseau de la Gourgue, le ruisseau de la Hillasse, le ruisseau de Lasdouts, le ruisseau de Magret, le ruisseau de Menon, le ruisseau de Mons, le ruisseau de Saint-André, le ruisseau de Tonnetau et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Osse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Bernadets-Debat et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Andiran, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

L'Auzoue, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mascaras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Réaup-Lisse, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Courrensan », sur la commune de Courrensan, mise en service en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:32149-Gondrin-ZNIEFF1.jpg
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « forêt de Gondrin » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Gondrin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,3 %), terres arables (30,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (1,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

La ligne 952 du réseau liO relie la commune à Condom depuis Cazaubon.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Gondrin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:32149-Gondrin-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gondrin.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 703 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Modèle:… Gondrin étant en Gascogne, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon, par exemple Lasdoutz, le Pitourret, Bacara, la Couture, Betbéze, Carreron, L’Hérété, Larriou, Las Cassagnoles, Labartète, Loulié, Mounissot, Sourbès, Toumieu, le Baradé, le Pesqué, les Toupiès, la Hitte, Peyruc, la Carrérasse, la Bourdasse, la Brouquère, le Caillaou, le Coussau<ref>Modèle:Lien web.</ref>…

Histoire

Gondrin est un village très ancien, transformé en bastide au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Une halle surmontée de la maison commune est attestée par un acte de 1395. Dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le nombre de feux fiscaux s’élève à 100<ref>Récapitulatif des principaux critères d'urbanité retenus par Françoise Bériac, Petites villes ou bourgs ? Le cas du Gers, In : Jean-Pierre Poussou et Philippe Loupès (dir.) Les petites villes du Moyen Âge à nos jours, Hommages à Georges Dupeux, CNRS, Paris, 1987, Modèle:P., cité par Anaïs Comet, Villages et bourgs de la Gascogne gersoise à la fin du Moyen Âge (1250-1550) : transformations morphologiques et architecturales'. Histoire. Université Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2017 (en ligne).</ref>.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les maisons du bourg, dominées par le château féodal délabré des Pardaillan, seigneurs de Gondrin, avec ses dépendances et sa chapelle (future église paroissiale Saint-Michel) sont encore entourées d'un mur d'enceinte percé de quatre portes aux points cardinaux (dont les principales sont orientées au nord et au sud)<ref name="Mairie">Rémontons le temps… dans la rubrique Patrimoine du site officiel de la mairie de Gondrin.</ref>.

Le village doit son essor à noble dame Paule de Saint-Lary (†1651), fille de Jean de Saint-Lary (†1586), baron de Termes, et sœur de Roger II de Saint-Lary (†1646), [[Duc de Bellegarde|Modèle:1er duc]] de Bellegarde (1619), mort sans descendance<ref>Sophie Jugie. Grandeur et décadence d'une famille ducale au XVIIIe siècle : la fortune du duc d'Antin. In : Revue d'histoire moderne et contemporaine Modèle:T. no 3, juillet-septembre 1990, Modèle:Pp. (en ligne)</ref>. Elle épousa le Modèle:Date- Antoine-Arnaud de Pardaillan (1562-1624), seigneur de Gondrin au bénéfice duquel le roi Louis XIII érigera en marquisat les terres de Montespan (1612) et d'Antin (1615). Paule de Saint-Lary donna neuf fils (trois morts jeune) et quatre filles à son époux qui avait déjà eu deux filles d'un premier lit<ref>François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, Modèle:T., Paris, 1776 (en ligne), voir aussi [[Famille de Pardaillan de Gondrin#Généalogie des Pardaillan de Gondrin d'après La Chesnaye des Bois (XVIIIe s.)|Généalogie des Pardaillan de Gondrin d'après La Chesnaye des Bois (Modèle:S mini- s.)]].</ref>. Veuve en 1624, elle lui survécut Modèle:Nobr. Par son fils Roger-Hector elle est l’aïeule de Louis-Henri de Pardaillan de Gondrin (1640-1701), marquis de Montespan, dont la femme, née Françoise de Rochechouart de Mortemart dite Athénaïs, connue comme Madame de Montespan devint en 1668 favorite de Louis XIV.

Dès 1609 Paule de Saint-Landry, qualifiée de grande bâtisseuse<ref>Gondrin, présentation sur le site de la communauté de communes du Grand Armagnac</ref> entreprit la restauration et l'embellissement du château, puis racheta les lopins de terre situés entre le bourg et le hameau de Peyruc pour concrétiser plusieurs projets comme la création d'un parc orné de pièces d'eau et de bosquets, la plantation d'un potager et d'un verger et l'installation d'une volière<ref name="Mairie" />. Suivant les dispositions testamentaires consignées — selon Aubert de la Chesnaye des Bois — le Modèle:Date- par son mari, mort en 1624 à Saint-Léger et inhumé dans l'église paroissiale de Gondrin, la dame de Gondrin fit également bâtir un couvent initialement destiné, selon le vœu du fondateur, à une communauté de Capucins, mais finalement occupé par des Récollets. Paule de Saint-Lary de Bellegarde mourut le Modèle:Date- à Toulouse, dans la maison de Monsieur de Théron, rue de la Pomme, paroisse Saint-Étienne. Son corps fut amené à Gondrin le 20 ou Modèle:Date- et inhumé dans l'église auprès de la sépulture de son mari<ref>Procès-verbal de l'acte de décès de Paule de Bellegarde, dame de Gondrin sur le site de l'Association Belle-Garde Gondrin Gers (en ligne).</ref>.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle il ne reste rien des fortifications du bourg, hormis quelques éléments très remaniées de la porte nord du bourg. Seuls quelques vestiges subsistent du château, de l'ancienne église et du couvent.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Administration municipale

Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (67,5 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 300 en 2013 et 356 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 480, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 480 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 208 travaillent dans la commune, soit 44 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 78,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 8,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

116 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Gondrin au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 116 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
15 12,9 % (12,3 %)
Construction 18 15,5 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
31 26,7 % (27,7 %)
Information et communication 1 0,9 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 5 4,3 % (3,5 %)
Activités immobilières 5 4,3 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
19 16,4 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 6,9 % (12,3 %)
Autres activités de services 14 12,1 % (8,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (31 sur les 116 entreprises implantées à Gondrin), contre 27,7 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Oenopole De Gascogne, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (Modèle:Unité)
  • Boue, activités de soutien aux cultures (Modèle:Unité)
  • L'estampe Europeenne, fabrication d'autres articles en caoutchouc (Modèle:Unité)
  • Raphael Lombart, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (Modèle:Unité)
  • Realmaison, promotion immobilière de logements (Modèle:Unité)

Agriculture

La commune est dans le Ténarèze, une petite région agricole occupant le centre du département du Gers, faisant transition entre lʼAstarac “pyrénéen”, dont elle est originaire et dont elle prolonge et atténue le modelé, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 84 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 55 en 2000 puis à 49 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 40 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Portail