Lamothe-Montravel

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Méta bandeau de note

Modèle:Infobox Commune de France

Lamothe-Montravel est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

Lamothe-Montravel fait partie de l'unité urbaine de Castillon-la-Bataille<ref>Modèle:Lien web.</ref>, du canton du Pays de Montaigne et Gurson et de la communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 24226.png
Carte de Lamothe-Montravel et des communes avoisinantes.

Lamothe-Montravel est limitrophe de sept autres communes dont quatre dans le département de la Gironde. Au sud-est, Juillac est limitrophe sur moins de Modèle:Unité.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lamothe-Montravel est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Libourne » et « Modèle:N° - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24226-Lamothe-Montravel-géologie.svg
Carte géologique de Lamothe-Montravel.

Modèle:Boîte déroulante/début

Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Quaternaire
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Holocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Pléistocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Néogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Oligocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Éocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
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Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Paléocène  non présent
Mésozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité sur le territoire communal). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lamothe-Montravel.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Dordogne, la Lidoire, le ruisseau du Grand Rieu et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Dordogne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (Modèle:Unité), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle borde la commune au sud sur près de neuf kilomètres.

La Lidoire, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face à Mouliets-et-Villemartin<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle marque la limite territoriale au nord-ouest sur quatre kilomètres et demi, face à Castillon-la-Bataille.

Autre affluent de rive droite de la Dordogne, le ruisseau du Grand Rieu arrose la commune sur plus de deux kilomètres dont près de Modèle:Nobr en limite de Montcaret.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues, mise en service en 1984<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Natura 2000

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les Modèle:Nobr riveraines de la Dordogne, dont Lamothe-Montravel<ref>- FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

ZNIEFF

Lamothe-Montravel fait partie des Modèle:Nobr concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de Modèle:Nobr « La Dordogne »<ref>Modèle:Pdf - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lamothe-Montravel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Unité urbaine de Castillon-la-Bataille, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (27,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), forêts (14,4 %), zones urbanisées (11,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (10,6 %), prairies (6,2 %), terres arables (5,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Lamothe-Montravel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et la Lidoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2005<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne », couvrant Modèle:Nobr et approuvé le Modèle:Date-, pour les crues de la Dordogne<ref>Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.

Lamothe-Montravel est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24226-Lamothe-Montravel-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamothe-Montravel.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 97,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risque technologique

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe AModèle:Note situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - La Mòta de Mont Ravèl sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Histoire

Antiquité

À l'est de l'actuel bourg de Lamothe-Montravel, où sera construite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle la métairie de La Peyrière, un établissement gallo-romain avait été bâti. À cet endroit, le moindre terrassement met au jour un remblai contenant des fragments de tegulae, tegulae mammata, carreau de pilettes d'hypocauste, tesselles noires ou blanches, enduits peints, tessons de céramique commune noire ou claire, et de céramique sigillée. Ce contexte archéologique est daté du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle de notre ère par Hugues Vertet, directeur de recherches au CNRS, et ancien directeur du musée de Lezoux.

Une statuette en bronze de Mercure, nu et coiffé de son pétase, avait été trouvée en 1868 dans un jardin du bourg. La Société historique du Périgord en possède une photographie prise à cette époque.

Moyen Âge

Au centre du bourg actuel, aux environs de l'an mil, une motte castrale est élevée, d'où le toponyme : Lamothe<ref>Petite histoire de Lamothe-Montravel, en mairie.</ref>.

Appelés en l'année 1060 par Olivarius, vicomte de Castillon, des moines bénédictins de l'abbaye Saint-Florent de Saumur construisent près des murs de la ville de Castillon un prieuré fondé sous le vocable de Saint-Florent<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Dans les décennies suivantes, les moines essaiment et fondent divers prieurés, notamment à Lamothe. Ce prieuré, qui apparaît dans les textes en 1186 est fondé sous le vocable de Saint-Paixent<ref>A.D. de Maine-et-Loire, Cartulaire du prieuré Saint-Pierre de Montcaret, charte 45.</ref>. Cette paroisse naissante est alors nommée « Lamothe-Saint-Paixent ». C'est l'une des vingt-deux paroisses composant la châtellenie de Montravel.

En 1304, Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux, lors de sa visite des établissements religieux du diocèse de Périgueux passe une nuit au prieuré Saint-Paixent<ref>Société historique et archéologique du Périgord, 1889, Modèle:P..</ref>.

[[Édouard Ier d'Angleterre|Édouard {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], duc d'Aquitaine et roi d'Angleterre, avait proposé à Bertrand de Got un échange de deux de ses fiefs saintongeais contre cinq châtellenies du Périgord : Bigaroque, Belvès, Milhac, Couze et Montravel<ref>Albert Vigié, Histoire de la châtellenie de Belvès, Modèle:P..</ref>,<ref>Possessions des archevêques de Bordeaux en Périgord, SHAP, 1910, Modèle:P..</ref>. Mais le Modèle:Date-, l'archevêque est élu pape, et prend le nom de Clément V. L'échange est donc conclu avec le nouvel archevêque : Arnaud de Canteloup, et le premier hommage pour sa terre de Montravel lui est rendu devant l'église Sainte-Marie dans la ville fortifiée de Montravel le Modèle:Date- Modèle:Citation<ref>A.D. de la Gironde, G 82 (transcription faite le 19 novembre 1575). Transcriptions faites au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : G 140 et G 161.</ref>.

À cette date, Lamothe-Saint-Paixent entre dans le temporel de l'archevêché de Bordeaux qui en percevra, jusqu'à la Révolution de 1789, les nombreuses taxes sur les terres et maisons, les droits de chasse, de pêche, de boucherie<ref>A.D. de la Gironde, G 140 et G 158, Titres de Madame la comtesse de Civrac.</ref>.

Au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle est bâti au centre du bourg actuel, peut-être à l'emplacement de la motte castrale arasée, un logis seigneurial et une grosse tour cylindrique. En 1380, Jean de Grailly est nommé capitaine de Lamothe et y tient une petite garnison<ref>A.D. de la Gironde, G 142.</ref>.

Par acte notarié du Modèle:Date-, plusieurs habitants de Lamothe-Saint-Paixent, dont Peyre Beauran et Guilhem de La Tour, demandent que leurs terres soient désormais rattachées au domaine de l'archevêché, Modèle:Citation. Cela leur fut accordé par deux actes de reconnaissance, l'un daté du Modèle:Date-, l'autre du Modèle:Date-<ref>A.D. de la Gironde, G 142, Procès contre les fermiers du roi.</ref>.

Le Modèle:Date- eut lieu la bataille de Castillon qui mit fin à la guerre de Cent Ans, et dont le principal épisode se déroula dans la plaine de Colles, de nos jours territoire de la commune de Lamothe-Montravel. John Talbot, comte de Shrewsbury, qui commandait l'armée anglaise y trouva la mort. Son corps fut déposé dans la chapelle Notre-Dame-de-Colles avant d'être rapatrié en Angleterre pour être inhumé en l'abbaye de Witchurch.

Cette chapelle Notre-Dame-de-Colles, en bord de rivière et proche du gué Le Pas de Rauzan dont l'origine est peut-être une chapelle expiatoire gallo-romaine<ref>Fouilles archéologiques Michel Sirex. Musée d'Aquitaine, Bordeaux.</ref>, fut donnée par l'évêque de Périgueux, Guillaume de Nauclard, vers 1130-1138 au prieuré Saint-Florent de Castillon<ref>A.D. de Maine-et-Loire, Cartulaire du prieuré Saint-Pierre de Montcaret, chartes 29 et 30.</ref>. Elle sera démolie vers 1588 lors des guerres de religion. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il n'en restera que quelques ruines romantiques. De nos jours, une colonne commémorative marque son emplacement.

Fichier:TalbotMonumentCastillon.jpg
Colonne commémorative à l'emplacement de la chapelle Notre-Dame de Colles.

À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, en bordure de rivière et en aval du bourg, fut bâti un château de briques appelé « La Fortonie ». En 1503, son propriétaire, François de Saint-Martin, en rendit hommage devant l'archevêque de Bordeaux, Jean de Foix<ref>A.D. de la Gironde, G 172</ref>.

Époque moderne

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : la Renaissance

Le Modèle:Date- se déroula à Lamothe une revue militaire de quarante hommes d'armes et de soixante archers des Ordonnances du roi, étant sous la charge et conduite de Joachim de Chabannes, baron de Curton, sénéchal de Toulouse et d'Albigeois. Cette revue, cette « montre » comme on disait alors, avait été ordonnée par Jean de La Peyrie, gentilhomme de la maison du roi et commissaire ordinaire de ses guerres, et servit ce jour-là au paiement des gages de l'année écoulée des hommes d'armes (vingt livres par mois pour dix d'entre eux, et quinze livres pour les autres) et des archers (dix livres par mois). Le montant de la solde du capitaine, du lieutenant, de l'enseigne, du guidon et du maréchal des logis n'est pas mentionné<ref>Société historique et archéologique du Périgord</ref>.

Le Modèle:Date-, le pape Grégoire XIII autorisa la vente de biens de l'Église (aliénation du temporel du clergé) pour améliorer la situation financière du royaume de France.

À Lamothe, le prieur du prieuré Saint-Paixent fut contraint de vendre plusieurs maisons, des terres, des vignes et des bois. Les offres furent affichées à la porte de l'église de Lamothe et à celles de la cathédrale Saint-André de Bordeaux, où furent reçues les enchères. Guillaume de La Fuge, notaire à Lamothe, et son épouse Adrienne Marcon, emportèrent la majorité des lots, néanmoins ces ventes permirent au bourg embryonnaire de se développer<ref>A.D. de la Gironde, G 135 et G 152.</ref>.

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}}

}} ==== Le Modèle:Date- fut signé à Bordeaux le bail à nouveau fief par le cardinal François de Sourdis, en faveur de Léon de Calvimont, conseiller au parlement de Bordeaux, pour la possession de Modèle:Citation<ref>A.D. de la Gironde, G 140.</ref>.

En 1620, le cardinal François de Sourdis acquit de Pierre Blanc, seigneur de Goyas, la métairie de Carros, à Lamothe, qui est louée en 1626 par l'archevêché 500 livres par an. Du même acte notarié, et du même Pierre Blanc, le cardinal fait aussi l'acquisition dans le bourg de Lamothe d'Modèle:Citation<ref>A.D. de la Gironde, G 161, Terrier de Lamothe.</ref>. Ce petit château a probablement été construit dans les années 1570-1590. Son escalier de pierres dessert ses deux étages, ainsi que ceux de la grosse tour, seul bâtiment restant des constructions antérieures.

En Modèle:Date-, une petite armée protestante, narguant le pouvoir royal, s'empara de la ville fortifiée de Montravel. Le duc d'Elbeuf, à la tête de sept régiments de l'armée royale et d'une impressionnante artillerie y mit le siège. Après trois jours de canonnade, une brèche est ouverte et la ville livrée au massacre et au pillage.

Le pouvoir administratif et judiciaire de la châtellenie de Montravel, qui de tout temps s'était tenu dans cette ville, se déplaça alors dans le petit château de Lamothe acquis par l'archevêché deux ans auparavant. Dans la grosse tour, le rez-de-chaussée sert de prison, le premier étage de salle d'audience, et le second, de logement du prévôt<ref>A.D. de la Gironde, G 151</ref>.

La paroisse de Lamothe-Saint-Paixent prend alors le nom de Lamothe-Montravel.

Sur les ruines du château de briques, les Calvimont firent bâtir, au centre d'un jardin à la française, un château et sa chapelle. Honoré de Calvimont naquit en ce château le Modèle:Date-, fils de Gabriel de Calvimont, seigneur de Lamothe-Montravel, et de Catherine de Queux. Capitaine au régiment de Piémont, il épousa en 1695 Isabeau de Laporte de Puyferrat, dont sont issues trois filles. Honoré de Calvimont est décédé le Modèle:Date-, Modèle:Citation<ref>A.D. de la Dordogne, registre paroissial 5 Mi 35404, vue 240.</ref>.

Marie-Françoise de Calvimont, âgée de deux mois au décès de son père, est la seule des trois enfants parvenue à l'âge adulte. Elle épousa en l'église de Lamothe le Modèle:Date- Jacques-Henri de Durfort, comte de Civrac, fils de Claude de Durfort et de Marguerite de Carles.

Par ce mariage, le fief de Château-vieux, avec ses métairies, sa pêcherie, son moulin, ses vignes, ses terres labourables et son revenu rentier sur une cinquantaine de maisons et sur deux cent sept journaux de terres, passa à la famille de Durfort<ref>A.D. de la Gironde, G 142, no 9, Dénombrements du 20 septembre 1626 et du 15 avril 1673.</ref>.

Jean-Laurent de Durfort, né à Château-vieux le Modèle:Date-, duc de Lorges, marquis de Civrac, comte de Blaignac, seigneur de Château-vieux, colonel au régiment des Grenadiers de France, émigra en 1791 avec son épouse et leurs deux fils. Tous ses biens furent saisis et vendus au profit de la Nation. Les terres et château de Civrac, de Blaignac et de Château-vieux furent offerts à la meilleure enchère. Le 17 messidor an II (Modèle:Date-) Château-vieux fut acquis pour la somme de Modèle:Unité par Pierre Maumoy<ref name="ReferenceA">A.D. de la Dordogne, 1 Mi 421, folio 356.</ref>.

Le petit château des archevêques avait fait l'objet d'une profonde restauration en 1784. Après la réfection de la toiture, quatre logements avaient été créés pour les louer. Une écurie avait été bâtie, ainsi qu'un couvert au-dessus de l'escalier de la cave<ref>A.D. de la Gironde, G 166.</ref>. Saisis à la Révolution, comme tous les biens d'Église, ce petit château est acquis en Modèle:Date-, pour la somme de Modèle:Unité par Nicolas Ballateau de Lafeuillade, avocat et ancien juge de Montravel, qui sera maire de Lamothe-Montravel de 1801 à 1817<ref name="ReferenceA"/>.

Ce petit château est de nos jours la mairie de Lamothe-Montravel.

Époque contemporaine

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

L'église de Lamothe, cette église du prieuré Saint-Paixent, qui avait tant souffert des guerres de religion et de la tourmente révolutionnaire, fut en 1858, agrandie et reconstruite dans le style néogothique<ref>Pose de la première pierre de l'agrandissement de l'église de Lamothe : 16 août 1858.</ref>.

Le Château-vieux bâti par les Calvimont est démoli vers 1880, pour y construire à son emplacement une très belle maison bordelaise. À ses côtés, on peut voir encore des bâtiments annexes de l'ancien domaine, et au bord de la rivière les ruines d'un four qui avait servi de tuilerie aux générations de Calvimont du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Plus récemment, pendant la Seconde Guerre mondiale, Lamothe-Montravel était en zone libre, le long de la ligne de démarcation.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Lamothe-Montravel, appelée Lamothe dans un premier temps, a été le chef-lieu du canton de Lamothe qui dépendait du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date-) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Vélines dépendant de l'arrondissement de Bergerac<ref name=Cassini/>.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du Modèle:Date-, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.

Intercommunalité

Fin 2006, Lamothe-Montravel rejoint la communauté de communes de Montaigne en Montravel. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services publics

Justice

Dans le domaine judiciaire, Lamothe-Montravel relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Les habitants de Lamothe-Montravel se nomment les Lamothais<ref>Fiche commune Lamothe-Montravel, Union des maires de la Dordogne, consultée le 23 novembre 2016.</ref>.

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête locale : premier week-end de mai.
  • Brocante/vide-greniers : le Modèle:Date-.
  • Fête de la rivière: fin juillet

Économie

Emploi

En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Lamothe-Montravel (24226) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 41,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (80) a augmenté par rapport à 2010 (53) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,6 %.

Établissements

Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont soixante-sept au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans la construction, seize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quinze dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Lamothe-Montravel (24226) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.</ref>.

Entreprises

Dans les services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Les jardins d'Iroise de Lamothe » (hébergement social pour personnes âgées) implantée à Lamothe-Montravel se classe en Modèle:43e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec Modèle:Unité<ref>« Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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}}, inscrit en 1948 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 6 septembre 2021.</ref> (ancienne mairie).

  • Monument Talbot : colonne commémorative et plan du site de la bataille de Castillon (fin de la guerre de Cent Ans).
  • Château Lapoyade : bâtiment de style éclectique construit de 1880 à 1895 par Louis Lapoyade-Deschamps (actuelle maison de retraite).

Personnalités liées à la commune

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}}, né à Lamothe-Montravel.

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Portail