Laurence Parisot

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Laurence Parisot, née le Modèle:Date de naissance à Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône), est une dirigeante d'entreprise française.

Présidente-directrice générale de l'institut de sondage IFOP, entre 1990 et 2007, dont elle restera vice-présidente et actionnaire majoritaire jusqu'en 2016, elle devient en 2005 présidente du Mouvement des entreprises de France (Medef), principale organisation patronale française. Après un premier mandat de cinq ans, elle est réélue à ce poste en Modèle:Date- et quitte ses fonctions à la fin de ce second mandat, en 2013. Elle est vice-présidente de La Fondation droit animal, éthique et sciences depuis 2020.

Biographie

Jeunesse et études

Laurence Parisot naît dans une famille aisée. Son grand-père, Jacques Parisot, est fondateur de société et diplômé de l'école Boulle<ref>historique</ref>. Son père a dirigé, à la suite de son propre père, ce qui devient en 2002 le groupe Parisot, entreprise de meubles, société non cotée en Bourse, implantée à Saint-Loup-sur-Semouse et à Corbenay (Haute-Saône), à Mattaincourt (Vosges)<ref>Mattaincourt - MVM en redressement judiciaire, lorraine.france3.fr, 7 novembre 2012</ref>, ainsi qu'en Roumanie<ref>Page du groupe.</ref>. Ses parents figuraient parmi les deux cents familles les plus riches de France<ref>[1] Éric Verhaeghe, ancien membre du MEDEF, auteur du livre Au cœur du Medef, dans l'émission Ménard sans interdit sur iTélé le 6 octobre 2011</ref>.

Laurence Parisot suit ses étude à l'Institut d'études politiques de Paris, dont elle est diplômée (section Politique économique et sociale) en 1981<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Elle obtient l’année suivante un DEA d'études politiques ainsi qu'une maîtrise de droit public à l’université de Nancy II<ref>Biographie de Laurence Parisot, sur le site de France 5.</ref>.

Carrière professionnelle

Collaboratrice d’Alain Lancelot, président du CEVIPOF (Centre d'études de la vie politique française) de 1983 à 1985<ref>Biographie de Laurence Parisot sur le site du Sénat, novembre 2009</ref>, elle entre en 1985 à l'institut de sondages Louis-Harris. L'année suivante, elle en devient directrice générale<ref>Bio Express : Laurence Parisot, L'Express, 29 août 2006.</ref>.

En 1990, elle prend la direction de l'institut de sondages IFOP, dont elle détiendra également 75 % du capital<ref name="LesEchos_2005">Medef : Laurence Parisot aux commandes, les Échos, 2005.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2007, elle laisse la direction pour la vice-présidence, qu'elle conservera jusqu'en novembre 2016, date à laquelle elle se désengagera définitivement de l'institut et revendra ses parts à la famille Dentressangle.

Jusqu'en 2006, Laurence Parisot a également dirigé la société d'ameublement Optimum<ref>Optimum quitte le giron de la famille Parisot, la Dépêche, 21 mars 2006.</ref> qu'elle a cédée au fonds de pension luxembourgeois GMS<ref>Parisot cède Optimum à un fond luxembourgeois, le Moniteur, 16 mars 2006.</ref>.

Elle est membre du club Le Siècle ainsi que du groupe Bilderberg<ref>« Dîners du Siècle : les femmes s’invitent à la table du pouvoir », dans Madame Figaro, 15 mai 2011 (source)</ref>. Selon plusieurs sites appartenant au courant altermondialiste, Laurence Parisot aurait été invitée aux réunions du groupe Bilderberg, à Istanbul, les Modèle:Date-Modèle:Date-, à Washington, le Modèle:Date- et en Grèce en 2009<ref>Tract Bilderberg.</ref>,<ref>Bilderberg 09 : La liste non officielle des membres de la réunion secrète de 2009.</ref>.

Au Medef

En 2002, elle entre au conseil exécutif du MEDEF<ref>Biographie de Laurence Parisot sur le site de Larousse</ref>.

Premier mandat de présidente (2005-2010)

À la fin de la présidence d'Ernest-Antoine Seillière, Laurence Parisot est donnée favorite pour sa succession<ref>Parisot, super-favorite pour la présidence du Medef, le Parisien, 31 mai 2005.</ref> : elle reçoit le soutien de plusieurs fédérations professionnelles du Medef comme la banque, les assurances, la santé et le bâtiment, ainsi que celui d'Ernest-Antoine Seillière<ref name="RFI_0705">Une patronne pour les patrons, RFI, juillet 2005</ref>.

Opposée à Yvon Jacob, Hugues-Arnaud Mayer et Francis Mer<ref>Laurence Parisot - Une femme à poigne pour les patrons, Le Point, 7 juillet 2005.</ref>, elle est élue le Modèle:Date dès le premier tour de scrutin à la majorité absolue avec 271 voix, lors de l'assemblée générale extraordinaire du MEDEF, devançant ainsi Jacob (150 voix) et Mayer (85 voix)<ref>Laurence Parisot élue présidente du Medef, la Croix, 5 juillet 2005</ref>

Après quelques déclarations iconoclastes (« La liberté de penser s'arrête là où commence le code du travail » <ref>Parisot condamnée aux prud'hommes, actualité Mariane]</ref> ou « La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? »<ref>« La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? »</ref>,<ref>Medef : «L'amour est précaire. Le travail doit l'être aussi» </ref>,<ref>« La vie, la santé, l’amour sont précaires. Pourquoi le travail ne le serait-il pas ? »</ref>), elle a voulu apaiser le débat en déclarant vouloir prouver que « libéral ne veut pas dire antisocial ». Elle a également déclaré qu'elle voulait que sa présidence soit sous le signe de la lutte contre le chômage et placer « l'entreprise au cœur de la société française »<ref>Discours prononcé lors de l'Assemblée générale 2005 du MEDEF</ref> pour en faire « le moteur de l'ascension sociale »<ref>ibid.</ref>.

Depuis son accession à la tête du mouvement patronal, Laurence Parisot s'est ainsi prononcée pour une « modernisation » du code du travail<ref>Une patronne pour les patrons, op.cit.</ref> et l'abandon de la durée légale du temps de travail<ref>Laurence Parisot propose de supprimer la durée légale du travail, Le Point, 21 novembre 2007</ref>. Elle est également régulièrement intervenue sur la question de la fiscalité des entreprises<ref>Laurence Parisot lance une offensive sur la fiscalité, Le Point, 16 novembre 2010</ref> et sur la réforme du système de retraites, soutenant la mise en place de la retraite par capitalisation<ref>Le Medef rappelle les «vertus» de la capitalisation, le Figaro, 18 mai 2010</ref>. Aspirant à moderniser l’image du MEDEF, elle mène la campagne<ref>L’entreprise, c’est la vie, L'université d'été du MEDEF à l'heure des réformes, la Voix Eco, 24 août 2007.</ref> affirmant une volonté de favoriser la diversité en entreprise et de renforcer les liens entre patronat et société civile<ref>Laurence Parisot tente d'imposer son style à l'assemblée générale du Medef, le Monde, 17 janvier 2006].</ref>.

Second mandat de présidente (2010-2013)

Fichier:Laurence Parisot MEDEF 2009.jpg
Laurence Parisot à l'Assemblée générale du Medef, au théâtre Mogador, en février 2009.
Fichier:Dmitry Medvedev in France 2 March 2010-7.jpeg
Le président russe Dmitri Medvedev avec Laurence Parisot le 2 mars 2012.

Seule candidate à sa succession, Laurence Parisot est réélue par l'Assemblée générale du Medef pour un mandat de trois ans, avec 93,85 % des voix<ref name="LeMonde_010710">Laurence Parisot réélue à la tête du Medef, le Monde, Modèle:1er juillet 2010.</ref>. Lors de son intronisation, la présidente du Medef met l'accent sur la « compétitivité équitable »<ref>Réélue pour trois ans, Laurence Parisot défendra une « compétitivité équitable », 2 juillet 2010</ref> et souligne la nécessité de réduire les déficits et développer l'entreprenariat en France<ref name="LeMonde_010710"/>.

À l’hiver 2012-2013, elle participe aux négociations avec les syndicats de salariés, qui aboutissent à un accord début 2013, portant notamment sur davantage de flexibilité du travail pour les chefs d’entreprise et une couverture sociale étendue pour les salariés<ref>Marc Landré, « Syndicats et patronat sont enfin parvenus à un accord », lefigaro.fr, 11 janvier 2013.</ref>.

En Modèle:Date, elle se porte candidate à un troisième mandat, bien que les statuts du Medef ne le permettent pas<ref>Le Medef refuse un troisième mandat à Laurence Parisot, lemonde, 28 mars 2013</ref> : elle demande pour cela la saisine du comité statutaire du syndicat patronal pour étudier une réforme de ces statuts visant à harmoniser la durée des mandats à la tête de l'organisation, deux mandats étant actuellement possibles (le premier de cinq ans, le second de trois) ; elle souhaite ainsi établir deux mandats de cinq ans, ce qui prolongerait alors, si cela devait se faire, le sien jusqu’en 2015<ref>« Laurence Parisot "heureuse" dans son job », in latribune.fr, 15 janvier 2013.</ref>.

Le Modèle:Date, le Medef rejette à une voix près la proposition de changement des statuts<ref>[2]</ref>. Pierre Gattaz lui succède le Modèle:Date suivant. Lors du dernier congrès du Medef, Pierre Gattaz célèbre les Modèle:Citation de son mandat. Est notamment porté à son crédit son rôle pendant la crise économique mondiale, le dialogue social qu'elle a introduit dans l'organisation patronale, et ses idées devenues lois, comme la rupture conventionnelle ou la représentativité syndicale afin de rendre plus légitimes les représentants des salariés. Elle a aussi été la première à évoquer un report de l'âge de départ à la retraite pour réduire les déficits, a défendu la compétitivité des entreprises et a mis au point le nouveau code Afep-Medef sur la rémunération des patrons. En sus de critiques misogynes auxquelles elle a dit avoir dû faire face dans un monde entrepreneurial essentiellement masculin<ref>Modèle:Article ; Modèle:Article.</ref>, il lui est toutefois reproché son Modèle:Citation et Modèle:Citation ; sa tentative de modifier les statuts à la veille du scrutin a également été critiquée<ref>Marc Landré, « Après huit dans de règne sans partage, Laurence Parisot laisse derrière elle un bilan mitigé, mais aura marqué l'histoire du Medef », in Le Figaro, jeudi 4 juillet 2013, Modèle:P..</ref>.

Autres engagements

Début 2014, Laurence Parisot soutient les centristes aux élections européennes, lors d'un meeting à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Elle déclare : « Sortir de l'euro serait une sortie de route mortelle »<ref>Le Monde, mardi 20 mai 2014, « Parisot-Gattaz : deux façons de défendre les patrons », page 12.</ref>.

En 2016, elle salue le travail de François Hollande dont elle estime qu'il a développé une approche « efficace » pour le pays<ref>"Il n’y a aucune idée nouvelle à droite sur l’approche économique et sociale" : Laurence Parisot pilonne les candidats de la droite, mais salue le travail de François Hollande, tempsreel.nouvelobs.com, 19/09/2016</ref>.

Le Modèle:Date-, selon l'hebdomadaire Marianne, Laurence Parisot se disait prête à occuper le poste de Premier ministre en cas de victoire d'Emmanuel Macron à l'issue du second tour de l'élection présidentielle. En 2006, Emmanuel Macron avait déjà été approché par Laurence Parisot qui souhaitait en faire le directeur général du Medef<ref name="Marianne">Quel Premier ministre pour Macron ? Laurence Parisot se dit disponible, Marianne, 27 avril 2017.</ref>. Mais elle dément ces informations<ref name="Figaro">Laurence Parisot dément se tenir «prête» pour Matignon en cas de victoire d'Emmanuel Macron, Le Figaro, 27 avril 2017.</ref>. À la suite de cette déclaration, Richard Ferrand, secrétaire général d'En marche, affirme : « Nous menons campagne pour rassembler et servir la France, d'autres rêvent à leur carrière. Dérisoire, inconvenant et vaniteux »<ref name="Figaro"/>.

En 2022, Laurence Parisot défend la sauvegarde d'arbres qui devaient être abattus au pied de la tour Eiffel. Elle réussit à rassembler plus de 90 000 signatures contre ce projet<ref>Modèle:Lien web</ref>

Défense de la cause animale

En 2017, elle demande publiquement au ministre de la transition écologique et solidaire de mettre fin à la chasse à courre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2018, au cours d'un débat à la Sorbonne, elle assimile l'exploitation animale et en particulier l'élevage à de l'esclavagisme. Elle se dit ne pas être totalement végane, mais le devenir tous les jours un peu plus et se demande si l'humanité ne devrait pas aller vers une nourriture purement végane. Elle salue l'association L214 qui a fait connaître la réalité du traitement infligé aux animaux dans des laboratoires et des abattoirs en France et souhaite que les entreprises agroalimentaires fassent évoluer leurs modes de production, qu'elle juge aujourd'hui inacceptables<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2019, elle rejoint le conseil d'administration de La Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA), dont elle salue la « démarche rigoureuse<ref>Modèle:Lien web</ref> », basée sur la science et le droit. D'abord désignée secrétaire générale, elle est élue vice-présidente en 2020 et participe notamment à la modération des colloques de LFDA.

Autres fonctions et distinctions

Mandats sociaux

Depuis 2006, Laurence Parisot est membre du conseil d'administration de BNP Paribas<ref>Gouvernement d'Entreprise | Banque BNP Paribas.</ref> et de celui de la COFACE<ref>Conseil d'administration sur le site de la COFACE.</ref>.

Depuis 2014, elle est membre du conseil d'administration d'EDF<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Elle appartenait également au conseil de surveillance de Michelin<ref>Michelin : Laurence Parisot reconduite au Conseil., Boursorama, 10 mai 2010.</ref>. Elle a été remplacée par Monique Leroux en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Elle est également membre du conseil économique, social et environnemental, où son absentéisme a été remarqué et dont elle a même failli être radiée<ref>https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-16-septembre-2017 "CESE : la chambre inutile de la République", Secrets d’info, Jacques Monin, France-inter 16 septembre 2017</ref>.

Le Modèle:Date-, elle devient présidente de la banque américaine Citi en France<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Distinctions

Controverses

Plainte contre les dirigeants de l'UIMM

Dans le cadre de l'affaire de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) fin 2007, Laurence Parisot porte plainte le Modèle:Date pour diffamation contre Daniel Dewavrin et Denis Gautier-Sauvagnac, dirigeants de l'UIMM<ref>Parisot porte plainte pour diffamation contre Denis Gautier-Sauvagnac, Libération, 8 mars 2008.</ref>. Cette plainte s'inscrirait dans le cadre d'une lutte d'influence pour la direction du syndicalisme patronal, entre les leaders historiques que sont les représentants des entreprises industrielles et ceux issus d'entreprises du secteur tertiaireModèle:Refnec. En Modèle:Date-, la Cour d'Appel de Paris déboute Laurence Parisot de sa plainte<ref name="Figaro_100310">Parisot à nouveau déboutée de sa plainte en diffamation, le Figaro, 10 mars 2010</ref> retenant la « bonne foi » de Daniel Dewavrin et jugeant les faits insuffisants à prouver le grief<ref name="Figaro_100310"/>.

Affaire Optimum

Dans son livre Allez-y, on vous couvre ! Un barbouze au service de l'État (2008, Éditions du Panama), Patrick Baptendier affirme qu'à l'époque où Laurence Parisot dirigeait l'entreprise Optimum, elle aurait mandaté le cabinet anglo-saxon d'intelligence économique Kroll pour surveiller les abords de la société et enquêter sur le passé de certains salariés<ref>Patrick Baptendier, Allez-y, on vous couvre ! Un barbouze au service de l'État, éditions du Panama, 2008</ref>. Si Laurence Parisot confirme avoir mandaté ce cabinet pour éclaircir des affaires de vols jamais élucidés, elle conteste, de même que le cabinet, toute enquête sur la vie privée des salariés<ref>Odile Plichon et François Vignolle, « Laurence Parisot accusée d'avoir fait espionner ses salariés », Le Parisien, 27 mai 2008</ref>.

Publications

Dans le cadre de la campagne présidentielle de 2007, Laurence Parisot a rédigé un ouvrage de propositions économiques et sociales, intitulé Besoin d'Air, publié aux éditions du Seuil et destiné à alimenter la réflexion des candidats<ref>Laurence Parisot interpelle les candidats, Marianne, 25 janvier 2007.</ref>.

En Modèle:Date-, elle publie chez Calmann-Levy Un piège bleu Marine, livre qu'elle cosigne avec Rose Lapresle<ref>Qui est vraiment la conseillère de Laurence Parisot?, Corinne Lhaïk et Marie Huret, lexpress.fr, le 22 janvier 2009</ref> et dans lequel elle critique le programme économique du Front national<ref>Pour Parisot, Marine Le Pen est un « danger » pour la France, 20 minutes, 13 septembre 2011</ref>. Marine Le Pen, après lui avoir proposé plusieurs débats publics refusés par Laurence Parisot, dans une lettre destinée aux 45 membres du comité exécutif du Medef, se déclare indignée par les propos de celle-ci, argumentant que cette prise de position politique serait contradictoire avec les principes du Medef, notamment le refus d'ingérence dans le débat électoral<ref>Marine Le Pen réplique à Laurence Parisot, francesoir.fr, 17 octobre 2011</ref>.

En juin 2007, elle préface le livre de Paule Boffa-Comby Promouvoir les talents.

Divers

En Modèle:Date-, elle a fait l'objet d'une biographie, Laurence Parisot, une femme en guerre, parue aux Éditions de l'Archipel, sous la plume de la journaliste Fanny Guinochet<ref>Laurence Parisot. Une femme en guerre par Fanny Guinochet, Alternatives Economiques, septembre 2008.</ref>.

Laurence Parisot est le sujet de planches dessinées, sous la plume d'Isa, publiées dans la revue Fluide glacial, dont notamment La Vie sentimentale de Laurence P., qui fait l'objet d'un album<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Art

Collectionneuse de tableaux, Laurence Parisot est passionnée par l'art surréaliste<ref>Laurence Parisot : le style dada, Le Point, 17 janvier 2007</ref>. En 2008, elle a ainsi acheté à l'artiste QUIK, spécialisé dans l'art du graffiti, une toile qui trône au-dessus de son bureau<ref>L'Express</ref>.

Notes et références

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Liens externes

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