Le Parisien

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Le Parisien est un journal quotidien régional français fondé en 1944 et diffusé en Île-de-France et dans l’Oise. Il a également une édition nationale diffusée sur le reste du territoire français sous le titre Aujourd'hui en France.

L'édition nationale Aujourd'hui en France est l’un des principaux quotidiens nationaux payants d'information générale en France. Grâce à ses dix éditions départementales, Le Parisien est le premier quotidien d'information régionale à Paris, en Île-de-France et dans l'Oise.

La ligne éditoriale est généraliste, s'intéressant particulièrement aux faits divers et à l'actualité locale. Depuis 2015, Le Parisien est détenu par le groupe LVMH appartenant au milliardaire français Bernard Arnault. Comme d'autres journaux, il bénéficie de subventions de la part de l'État français. Depuis plusieurs années, c'est le journal le plus subventionné de France <ref>Modèle:Lien web</ref>.

Historique

Le Parisien libéré voit le jour le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le premier titre barrant la une est : Modèle:Citation (la ville sera effectivement libérée trois jours plus tard). Fondé sous forme de coopérative ouvrière par Émilien Amaury, avec trois compagnons de Résistance nommés administrateurs, Robert Buron, Jean Helleu, Félix Garras et Claude Bellanger comme directeur général, le journal prend la place du Petit Parisien, interdit pour avoir continué à paraître pendant l'Occupation et est attribué tacitement à l’OCM. En 1947, le journal devient une société anonyme et crée un prix littéraire, le grand prix Vérité, qui récompense un récit vécu ou un reportage<ref name="Tonnet-Lacroix2003">Modèle:Ouvrage</ref>.

Guerre d'Algérie

Modèle:Article détaillé Le quotidien, très lu dans les banlieues rouges grâce à la création d'éditions locales en 1960, s'affirme apolitique mais pendant la Guerre d'Algérie prend Modèle:Cita<ref name="marc">"Médias et Journalistes de la République" par Marc Martin aux Éditions Odile Jacob en 1997 [1]</ref>. Il s'agit d'une des publications qui relaient la Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.

Le Parisien libéré s'engage dans une série de procédés rhétoriques pour s'opposer à l'indépendance de l'Algérie<ref name=":0">Modèle:Article</ref>,<ref name=":2">Modèle:Article</ref>. Par exemple, il dresse dès cette époque des figures stéréotypées des musulmans, en les présentant comme des Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref> et essaie d'abuser de faits divers pour provoquer une position hostile envers l'indépendance de l'Algérie<ref>Modèle:Article</ref>.

Il partage alors quasiment exclusivement les positions des opposants à l'indépendance<ref name=":1">Modèle:Article</ref>, comme les déclarations de Georges Bidault<ref name=":0" /> et participe à une campagne médiatique de Modèle:Citation de la Guerre d'Algérie<ref name=":2" />,<ref name=":1" />. De plus, alors que les autres publications de presse de droite, comme Le Figaro ou l'Aurore, aussi opposées à l'indépendance de l'Algérie, commencent à partir de 1956 à parler des tabous autour de la Guerre d'Algérie, Le Parisien ne les mentionne jamais<ref name=":0" />.

Enfin, lors du Massacre du 17 octobre 1961, où des manifestants algériens sont noyés dans la Seine par Maurice Papon, Le Parisien défend l'action du préfet et rejette la faute sur Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref> en dénonçant Paris Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Perte de vitesse

Le fondateur, Émilien Amaury, dirige le journal jusqu'à sa mort en 1977. La crise de 1970 est dramatique pour le quotidien qui perd la moitié de son lectorat. Une grève de plusieurs mois du Syndicat du livre CGT empêche toute publication du Parisien libéré<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Le développement d'autres conflits syndicaux, notamment entre 1975 et 1977 (avec pour conséquence une baisse de Modèle:Nombre en 1975 à 303 000 en 1977<ref>Le Parisien en un clin d’œil, Direction de la communication du Parisien, 2003, Modèle:P.</ref>), font que le titre ne parviendra jamais à regagner totalement son lectorat<ref>Modèle:Article</ref>. Parallèlement, le journal poursuit sa politique stratégique de régionalisation en Île-de-France en lançant ses éditions à partir de juin 1975 dans ses deux nouvelles imprimeries offset de Chartres puis de Saint-Ouen où la rédaction va s'installer<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. L'imprimerie de Saint-Ouen ferme dans la nuit du 2 au Modèle:Date-, la fabrication des éditions franciliennes étant reportée chez un prestataire à Mitry-Mory<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:LeParisien 1 jnl.jpg
Les locaux du Parisien, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) en mars 2007.

Au décès d'Émilien Amaury, un conflit juridique opposant ses enfants ayant droit dura six ans. Finalement, en 1983 sa fille Francine Amaury reprend les magazines Marie-France et Point de Vue tandis que le journal est repris par son fils Philippe Amaury<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sous son impulsion, Le Parisien libéré est rebaptisé Le Parisien le Modèle:Date, avec le lancement d'une nouvelle formule<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>, imprimée en partie en couleurs<ref name="La passion de la presse quotidienne">Modèle:Lien web.</ref>. Une édition nationale, baptisée Aujourd'hui en France, est lancée en 1994<ref name="La passion de la presse quotidienne"/>. Le journal paraît également le dimanche à partir de 1999 pour Le Parisien et 2004 pour Aujourd'hui en France<ref name="La passion de la presse quotidienne"/>.

En Modèle:Date-, au décès de Philippe Amaury, sa veuve, Marie-Odile Amaury, prend sa succession à la présidence du groupe.

À partir de 2008, un supplément intitulé La Parisienne fondé par Christine Goguet parait le premier samedi de chaque mois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, un plan social prévoyant le départ volontaire de vingt-cinq journalistes de l'édition nationale et dix postes administratifs est annoncé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après deux jours de grève, le plan est repoussé sine die et la Société des journalistes du quotidien, en sommeil depuis douze ans, est relancée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, Le Parisien inaugure une nouvelle formule, toute en couleur. Avec un prix de vente relevé de 0,95 à Modèle:Unité pour Le Parisien et maintenu à Modèle:Unité pour Aujourd'hui en France, le quotidien est désormais divisé en trois séquences : « L'actu » (informations générales), « Le sport » et « L'air du temps » (société, culture, médias)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le prix de vente du Parisien passe à Modèle:Unité en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, Le Parisien Magazine, diffusé chaque vendredi pour un euro de plus avec Le Parisien et Aujourd'hui en France, est lancé. Présenté comme le Modèle:Citation du quotidien en Modèle:Citation, il entend proposer Modèle:Citation et de nombreuses photos<ref name="Le Parisien Magazine dans les kiosques">Modèle:Lien web.</ref>.

Il était le dernier quotidien national appartenant à un éditeur traditionnel et non à un industriel, le groupe Amaury<ref>Modèle:Article</ref>. En Modèle:Date- le groupe LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton indique vouloir racheter Le Parisien-Aujourd'hui en France<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette acquisition est finalisée en Modèle:Date- pour un montant non public mais qui serait légèrement supérieur à 50 millions d'euros<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, l’entreprise est confiée à Jean Hornain. Le Modèle:Date-, il annonce que le journal donnera sa priorité au Web plutôt qu'au papier à partir du Modèle:Date-. L'objectif est d'apporter Modèle:Unité abonnés en deux ans, principalement des jeunes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, une nouvelle formule du journal est lancée, privilégiant notamment « la proximité et les services »<ref>Modèle:Article.</ref>.

En Modèle:Date-, les rédactions nationales du Parisien et du Parisien Magazine déménagent dans un nouveau siège dans le Modèle:15e arrondissement de Paris<ref>Modèle:Article.</ref>.

En Modèle:Date-, le Parisien Dimanche fait son apparition. Parmi les nouveautés, de longs récits et des tribunes sont introduits<ref>Modèle:Article.</ref>.

En Modèle:Date-, le groupe LVMH, leader mondial du luxe, verse 83 millions d'euros au Parisien pour « éponger ses pertes et lui permettre d'investir »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sur la période mars-avril 2020, la perte du chiffre d'affaires est évaluée à 36 millions d'euros<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La crise liée à la pandémie de Covid-19 engendre des répercussions sur la future organisation du journal puisque les éditions locales du journal devraient être impactés dans un souci d'économies<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Fin septembre 2020, la direction du Parisien précise son projet de réorganisation des pages locales. Il n'y aura pas de suppression mais un regroupement des pages locales au sein d'un cahier régional unifié. L'objectif de la direction, baptisé #LeParisien200000, est d'atteindre 200.000 abonnés numériques au cours des cinq prochaines années, soit une multiplication par cinq par rapport à 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Cet objectif sera mené par Jean-Michel Salvator, qui remplace le 1er octobre 2020 Stéphane Albouy au poste de directeur des rédactions<ref>Modèle:Lien web</ref>. Par ailleurs, un plan de départ volontaire est engagé pour réduire les effectifs d'une trentaine de personnes et ainsi dégager une économie d'une dizaine de millions d'euros<ref>Modèle:Article.</ref>.

En août 2022, le groupe LVMH, propriétaire du journal, comble à nouveau les pertes du quotidien, en injectant 65 millions d'euros au capital social<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le 31 août, le journal annonce le remplacement de Jean-Michel Salvator par Nicolas Charbonneau, directeur délégué des rédactions, avec effet au lendemain<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fin septembre 2022, le Parisien revendique plus de 75 000 abonnés numériques<ref>Modèle:Lien web</ref>. En Modèle:Date, Le Parisien est critiqué pour avoir relayé aussitôt le récit de la police dans le cadre de la mort de Nahel Merzouk, ce sans aucune prudence journalistique<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Activité, rentabilité, effectif

Données financières<ref>Modèle:Lien web.</ref>
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Chiffre d'affaires en millions d'euros 211 211 206 196 185 nc
Résultat net en millions d'euros (perte) - 13;3 - 2,9 -20,9 - 13,5 - 24 nc
Effectif moyen annuel 522 540 575 496 503 nc

Identité visuelle (logo)

Organisation

Directeurs

Directeurs des rédactions

Siège

Ligne éditoriale

Modèle:Citation bloc

Fichier:LeParisien 2 jnl.jpg
L'imprimerie du Parisien, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) en mars 2007.

Dès sa création en 1944 Le Parisien libéré se présente comme un « journal populaire de qualité ». Du temps d’Émilien Amaury, jusqu'au milieu des années 1970, Le Parisien est marqué à droite et gaulliste<ref name="Mediapart">Modèle:Lien web.</ref>.

Devenu Le Parisien en 1986, le journal est transformé par Philippe Amaury, qui se base sur les méthodes du marketing. Modèle:Refnec Pour se défaire de son passé gaulliste<ref name="Mediapart"/> et se différencier des journaux d'opinion, le journal Le Parisien supprime son éditorial en affirmant ne plus vouloir défendre ses idées, mais celles de ses lecteurs. Les sujets sur la vie quotidienne et les préoccupations de ses lecteurs mais surtout sur les faits divers constituant le cœur du Parisien, prennent l'avantage sur les pages internationales. Il se situe aujourd'hui politiquement au centre<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le journaliste Edwy Plenel juge que Le Parisien relève Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien archive.</ref>. Pour Gloria Awad, Le Parisien adopte plutôt une approche Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

L'association de critique des médias Acrimed (classée à la gauche radicale), estime que Le Parisien se montre particulièrement hostile au mouvement des Gilets jaunes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Parisien adopterait en effet une lecture particulièrement dépréciative des grèves et mouvements sociaux<ref>Modèle:Citation Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date- marque le début d'un partenariat entre RTL et Le Parisien - Aujourd'hui en France pour le traitement éditorial du sport<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Éditions locales

En 1985, quatre éditions départementales sont lancées, notamment à Paris<ref name="La passion de la presse quotidienne"/>.

En 2012, Le Parisien propose dix éditions locales, de 8 à 12 pages en cahier central, pour chacun des départements de la région Île-de-France (avec deux éditions pour la Seine-et-Marne) et celui de l'Oise<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref> :

L'édition nationale, Aujourd'hui en France, est diffusée sur le reste du territoire et à l'étranger.

Diffusion

Toutes éditions confondues (Aujourd'hui en France inclus), le titre frise en 2009 les Modèle:Nombre quotidiens en semaine et les Modèle:Unité le dimanche. Dans le secteur de la presse payante grand public, il s'impose ainsi comme le premier quotidien national d'information générale et le premier quotidien parisien<ref>Modèle:Lien web Modèle:P.4-6</ref>. En 2019, toutes éditions confondues (Aujourd'hui en France inclus), la diffusion totale est passée à 287 400 exemplaires en moyenne<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2012, Le Parisien revendique une diffusion de Modèle:Unité, soit Modèle:Unité de lecteurs chaque jour<ref name="Le Parisien Magazine dans les kiosques"/>.

Comme la plupart des titres de presse français en crise, le journal Aujourd’hui en France-Le Parisien touche de fortes subventions de l’État. Ainsi, il a perçu 3,16 millions d'euros d’aide du fonds d'aide à la modernisation de la presse de 2003 à 2010<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il est le journal le plus subventionné en 2010 avec 19,8 millions d'euros (16,8 millions pour Aujourd'hui en France et 3 millions pour Le Parisien)<ref>Subventions : la presse passe au contrôle, Vincent Truffy, mediapart.fr, 16 avril 2012</ref>. En 2012, la subvention est de 9,3 millions pour Aujourd'hui en France et 4,5 millions pour Le Parisien<ref>Presse subventionnée - Les 20 journaux les plus aidés par l’État, droit-finances.commentcamarche.net, décembre 2013</ref>.

En 2002, les hommes représentent 57 % du lectorat pour Le Parisien, les femmes 43 % (40 % pour Aujourd’hui en France), soit une répartition proche de la moyenne de la presse quotidienne nationale (62 % de lecteurs et 38 % de lectrices)<ref>Modèle:Article</ref>.

Au Modèle:Date-Modèle:Quand, le numéro de publication est 22533.

Diffusion du quotidien Le Parisien<ref>Modèle:Lien web</ref>
Année Tirage Diffusion payée (France uniquement) Diffusion payée (total) Diffusion (gratuits inclus)
2016 234 160 205 486 205 486 208 978
2017 227 479 204 009 204 009 207 386
2018 211 196 193 428 193 428 196 226
2019 206 310 184 555 184 555 187 118
2020 178 603 180 854 180 854 182 925
2021 169 861 182 291 182 291 184 176
Diffusion du quotidien Aujourd'hui en France<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>
Année Tirage Diffusion payée (France uniquement) Diffusion payée (total) Diffusion (gratuits inclus)
2011 268 434 169 999 172 965 173 984
2012 285 771 179 353 182 288 183 165
2013 255 237 160 908 163 590 164 600
2014 237 484 148 220 150 742 151 524
2015 222 826 138 999 141 097 141 697
2016 211 468 131 359 133 354 133 919
2017 196 853 120 180 121 927 122 456
2018 172 367 108 025 109 458 109 949
2019 152 620 98 694 99 902 100 380
2020 126 804 84 072 84 582 84 925
2021 108 950 72 595 73 038 73 312

Controverses

En Modèle:Date-, le titre est accusé d'autocensure par plusieurs syndicats (SNJ, FO et SNJ-CGT) et par la Société de journalistes du quotidien<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les journalistes du service culture-spectacle ont reçu l'ordre ne pas chroniquer le film Merci Patron !, ceux du service politique ont vu leur proposition de traiter le sujet repoussée à plus tard au motif qu’il s’agissait Modèle:Citation et Modèle:Citation. Cette accusation tient notamment au fait que le film parle de Bernard Arnault de façon critique, alors que celui-ci est le PDG du groupe LVMH, principal actionnaire du journal<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. En novembre, il est à nouveau accusé de censure par Fakir, alors qu'il refuse un encart publicitaire pour le DVD de ce film<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, les délégués SNJ (syndicat national des journalistes) du Parisien déplorent que Bernard Arnault « s’invite trop souvent dans les pages » du journal, portant atteinte à la crédibilité de celui-ci<ref>Modèle:Article</ref>.

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Annexe

Modèle:Autres projets

Articles connexes

  • Le Petit Parisien : un des principaux journaux sous la [[Troisième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République]], créé en 1876, interdit de parution en 1944 pour collaborationnisme. Le Parisien Libéré s'installe à sa création dans les locaux du Petit Parisien, comme Le Monde dans les locaux du Temps ou France-Soir dans ceux de Paris-Soir. Les lecteurs appelaient l'un comme l'autre Le Parisien et Le Parisien libéré rachète officiellement ce titre en 1957.
  • Georges Pagnoud, entré en 1958 et journaliste sportif jusqu'à son décès en 1984.
  • Le Parisien Magazine

Liens externes

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