Le jour se lève (film)

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Le jour se lève est un film français réalisé par Marcel Carné, sorti en 1939.

Ce film appartient au réalisme poétique. Une caractéristique originale du film est sa structure, un long retour en arrière (flash-back), procédé alors peu utilisé - et ceci deux ans avant la sortie de Citizen Kane. Le décor de la chambre, construit par Alexandre Trauner, comporte les quatre côtés de la chambre (et non trois comme il était de coutume) pour autoriser des plans circulaires et souligner l'enfermement.

Synopsis

François vient d'assassiner Valentin. Au comble du désespoir, il s'est barricadé dans son appartement. Alors que la police l'assiège, il se repasse en pensée (flash-back) les événements qui l'ont conduit au crime.

Fiche technique

Distribution

Non crédités :

Production

Modèle:...

Sortie et accueil

Modèle:... Le Jour se lève sort dans les salles françaises le Modèle:Date- et connaît un accueil critique assez tiède, voir même hostile en raison de la Modèle:Citation<ref name="Chocron">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="radiofrance">Modèle:Lien web.</ref>, qui conduit le gouvernement d'Edouard Daladier à interdire le film en Modèle:Date-, trois mois après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, puis par le gouvernement de Vichy sous l'Occupation, avant de sortir à nouveau en 1942 avec quelques séquences coupées<ref>Modèle:Lien web</ref> (un plan de quelques secondes dans lequel Arletty nue sous la douche et des policiers malmenés par la foule)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a également écopé d'une interdiction aux moins de 16 ans en raison de son côté « démoralisant »<ref name="Carné"/>. Les séquences coupées seront réintégrées lors de la ressortie du film en version restaurée en 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est considéré par la suite comme l'un des plus grands classiques du cinéma français<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1947, le film a failli être considéré comme perdu lorsque RKO Radio Pictures a réalisé un remake américain sous le titre La Longue Nuit avec Henry Fonda reprenant le rôle de Jean Gabin<ref name="cocohames">Modèle:Lien web</ref>. La société a acquis les droits de distribution du film français et a cherché à racheter et à détruire toutes les copies du film qu'elle pouvait obtenir<ref name="cocohames"/>. On a un temps craint qu'ils aient du succès et que le film soit perdu, mais des copies réapparaîtront dans les années 1950 et s'inscrit ensuite aux côtés des Enfants du paradis comme l'une des plus belles réalisations de la collaboration de Carné et Prévert<ref name="cocohames"/>,<ref>International Dictionary of Films and Filmmakers: 1: Films; ed. by Nicholas Thomas; 2nd ed. (Chicago, London: St James Press, 1990.) p.447.</ref>, tandis que la Longue Nuit sera à la fois un échec critique<ref name=LifeReview>Modèle:Article</ref> et commercial<ref name="rko">Richard Jewell & Vernon Harbin, The RKO Story. New Rochelle, New York: Arlington House, 1982. p221</ref>,.

Alexandre Arnoux des Nouvelles Littéraires salue la réalisation de Carné, qui la qualifie d'Modèle:Citation, tout en parlant de la prestation de Gabin, qui selon lui, Modèle:Citation et la narration du film, Modèle:Citation, avant de conclure qu'on ne peut guère s'intéresser aux Modèle:Citation, car demeurés Modèle:Citation selon le critique<ref name="Carné">Modèle:Lien web.</ref>.

Les résultats au box-office de l'époque n'étant pas connus<ref>Modèle:Lien web</ref>, seuls les chiffres des ressorties en salles (Modèle:Unité en France, notamment avec la reprise en salles restaurée de 2014<ref>Modèle:Lien web</ref> et Modèle:Unité aux États-Unis pour la reprise en salles également en 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref>) demeurent référencés.

Autour du film

  • Une voie de Boulogne-Billancourt a été nommée avenue Le-Jour-se-lève, en hommage au lieu où le film a été tourné.
  • Ce film a connu une nouvelle version, sous le titre The Long Night d'Anatole Litvak, sortie en 1947, avec Henry Fonda reprenant le rôle de Jean Gabin et Barbara Bel Geddes reprenant celui de Jacqueline Laurent.
  • Une scène fut supprimée par la censure : celle d'Arletty (Clara) nue à la fin de sa douche. Le montage originel ne sera pas rétabli à sa re-sortie après-guerre - une version remasterisée et rétablissant le montage est sortie en DVD en 2014.

Distinctions

Références

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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