Liste des souverains de Provence

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Cet article liste les ducs, comtes, puis marquis de Provence. Le titre de comte de Provence devient ensuite tardivement un titre de courtoisie à la Cour.

Recteurs, patrices et ducs de la Provence mérovingienne

Avant 561 : recteurs

561-600 : Provence arlésienne et Provence marseillaise

Fichier:Le royaume des Francs en 567.svg
Le couloir austrasien en Provence instauré en 567.

Après le partage du royaume entre les fils de Clotaire en 561, la province d'Arles est dans son ensemble rattachée au royaume de Gontran, c'est-à-dire à la Bourgogne, selon une solidarité naturelle. Mais en raison de l'importance de la fenêtre méditerranéenne, les rois d'Austrasie ont obtenu un corridor appelé corridor austrasien qui partant de leur territoire auvergnat passe par Avignon et aboutit à Marseille<ref name="EB93">Édouard Baratier, Histoire de la Provence, Modèle:P..</ref>. Ainsi, cette période voit des personnages ayant simultanément des responsabilités en Provence aux ordres de Gontran ou des fils de Clotaire.

Nous savons par Grégoire de Tours que le roi Gontran nomme durant son règne trois patrices, tous d'origine romaine semble-t-il, qui à tour de rôle interviennent en Provence<ref>Jean-Baptiste Dubos, Histoire critique de l’établissement de la monarchie françoise dans les Gaules. Paris, 1734, Modèle:Nobr, chap. 10 : « Or il est fait mention dans un seul chapitre de Grégoire De Tours, de trois Romains créés patrices par le roi Gontran, qui avoit la Bourgogne dans son partage ; sçavoir, Celsus, Amatus, et Eunius Mummolus. Leurs noms suffisent pour montrer qu'ils étoient romains, mais nous sçavons encore d'ailleurs, que Celsus étoit de cette nation. Nous avons l'épitaphe de Silvia, mère de ce Celsus, et il est dit dans cette épitaphe que Silvia, qui comptoit des consuls au nombre de ses ancêtres, avoit vu l'un de ses fils évêque, et Celsus, qui étoit l'autre, revêtu de la dignité de Patrice. »</ref>.

  • 561-570 : Celsus, patrice bourguignon, envoyé par Gontran pour reprendre la ville d'Arles enlevée par le comte Firminus de Clermont aux ordres de Sigebert<ref name="Février_p454">P.-A. Février, La Provence des origines à l'an Mil, Modèle:P..</ref> ; pour Antoine-Étienne Mille, Celsus n'est fait patrice qu'en 562<ref>Antoine-Étienne Mille, Abrégé chronologique de l'histoire ecclésiastique, civile et littéraire de…, Modèle:P., ici : (562) « Ce Prince, mécontent d'Agricole, que Modèle:Souverain- avoit fait Patrice de Bourgogne, le révoque et met Celse à sa place. »</ref> ;
  • 569 : Amatus, patrice bourguignon, signalé (sic) après le patrice Celsus<ref name="Février_p454"/> ;
  • 570-582 : Eunius, dit aussi Mummolus, patrice bourguignon, successeur d'Amatus<ref name="Février_p454"/>.

Du côté austrasien, il est possible d'identifier les personnages suivants :

À la mort de Sigebert en 575, son fils Modèle:Souverain2 doit céder à Gontran la moitié de Marseille. En réalité, la ville devient une indivision sous l'autorité des deux souverains, représentés par un seul fonctionnaire appelé rector et nommé par le roi austrasien. Ce corridor enclave la cité d'Arles et ses territoires<ref name="EB93"/>. La région d'Arles, de son côté, semble dépendre de ducs aux pouvoirs territoriaux plus étendus.

  • 575-587 : Dynamius le Patrice<ref>Sur ce personnage, voir Pascal Boulhol & alii, Maxime de Riez entre l'histoire et la légende (…). Valensole, Aurorae Libri, 2014, Modèle:P..</ref>, recteur de Provence ; en 582, à la majorité de Childebert, qui réclame la totalité de la ville de Marseille, s'ensuit un conflit qui va durer jusqu'en 587. Dans la cité phocéenne, le Patrice s'oppose alors violemment à l'évêque Théodore, fidèle au parti austrasien de Childebert. Dynamius est peut-être remplacé par Gundulf, qui suit ;
  • 581-583 : Gundulf, patrice de Provence, nommé par Modèle:Souverain2<ref>Modèle:Ref-Settipani-Charlemagne.</ref>,<ref>Modèle:Ref-Settipani-Charlemagne-2014.</ref> ;
  • 587-? : Nicetius ou Nizier, nommé rector Massiliensis Provinciae par Modèle:Souverain2<ref>Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Modèle:VIII, 43 ici : « L’an douzième du roi Childebert [en 587], Nizier (Nicetius) d’Auvergne fut nommé gouverneur de la province de Marseille et des autres villes appartenant à Childebert en ces contrées. »</ref> ;
  • 587-? : Leudegisèle, nommé patrice de Provence ou duc de la Provence d'Arles par Gontran<ref>Grégoire de Tours, dans son Histoire des Francs (Modèle:VIII, 30), donne quelques détails : « Le roi, ayant entendu ces nouvelles, nomma pour duc Leudégisèle à la place de Calumniosus surnommé Agilan, lui soumit toute la province d’Arles (i.e. la Provence arlésienne) et lui donna plus de quatre mille hommes pour en garder les frontières. Nizier (Nicetius), duc d’Auvergne, partit également avec des troupes, et fut chargé de cerner les frontières du pays. »

La Chronique de Frédégaire, 5, nous dit : « L’an vingt-septième du même règne (587), Leudégisèle (Leudisclus) fut nommé par Gontran patrice de Provence. On annonça que le roi Childebert avait eu un fils nommé Théodebert. » De son côté, Ferdinand Lot, dans son ouvrage Naissance de la France http://classiques.uqac.ca/classiques/lot_ferdinand/Naissance_de_la_france/lot_naissance_france.doc accessible ici]) indique
 : « Gontran dut confier 4 000 hommes au duc Leudégisèle pour défendre le pays d’Arles et dépêcher le duc d’Auvergne, Nizier, pour garder la frontière du côté de la Septimanie. »</ref> ;

Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle : préfets

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les lacunes sont importantes. La fonction de rector du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle est remplacée par celle de praefectus avec un pouvoir supplémentaire, celui de battre monnaie avec notamment des émissions d'or royales bien représentées entre 613 et 662<ref name="Février_p461">P.-A. Février (sous la direction de), La Provence des origines à l'an Mil, Modèle:P..</ref>. On connaît toutefois à la tête de la praefectura de Marseille :

  • Babo (fl. c. 600).
  • Aegyla (fl. c. 602) ; pour certains, il aurait précédé Leudégisèle<ref>Grégoire de Tours, dans son Histoire des Francs (Modèle:VIII, 30), donne quelques détails : « Le roi, ayant entendu ces nouvelles, nomma pour duc Leudégisèle à la place de Calumniosus surnommé Agilan… »</ref>.
  • Syagrius<ref name="Février_p461"/>.
  • Didier (Desiderius) ; il succède à son frère Syagrius, décédé. Il prend ensuite la suite, comme évêque de Cahors, de son frère aîné assassiné<ref name="Février_p461"/>.
  • Bado (634641).
  • Modèle:Lien ou Willebad, patrice de Burgondie (641–643)<ref>Chronique de Frédégaire, IV, 89-90.</ref>.

675-736 : patrices

Modèle:Article détaillé

Entre la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et 736, le titre de rector disparaît au profit de celui de patrice. À partir des années 673-675, selon Louis Stouff, un patrice dirige la Provence au nom des souverains francs, mais il ne siège pas à Arles. Il réside à Marseille devenue la capitale de la Provence<ref>Louis Stouff, Arles au Moyen Âge, Modèle:P.. Il est possible toutefois que la situation ait été plus complexe, lors des périodes de Provence arlésienne.</ref>. Les frappes d'or disparaissent en 675, remplacées par des émissions en argent dont les initiales y figurant ont permis de reconstituer, en particulier avec les travaux de Fritz Kiener et Georges de Manteyer<ref>Jean Lafaurie, « Monnaies d'argent mérovingiennes des Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècles : les trésors de Saint-Pierre-les-Étieux (Cher), Plassac (Gironde) et Nohanent (Puy-de-Dôme) », dans Revue numismatique, année 1969, vol. 6, no 11, Modèle:P., spéc. Modèle:P., ici : « Telle qu'elle peut être établie d'après les textes et les études de F. Kiener et G. de Manteyer, la liste des patrices se résume à :

? - avant 675 : Hector, mis à mort par Modèle:Souverain-
? - vers 680 : Rocco
vers 681-690/691 : Bonitus, Agnorius
vers 700 : Nemfidius
vers 711/714 : Anténor, Métranus
vers 726-vers 735 : Abbo ».

</ref>, la chronologie des patrices. Plusieurs noms sont également connus par d'autres sources, en particulier par un protocole rédigé à Digne en 780 contenu dans le cartulaire de Saint-Victor<ref>P.A. Février (sous la direction de), La Provence des origines à l'an Mil, Modèle:P..</ref>.

  • Hector (? - Pâques 675) ; assassiné à Autun pour avoir déplu à Childéric<ref>P.-A. Février (sous la direction de), La Provence des origines à l'an Mil, Modèle:P. : Hector est décédé avant le Modèle:Date, date de l'assassinat de saint Prix, évêque d'Auvergne, tué le 20 janvier 676, en représailles de son propre assassinat.</ref>.
  • Rocco (vers 680)
  • Bonitus (vers 681 - vers 691) ; il succède ensuite à son frère Avitus sur le siège épiscopal de Clermont<ref name="Février_p461"/>.
  • Agnorius (vers 691)
  • Anténor (Modèle:1re : frappes avec nom complet)
  • Austrebert ou Ansedert (Ansedertus), vers la fin du siècle<ref>

Philip Grierson, Christopher Nugent & Lawrence Brooke, dans C.N.L. Brooke, B.H.I.H. Stewart, J.G. Pollard & T.R. Volk (ed.), Studies in numismatic method presented to Philip Grierson. Cambridge GB, Cambridge University Press, 1983 Modèle:ISBN, Modèle:P., ici : « … The varieties attributed to the Patrice of Provence Ansedert or Austrebert (nos 47-50), and which have generally been dated to the end of the seventh century… »</ref>.

  • vers 700-702 : Nemfidius
  • vers 702-716 : Anténor (Modèle:2e : frappes avec monogramme) ; Anténor aurait pu être deux fois patrice, bien que certains n’excluent pas l’hypothèse que le second Anténor ait été un fils ou un parent du premier<ref>Philip Grierson & Mark Blackburn, Medieval European Coinage. 1 : The Early Middle Ages (Modèle:5th-10th Centuries). Cambridge GB & London, Cambridge University Press, 1986, Modèle:P.,

ici.</ref>.

Dans les années 730, apparaît également un personnage, Mauronte appelé duc (720-739), qui se rebelle contre les Carolingiens.

  • vers 737 : Arding l'Alaman, qui aurait succédé au patrice Abbon<ref>Jean-Pierre Poly, La Provence et la société féodale, 879-1166, Modèle:P. : « Arding, l'Alaman, succédant au dernier patrice Abbon, avait dépossédé l'Église de Marseille de trois de ses domaines pour les donner à son vassal Isembert. »</ref>.
  • vers 737 : Modèle:Souverain2 dit duc de Provence, frère de Charles Martel.

Après 739 : missi dominici

Le titre de patrice de Provence aurait été supprimé : soit en 736, année où Charles Martel envahit la vallée du Rhône avec son demi-frère Childebrand et dévaste la région, reprenant Arles et Avignon, tout en repoussant le duc Mauronte dans Marseille ; soit en 739, date de la mort d'Abbon dont la charge de duc et de patrice, faisant ombrage à la nouvelle dynastie carolingienne, fut supprimée par Pépin le Bref, et dont les successeurs instituèrent, à la place de ces gouverneurs inamovibles, des inspecteurs généraux divisionnaires, appelés missi dominici, dont les fonctions étaient temporaires et révocables à la volonté du souverain<ref>Frédéric Charles de Gingins la Sarra, Mémoires pour servir l’histoire des Royaumes de Provence et de Bourgogne-Jurane ; Modèle:1re : les Bosonides. Lausanne, G. Bridel, 1851, Modèle:P., accessible sur Google ici.</ref>.

Comtes carolingiens en Provence

Le titre de comte réapparaît vers 780, en liaison probable avec la nouvelle politique impériale dans le Midi de la France.

Frédéric de Gingins-La-Sarra, Mémoires pour servir à l'histoire des royaumes de Provence et de Bourgogne-Jurane. Lausanne, 1851, Modèle:P., ici :

« … Ce monarque [Charles-le-Chauve] réunit celui de la Provence ou du duché d'Arles, qui jusqu'alors avait été administré au nom de l'empereur Modèle:Louis II par un comte Adalbert avec le titre de margrave (marchio). À la recommandation du pape Modèle:Souverain-, le duc Boson paraît avoir laissé à ce margrave et à la comtesse Rothilde, sa femme, l'administration d'une partie de la Provence… »</ref>

Modèle:Article détaillé

À la succession de Boson, sous le règne de Louis (890-928), on connaît :

Comtes d'Arles

Comtes de Provence

Le titre de comte de Provence est attesté en Modèle:DateModèle:Sfn dans une charte du cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de MarseilleModèle:Sfn.

Le comté de Provence est la continuité du comté d'Arles. Les rois de Bourgogne et de Provence avaient en effet confié l'administration de leur royaume à des comtes qui s'intitulèrent comtes d'Arles.

À la mort d'Hugues d'Arles, [[Conrad III de Bourgogne|Modèle:Conrad Ier le Pacifique]], roi d'Arles, fils de Modèle:Souverain-, morcelle le comté d'Arles en trois et nomme :

  • Modèle:Souverain2, comte d'Arles ;
  • Guillaume (frère de Boson), comte d'Avignon ;
  • Griffon, comte d'Apt.

Guillaume et Boson éliminent Griffon et Guillaume meurt sans enfant ; en fait, on ne lui connaît qu'un fils, Archimbaud, clerc, ce qui explique l'absence de descendance<ref>Jean-Pierre Poly, La Provence et la société féodale, 879-1166, Modèle:P..</ref>. Dans ces conditions Boson réunifie l'ancien comté d'Arles qui devient le comté de Provence. Le titre de comte d'Arles se transmettra parmi les descendants du fils aîné de Modèle:Souverain-.

Dynasties de Provence

947-968 : Modèle:Souverain3 († 968), comte d'Arles (949), époux de Constance de Provence<ref>À ne pas confondre avec Constance d'Arles, fille de Modèle:Souverain2 et épouse du roi Modèle:Souverain2.</ref>.

Fichier:Carte provence 1125.png
Partage de la Provence au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, entre comté et marquisat de Provence et comté de Forcalquier.

Le comté de Provence est ensuite une possession indivise entre ses héritiers : à la mort d'un comte, ses fils deviennent tous comtes. Si le comte n'a pas de fils, le comté revient aux filles (ou sœurs) qui ne sont pas dotées.

Certains comtes se considérèrent suffisamment puissants pour s'intituler marquis de Provence. Ce titre se fixera définitivement dans la maison de Toulouse. L'extinction de la maison de Provence dans les mâles en 1093 et la transmission du comté dans plusieurs maisons (Toulouse, Urgell et Barcelone) met fin au régime de l'indivision et aboutit aux guerres baussenques et à deux partages. Le premier, en 1125, se fera entre les maisons de Toulouse (qui a le marquisat de Provence) et de Barcelone (qui a le comté de Provence), au mépris des droits des Urgell et un second partage, vers 1150 divisera le marquisat en deux entre les maisons de Toulouse et d'Urgell (qui a le comté de Forcalquier).



Branche aînée

Maison de Toulouse
  • 1105-1112 : [[Bertrand de Toulouse|Modèle:Souverain-]] († 1112), marquis de Provence, comte de Toulouse et de Tripoli, fils de Raymond et de Ne de Toulouse.
Fichier:Arms of Languedoc.svg
Armes des comtes de Toulouse portant la Croix de Boson.

+1249-1271 : Jeanne de Toulouse (morte en 1271), marquise de Provence, comtesse de Toulouse, fille unique du précédent et épouse d'Alphonse de Poitiers, frère du roi Modèle:Souverain3, qui suit

À leur mort, en 1271, le marquisat de Provence, les comtés de Poitiers et de Toulouse reviennent à Modèle:Souverain2, qui les rattache à la Couronne.

Branche cadette

À sa mort, partage entre ses fils :

Maison de Millau-Gévaudan
Maison de Barcelone
Première branche de Provence
Fichier:Arms of the Counts of Foix.svg
Armes de Bérenger Raimond<ref>Blancart, Iconographie des sceaux et bulles… des archives départementales des Bouches-du-Rhône. Marseille & Paris, 1860, pl. 2.</ref>.
Branche aînée
Fichier:Blason Provence ancien.svg
Armes des comtes de Barcelone et de Provence.
Seconde branche de Provence
Première Maison d'Anjou

Modèle:Article détaillé

Fichier:Arms of Charles II dAnjou.svg
Armes des Anjou rois de Sicile et de Jérusalem.
Fichier:Jeanne Ière de Naples, dite la Reine Jeanne, comtesse de Provence.jpg
Modèle:Souverain- de Naples (1326-1382), dite la reine Jeanne,
reine de Naples et comtesse de Provence.
Jeanne de Naples adopte Louis d'Anjou pour lui succéder. Celui-ci ne pourra hériter que de la Provence.
Seconde dynastie d'Anjou
Fichier:Arms of Hercule dAnjou.svg
Armes des ducs d'Anjou de la maison de Valois.

À la mort de Modèle:Charles III, son cousin Modèle:Souverain2, roi de France, écarte Modèle:Souverain- duc de Lorraine de la succession et annexe la Provence.

Fichier:Blason Provence Anjou.svg
Les armes de la Provence, dites Provence moderne, blason obtenu par simplification des armes des Anjou-Sicile.

Maison de Bourbon

Titre de courtoisie

Bourbon-Naundorff

Généalogie

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Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Bibliographie

Inspiration, romans :

  • Jean Boissieu, Le Seigneur des Baux. Paris, Mengès, 1981.
  • Jean Boissieu, La Louve des Baux. Paris, Mengès, 1982.
  • Patrick de Carolis, Les Demoiselles de Provence. Paris, Plon, 2005.

Articles connexes

Liens externes

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