Marcillé-Raoul
Modèle:Infobox Commune de France
Marcillé-Raoul est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.
Géographie
Situation
-
Marcillé-Raoul et les communes avoisinantes.
Description
Le finage de Marcillé-Raoul forme un plan incliné vers le nord-est, ; les altitudes les plus hautes se trouvent proches de ses limites sud-ouest (89 mètres près des Fertais au sud, 86 mètres dans le Bois de Beau Séjour à sa limite ouest) et les plus basses dans l'angle nord-est du territoire communal, dans la vallée du Ruisseau du Val, à 26 mètres d'altitude. Le bourg, situé au centre-nord de la commune, est vers une cinquantaine de mètres d'altitude. La partie méridionale de la commune a conservé des bois (le Bois de Beau Séjour dans l'angle sud-ouest est un appendice de la forêt de Bourgouët qui se trouve dans la commune voisine de Dingé et le Bois de la Claie, au sud du finage communal en sont les principaux) et plusieurs toponymes de cette partie méridionale de la commune sont nommés "landes" (Les Landes au sud-ouest, La Lande Feuillée au sud-est).
La commune est draînée par plusieurs petits cours d'eau, tous sous-affluents du Couesnon, qui coulent en direction du nord ou du nord-est en direction de celui-ci : le Ruisseau de la Fontaine du Theil à l'ouest forme limite avec la commune voisine de Saint-Léger-des-Prés et conflue plus en aval, en dehors du territoire communal, avec la Tamout, affluent de rive gauche du Couesnon ; la partie centrale de la commune est parcourue par le Ruisseau du Val et ses petits affluents, qui y ont leurs sources, et rejoint aussi la Tamout, plus au nord. L'extrême sud de la commune, traversée par la ligne de partage des eaux entre le bassin du Couesnon et celui de l'Ille, possède les sources de plusieurs petits affluents et sous-affluents de cette rivière affluente de rive droite de la Vilaine, qui convergent (le principal est le Ruisseau de Bourgouët) en direction de l'Étang du Boulet situé dans la commune voisine de Feins.
La commune présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de villages et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains, la commune est préservée de la rurbanisation ; quelques modestes lotissements au sud-est du bourg amorcent toutefois une périurbanisation autour de celui-ci.
L'axe routier principal traversant la commune est la D 794 (ancienne Route nationale 794) qui, côté sud-est, vient de Saint-Aubin-du-Cormier et Sens-de-Bretagne, son tracé, après avoir traversé le bourg de Marcillé-Raoul, se poursuit vers le nord-ouest en direction de Combourg et Dinan. La D 91, axe routier plus secondaire, croise dans le bourg de Marcillé-Raoul la D 794, venant côté sud de Feins et allant côté nord en direction de Bazouges-la-Pérouse.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Marcillé-Raoul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (39,8 %), forêts (12,3 %), prairies (3 %), zones urbanisées (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Marcille en 1152, Marciliaco en 1158, Ecclesia de Marcilliaco en 1185, Marcilleyum Dadulfi<ref name="Origines de la paroisse de Marcill�-Raoul (Bretagne)">Modèle:Lien web.</ref>.
Marcillé : d'origine latine, d’un nom d’homme Marcilius, sans doute le propriétaire d’un domaine gallo-romain, suivi du suffixe de localisation gaulois, -akon, évolué en -é <ref name="Marcill�-Raoul : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton d'Antrain)">Modèle:Lien web</ref>.
Raoul est un prénom germanique rad (rapide) et de wulf (loup). Il s’agit de Raoul III de Fougères ; c'est en 1240 que Marcillé ajouta à son nom celui du baron Raoul<ref name="Marcill�-Raoul : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton d'Antrain)" />.
Histoire
Moyen-Âge
En 1136 le duc de Bretagne Conan le Gros livra bataille près de Marcillé-Raoul à des sujets rebelles dont Olivier de Pontchâteau et d'autres seigneurs. Le duc fut battu ; on voyait encore au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle les vestiges des retranchements qu'avaient occupé les deux armées<ref name="Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne : Ogée, Jean, 1728-1789 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive">Modèle:Ouvrage.</ref>.
La seigneurie du Châtel, qui appartenait aux barons de Fougères, disposait du droit de haute justice ; les barons de Fougères créèrent à une date inconnue une maladrerie dans la paroisse<ref name="Marcill�-Raoul : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton d'Antrain)" />.
En 1208 la terre de Marcillé-Raoul est donnée par Robert d'Apigné<ref group=Note>Seigneur d'Apigné, dans la paroisse du Rheu.</ref> à Geoffroi Moisel, abbé de Saint-Melaine de Rennes. L'ancien prieuré, qui datait du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et joignait l'ancienne église romane, était connu sous le vocable "saint Pierre saint Paul" ; il dépendait de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 1215 la seigneurie de Marcillé-Raoul, qui faisait partie de la baronnie de Fougères, fut donnée par Geoffroy de Fougères à son oncle Guillaume de Fougères<ref name="Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne : Ogée, Jean, 1728-1789 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive" />.
Le duc de Bretagne Jean I le Roux permit, avec l'accord du Roi de France saint Louis, en 1240 à Raoul III de Fougères de fortifier Marcillé-Raoul<ref name="Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne : Ogée, Jean, 1728-1789 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive" />. C'est là l'origine de la motte féodale du Châtel, en bordure de l’ancienne voie romaine allant de Rennes à Avranches, étendue sur plus de 2 hectares, la plus vaste de Bretagne, qui est composée de deux mottes de terres inégales de 15 mètres et 8 mètres de hauteur, séparées par un fossé de 5 mètres de profondeur<ref>Modèle:Article et Modèle:Article.</ref>. Une association, l'APPAC ("Association pour la promotion du patrimoine due l'Antrainais et du Coglais"), s'occupe depuis 2016 de la réhabilitation du site<ref>Modèle:Article.</ref>. Une tour de l'ancien château a été provisoirement exhumée lors de travaux en 2020 et une fouille de reconnaissance effectuée par des archéologues afin d'identifier le site avec certitude, avant d'être à nouveau recouvert de terre afin de le protéger, dans l'attente d'une fouille plus exhaustive et peut-être d'une mise en valeur future<ref>Modèle:Article.</ref>.
Vers 1424, le duc d'Alençon, alors seigneur de Fougères, vendit la châtellenie de Marcillé au seigneur de la Villegontier (en Parigné), Morel ; elle devint propriété du duc de Bretagne Arthur III en 1437 ; François II la revendit en 1485 à Philippe de Montauban, seigneur de Sens ; elle redevint la propriété des barons de Fougères en 1516<ref name="Seigneuries, domaines seigneuriaux et mouvances de Marcill�-Raoul (Bretagne)">Modèle:Lien web.</ref>.
Temps modernes
La seigneurie du Plessis (elle appartenait en 1574 à Gilles du Chastellier) disposait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle du droit de haute justice<ref name="Seigneuries, domaines seigneuriaux et mouvances de Marcill�-Raoul (Bretagne)" />.
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Marcillé-Raoul en 1778 : Modèle:Citation bloc
Révolution française
Le reteur Butet et son vicaire Michel de Moyteaux refusèrent de pêter le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé et devinrent donc prêtres réfractaires ; ils furent emprisonnés entre le Modèle:Date- et le Modèle:Date- à plusieurs endroits successifs (abbaye Saint-Melaine de Rennes et Mont Saint-Michel notamment)<ref name="Origines de la paroisse de Marcill�-Raoul (Bretagne)" />.
Legendre, curé constitutionnel, défraya la chronique de cette époque car il géra la commune avec une particulière incompétence<ref>Modèle:Lien web.</ref> et se comporta en véritable tyran, terrorisant notamment les paroissiennes<ref name="Origines de la paroisse de Marcill�-Raoul (Bretagne)" />.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Marcillé-Raoul en 1853 : Modèle:Citation bloc
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
Barrett-Lennard, un anglais officier de marine exilé par la reine Victoria pour avoir mis enceinte une de ses demoiselles d'honneur (qu'il fut contraint d'épouser), fît construire peu après son arrivée en 1894 une demeure de caractère aux “Fertais”. Reconverti dans l'agriculture, il se lança dans l'élevage de faisans, en ayant plus de Modèle:Nobr, ce qui était beaucoup pour l'époque. Il a vécu aux "Fertais" jusqu'à sa mort en 1950<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Marcillé-Raoul : le "château" du Fertais au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (carte postale).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Marcillé-Raoul porte les noms de 35 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 3 (Mathurin Chalmel, Émile Corvaisier et Pierre Ory) sont morts dès 1914 en Belgique ; Émile Chevalier est mort en captivité en Allemagne à Cassel le Modèle:Date- ; tous les autres sont morts sur le sol français (parmi ceux-ci 2 (François Avril et Louis Jarry) ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et 3 (Eugène Corvaisier, Albert Lebreton et Pierre Leroux) de la Croix de guerre. Dans la liste se trouve aussi Wilfrid Barrett-Lennard, fils du propriétaire anglais du "château" de Fertais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'Entre-deux-guerres
Pendant l'Entre-deux-guerres, Marcillé-Raoul a une vocation essentiellement agricole.
-
Marcillé-Raoul : le vieux bourg vers 1920 (carte postale).
-
Le bourg de Marcillé-Raoul vers 1920 (carte postale).
-
L'église paroissiale vers 1920 (carte postale).
-
Marcillé-Raoul : la sortie du bourg vers 1920 (carte postale).
La Seconde Guerre mondiale
La plaque commémorative située dans l'église paroissiale porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles 4 (André Bertout [mort en Belgique], Julien Brugalay, Raymond Hillion et Alexandre Pain) sont des soldats morts lors de la Débâcle en mai-juin 1940 ; Jean Nollet est mort au camp de concentration de Dora (Allemagne) le Modèle:Date- et Julien Fontaine est mort en captivité au lazaret de prisonniers de guerre de Dieburg (Allemagne) le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Économie
- En 1899 une entreprise de collecte de produits fermiers, beurre et œufs est créée par la famille Clanchin ; un atelier pasteurisé de crème et beurrerie est ouvert en 1954 ; l'entreprise devient la SOVACO (Société de la vallée du Couesnon) en 1957 ; elle ouvre une division "produits frais yaourts et petits-suisses" en 1959. Des prises de contrôle successives se produisent par Sapiem en 1964, Préval en 1968, l'Union laitière normande en 1981, Andros en 1992 et l'entreprise est nommée "Novandie" en 2000 ; en 2017 elle se spécialise dans une production exclusivement de desserts végétaux<ref>Modèle:Lien web et Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux et monuments
La commune compte un monument historique :
- La porte romane de l’église, datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, seul vestige de l’ancienne église qui se trouvait au milieu du cimetière ; elle a été classée par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Par ailleurs :
- Le vieux bourg, composé actuellement du cimetière, des restes de la vieille église et de quelques maisons<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul: édifice néogothique construit en 1867 à 250 mètres environ de l'ancienne église par l'architecte Albert Béziers-Lafosse<ref>Véronique Orain (Dir.), Ille-et-Vilaine. Églises et chapelles. Indicateurs du patrimoine., Association pour l'Inventaire Bretagne, Rennes, 1996, Modèle:ISBN.</ref>.
-
L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul : vue extérieure d'ensemble.
-
L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul : le clocher.
- 23 croix monumentales sont recensées dans la commune, dont celles du Clairay, des Primevères, de la Maladie et du cimetière<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Le village du Châtel rappelle encore par son nom l'existence de l'ancien château de Marcillé-Raoul<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur l'une des deux mottes féodales se trouve un Chêne de la liberté planté en 1848, tandis que sur l'autre se trouve une grotte qui renferme une statue de Notre-Dame de Lourdes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Les manoirs du Grand et du Petit Plessis-Marcillé, désormais transformés en fermes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- De nombreux écarts, fermes et maisons présentent un intérêt architectural<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)