Martine Aurillac

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:HomonModèle:Sources secondaires Modèle:Infobox Personnalité politique

Martine Aurillac, née Adrian<ref name="WWAurillac">Modèle:Lien web.</ref> le Modèle:Date à Strasbourg (Bas-Rhin), est une femme politique française, membre du RPR puis de l'UMP à partir de 2002, députée de la [[Troisième circonscription de Paris de 1988 à 2012|Modèle:3e de Paris]] entre 1993 et 2012 et maire du [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e de Paris]] de 1995 à 2002.

Études, famille, et carrière professionnelle

Après des études à Paris en sociologie, en droit et à l'Institut d'études politiques de Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref>, elle entre dans la fonction publique et devient attachée d’administration centrale au Conseil d'État.

Elle est mariée depuis 1966 à Michel Aurillac ; le couple Aurillac a deux filles<ref name="WWAurillac"/>.

Martine Aurillac est par ailleurs passionnée de course de chevaux<ref>Entretien au Figaro du 18 février 2003</ref>.

Carrière politique

Elle est d'abord membre du conseil municipal de Verteillac en Dordogne, de 1971 à 1977.

Martine Aurillac est élue au Conseil de Paris en 1983. Elle devient délégué à l’affichage et à la publicité jusqu’en 1995. De 1983 à 1995, elle est Modèle:1re au maire du [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e]], Édouard Frédéric-Dupont. En 1993, elle est candidate suppléante de Michel Roussin aux élections législatives dans la [[Troisième circonscription de Paris de 1988 à 2012|Modèle:3e]] de Paris, comprenant le Modèle:7e et la moitié nord du 6e. Nommé au poste de ministre de la Coopération au sein du gouvernement d'Édouard Balladur, Michel Roussin laisse son siège de député à sa suppléante, Martine Aurillac, qui siège alors au Palais Bourbon sous la [[Xe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Xe{{#if:|  }} }} législature]]. Elle est élue maire du Modèle:7e de Paris par le conseil d'arrondissement, à la mort de son prédécesseur, Édouard Frédéric-Dupont, en février 1995, par onze voix et un bulletin blanc. Elle est confirmée à ce poste par les électeurs de l'arrondissement en juin 1995.

En 1997, elle est élue députée de la Modèle:3e de Paris, au second tour avec 70,96 % des suffrages, face à la candidate socialiste, l'avocate Anne Kalch. Son suppléant est Jean-Pierre Lecoq, maire du Modèle:6e. En mars 2001, lors des élections municipales, elle est à la tête d'une liste RPR-UDF-DL qui obtient lors du premier tour 42,94 % des suffrages contre 21,21 % à Jean-Philippe Hubin (candidat divers droite de la liste de Jean Tiberi), 19,64 % à la candidate socialiste Anne Kalck et 8,04 % à la candidate verte Maggie Cazal.

Au second tour, dans le cadre d'une triangulaire avec la liste de Jean-Philippe Hubin et la liste d'Anne Kalck, elle arrive en tête des suffrages avec 46,64 % des voix contre 27 % à la liste menée par Modèle:Mme Kalk et 26,34 % à la liste de M. Hubin. Elle est réélue maire de l'arrondissement. Martine Aurillac est réélue députée le Modèle:Date, pour la [[XIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature]] (2002-2007), dans la même circonscription avec 70 % des voix contre 17,92 % à la candidate socialiste, Marie-Claire Champoux.

Elle démissionne alors de son poste de maire auquel lui succède Michel Dumont.

Membre du groupe UMP à l'Assemblée nationale, elle est réélue députée au premier tour des législatives de juin 2007 avec 59 % des voix contre 16,9 % à la candidate socialiste Laurence Girard et 11 % à la candidate du MoDem, Linda Capoano.

Elle est membre de la commission des Affaires étrangères, de l’Assemblée parlementaire de l'OTAN, et de la section française de l’AIPLF (Francophonie).

Elle soutient la candidature de François Fillon à la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012.

Mandats

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Portail