Ordre de Saint-Benoît

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ordre religieux

Fichier:Sankt Benedikt.JPG
Saint Benoît.

L'ordre de Saint-Benoît, plus connu sous le nom d'ordre des Bénédictins, est une fédération de monastères occupés par des moines ou des moniales, les Bénédictins ou Bénédictines y suivant la règle de saint Benoît résumée par la maxime « Modèle:Langue ». Cet ordre monastique fondé vers 529 par saint Benoît de Nursie, considéré traditionnellement comme le plus ancien de l'Église catholique, regroupe des organisations monastiques plus ou moins autonomes qui ont marqué profondément le monde occidental par leur contribution essentielle dans l'économie, la culture et la liturgie de l'Europe médiévale.

Ce n'est pas le plus ancien ordre de l'Occident chrétien car la règle des moines de saint Augustin, celle introduite par saint Martin pour la fondation de l'abbaye Saint-Martin de Ligugé, celle introduite par Jean Cassien pour l'abbaye Saint-Victor de Marseille et la laus perennis introduite en 515 à l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune sont antérieures à sa fondation, mais c'est celui qui a connu le plus large succès.

Le monachisme bénédictin connaît une première apogée avec le rayonnement de l'ordre de Cluny puis celui de Cîteaux. Les nombreuses difficultés qui affectent les ordres monastiques dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle suscitent de lentes réformes monastiques qui débutent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la création d'une nouvelle institution bénédictine, la congrégation.

Après plusieurs périodes de fort déclin, notamment la défection pendant la Réforme protestante et la suppression des congrégations par la Révolution, le monachisme bénédictin connaît une phase de reconstruction au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et est entièrement réorganisé en 1893 par le pape Modèle:Noble à l'origine de la création de la Confédération bénédictine.

Présentation de l'ordre

But

Modèle:Source secondaire nécessaire<ref>Modèle:Noble-, Angelus du Modèle:Date-.</ref>. Modèle:Source secondaire nécessaire : Modèle:Citation bloc

Règle bénédictine

Modèle:Article détaillé Écrite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la règle de saint Benoît connaît rapidement un certain succès, peut-être grâce à sa modération par rapport aux autres règles monastiques existant à l'époque. En 817, elle est imposée à tous les monastères de l'Empire carolingien, d'où le surnom de Père des moines d'Occident donné à saint Benoît.

Certains affirment que la devise Ora et labora (« prie et travaille ») synthétise la vie de l'ordre, bien qu'elle ne figure pas dans la règle. En tous cas, cette règle propose un équilibre entre prière et travail (le refus de l'oisiveté est central et le travail manuel est valorisé), prière personnelle et prière communautaire, gouvernement par l'abbé et participation des frères, obéissance et responsabilité de chacunModèle:Efn.

Organisation d'ensemble

Au [[Quatrième concile du Latran|{{#ifeq:concile | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:concile| concile }} }} de Latran]] en 1215, le mot « bénédictin » apparut pour désigner les moines qui n'appartenaient à aucun ordre centralisé<ref>Jacques Dubois, Les ordres monastiques, éd. PUF coll. Que sais-je ?, 1985, Modèle:P..</ref>, par opposition aux cisterciens, qui suivent également la règle de saint Benoît, mais dont l'Ordre est assez fortement centralisé.

Néanmoins le pape Modèle:Noble a institué en 1893 une confédération bénédictine, union fraternelle des congrégations de moines qui vivaient sous la règle de saint Benoît (hors cisterciens et camaldules), restant sauve l’autonomie des congrégations et des monastères.

Habillement

Un bénédictin
Un moine bénédictin en coule.

L'habit des bénédictins est en général noir (ils sont souvent appelés les « frères noirs » ou encore « moines noirs », jusqu'à l'appellation de bénédictins qui apparaît pour la première fois dans la bulle Summi magistri dignatis du Modèle:Date- du pape Modèle:Noble)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Les bénédictins olivétains, qui ont choisi de porter un vêtement blanc, constituent une exception à cette règle (et les moines de cet ordre sont parfois appelés « bénédictins blancs » pour cette raison). Par ailleurs, l'ordre apparenté des cisterciens a opté pour une robe blanche, ce pourquoi ils sont parfois appelés les « moines blancs » (mais ils n'appartiennent pas canoniquement à l'ordre de saint Benoît, même s'ils en suivent la règle).

Les bénédictins portent une coule noire à capuchon, et une ceinture noire autour de la taille. Le scapulaire (noir ou plus rarement blanc), habit monastique par excellence, est porté par les profès solennels lors des offices et principaux actes de la vie communautaire. En plus du fait qu'ils ne portent pas encore le scapulaire, les novices sont identifiables grâce à leur coule : celle-ci est plus courte que ceux des moines ayant achevé le noviciat ; chez les moniales, novices et jeunes professes portent souvent un voile blanc.

L'usage de se raser la tête s'est généralement maintenu à travers les siècles, avec des variantes (par exemple « couronne monastique » avant la Révolution et dans la congrégation de Subiaco avant le [[IIe concile œcuménique du Vatican|concile Modèle:Nobr rom]] (1962), ou « tonsure cléricale » seule dans la congrégation de Solesmes).

Missions

Aujourd'hui, les bénédictins, en plus de leur vie monastique de contemplation et de célébration de la liturgie, sont engagés dans diverses activités, notamment l'éducation, l'engagement missionnaire et les travaux érudits<ref name="britannica"/>.

Particularités des Bénédictines

Fichier:Coustumes -Bénédictines.png
Bénédictines.

Il existe des religieuses bénédictines. Ce sont des moniales qui suivent la règle de saint Benoît. Elles auraient été instituées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par sainte Scolastique, sœur de saint Benoît. Leur habit est le même que celui des moines de même congrégation sauf qu'elles portent un voile à la place du capuchon. C'est à cet ordre qu'appartenaient les oblates instituées par sainte Françoise.

La congrégation des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement a été fondée à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la Mère Mechtilde du Très-Saint-Sacrement (1614-1698).

Historique

Le premier monastère est établi au mont Cassin vers 529<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> par Benoît de Nursie qui y élabore sa règle. Les monastères bénédictins se répandent alors dans toute l'Europe et donnent naissance à plusieurs congrégations devenues célèbres, bien que les premiers carolingiens aient corrélé leur intérêt du monachisme à leur propre volonté de pouvoir et d'expansion territoriale<ref name="Mègemont_p73"/>. Ainsi, dans les dernières années du règne de Charlemagne un net relâchement s'instaure dans de nombreux monastères. En 817, l'empereur Louis le Pieux sur les conseils de Benoît d'Aniane tente de réformer l'institution monastique, instituant une observance uniforme dans l'ensemble des monastères et l'élection libre de l'abbé, éléments essentiels dans le développement de l'ordre bénédictin en Europe, donnant le véritable essor de la règle de saint Benoît<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les deux synodes tenus à Aix-la-Chapelle en Modèle:Date- et Modèle:Date-, par l'empereur Louis le Pieux et la publication du « capitulaire monachorum », permettent à Benoît d'Aniane de faire appliquer cette règle dans plus de vingt monastères en Aquitaine et au-delà<ref name="Mègemont_p73">Modèle:Article.</ref>. Par la suite, la mort de Benoît d'Aniane en 821, la dislocation de l'empire carolingien et les invasions réduisent pratiquement à néant les résultats acquis. De la fin du {{#switch: au début du

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}}, la vie bénédictine connaît un net déclin, aggravé par l'habitude prise par les souverains de disposer de leurs fondations religieuses comme ils pratiquaient avec les biens fiscaux, à savoir qu'un abbé laïc prenne possession d'une enclave ecclésiastique et y réside avec femmes, enfants et sa suite, rendant la vie de clôture impossible<ref name="Mègemont_p73"/>.

Le monachisme bénédictin connaît une première vague de renouvellement avec le rayonnement de l'ordre de Cluny au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis celui de Cîteaux au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ces deux ordres introduisant une rupture fondamentale avec la tradition bénédictine par leur ouverture aux catégories sociales inférieures grâce au statut de convers (simples laïcs vivant aux côtés des moines de chœur) chargés des travaux agricoles et manuels, et des affaires séculières d'un monastère<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. D'autres mouvements réformateurs donnent naissance à de nouveaux ordres issus du vieux tronc bénédictin (camaldules, chartreux, célestins, Sylvestrins, olivétains…). Ayant acquis une puissance importante de par ses domaines et ses couvents, l'ordre bénédictin atteint son apogée vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, possédant alors en France environ Modèle:Unité et Modèle:Unité, et en Europe Modèle:Unité<ref name="Universalis">Modèle:Ouvrage.</ref>. Confronté au nombreuses difficultés qui affectent les ordres monastiques dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'ordre connaît une certaine désorganisation (avec notamment le régime de la commende) et un relâchement. De lentes réformes monastiques sont engagées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la création d'une nouvelle institution bénédictine, la congrégation. Il s'agit d'une fédération qui regroupe des monastères autonomes et qui est nommée d'après son fondateur, son pays d'origine ou son saint patron, et qui permet de leur donner un pouvoir unifié. Ces réformes ne deviennent efficaces qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec notamment la fondation de la congrégation de Saint-Vanne en 1604, de la congrégation de Saint-Maur en 1618, des Bénédictines de Notre-Dame du Calvaire en 1621 et des Bénédictines de l'Adoration perpétuelle en 1653<ref name="britannica">Modèle:Lien web.</ref>. Ce nouvel essor permet aux effectifs bénédictins de s'élever à Modèle:Unité<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> sur les Modèle:Unité que totalisent tous les ordres monastiques au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:Date-, l'Assemblée constituante française décide l'abolition des vœux monastiques et la suppression des ordres et congrégations régulières. Certains bénédictins français retournent à la vie civile (devenant parfois même maires, responsables de bibliothèques municipales), d'autres s'exilent<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Si la Révolution française démantèle l'ordre bénédictin et le monachisme, le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est marqué par un grand mouvement de renaissance en France avec Dom Prosper Guéranger qui restaure l'ordre bénédictin en 1833 à l'abbaye de Solesmes, et Jean-Baptiste Muard qui fonde l'abbaye de la Pierre-Qui-Vire en 1850<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les lois de 1901, 1904 et 1905 portent un coup à cette renaissance, les congrégations acceptant de se soumettre à l'autorité de l'évêque ordinaire ou les bénédictins choisissant l'exil, la dispersion. La situation d'exil a pu conduire à la fixation dans le lieu où les congrégations se sont exilées ou à leur retour pur et simple quelques décennies plus tard<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Au cours de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on assiste à une restauration de l'ordre bénédictin qui bénéficie de la recharge sacrale<ref group="note">Modèle:Citation. Cf Modèle:Ouvrage.</ref>. En 1893, toutes les abbayes et maisons bénédictines autonomes s'unifient dans la confédération bénédictine formée par le bref apostolique Summum semper du pape Modèle:Noble<ref name="britannica"/>.

En 2005, on dénombre dans le monde environ Modèle:Unité répartis dans Modèle:Nobr ou prieurés formant Modèle:Nobr, Modèle:Unité et sœurs dans Modèle:Nobr ou maisons formant Modèle:Nobr<ref name="Universalis"/>.

Extension en Europe

En France

Fichier:Milkau Das Kloster von Cluny - Eingang zur Abtei 233-2.jpg
Entrée de l'abbaye de Cluny.

Les principales abbayes bénédictines sont celles de : Modèle:Référence souhaitée, Cluny formée vers 910. Des extensions sont existantes dans toute l'Europe…

En Normandie, l'abbaye de Saint-Wandrille est fondée à Fontenelle en 649, suivie de nombreuses autres à l'initiative des ducs de Normandie ou de leurs compagnons.

La congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe est formée à Verdun en Lorraine en 1604. Celle de Saint-Maur est constituée en 1621 ; d'autres congrégations notables en France ont créées (Feuillants, Camaldules, Célestins, etc.). Toutes sont supprimées en 1790 par l'Assemblée constituante.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, quelques religieux réunis à Solesmes en Sarthe, sous la direction de Dom Guéranger, relèvent l'ordre des Bénédictins.

Aujourd'hui, les principales congrégations bénédictines présentes en France sont : la congrégation de Solesmes (abbaye de Solesmes, Kergonan, Ligugé, Fontgombault, Triors, Wisques, Randol, etc.) ; la congrégation de Subiaco (La Pierre-qui-Vire, En-Calcat, Dourgne, Saint-Benoît-sur-Loire, Landévennec, Belloc, Tournay, etc.) ; et la congrégation du Mont-Olivet (abbaye Notre-Dame du Bec, Maylis).

Dans l'Empire ottoman

Les bénédictins prirent le monastère Sainte-Marie-de-la-Miséricorde à Galata (Constantinople), en 1427 sous la direction de Dom Nicolas Meynet, et le renommèrent abbaye Saint-Benoît. Ce monastère et sa chapelle sont placés sous la protection de l’ambassade de France auprès de la Sublime Porte en 1540, après la demande du roi Modèle:François Ier et l’autorisation du sultan Soliman le Magnifique, Modèle:Noble- utilise le prétexte de la protection des chrétiens des terres ottomanes pour conclure une alliance avec la puissance musulmane, au travers d'accords intitulés « Capitulations de l'Empire ottoman »<ref>Gérard Pélissié du Rausas, Le régime des Capitulations dans l'Empire ottoman, éditions A. Rousseau, Paris, 19020</ref>. Des capitulations qui réglaient le statut des étrangers dans l'Empire ottomans furent établies vers 1535-1536 entre le sultan Soliman le Magnifique et le roi de France Modèle:Noble-. Grâce à ce statut privilégié, les bénédictins devinrent les protecteurs des populations catholiques de l’Empire ottoman<ref>Mahmut Esat Bozkurt, Du régime des Capitulations ottomanes : leur caractère juridique d'après l'histoire et les textes, éditions Stamboul, Fribourg, Suisse, 1928 (thèse présentée en 1918 à la faculté de l'université de Fribourg pour l'obtention du grade de docteur en droit).</ref>. Cette institution existe toujours, sous la forme du lycée Saint-Benoît.

Dans les pays germaniques

Fichier:Benediktiner-Kloster Scheyern Bayern Bavaria Germany Foto 2011 Wolfgang Pehlemann DSCN7463.jpg
L'abbaye de Scheyern.

Les plus célèbres abbayes sont celles de Prüm, Ratisbonne, Fulda, Ellwangen, Salzbourg, Reichenau, Beuron, Hirsau, Metten, Scheyern, Ettal, Ottobeuren, Einsiedeln, Admont, Melk

En Angleterre

Les plus célèbres monastères bénédictins se trouvent à Cantorbéry, York, Westminster, Saint-Albans.

En Belgique

Modèle:Article détaillé

Situation actuelle

Dénombrement

Actuellement, la confédération bénédictine est composée de Modèle:Nobr masculines<ref>Ordre de saint Benoît.</ref> comptant un total de Modèle:Unité en 1995 et de Modèle:Nobr et fédérations de moniales et sœurs (au nombre de 16 000) O.S.B., réparties dans Modèle:Nobr et autres monastères féminins.

La confédération bénédictine est présidée par un abbé-primat, qui est en même temps abbé du collège bénédictin Saint-Anselme à Rome, et à qui il revient de traiter les affaires concernant la confédération.

Les abbés de monastères groupés en congrégation appartenant à la confédération se réunissent à Rome tous les quatre ans en congrès.

Les monastères de moniales, sœurs et oblates régulières peuvent être agrégés à la confédération bénédictine.

Vingt-deux congrégations bénédictines masculines

  1. congrégation américano-cassinaise
  2. congrégation de l'Annonciation
  3. congrégation bénédictine anglaise
  4. congrégation bénédictine d'Autriche
  5. congrégation bénédictine de Bavière
  6. congrégation de Beuron
  7. congrégation bénédictine brésilienne
  8. congrégation camaldule
  9. congrégation cassinaise (saint Benoît avait fondé sa seconde abbaye au mont Cassin en 529)
  10. congrégation de Cono-Sur
  11. congrégation helvéto-américaine
  12. congrégation bénédictine hongroise
  13. congrégation du Mont-Olivet
  14. congrégation bénédictine néerlandaise
  15. congrégation Notre-Dame d'Espérance
  16. congrégation ottilienne
  17. congrégation Silvestrine
  18. congrégation slave
  19. congrégation de Solesmes (congrégation de France)
  20. congrégation de Subiaco (lieu de la première abbaye, Subiaco, fondée par saint Benoît vers l'an 500)
  21. congrégation bénédictine de Suisse
  22. congrégation de Vallombreuse

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à l'abbaye de Cîteaux (Bourgogne), les Cisterciens fondent un ordre à part pour être davantage fidèles à la règle de saint Benoît.

Statistiques

statistique des Grans Monasteres Masculins OSB<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

2015

Congr. Sacerdos Fratres Total
Americano-Cassinensis 456 259 715
Subiaco-Cassinensis 536 704 1240
Ottiliensis 338 588 926
Solesmes 386 219 605

2005

Congr. Sacerdos Fratres Total
Americano-Cassinensis 602 298 900
Subiaco-Cassinensis 588 572 1160
Ottiliensis 350 641 991
Solesmes 399 228 627

2000

Congreg. Sacerdos Fratres Total
Americano-Cassinensis 711 306 1017
Subiaco-Cassinensis 627 528 1155
Ottiliensis 353 670 1023
Solesmes 439 223 662

Liste des monastères de l'ordre

Modèle:Article détaillé

Allemagne

Fichier:Ettal-Interieur.jpg
Intérieur de l'église abbatiale d'Ettal.
Fichier:Maria Laach 02.jpg
Abbaye romane de Maria Laach.

Bénédictins

Fichier:Kloster Eibingen01.JPG
Abbaye Sainte-Hildegarde d'Eibingen.

Bénédictines

Autriche

Belgique

Modèle:Article détaillé

Communautés de moniales bénédictines

  • Abbaye Bethlehem (2820 Bonheiden) ;
  • Abbaye de la Paix Notre-Dame (4000 Liège) ;
  • Abbaye des Saints-Jean-et-Scholastique de Maredret (5537 Anhée) ;
  • Abbaye de Kergonan (56340 Plouharnel) ;
  • Monastère de l'Alliance (1330 Rixensart) ;
  • Monastère Maria Mediatrix (3000 Leuven) ;
  • Monastère Notre-Dame (5644 Ermeton-sur-Biert) ;
  • Monastère Notre-Dame d'Hurtebise (6870 Saint-Hubert) ;
  • Monastère de la Vigne (béguinage) (8000 Bruges) ;
  • Prieuré Notre-Dame de Béthanie (8210 Loppem) ;
  • Prieuré Notre-Dame de Paix (8930 Menen) ;
  • Prieuré Regina Pacis de Schotenhof (2900 Schoten) ;
  • Prieuré Saint-Joseph (bénédictines du Saint-Sacrement) (8880 Ledegem).

Communautés de moines bénédictins

Canada

Côte d'Ivoire

  • Le monastère Sainte-Marie des Moines bénédictins, Bouaké.
  • Le monastère de la Bonne nouvelle des Moniales bénédictines, Bouaké.

États-Unis

France

Modèle:Article détaillé

Bénédictins

En France, quatre congrégations sont présentes : la congrégation de Solesmes (ou « de France »), la congrégation de Subiaco, les bénédictins olivétains et la congrégation Notre-Dame d'Espérance.

Fichier:Solesmes.jpg
Abbaye de Solesmes.
Fichier:Fleury01.jpg
Église de Saint-Benoît-sur-Loire.
Fichier:Abbaye Saint-Martin-des-Glandières. Vue de la grande galerie (Sud)..jpg
Vue du cloître de l'abbaye Saint-Martin-des-Glandières.
Fichier:Abbatiale st etienne Bouzonville.JPG
Abbaye Sainte-Croix de Bouzonville.

Bénédictines

Fichier:Logis abbatial du moutier.JPG
L'abbaye du Moutier à Thiers.

Ghana

  • Le monastère de Kristo-Buase, région de Brong Ahafo.

Haïti

Inde

Irlande du Nord

  • Monastère de la Sainte Croix, Rostrevor (Mont-Olivet). Fondé en 2004 par un moine originaire de Belfast et quatre venant de la communauté du Bec-Hellouin (Normandie).

Israël

Italie

Luxembourg

Portugal

Fichier:Mosteiro-Singeverga.png
Monastère de Singeverga.

Royaume-Uni

Rwanda

Sénégal

Fichier:KeurMoussa.jpg
Abbaye de Keur Moussa (Sénégal).
  • Abbaye de Keur Moussa à Modèle:Unité de Dakar, inaugurée en 1963. Dom Philippe Champetier de Ribes (décédé à Modèle:Nobr le Modèle:Date-), polytechnicien et officier d'artillerie, entré à Modèle:Nobr à l'abbaye de Solesme (Sarthe) dont il devint prieur, est désigné en 1960 comme responsable de la fondation de Solesmes au Sénégal. Il part avec huit autres moines français. Le monastère est construit sur un terrain offert par l'archevêché de Dakar. Il avait démissionné de sa charge d'abbé en 2000, remplacé par le P. Ange-Marie Niouky, Sénégalais, à la tête d'une quarantaine de moines dont six Français.

Suisse

Fichier:Disentis Kloster.jpeg
Abbaye de Disentis (canton des Grisons).

La plupart des abbayes bénédictines appartient à la congrégation bénédictine de Suisse :

Tchéquie

Le cloître d’Emmaüs à Prague s'est longtemps distingué pour célébrer la liturgie, non en latin mais en vieux slave.

Bénédictins célèbres

Fichier:Anne of Austria with her children (King Louis XIV and Philippe, Duke of Anjou) praying to the Holy trinity (Philippe de Champaigne).jpg
Anne d'Autriche et ses fils priant saint Benoît et sainte Scholastique (Philippe de Champaigne).
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}} ;

Notes et références

Note

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

  • Modèle:Bouillet note.
  • Gazeau Véronique, Normannia monastica, princes normands et abbés bénédictins. Prosopograpie des abbés bénédictins. 2 vol., Publications du CRAHM, 2007 Modèle:ISBN.
  • Daniel-Odon Hurel, Prières des bénédictins, {{#switch: -
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}}, Éditions du Seuil, 2010 Modèle:ISBN.

Articles connexes

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Liens externes

Modèle:Liens

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