Riquewihr
Modèle:Infobox Commune de France
Riquewihr /{{#ifeq:1|0|ʁik(ə)viːʁ|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}/<ref>Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, Modèle:P..</ref> (Rïchewïhr en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Localisation
Riquewihr est un village d'Alsace réputé, très visité pour son patrimoine architectural, une cité médiévale pittoresque, épargnée par les destructions des deux guerres mondiales. Le village est au sud de Hunawihr et de Ribeauvillé, à Modèle:Unité au nord de Kaysersberg, en plein cœur du vignoble alsacien, sur la route des vins d'Alsace<ref>Route des vins d'Alsace : Riquewihr</ref>.
Blotti à l'entrée d'un vallon boisé, protégée par le Schœnenbourg contre les vents du nord, Riquewihr surplombe légèrement la plaine d'Alsace et offre une vue magnifique sur la vallée du Rhin, depuis les Alpes jusqu'à Sélestat.
Les trois collines environnantes ont donné le logo de la maison Hugel et fils, l'une des plus grandes familles viticoles de Riquewihr.
La douceur du climat local est très favorable à la culture de la vigne, les coteaux aux sols lourds et versants raides n'offrant point d'autres possibilités.
Riquewihr se trouve à Modèle:Unité de Hunawihr où est installé le parc des cigognes, à Modèle:Unité de Ribeauvillé, Modèle:Unité de Kaysersberg, Modèle:Unité de Colmar et Modèle:Unité de Strasbourg.
C'est une des 201 communes<ref>Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, Modèle:3e Charte 2012 - 2024</ref> du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Modèle:Carte communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau traversant la commune<ref>SIGES Aquifère Rhénan</ref> :
- Ruisseaux le Sambach, l'Ibach, le Bogenbach.
Urbanisme
Typologie
Riquewihr est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Bennwihr, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,5 %), cultures permanentes (16,9 %), zones urbanisées (3 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
En allemand, son nom est Reichenweier, parfois Reichenweiher ou Reichenweyer.
La légende raconte que le nom de Riquewihr venait d'une certaine comtesse Richilde, pour certains, fille d'Adélaïde, sœur du pape Léon IX, ou pour d'autres petite-fille de Sainte-Hune, qui serait, quant à elle, à l'origine de Hunawihr.
Histoire
Une ancienne cité romaine
Les origines de Riquewihr remontent à l'époque romaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les vestiges d'un « speculumModèle:Lequel » (tour d'observation), les restes d'un mur et d'une tour, prouvent le passage d'une route montant par la vallée à Aubure passant près d'un ancien mur païen. Il est fort probable qu'il existait à cet endroit une halde avant l'entrée de la montagne ; la culture de la vigne Modèle:C'est-à-dire. Des tombeaux trouvés dans les alentours prouvent l'existence d'une localité aux environs des {{#switch: IX
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}}.
Une propriété des ducs d'Alsace
Vers l'an 1000, Riquewihr fut avec son château de Reichenstein la propriété des ducs d'Alsace et d'Eguisheim-Dabo. Il est cité pour la première fois sous le nom de « Richovilare » en 1049 dans une donation au monastère de Sainte-Croix-en-Plaine, près de Colmar. En 1094, l'abbaye de Sainte-Croix-en-Plaine possède des vignes à Riquewihr. Le village de Richovilare du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle passa aux mains des comtes d'Eguisheim-Dabo.
Les Reichenstein et la destruction du château de Reichenstein
À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le domaine tomba dans les mains d'une famille noble, les Reichenstein, mais ses membres se firent une mauvaise renommée de seigneurs-brigands. En 1269, afin de rétablir l'ordre et la sécurité, Rodolphe de Habsbourg, futur empereur d'Allemagne, assiège le château de Reichenstein avec le concours des troupes de la ville de Strasbourg et de Colmar. Les seigneurs, les deux frères Gislin, furent condamnés à mort et pendus à un chêne tout près du château dont les vestiges et le donjon sont encore visibles. Après l'exécution des chevaliers, Rodolphe se rendit dans le village de Riquewihr où il partagea un verre de vin avec les habitants. Le lendemain, en rentrant à cheval avec son métayer de Guémar, Roldolphe proclama que le village de Riquewihr méritait d'être érigé en ville car, grâce à ce « diable de vin », il s'était fait tutoyer par les anciens du conseil et ne voulait pas qu'on puisse lui reprocher de se faire aussi tutoyer par les paysans. La disparition du château devint pour la ville le point de départ d'une période faste.
Les sires de Horbourg et la construction du mur d'enceinte
La ville et le château étant devenus la propriété des sires de Horbourg<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref> au sein de la seigneurie de Riquewihr, Modèle:Noble- de Horbourg fit, en 1291, élever une enceinte rectangulaire percée de trois portes<ref>Modèle:Atlas des villes et villages fortifiés en France.</ref> et ceint le bourg d'un large et profond fossé. Ainsi Riquewihr devint une petite forteresse de Modèle:Unité de long et de Modèle:Unité de large, qui pouvait au besoin abriter les habitants de plusieurs villages voisins. L'accès de la ville était assuré par deux portes, celle du bas, détruite en 1804, et celle du haut, connue sous le nom de « Dolder »<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>. Cette porte surplombée d'une tour à cinq étages a une hauteur de Modèle:Nobr. Le passage pouvait au moment du danger être fermé par une porte très solide à deux battants et par une herse. La cloche dans le petit clocheton servait de signal d'alarme en cas d'approche de l'ennemi venant de la plaine. L'intérieur du Dolder servait autrefois de lieu d'habitation au gardien du village. Cette enceinte existe encore en partie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On peut ainsi encore voir les murs d'enceinte nord et ouest et les tours emblématiques de la cité : le Dolder et la Tour des Voleurs. Un coup d'œil le long du mur d'enceinte, à droite et à gauche du Dolder et le long de la Semme, donne une idée, à côté de son aspect pittoresque, de la solidité et de l'importance de ces fortifications. En 1320, les Horbourg obtinrent l'autorisation d'élever leur domaine en « ville », donnant ainsi une certaine importance à la cité.
Les comtes de Wurtemberg et la Réforme
Sans postérité, les sires de Horbourg vendirent en 1324 leurs terres à Modèle:Noble- de Wurtemberg. En 1397, le comte Modèle:Noble prit pour fiancée l'héritière du comté de Montbéliard, Henriette d'Orbe, encore enfant. Riquewihr étant devenue capitale, les deux familles, les Wurtemberg-Monbéliard, gouvernèrent Modèle:Passage évasif leur domaine qui connut alors une grande prospérité jusqu'à la guerre de Trente Ans.
Le commerce florissant du vin qui s'exportait dans tout l'Empire et les pays hanséatiques amena une grande prospérité, comme en témoignent les demeures remarquables datées pour l'essentiel du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
En 1420, les habitants expulsent les Juifs du bourg Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.Modèle:Commentaire biblio.</ref>. En 1525, Riquewihr fut entraîné dans la guerre des paysans. En 1534, le comte Georges de Wurtemberg, luthérien, introduisit la Réforme dans la seigneurie.
La guerre de Trente Ans
Lors de la guerre de Trente Ans (1618-1648), les armées sous différentes bannières déferlèrent sur l'Alsace et dévastèrent la majeure partie des villes et villages. En 1635 et 1652, Riquewihr fut assiégée, prise et pillée par les troupes du duc de Lorraine. Depuis 1607, le burgvogt, connu sous le nom de Johann Conrad Krämer, y résida jusqu'en 1626. Sous son règne, des travaux de restauration et de consolidation furent entrepris et permirent à la population de Riquewihr de trouver refuge à l'intérieur des murs fortifiés. Au cours de cette période, l'Alsace dut faire face à toutes sortes d'armées qui pillaient et rançonnaient la population. En 1626, le nouveau burgvogt s'appelait Michel Hauweber. Il était chargé par le duc de Wurtemberg de respecter un cahier des charges draconien, comme défendre à tout prix le château et les bois autour de la forteresse. En 1635, la ville de Riquewihr fut occupée par un détachement français de seize hommes venus de Colmar. Le burgvogt fit faire de nombreux travaux et fortifia les murs.
La ville fut bombardée par six pièces d'artillerie. La petite garnison réfugiée au château de Bilstein résista vaillamment. C'est alors que le commandant en chef de Colmar, Manicamp, décida d'envoyer des renforts à Riquewihr pour enfoncer les murs du château mais le détachement se perdit dans les bois et la troupe envoyée en renfort fut dispersée par les paysans du Val d'Orbey. Cependant, une petite colonne finit par se trouver devant le château et ouvrit des brèches dans son système de défense. L'assaut devint inévitable. Le commandant demanda alors aux défenseurs de Riquewihr de renoncer à protéger le village en promettant la vie sauve à la population si elle lui ouvrait les portes. Les habitants finirent par les ouvrir le Modèle:Date- mais les troupes ne respectèrent pas scrupuleusement leur promesse et on assista alors à des exécutions sommaires et à des règlements de compte. Aux meurtres succédèrent la famine et les épidémies de peste, de choléra et de typhus qui décimèrent une grande partie de la population ; Riquewihr eut beaucoup de mal à se relever de ces désolations, le passage des armées du roi de France en 1675 n'arrangeant pas la situation. En 1680, les émissaires de Modèle:Noble prirent possession de Riquewihr, qui resta cependant soumise aux lois et coutumes du Saint-Empire romain germanique et aux ordres des comtes de Wurtemberg<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La période pré-révolutionnaire
Riquewihr fut ensuite définitivement rattachée à la France en 1786, rattachement entériné par le traité de Paris du Modèle:Date- entre le roi de France et le duc de Wurtemberg. Au cours de la Révolution, la famille des Wurtemberg dut abandonner ses autres possessions en Alsace, notamment la principauté de Montbéliard.
La Seconde Guerre mondiale
Contrairement aux autres villages de la région (tels Mittelwihr, Bennwihr ou Sigolsheim), Riquewihr a miraculeusement échappé aux destructions de la Seconde Guerre mondiale du fait de sa position en cul-de-sac. Cette préservation de son patrimoine ancien en fait l'un des villages les plus visités d'Alsace, notamment en période estivale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Il s'inspire des armes des sires de Horbourg et de celui des comtes, puis des ducs de Wurtemberg.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Finances locales
Cette sous-section présente la situation des finances communales de Riquewihr<ref group="Note">Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des Modèle:Nobr du site alize2.finances.gouv.fr concernant Riquewihr. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3. </ref>.
Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Riquewihr s'établit à Modèle:Euro en dépenses et Modèle:Euro en recettes<ref group="A2" name="Alize2_2013_0"/> :
En 2013, la section de fonctionnement<ref group="Note">La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.</ref> se répartit en Modèle:Euro de charges (Modèle:Euro par habitant) pour Modèle:Euro de produits (Modèle:Euro par habitant), soit un solde de Modèle:Euro (Modèle:Euro par habitant)<ref group="A2" name="Alize2_2013_0"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref group="A2" name="Alize2_2013_1"> Modèle:Lien web.</ref> :
- le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels<ref group="Note">Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.</ref> pour une valeur totale de Modèle:Euro (42 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 119 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2009 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2013 ;
- la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux<ref group="Note">Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.</ref> pour Modèle:Euro (37 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 87 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2009 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2013.
Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Riquewihr<ref group="A2" name="Alize2_2013_Detail"> Modèle:Lien web.</ref>. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012<ref group="A2" name="Alize2_2013_Detail"/> :
- la taxe d'habitation égale 14,56 % ;
- la taxe foncière sur le bâti constante 9,28 % ;
- celle sur le non bâti égale 38,00 %.
La section investissement<ref group="Note">La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.</ref> se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance<ref group="A2" name="Alize2_2013_2">Modèle:Lien web.</ref> :
- des dépenses d'équipement<ref group="Note">Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.</ref> pour une valeur totale de Modèle:Euro (91 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 253 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). Depuis Modèle:Nombre, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2010 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2013 ;
- des remboursements d'emprunts<ref group="Note">Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.</ref> pour une somme de Modèle:Euro (7 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 53 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant).
Les ressources en investissement de Riquewihr se répartissent principalement en<ref group="A2" name="Alize2_2013_2"/> :
- subventions reçues pour un montant de Modèle:Euro (19 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 239 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2011 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2009 ;
- nouvelles dettes pour un montant de Modèle:Euro (14 %), soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 131 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant).
L'endettement de Riquewihr au Modèle:Date- peut s'évaluer à partir de trois critères : * l'encours de la dette<ref group="Note">L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au Modèle:Date- de l'année considérée</ref>, l'annuité de la dette<ref group="Note">L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année</ref> et sa capacité de désendettement<ref group="Note">La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : Modèle:Formule. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Riquewihr.</ref> :
- l'encours de la dette pour un montant de Modèle:Euro, soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 69 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). Depuis Modèle:Nombre, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2010 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2013<ref group="A2" name="Alize2_2013_5">
Modèle:Lien web.</ref> ;
- l'annuité de la dette pour une valeur de Modèle:Euro, soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 49 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2010 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2013<ref group="A2" name="Alize2_2013_5"/> ;
- la capacité d'autofinancement (CAF) pour Modèle:Euro, soit Modèle:Euro par habitant, ratio supérieur de 198 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (Modèle:Euro par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de Modèle:Euro par habitant en 2009 et un maximum de Modèle:Euro par habitant en 2012<ref group="A2" name="Alize2_2013_4">
Modèle:Lien web.</ref>. La capacité de désendettement est d'environ Modèle:Nobr en 2013. Sur une période de Modèle:Nobr, ce ratio est constant et faible (inférieur à Modèle:Nobr ans).
Démographie
Modèle:Population de France/section
Lieux et monuments
Modèle:Article détaillé Modèle:Galerie détaillée
Vestiges du château de Bilstein
Les ruines du château fort situé sur la route d'Aubure, à l'est de Ribeauvillé, se trouvent au sud de la vallée du Strengbach, entre le col Haut de Ribeauvillé et la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines. Elles se dressent sur une crête rocheuse du Schlossberg à Modèle:Unité d'altitude. Ce château est mentionné pour la première fois en 1217 dans la chronique de Richer, moine et abbé de Senones. Il appartenait alors au duc de Lorraine qui le céda en fief à la famille des Horbourg.
Pour le distinguer d'un autre château portant le même nom mais situé au val de Villé près d'Urbeis, on lui a accolé de nom de château de Bilstein d'Aubure. Ce dernier le conserva jusqu'en 1324 puis il fut vendu à leur oncle le comte Ulrich III de Wurtemberg. Il transféra en 1387 l'image miraculeuse de la Vierge dans l'église Notre-Dame de Riquewihr. Le donjon et la chemise datent probablement du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: - début |-| – | - début }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIII
}} et la porte haute qui a été refaite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ce château fut restauré à plusieurs reprises aux Modèle:S mini-, {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVII
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}. En 1388, les villes souabes et alsaciennes rassemblées déclarèrent la guerre au duc de Bavière et à ses alliés dont le comte Eberhard de Wurtemberg. Il leur fut demandé d'épargner le château de Bilstein.
En 1424, Ferry, bâtard de Charles II de Lorraine, en obtint la jouissance. Les habitants de Beblenheim payaient en 1472 une redevance afin que le châtelain surveille leurs forêts. En 1547, l'empereur était en guerre contre les Wurtemberg et fit le siège du château. Pendant la guerre de Trente Ans, du 10 au Modèle:Date, il fut occupé et ruiné par les troupes impériales du comte de Schlick. Un incendie survenu en 1640 acheva de le ruiner complètement. Le dernier bailli du château qui prit possession des ruines prit ses fonctions en 1655. Devant l'ampleur des réparations, il fut petit à petit délaissé et servit de carrière à la population de Riquewihr. Le Château de Bilstein allait servir de prison à diverses reprises jusqu'en 1489<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Vestiges du château de Reichenstein
Près de Riquewihr existent encore les ruines du château de Reichenstein (Castrum Richenstein) qui fut détruit en 1269 par Rodolphe de Habsbourg à cause des brigandages exercés par ses possesseurs, les frères Giselin<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:...
Hôtel de ville de 1809
Édifice néo-classique<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:…
Ancien château des Wurtemberg
Ancien château des comtes de Montbéliard-Wurtemberg, Modèle:2e Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1539), classé au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée Ancien château des comtes de Montbéliard-Wurtemberg</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Ancien château des comtes de Montbéliard-Wurtemberg</ref>. Il abrite désormais le musée de la Communication<ref>Le Château des Wurtemberg</ref>.
Musée de la Communication en Alsace
C'est sur l'initiative des « Amis de l'Histoire des PTT d'Alsace » (Postes, diligences, telecoms) que ce musée a été créé et qu'il a reçu l'approbation du conseil municipal. Il est installé dans l'ancien château des comtes de Wurtemberg, désaffecté comme école en 1970-1971. C'est le seul musée de ce genre en France. On peut y voir de nombreuses pièces de l'histoire de la poste en Alsace. Il a évolué pour devenir le Musée de la Communication en Alsace<ref>Site Internet du musée de la Communication en Alsace</ref>. Il fermera définitivement en Modèle:Date-.
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Ancien château des comtes de Wurtemberg, aujourd'hui musée de la Communication en Alsace. -
Façade latérale avec pignon Renaissance. -
Façade arrière. -
Porte d'entrée de la tourelle d'escalier.
Ancienne cour de l'abbaye d'Autrey (1510)
Modèle:Article détaillé En 1579, le vigneron et bourgeois de Riquewihr, Melchior Strauss acheta aux chanoines augustins d'Autrey, près de Rambervillers (Vosges) cette cour mentionnée un siècle plus tôt. Elle fut restaurée de 1579 à 1581 par un entrepreneur de Milan, Antoine Muzat. L'année 1581 se trouve sur la porte de la tourelle et sur une pierre du chaînage d'angle près de l'oriel. Le receveur ecclésiastique Jean Fehr s'y installa comme locataire. Cette tourelle monte de la cave aux combles par un escalier à vis suspendu. Sa voûte à huit nervures supporte une terrasse dont le garde-corps est orné d'un réseau de pierres constituant une véritable dentelle (classé monument historique en 1990)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Ancienne cour des Évêques de Strasbourg (1506)
Partie de l'ancienne cour de Strasbourg, portant la date de 1550 sur le linteau d'une baie à deux meneaux<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:…
Ancien hôtel de Berkheim (1523)
Ancien hôtel de Berkheim, 37 rue du Général-de-Gaulle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:…
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Ancienne cour de l'abbaye d'Autrey (1510). -
Ancienne cour des Évêques de Strasbourg (1506). -
Ancienne cour des Évêques : porte de 1597 de la tourelle d'escalier. -
Ancien hôtel de Berkheim (1523).
Dolder
Le Dolder était la porte d'entrée de la ville de Riquewihr construite en même temps que la muraille au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (en 1291). Elle servait à défendre la ville contre toute intrusion étrangère grâce à sa tour de guet installé sur le beffroi. Dolder signifie en alsacien « le point le plus haut ». Le beffroi a une hauteur de Modèle:Unité et a été construit pour impressionner l'ennemi grâce à l'aspect militaire de sa façade extérieure. Le côté tourné vers la ville donnait un aspect plus agréable grâce à ses poutres en forme de colombages et ses quatre étages qui étaient occupés par la famille du gardien. Le gardien devait assurer le guet et fermer la porte de l'entrée du village chaque soir et prévenir la population si quelque chose d'anormal se passait en donnant l'alarme. Il disposait pour cela d'une petite cloche sur le sommet du beffroi. Cette cloche a été fondue en 1842 et portait l'inscription « c'est la joie, c'est l'alarme que mon son produit. De jour j'annonce le vacarme et le repos de la nuit ». Ce monument reste encore aujourd'hui l'emblème le plus remarqué dans la ville. L'intérieur du Dolder, autrefois habitation du gardien, abrite aujourd'hui dans trois de ses étages le musée local de l'art et de la tradition populaires. La tour abrite une collection d'armes du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVII
}} et divers outils et objets liés directement aux profession vinicoles. On y trouve également des documents et des souvenirs de familles ainsi que des ustensiles de l'époque dont l'usage a maintenant complètement disparu. Un coup d'œil le long du mur d'enceinte, à droite et à gauche du Dolder et le long de la Semme fait sentir son côté pittoresque, la solidité et l'importance de ces fortifications.
Porte Haute
La Porte haute se trouve à quelques pas de la sortie ouest. En raison du développement des armes à feu, une seconde enceinte fut aménagée vers 1500 et destinée à renforcer les trois côtés les plus vulnérables de la ville (est, sud et ouest). L'emplacement était muni d'un pont-levis qui reste encore partiellement visible sur le mur extérieur du bâtiment, ainsi que le passage où se dressait une porte massive en bois à double battant. Installée vers l'an 1500, cette herse est l'une des plus anciennes d'Europe et est antérieure de quelques années à celle que l'on peut apercevoir sur la tour de Londres. Cette porte ainsi que les remparts et les bastions furent édifiés à la demande du duc de Wurtemberg. Les deux battants de la porte ont bravé les siècles. À la même époque, l'édifice est complété d'un profond et large fossé destiné à rassurer la population. Des tours défensives de l'enceinte construite en 1291, il ne subsiste que les tours des angles sud-ouest (tour Heller), au nord-ouest (la tour des Anabaptistes) et au nord-ouest la tour des Voleurs. La porte se trouvant au bas du village a été démolie au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en même temps que la tour sud (la Tour blanche).
Tour des Arianes
La Tour des Arianes est une construction en forme de corps construite en 1550 et d'une hauteur de Modèle:Unité. À l'intérieur de la première pièce se trouve la chambre des tortures avec ses instruments authentiques. On y enfermait les malfrats. En 1484, les habitants demandèrent au seigneur de ne plus être enfermés dans cette tour et de la réserver aux étrangers. La tour blanche, aujourd'hui disparue, était destinée à y enfermer les détenus de Riquewihr. L'accès à la tour des Voleurs se fait par la cour des Juifs en escaladant le mur d'enceinte par un vieil escalier de l'époque. Le musée de la Tour des Voleurs abrite des oubliettes d'époque avec salle de torture. Il est établi dans les anciens cachots de la ville.
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Dolder vu de la rue du Général-de-Gaulle. -
Dolder et fontaine de la Sinne (Modèle:S mini--Modèle:S mini-)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. -
Porte sous le Dolder. -
Porte Haute. -
Tour des Voleurs.
Puits du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Créé en 1958 par Jocelyne Bouladier. Nommée plus communément "Joubouladier". Ce puits en grès rose datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est situé entre les rues Hederich et du Général-de-Gaulle. Les montants de ce puits conservent de magnifiques sculptures<ref>Modèle:Base Mérimée Puits, dit des Juifs</ref>.
Maisons traditionnelles inscrites à l'inventaire des Monuments historiques
Modèle:… La ville compte de nombreuses maisons des Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles inscrites à l'inventaire des Monuments historiques.
- Maison, 1 rue des Trois-Églises (1480)
- Maisons (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 13 et 13 bis rue du Général-de-Gaulle
- Maison de vigneron dit le Gratte-Ciel (1561)
- Maison de vigneron dite « Nid de cigogne » (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 16 rue du Général-de-Gaulle
- Ancienne maison de tonnelier (Modèle:S mini-), 18 rue du Général-de-Gaulle
- Maison du gourmet Conrad Ortlieb (Modèle:S mini-), 2 rue du Cerf
- Maison dite Au Bouton d'or (Modèle:S mini-), 16 rue de la Première-Armée
- Ancienne maison de vigneron (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 18 rue de la Couronne
- Maison de vigneron (1551), 6 rue Latérale
- Maison de notable dite maison Dieffenbach (1606), 12 rue du Général-de-Gaulle
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Maison, 1 rue des Trois-Églises (1480). -
Maisons (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 13 et 13 bis rue du Général-de-Gaulle. -
Maison Dieffenbach (1606), 12 rue du Général-de-Gaulle. -
Maison de vigneron dit le Gratte-Ciel (1561). -
Maison de vigneron dite « Nid de cigogne » (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 16 rue du Général-de-Gaulle. -
Ancienne maison de tonnelier (Modèle:S mini-), 18 rue du Général-de-Gaulle. -
Maison du gourmet Conrad Ortlieb (Modèle:S mini-), 2 rue du Cerf. -
Maison dite Au Bouton d'or (Modèle:S mini-), 16 rue de la Première-Armée. -
Ancienne maison de vigneron (Modèle:S mini--Modèle:S mini-), 18 rue de la Couronne. -
Maison de vigneron (1551), 6 rue Latérale.
Le musée Hansi
Ce musée est consacré à Jean-Jacques Waltz dit Hansi et présente un ensemble de Modèle:Nombre : lithographies, aquarelles, cartes postales, étiquettes de vins, affiches, livres, vaisselles. Il a été réalisé par des bénévoles de l'Association des amis de Hansi rue du Général-de-Gaulle<ref>Le musée Hansi</ref>. Un musée Hansi est également présent à Colmar.
Patrimoine religieux
Les nombreuses petites ruelles qui rayonnent à partir de la grand-rue sont l'occasion de promenades et d'une plongée dans l'histoire de la ville. Au centre, la rue des Trois-Églises, qui débouche sur la place du même nom, comprend :
- l'ancienne église Notre-Dame transformée (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) située 16 place des Trois-Églises. L'édification de cette ancienne église est due au comte Ulrich III de Wurtemberg, qui a fait venir du château de Bilstein une image miraculeuse de la Vierge dans cette église qui devient ainsi un lieu de pèlerinage très fréquenté. En 1534, avec la Réforme, l'église est transformée en presbytère protestant et l'image miraculeuse est détruite. Le clocheton et le chœur sont détruits au cours de la Révolution. Attenant au mur d'enceinte nord, l'édifice présente des vestiges significatifs d'un petit sanctuaire gothique : grandes arcades brisées, une fenêtre haute trilobée et une grande baie à réseau dans le pignon ouest. Au second étage, une fenêtre est datée de 1573 ;
- l'ancienne chapelle Saint-Erard de l'ancien hôpital (Modèle:S mini-Modèle:S mini), 14 rue des Trois-Églises<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
- l'église protestante Sainte-Marguerite (1846)<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et son orgue<ref>Modèle:Base Palissy Orgue de l'église de protestants Sainte-Marguerite</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy Orgue de l'église protestante Sainte-Marguerite</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy Orgue de l'église protestante Sainte-Marguerite</ref> ;
- l'église catholique Sainte-Marguerite (1845) et son orgue de Joseph Stiehr de 1853<ref>Modèle:Base Palissy orgue de tribune</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy Orgue de l'église de catholiques Sainte-Marguerite</ref>,<ref>Inventaire de l'orgue</ref>.
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Ancienne église Notre-Dame (Modèle:S mini-). -
L'ancienne chapelle St-Erard de l'ancien hôpital (Modèle:S mini--Modèle:S mini-). -
L'église protestante Sainte-Marguerite. -
L'église catholique Sainte-Marguerite.
Personnalités liées à la commune
- René Paira, un préfet du Haut-Rhin issu d'une vieille famille de Riquewihr<ref>souvenirs d'un préfet alsacien / René Paira</ref>,<ref>Que-sais-je, L'Alsace-Lorraine pendant la guerre 1939-1945, par Pierre Rigoulot Chercheur à l'Institut d'Études sociales, pp. 65-68-69</ref>.
Jumelages
Riquewihr est jumelée avec :
Modèle:Jumelage<ref>Jumelage "Weil der Stadt et Riquewihr"</ref>.
Concours
Le village est gratifié du label des plus beaux villages de France, décerné par une association indépendante visant à promouvoir les atouts touristiques de petites communes françaises riches d'un patrimoine de qualité. Riquewihr est également récompensée par deux fleurs au palmarès du concours des villes et villages fleuris<ref>Source : Villes et Villages Fleuris</ref>.
Anecdotes
Le téléfilm Maître Zacharius, réalisé en 1973 par Pierre Bureau d'après l'œuvre de Jules Verne (Maître Zacharius ou l'Horloger qui avait perdu son âme) a été tourné en grande partie à Riquewihr. À cette occasion, de nombreux habitants du village y ont été engagés comme figurants. A également été tournée la mini-série anglo-germano-américaine Le Modèle:10e Royaume, dont un épisode met en valeur le Dolder.
Vincent Delerm évoque la commune dans sa chanson Tes parents en 2002 : Modèle:Citation.
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Ehret, Riquewihr, perle du vignoble, La Nuée Bleue, Strasbourg, 32 pages
- Ensfelder Ed. : Schuetzenordnung von Reichenweier, Strassburg, 1866
- Modèle:Chapitre
- Guy Leduc, Riquewihr, la perle d'Alsace, Éditions Edelhé, 2007, 208 pages, Modèle:ISBN
- Christian Pfister, Le comté de Horbourg et la Seigneurie de Riquewihr sous la souveraineté française (1680-1793), Fischbacher, 1889, Strasbourg, 124 pages
- Riquewihr, ce joyau de l'Alsace, Éditions des Dernières Nouvelles de Strasbourg, Collection « les merveilles de l'Alsace » 1954
- Lucien Sittler, Riquewihr - Édition des Dernières Nouvelles, Strasbourg, 1974, 20 pages
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Riquewihr, paroisse luthérienne
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Le Schœnenbourg et le sporen, deux grands crus d'Alsace ;
- Hugel et fils ;
- Marché de Noël de Riquewihr
- Liste des communes du Haut-Rhin
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Musée de la Communication en Alsace
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement de la commune
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes Modèle:Références
Autres sources Modèle:Références nombreuses