Saint-Cyprien (Dordogne)

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Cyprien est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Chef-lieu du canton de Saint-Cyprien de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton de la Vallée Dordogne.

Géographie

Généralités

Saint-Cyprien fait partie du Périgord noir et se situe en rive droite de la vallée de la Dordogne. Elle est implantée au flanc d'un coteau.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Saint-Cyprien est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire communal est distant d'une centaine de mètres de celui de Marnac.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Cyprien est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24396-Saint-Cyprien-géologie.svg
Carte géologique de Saint-Cyprien.

Modèle:Boîte déroulante/début

Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Quaternaire
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Holocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Pléistocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Néogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Oligocène  non présent
Éocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Paléocène  non présent
Mésozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Crétacé
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
inférieur non présent.
Jurassique
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Moyen  non présent
Jurassique inférieur  non présent
Trias
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Dordogne, le Moulant, le Moulinet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Dordogne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (Modèle:Unité), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle borde la commune au sud sur deux kilomètres, face à Berbiguières.

Son affluent de rive droite le Moulant arrose le sud-est du territoire communal sur près de deux kilomètres et demi, passant à l'est et au sud du bourg.

Affluent de rive gauche de la Vézère, le Moulinet prend sa source dans le nord de la commune, lui servant de limite territoriale sur trois kilomètres en direction du nord-ouest, face aux Eyzies.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Au sud, environ 55 % du territoire dépend du SAGE Dordogne amont. Au nord, le bassin versant du Moulinet est rattaché au SAGE Vézère-Corrèze.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:Stcypriendordogne.jpg
La Dordogne vue depuis Saint-Cyprien.

Natura 2000

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les Modèle:Nobr riveraines de la Dordogne, dont Saint-Cyprien<ref>- FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

ZNIEFF

Saint-Cyprien fait partie des Modèle:Nobr concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de Modèle:Nobr « La Dordogne »<ref>Modèle:Pdf - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales<ref>Espèces, INPN, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Cyprien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,4 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (5,8 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Saint-Cyprien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2002, 2003 et 2008<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le Modèle:Date-, pour les crues de la Dordogne<ref>Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.

Saint-Cyprien est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24396-Saint-Cyprien-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Cyprien.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 21,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005, 2009, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risque technologique

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe AModèle:Note situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Le nom du lieu se réfère à l'ermite Cyprien, fondateur sur place d'un monastère<ref name=Carles>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Cíbran sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Histoire

Petite ville née autour d'une abbaye de chanoines réguliers de Saint-Augustin, qui aurait été bâtie sur la tombe d'un ermite appelé Cyprien. Cet ermite se serait installé en l'an 620 dans les grottes de Fages qui surplombent l'actuel village. Il y aurait fondé un monastère. Les invasions barbares, à partir de 848, obligent les religieux à s’entourer de remparts, dont le clocher-donjon est un vestige.

En 1076, le monastère, rattaché à l’ordre des Augustins, devient si florissant que Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux et futur pape Clément V, le place sous sa juridiction en tant que seigneur de Bigaroque, d'abord en franc-alleu, avant que l'archevêque Blaise Régnier de Gréelle en fasse hommage au roi. Pendant la guerre de Cent Ans, Saint-Cyprien a souffert de sa position avancée sur la frontière entre le duché de Guyenne et le royaume de France.

Le Modèle:Date-, l'archevêque de Bordeaux, François d'Escoubleau de Sourdis a aliéné ses droits sur Saint-Cyprien au profit de Jean-Jacques de Montesquiou de Saint-Colombe. Le Modèle:Date-, Henri d'Escoubleau de Sourdis a obtenu du Grand conseil d'être rétabli dans la propriété de Saint-Cyprien à condition de rembourser le propriétaire du lieu de la somme de Modèle:Nombre. Ce qui n'a pas été fait avant 1660 par manque de moyens. Le Modèle:Date-, les habitants de Saint-Cyprien ont permis à l'archevêque de Bordeaux de racheter ses droits sur Saint-Cyprien en lui offrant Modèle:Nombre<ref>Albert Vigié, Possessions des archevêques de Bordeaux en Périgord et principalement dans le Sarladais, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1910, tome 37, Modèle:P. ('lire en ligne)</ref>.

Le château des Fages et le prieuré sont incendiés par les armées calvinistes pendant les guerres de Religion, en 1568. En 1685, le monastère est reconstruit. Déclaré « bien national », il est vendu le Modèle:Date- à la commune pour la somme de Modèle:Unité. En 1871, la Régie française des tabacs le transforme en entrepôt après avoir abattu le cloître et fait murer les portes de communication avec l’église qui était devenue « temple de la Raison consacré à l'Être suprême » en 1792.

La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792 – 1795), le nom de Cyprien-sur-Dordogne<ref name=Cassini/>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Saint-Cyprien est le chef-lieu du canton de Saint-Cyprien qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)<ref name=Cassini/>.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du Modèle:Date-, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne, dont elle devient le bureau centralisateur.

Intercommunalité

Fin 1994, Saint-Cyprien intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Dordogne dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède dont elle est également le siège.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 1 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.</ref>.

Liste des maires

Fichier:Saint-Cyprien (Dordogne) -10.JPG
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Le Modèle:Date-, le bourg a fait son entrée parmi les Petites Cités de caractère de France pour une période de cinq ans<ref>« La commune homologuée Petites Cités de caractère pour cinq ans », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.

Jumelages

Fichier:Saint-Cyprien (24) panneau jumelage.JPG
Panneau de jumelage de Saint-Cyprien.

Équipements et services publics

Santé

Une maison de santé pluridisciplinaire a ouvert en Modèle:Date- à Saint-Cyprien. Elle rassemble un médecin généraliste, une diététicienne, un kinésithérapeute, un ostéopathe, un podologue et un psychologue<ref name="SO-05-11-2021">Léna Badin, « La maison de santé est désormais ouverte », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>. Deux infirmières, trois autres médecins généralistes et une sage-femme devraient les rejoindre prochainement, et ensuite trois locaux (dont un cabinet dentaire) resteront disponibles pour accueillir d'autres professionnels<ref name="SO-05-11-2021"/>.

Justice

Dans le domaine judiciaire, Saint-Cyprien relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Les habitants de Saint-Cyprien sont appelés les Cypriotes.

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

En Modèle:Date-, Saint-Cyprien organise pour la première fois la Félibrée du Périgord, dont c'est la Modèle:99e<ref>Franck Delage, « La fine fleur du Périgord », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.

Vie associative

Fichier:PontDuGarrit.jpg
Vue du pont du Garrit depuis la rive droite de la Dordogne (côté Saint-Cyprien).

L'association du Pont du Garrit se mobilise pour préserver, réhabiliter et animer le patrimoine du Pont du Garrit, qui traverse la Dordogne, entre les communes de Berbiguières et de Saint-Cyprien, ainsi que son environnement. Modèle:Référence nécessaire.

Économie

Emploi

En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Cyprien (24396) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 37,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (136) a augmenté par rapport à 2010 (113) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 23,0 %.

Établissements

Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont 156 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-cinq dans la construction, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et douze dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Cyprien (24396) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.</ref>.

Entreprises

Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Saint-Cyprien se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

Péchalou, laiterie artisanale bio, est implantée à Saint-Cyprien où elle emploie seize personnes en 2014<ref>Eurydice Baillet, « Il croit en Péchalou », Sud Ouest édition Périgueux du 8 décembre 2014, Modèle:P..</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civil

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}}, non ouvert au public, dont la chapelle et les ruines du château sont inscrits au titre des monuments historiques en 1933, alors que le pavillon Renaissance est classé monument historique en 1965<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 17 février 2011.</ref>.

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}}, inscrit en 1949, et son parc inscrit en 2002<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 17 février 2011.</ref>.

  • Le bâtiment de l'ancienne justice de paix : devenu un lieu artistique avec des expositions d’arts durant l’été.
  • Les quartiers hauts de Montmartre : point de vue sur la vallée de la Dordogne.
  • De nombreuses maisons des {{#switch: XVII
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}} en contrebas de l'abbaye.

  • La truffière de Péchalifour.
  • Domaine de la voie blanche : vignoble.
  • Pont du Garrit : pont métallique construit en 1892-1894 par l'entreprise Hachette et Driout de Saint-Dizier. Il permettait à un chemin vicinal d'une seule voie de franchir la Dordogne, entre Berbiguières et Saint-Cyprien. Le pont à une longueur de Modèle:Unité. Il n'est plus utilisé aujourd'hui que par les piétons.

Patrimoine religieux

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}}

}}, avec son clocher-donjon, réputée pour ses qualités acoustiques, classée monument historique en 1923<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 17 février 2011.</ref>. Une grande partie de son remarquable mobilier intérieur des {{#switch: e

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}} : buffet d'orgue<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 17 février 2011.</ref>, maîtres-autels<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 17 février 2011.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 17 février 2011.</ref> et leurs statues en bois polychrome, stalles<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 17 février 2011.</ref>, chaire<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 17 février 2011.</ref>, est classé monument historique. Le clocher se visite pendant les Journées du Patrimoine. Les quatre vitraux de la façade sud ont été réalisés en 1965 par Henri Guérin, peintre et verrier (1929 – 2009) dans un style contemporain (verre teinté et béton armé).

Patrimoine naturel

Personnalités liées à la commune

Fichier:Optimized-Plaquerue JosephPrunis.jpg
Plaque de la rue Joseph-Prunis à Saint-Cyprien.
  • Joséphine Baker était la marraine de Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby
  • Bertrand de Got (1264-1314), archevêque de Bordeaux, futur pape Clément V, place le monastère de Saint-Cyprien sous sa juridiction.
  • Christophe de Beaumont du Repaire (1703-1781), prélat français dont le cœur repose dans une chapelle de Saint-Cyprien.
  • Joseph Prunis (1742-1816), clerc et homme politique, fut maire de Saint-Cyprien et y est décédé<ref>Fiche de Joseph Prunis sur le site de l'Assemblée nationale, consulté le 12 juin 2012.</ref>
  • André Jouanel (1873-1960), avoué, premier adjoint à la mairie de Sarlat, président fondateur des amis du vieux Bergerac<ref>Modèle:Lien web</ref>, archiviste municipal de Bergerac, mainteneur du Bournat. En 1902 il rachète le château de Grignols et le sauve d’une ruine certaine en le restaurant entièrement<ref>Modèle:Lien web</ref>.
  • Pierre Boissel (1872-1939), médecin à Saint-Cyprien et poète occitan, il exerçait autrefois son activité dans les communes du canton. Ses poèmes écrits en patois périgordin ont été édités dans le recueil : Lou Ser ol Contou (« Le soir devant la cheminée »)<ref>Docteur Boissel, Lou Ser ol Contou, 1936, éditions Michelet, Sarlat.</ref>.
  • Alberte Sadouillet-Perrin (1899-1999), historienne et écrivain local. A publié Mémoires d’une centenaire en Périgord sarladais<ref>Alberte Sadouillet-Perrin, Mémoires d’une centenaire en Périgord saraladais, Éditions du Roc de Bourzac, 1998 Modèle:ISBN.</ref> et Saint-Cyprien, sa plaine et ses coteaux.
  • Jean-Pierre Bouchard (1955-), psychologue, criminologue et acteur, a suivi le premier cycle d’études secondaires au collège d’enseignement général de Saint-Cyprien. Il a été licencié au « Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby ainsi qu'aux clubs de handball et de cyclisme de Saint-Cyprien.
  • Arthur Cobalet (1855-1901), chanteur d'opéra, né à Saint-Cyprien.
  • Élie Marty (1930-2003), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
  • Louis de Carbonnier de Marzac (1810-1875), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
  • (Antoine) Georges Escande (1847-1928), homme politique français, conseiller général du canton de Saint-Cyprien, il devient maire de Saint-Cyprien de 1878 à 1884.

Héraldique et devise

Héraldique

Modèle:Blason commune

Devise

La devise de Saint-Cyprien est : Quid sucitabit telum qui signifie littéralement « qui osera tirer un trait » et que l'on peut traduire par « qui osera me défier »<ref>Selon la bannière sous le blason sur le site officiel de la commune, consulté le Modèle:1er juillet 2012.</ref>.

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

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