Saint-Gilles (Gard)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie

Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Gilles, aussi appelée Saint-Gilles-du-Gard, est une commune française située dans le sud-est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rhône, le canal d'irrigation du Bas-Rhône Languedoc, le canal du Rhône à Sète, le ruisseau de l'Agau, Valat des Grottes, Valladas de Sainte-Colombe. Incluse dans la Camargue (delta du Rhône), la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (« le Petit Rhône », la « Petite Camargue » et la « Camargue gardoise fluvio-lacustre »), trois espaces protégés (les « Costières de Nimes », la Camargue et la Petite Camargue) et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Gilles est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Gilles et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois ou Saint-Gilloises.

La ville, qui doit son nom au célèbre abbé Gilles l'Ermite dont elle garde le tombeau, fut un des plus importants lieux de pèlerinage de la chrétienté au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois.

Le patrimoine architectural de la commune comprend neuf immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église abbatiale, classée en 1840, la maison romane, classée en 1862, le mas de Liviers, inscrit en 1935, une maison, inscrit en 1936, deux maisons, inscrites en 1949, la chapelle Sainte-Colombe, inscrite en 1949, le château d'Espeyran, inscrit en 2009, l'abbaye de Saint-Gilles, classée en 1984, puis inscrite en 2014 et classée à nouveau en 2018, et trois maisons, inscrites en 1963 et 1964.

Modèle:Sommaire

Géographie

Saint-Gilles est la cinquième ville du département du Gard en nombre d'habitants. La ville est l'une des soixante-quinze communes membres du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud du Gard (voir lien) et fait également partie des quarante-et-une communes du pays Garrigues Costières. Enfin, la ville est membre du Syndicat mixte pour la protection et la gestion de la Camargue gardoise, avec sept autres communes du sud du département.

Accès

Saint-Gilles-du-Gard est accessible par la route départementale Modèle:Nobr depuis Arles, à l'est, et la route départementale Modèle:Nobr, depuis Vauvert, à l'ouest. La route départementale Modèle:Nobr relie la commune à Nîmes et à l'aéroport de Nîmes-Garons, l'aéroport le plus proche, au nord. La route départementale D 38 relie Saint-Gilles a Bellegarde ou Beaucaire et la D14, enfin, Saint-Gilles à Générac.

Lieux-dits et hameaux

Saint-Gilles compte plusieurs hameaux et lieux-dits : Pont Rouge, Puech Rouge, Espeyran, Estagel, la Baume, la Cassagne.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Relief

Saint-Gilles étant en limite de la Camargue, une grande partie du territoire de la commune, à l'est, est plane. Le village, quant à lui, a été construit sur une colline.

Géologie

Modèle:...

Hydrographie

Fichier:St Gilles - Canal Rhône écluse.jpg
Écluse de Saint-Gilles.

Traversée par le canal du Rhône à Sète et le canal du Bas-Rhône-Languedoc, la commune, de très grande superficie (Modèle:Nombre dont Modèle:Nombre et Modèle:Nombre), se divise en deux parties distinctes :

  • au nord, les collines des Costières qui portent vignes et garrigues ;
  • au sud, les rives du Petit-Rhône qui s'étendent entre les marais et les étangs de Petite Camargue. En bordure du fleuve sont quelques mas et l'écluse moderne de Saint-Gilles, qui met en communication le canal et le Petit-Rhône.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 17,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1964 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Climat

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune fait également partie de la Camargue (delta du Rhône), un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1977 pour ses nombreux bombements sources de diversité : bourrelets alluviaux des bras anciens et actuels du Rhône et cordons dunaires élaborés par les courants marins et les rivages historiques de la Méditerranée. Entre ces replis encore en partie boisés, dans les dépressions, se répartissent des terres basses occupées par les lagunes bordées de steppes salées, les marais à roselières en partie exploités pour la coupe du roseau et les étangs - dont le plus grand, le Vaccarès, occupe Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000

Fichier:30258-Saint-Gilles-Natura2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :

  • « le Petit Rhône », d'une superficie de Modèle:Unité, un site de grande importance pour la remontée des poissons migrateurs, parfaitement complémentaire du Grand Rhône<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;

la « petite Camargue », d'une superficie de Modèle:Unité, une grande zone humide littorale indissociable de la Camargue provençale. Il comprend deux ensembles très intéressants : d'une part une zone laguno-marine avec un important massif dunaire actif avec de nombreuses dunes vives et fixées dont certaines boisées (Genévriers et Pins pignons) et d'autre part une zone fluvio-lacustre constituée de marais et d'étangs doux à saumâtres<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;

et un au titre de la directive oiseaux<ref name= Natura/> :

  • la « Camargue gardoise fluvio-lacustre », d'une superficie de Modèle:Unité, comprenant une vaste zone (Modèle:Unité) de marais dulçaquicoles constituée par les étangs du Charnier, du Grey et du Scamandre ceinturés par la plus vaste étendue de roselières de la région (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « étangs du Charnier et du Scamandre » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :

Toponymie

La commune tient son nom de Gilles l'Ermite (connu également sous le nom de Saint Egide, de son nom grec Ægidius)<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui est enseveli sous l'abbaye de Saint-Gilles depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

(en occitan Sant Geli)

Histoire

Fichier:Louvre porte langudoc rf2141.jpg
Porte de l'ancien prieuré d'Estagel.

Saint-Gilles est sans doute le Pons Aerarium de l'Itinéraire de Bordeaux à Jérusalem (333 {{#if:|{{#ifeq:|l|{{#if:|[[| apr. J.-C.]]|apr. J.-C.}}| Modèle:Abréviation discrète}}|Modèle:Abréviation discrète}}), à Modèle:Nombre de Nîmes et Modèle:Nombre d'Arles. C'est l'aboutissement de la Voie Régordane, route descendant du Massif central et des Cévennes. Aujourd'hui à la lisière de la Camargue, Saint-Gilles était autrefois un port utilisé par les marchands, les pèlerins et les croisés.

Les descendants d'Eudes de Toulouse, le comte de Toulouse et le comte de Rouergue se partagent en 975 le comté de Nîmes. Guillaume Taillefer reçoit Saint-Gilles. Son fils, Pons de Toulouse est comte de Toulouse et de Saint-Gilles. Son domaine est partagé entre ses deux fils. Raymond Béranger IV reçoit le comté de Saint-Gilles, puis le comté de Toulouse à la mort de son frère, Guillaume IV de Toulouse. Son fils, Bertrand de Toulouse, renonce au comté de Saint-Gilles à la demande de son père au profit de son frère Alphonse Jourdain né en 1103 en Terre sainte, mais Bertrand de Toulouse occupe le comté de Saint-Gilles à la mort de son père, en 1105. Il est alors excommunié. Bertrand de Toulouse part pour la Terre sainte en 1108 et confie le comté de Toulouse à son frère Alphonse Jourdain.

En 1095 a été créée la monnaie de Saint-Gilles, moneta egidiensis. Le champ de l'avers représente un quadripède devant une croix. Le quadrupède représenté sur l'avers a été un sujet de discussion entre numismates. La proximité de cette représentation avec l'Agneau pascal qui a été utilisé sur la monnaie créée dans le comté de Tripoli par Bertrand de Toulouse a amené des numismates à penser que ce quadrupède est un agneau pascal. D'autres y voient un cheval. Cette monnaie qui a été en concurrence pendant un temps avec le denier melgorien est citée dans des textes en 1105, 1109, 1110, 1138 et 1141. Elle est citée pour la dernière fois en 1144. Le melgorien est redevenu progressivement la seule monnaie du Languedoc entre 1130 et 1150 mais qui est en concurrence avec le sol raymondin créé en 1150 par Raymond V de Toulouse, marquis de Provence. Le monnayage de Saint-Gilles n'a duré que 50 ans<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

C'est à Saint-Gilles que fut brûlé en 1126, un des premiers grands hérésiarques du Midi, Pierre de Bruys, qui prêchait une doctrine anti sacerdotale.

En 1208, le légat du pape Pierre de Castelnau, un ami du pape Innocent III, parcourt la région pour essayer d'endiguer l'hérésie cathare dans le midi de la France. Il est assassiné par un écuyer du comte de Toulouse Raymond VI le Modèle:Date- à Trinquetaille, à une quinzaine de kilomètres de l'abbatiale de Saint-Gilles où il est inhumé. Cet évènement est à l'origine du concile des évêques réunis dans l'abbatiale de Saint-Gilles le Modèle:Date-, au cours duquel le pape Innocent III lance l'appel à la Croisade contre les Albigeois, avec pour priorité de procéder au sac de Béziers : ce sac aura lieu un mois plus tard les 22 et Modèle:Date- avec une armée croisée de Modèle:Nombre sous le commandement de l'abbé de Citeaux, Arnaud Amalric.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les vins de Saint-Gilles et de la Costière sont parmi les plus prisés de la Cour pontificale d’Avignon. Jean XXII fait venir son « vin nouveau » de Saint-Gilles et Beaucaire. Quand, en 1367, Urbain V quitte Avignon pour Rome il se fait envoyer par le port d’Arles une cargaison de vin de la Costière et de Beaune<ref>Cf. L. Stouff, Arles à la fin du Moyen Âge, Université de Provence, Aix-en-Provence, 1986.</ref>. De retour en Avignon, Grégoire XI fit lui aussi approvisionner ses celliers par les vins de Saint-Gilles et la Costière.

Si, durant tout le Moyen Âge, les vins provenant de ce terroir furent considérés à l'égal de ceux de Beaune, c'est qu'ils étaient produits avec un cépage exceptionnel, le mourvèdre appelé alors « plant de Saint-Gilles ».

Le comté de Saint-Gilles a été une possession des comtes de Toulouse. La ville fut prise par le gouverneur du Languedoc, Damville, alors en délicatesse avec le roi, en Modèle:Date-<ref>Modèle:Guerres de Religion-Miquel Modèle:P.307.</ref>. Elle est rapidement reprise par le baron d’Acier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Héraclée<ref name=Cassini/>. Saint-Gilles s'est aussi appelée Saint-Gilles-les-Boucheries jusqu'en 1837.

À partir de 1939, le territoire de la commune abrite la Base d'aéronautique navale de Nîmes-Garons, devenue l'aéroport de Nîmes Alès Camargue Cévennes.

Les Hospitaliers

Modèle:Article détaillé

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, c'est le lieu de naissance du pape Clément IV. Saint-Gilles a été le siège du grand prieuré de la langue de Provence de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, jusqu'en 1615, date de son transfert à Arles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Saint-Gilles a eu quelque temps une municipalité d'extrême-droite, une première en France pour une ville de plus de 10 000 habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, (Charles de Chambrun, Front national, élu en 1989), finalement remplacée en 1992 par une coalition de droite et de gauche menée par un maire sans étiquette, Roland Gronchi, lors d'une élection partielle.

En 2010, à la suite d'une autre élection partielle due à la démission du Conseil municipal, la mairie revient, pour la première fois depuis 50 ans, à la gauche. C'est Alain Gaido (PS) qui reconquiert le fauteuil de maire, opposé à une droite divisée en trois listes.

En 2014, la ville bascule à nouveau à droite avec l'élection de l'UMP Eddy Valadier face au FN Gilbert Collard, la liste du maire PS sortant, Alain Gaido, s'étant désistée au second tour au profit de la liste d'Eddy Valadier.

En 2020, la liste d'Eddy Valadier est élue au premier tour avec 70,03% face aux candidats du Rassemblement national et du Parti socialiste.

Canton

Saint-Gilles est le chef-lieu du canton du même nom. Il dépend de la deuxième circonscription du Gard.

Intercommunalité

Saint Gilles est l'une des Modèle:Nombre de Communauté d'agglomération Nîmes Métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont le président est Yvan Lachaud (UDI). L'intercommunalité et la commune de Saint-Gilles coordonnent actuellement deux dossiers : une nouvelle station d'épuration, ainsi que la création de l'« Actiparc Mitra» (zone d'activité économique).

Jumelages

Saint Gilles est jumelée avec Altopascio, en Toscane (Modèle:Pays)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Saint Gilles, est depuis le Modèle:Date-, jumelée avec la ville d'Abensberg, en Bavière (Modèle:Pays).

Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|180px|Localisation des villes jumelées avec Saint Gilles]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte

Démographie

Modèle:Population de France/section

Saint-Gilles fut une ville d'immigration de travailleurs venant d'autres régions de France ou du bassin méditerranéen tout au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le besoin en main-d'œuvre de l'agriculture a attiré de nombreuses populations. De nombreux Saint-Gillois ont leurs origines dans le Massif central (notamment au Puy-en-Velay et en Lozère) ainsi qu'en Italie (notamment au Piémont), en Espagne ou au Maroc (notamment au Rif).

Sécurité

La commune est classée depuis 2012 en zone de sécurité prioritaire, avec renforcement des effectifs de la gendarmerie nationale. En effet, la commune Modèle:Citation<ref name="dossier presse">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> et Modèle:Citation<ref name="dossier presse"/>, ce qui a été identifié comme tel par le Ministère de l'Intérieur du Gouvernement Jean-Marc Ayrault, permettant ainsi à ce territoire de bénéficier de gendarmes supplémentaires.

Urbanisme

Typologie

Saint-Gilles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gilles, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

l'habitat actuel est essentiellement composé de résidences principales<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (89,2 % des logements) : 2/3 des logements sont des maisons individuelles, 1/3 des appartements.

Évolution de l'habitat à Saint-Gilles entre 1968 et 2008

Types de logement 1968 1975 1982 1990 1999 2008
Résidence Principales 2 464 2 650 3 230 3 814 4 304 5 261
Résidence secondaire 108 56 84 93 99 89
Logement vacant 170 428 353 397 447 548
Ensemble 2 742 3 134 3 667 3 814 4 850 5 898

Le quartier du centre fait partie du programme national de revitalisation des quartiers anciens dégradés (PNRQAD)<ref>[1]</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), cultures permanentes (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), zones humides intérieures (9,7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (2,4 %), prairies (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Budget et fiscalité

L'imposition des ménages et des entreprises à Saint Gilles en 2009<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 18,65 % 0,00 % 9,65 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 35,18 % 0,00 % 14,30 % 4,86 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 108,61 % 0,00 % 44,07 % 5,37 %
Taxe professionnelle (TP) 0,00 %* 21,67 % 11,87 % 4,30 %

Pyramide des âges

Modèle:...

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Gilles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Delta du Rhône, regroupant Modèle:Nobr du delta du Rhône et s'étendant sur les départements des Bouches-du-Rhône et du Gard, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée<ref>Modèle:Lien web</ref>, retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Rhône. Parmi les événements significatifs qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues récentes du Rhône d'octobre 1993, de janvier 1994 et de décembre 2003, les crues passées de novembre 1840 et de mai 1856, les tempêtes sur le littoral de novembre 1982, décembre 199, et plus anciennes, d'octobre 1886 (Durance) et de septembre 1890 (Ardèche). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1994, 1999, 2002, 2003, 2005, 2016 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30258-Saint-Gilles-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gilles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 4305 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

La commune est en outre située en aval des barrages de Sainte-Croix et de Serre-Ponçon, deux ouvrages de classe AModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 31 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (43,9 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 66,1 % d'actifs (51,9 % ayant un emploi et 14,2 % de chômeurs) et 33,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 3 053 en 2013 et 3 462 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 422, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,2 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 4 422 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 871 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 84,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

Modèle:Nombre<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Gilles au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 1 080 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
115 10,6 % (7,9 %)
Construction 171 15,8 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
352 32,6 % (30 %)
Information et communication 13 1,2 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 18 1,7 % (3 %)
Activités immobilières 58 5,4 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
138 12,8 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
123 11,4 % (13,5 %)
Autres activités de services 92 8,5 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,6 % du nombre total d'établissements de la commune (352 sur les 1080 entreprises implantées à Saint-Gilles), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Sabena Technics Fni, réparation et maintenance d'aéronefs et d'engins spatiaux (Modèle:Unité)
  • Huilerie Cauvin, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits laitiers, œufs, huiles et matières grasses comestibles (Modèle:Unité)
  • Sogidi, supermarchés (Modèle:Unité)
  • Distill Languedoc Provence - Deulep, fabrication d'autres produits chimiques organiques de base (Modèle:Unité)
  • Pharmacie Guichard Marie Laure, commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé (Modèle:Unité)

Industrie

En collaboration avec l'intercommunalité Nîmes Métropole, une nouvelle zone d'activité économique est en cours de création, sur les communes de Saint-Gilles et Garons, sa voisine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette zone, à cheval sur les deux communes, se situe à proximité de l'Aéroport de Nîmes-Garons et de l'autoroute A54, sur une superficie de Modèle:Unité. 3 secteurs d'activités principaux sont préconisés : aéronautique, logistique, secteur tertiaire. De petites industries vont également s'implanter.

Tourisme

La ville se situe aux portes de la Camargue et capte en période estivale une partie du flux touristique balnéaire qui se dirige vers les plages comme le Grau-du-Roi ou les Saintes-Maries-de-la-Mer ; elle bénéficie aussi de l'attractivité des destinations comme Nîmes, Arles ou Montpellier.

La ville peut s'appuyer sur son patrimoine local, ses manifestations taurines et son port de plaisance. Elle est dotée d'un bureau d'information touristique<ref>Bureau d’Information Touristique de Saint-Gilles - OPENîmes Tourisme</ref>.

Le camping La Chicanette<ref>La Chicanette</ref> compte en plein centre-ville un peu moins de 100 emplacements.

Agriculture

La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 363 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 211 en 2000 puis à 186 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 205 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Spécialisations et produits du terroir

Fichier:St Gilles - Cave Coopérative.jpg
Cave coopérative viticole

L'agriculture est l'une des ressources économiques importantes de la commune de Saint-Gilles, avec environ 210 exploitations agricoles<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La production est centrée sur 4 produits principaux :

Costières-de-nîmes

Une vingtaine de producteurs, sur environ Modèle:Nombre de vignes, ainsi qu'une coopérative viticole.

Riz de Camargue

La production annuelle saint-gilloise approche les Modèle:Unité.

Huile d'olive de Nîmes

Près de Modèle:Nombre d'oliveraie.

Abricot de Saint-Gilles
Ganadería du Scamandre

Élevage de taureaux braves qui s'étend sur plusieurs hectares au Mas de Madame de Bramasset<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Fichier:Abbatiale st gilles.JPG
Façade de l'abbatiale
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}, après les ravages des guerres de Religion. Ses dimensions furent largement réduites par rapport au plan original du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1840<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy<ref name=":0" />. Modèle:Article détaillé

Patrimoine civil

Fichier:St Gilles - Maison romane 1.jpg
La Maison romane (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)
Fichier:Château d'Espeyran fin XIXe.jpg
Le château d'Espeyran au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
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}}

}}, façade (inscription MH Modèle:Date-), adresse 31, rue de l’hôtel de ville, propriété privée.

    • Maison, statue de Saint-Gilles et sa niche à l'angle de la maison (inscription MH Modèle:Date-), adresse : Rue de l’Hôtel de ville), propriété privée.
    • Maison en pierre sculptée qui se trouve sur la façade (inscription MH Modèle:Date-), adresse : 5, place Ernest Blanc, propriété privée.
    • Maison des {{#switch: e
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}}

}}, façade sur rue et toiture correspondante (inscription MH Modèle:Date-), adresse : 4, rue Baudin, propriété privée.

Patrimoine environnemental

Équipements et services

Transports urbains

Fichier:St Gilles - Canal Rhône 2.jpg
Port de Plaisance
Fichier:Louis Mathieu Verdilhan Saint-Gilles-du-Gard.jpg
Saint-Gilles-du-Gard, par Louis-Mathieu Verdilhan

Plusieurs lignes de bus desservent la commune de Saint Gilles<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

3 lignes de bus de la société Tangobus
1 ligne des transports Edgard

La commune dispose également d'un port de plaisance, sur le Canal du Rhône à Sète<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Enseignement

Les écoliers de Saint Gilles commencent leur étude sur la commune, qui compte 5 écoles maternelles publiques (Frédéric Mistral, Jean Jaurès, Les Calades, Le Ventoulet, Jean Moulin), 4 écoles élémentaires publiques (Victor Hugo, Jules Ferry, Laforêt, Jean Moulin), 1 école primaire/maternelle privée (Li Cigaloun), et 1 collège (Jean Vilar)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sports

Modèle:...

Santé

Plusieurs professionnels de santé sont installés à Saint Gilles<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 8 médecins, 8 kinésithérapeutes, 12 infirmiers, 4 dentistes, ainsi que des ophtalmologues, et opticiens.

Vie locale

Cultes

Plusieurs religions disposent d'un lieu de cultes sur la commune : l'abbatiale de Saint Gilles (Diocèse de Nîmes), pour le culte catholique, un temple protestant, et une mosquée.

Environnement

Modèle:...

Personnalités liées à la commune

Fichier:Raymond IV of Toulouse.jpg
Raymond IV, dit de Saint-Gilles, comte de Toulouse.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Palette Modèle:Portail