Saint-Thonan
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Thonan {{#ifeq:1|0|[sɛ̃tɔnɑ̃]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} Modèle:En breton est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Géographie
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Proche des centres urbains (Modèle:Unité de Brest, Modèle:Unité de Landerneau), en bordure de voie express, la commune de Saint-Thonan a su se développer en préservant la qualité de vie rurale.
Le finage communal est formé par une partie du plateau du Léon dont l'altitude est d'une centaine de mètres (le point le plus haut est à Modèle:Unité près de Guichegu à la limite communale avec Ploudaniel, le bourg est vers Modèle:Unité d'altitude) ; la partie nord du finage communal s'abaisse jusqu'à Modèle:Unité dans la vallée d'un ruisseau qui est un modeste affluent de rive gauche de l'Aber Wrac'h, au nord-ouest de Pentraon.
Le paysage agraire traditionnel est le bocage avec un habitat dispersé en de nombreux hameaux, dénommés localement villages.
Répartie sur Modèle:Unité, la commune est divisée en deux par la RN 12, qui ne peut être franchie, grâce à un pont qu'en un point à Pen ar Prat ; la commune est desservie par l'échangeur de Pen ar Prat, qui a permis la création d'une zone industrielle et artisanale à proximité. La voie communale Modèle:N°1 la relie à Landerneau au sud. Le bourg est traversé par la route départementale 25 vers Ploudaniel au nord ; il s'est grossi ces dernières décennies de plusieurs lotissements, principalement vers le sud-ouest le long de la D 25 en direction de Guipavas et vers le sud-est (Kerilis, Kerjegu) le long de la voie communale qui mène à l'échangeur de Pen ar Prat.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploudaniel-Inra », sur la commune de Ploudaniel, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brest-Guipavas », sur la commune de Guipavas, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Thonan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Thonan, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,1 %), zones agricoles hétérogènes (37,8 %), zones urbanisées (8,9 %), prairies (6,4 %), forêts (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Honanus en 1467<ref name="Abalain p111">Modèle:Ouvrage.</ref> et 1487, Sainct Honan en 1516<ref name="infbre">Modèle:Lien web.</ref>, Sainctonan<ref name="Abalain p111" /> et Santonan en 1618<ref name="infbre" />.
Le nom de Saint-Thonan proviendrait peut-être de saint Donan, un moine irlandais qui, avec ses compagnons, aurait été martyrisé en 614 dans l'île d'Eigg, située en Écosse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, noté Sanctus Donnanus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="infbre" />. Mais une autre hypothèse beaucoup plus crédible fait provenir le nom de saint Ténénan, qui vécut notamment dans la forêt de Beuzit, située dans l'ancienne paroisse de Beuzit-Conogan, dont une partie du territoire fait désormais partie de la commune de Saint-Thonan.
Histoire
Origines et Antiquité
Au carrefour de voies romaines, la trève de Saint-Thonan se détache au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de la paroisse de Plabennec elle-même issue de la paroisse de l'Armorique primitive de Ploebevoaz (Guipavas) qui s'étendait de Landerneau à Brest et la trève dépend du prieuré de la paroisse de La Forest-Landerneau. Des briques romaines ont été trouvées dans plusieurs champs à Kerprigent<ref>Modèle:Article.</ref>. En 1792, la commune de Saint-Thonan s'agrandit au détriment de l'ancienne paroisse de Beuzit-Conogan, qui disparaît, un autre partie de son territoire étant rattachée à Landerneau.
Saint Thénénan, protecteur de l'actuelle paroisse de Plabennec, est très probablement l'éponyme de la commune. Selon la légende, saint Thénénan aurait accosté sur les bords de l'Élorn à La Forest-Landerneau (dont l'église est aussi placée sous l'invocation de saint Thénénan) avant de traverser la forêt dite de « Beuzec » et s'installer au lieudit « Lesquelen » en PlabennecModèle:Refnec.
Une autre théorie voudrait que le nom de Saint-Thonan provienne de saint Donan, moine irlandais, mais cette hypothèse semble à rejeter, ce saint étant un disciple de Brieuc avec Fragan (Saint Brieuc, Saint Donan et Ploufragan dans les Côtes-d'Armor)Modèle:Refnec.
Moyen Âge
Saint-Thonan était initialement jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une trève dépendant de La Forest-Landerneau<ref name="infobretagne">Modèle:Lien web.</ref>. La paroisse faisait partie de l'archidiaconé d'Ac'h relevant du diocèse de Léon et était sous le vocable de saint Nicolas. Cette invocation pourrait dater de la construction de l'église actuelle au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'église précédente étant probablement sous l'invocation de saint Thonan, c'est-à-dire saint Ténénan. Plusieurs églises contemporaines ont été placées sous sa protection en Bretagne (Nantes, Saint-Nicolas-du-Pélem). Mais elle pourrait tout autant l'avoir été au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, lorsque Vincent de Parscau<ref>Vincent du Parcsau, né le Modèle:Date à Botiguéry en Saint-Thonan</ref>, alors seigneur de Botiguéry, fit construire la première église.
Aux alentours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la seigneurie de Botiguéry s'est constituée ; elle est citée pour la première fois lors de la réformation de 1443 dans l'évêché de Léon où est présent Yaouancq, seigneur de Botiguéry<ref name="infobretagne" /> ; le premier membre connu de la famille Parcsau ajoutant à son nom "Botiguéry" étant Vincent Parcsau, né en 1527, décédé en Modèle:Date-, en raison de son mariage vers 1555 avec Jeanne Le Jeune (Youancq en breton) de Botiguéry, qui sont les grands-parents de Vincent du Parcsau, le constructeur de l'église. Une pierre d'angle retrouvée en 1966 dans la cour du presbytère et portant les armes de la famille Parscau-Le Jeune en témoigne<ref name="saint-thonan patrimoine">http://www.saint-thonan.fr/tourisme/patrimoine.html</ref>.
La chapelle de Botiguéry, le manoir de Pen-ar-Quinquis et l'église datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette dernière est construite en 1586, dotée d'un clocher en 1609, d'un bénitier en 1747 et d'une sacristie en 1785.
Époque moderne
Si l'on n'a pas retrouvé de traces de la culture du lin à Saint-Thonan, par contre les inventaires après décès attestent de la culture du chanvre, par exemple à Keransaos en 1728 et en 1767 ou encore en 1788 à Kerescar. Sept kanndi ont été recensés à Saint-Thonan et 59,8 % des inventaires après décès de la paroisse à l'époque font état de métiers à tisser<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Saint-Thonan de fournir 7 hommes et de payer 45 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »<ref>"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f7.image.r=Plovan?rk=21459;2</ref>.
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Thonan en 1778 : Modèle:Citation bloc
La cure de Saint-Thonan était en 1786 l'une des plus pauvres du diocèse de Léon avec moins de 300 livres de revenu, pas plus que la portion congrue à cette date<ref name="Rohou 2012">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Révolution française
En 1786, Monseigneur de la Marche envisage de modifier les limites de la paroisse de Saint-Thonan, trop pauvre, soit en la supprimant, soit en l'agrandissant. C'est la deuxième solution qui a été envisagée. En 1793, Saint-Thonan devient une commune sous le nom de Saint-Thomas, nom qui apparaît encore en 1801<ref name="Cassini"/>, avant de reprendre ensuite sa dénomination Saint-Thonan. L'année suivante, elle est agrandie par l'annexion d'une partie de l'ancienne paroisse de Beuzit-Conogan (de Guichégu à Pen-Bouillen).
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En 1834, le conseil municipal souhaite une école, mais les ressources sont modestes. En 1835, un presbytère est construit près de l'église.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Thonan en 1853 : Modèle:Citation bloc Après 1870, la commune s'équipe d'une place du bourg, d'une école et d'une nouvelle église, dédiée à saint Nicolas et consacrée le Modèle:Date par Anselme Nouvel de La Flèche, évêque de Quimper et de Léon.
L'école est ouverte en 1878 (à la place de l'actuelle mairie), sa construction ayant étant décidée en 1874<ref>Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère, 1874, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55647045/f617.image.r=thonan?rk=85837;2</ref>. Mixte, l'enseignement est assuré par une religieuse. La nouvelle église est construite sur l'emplacement de l'ancienne, mais en sens inverse. Le montant des travaux de reconstruction est estimé en Modèle:Date- à Modèle:Unité de l'époque et une subvention de Modèle:Unité est votée par le Conseil général du Finistère<ref>Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère, avril 1877, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562884x/f213.image.r=thonan</ref>. Son clocher est élevé entre 1890 et 1892.
Les pressions des notables sur les électeurs étaient alors fortes comme en témoigne cet extrait d'un article du journal Le Temps en date du Modèle:Date : Modèle:Citation bloc
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
La Belle Époque
L'école est laïcisée en 1902.
Le maire de Saint-Thonan, Paul Villiers, écrit le Modèle:Date cette lettre au sous-préfet de Brest : Modèle:Citation bloc
Le journal L'Aurore du Modèle:Date indique que l'inventaire des biens d'église s'est déroulé à Saint-Thonan, ainsi qu'à Saint-Divy et d'autres communes : « Partout le tocsin sonne. On ne signale pas d'incidents importants »<ref>Journal L'Aurore, n° du 22 février 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7401826/f2.image.r=thonan?rk=21459;2</ref>. Un décret du président de la République Armand Fallières en date du Modèle:Date « attribue à la commune de Saint-Thonan (Finistère), à défaut de bureau de bienfaisance, les biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Saint-Thonan et actuellement sous séquestre (...) »<ref>Journal officiel de la République française. Lois et décrets, n° du 8 février 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6260958n/f9.image.r=thonan?rk=21459;2</ref>. Un autre décret du Modèle:Date crée d'ailleurs un bureau de bienfaisance dans la commune, doté des biens ayant appartenu à la fabrique de l'église<ref>Journal officiel de la République française. Lois et décrets, n° du 6 mars 1913, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63832334/f5.image.r=thonan?rk=107296;4</ref>.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Thonan porte les noms de 25 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref>http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=16743</ref>.
L'Entre-deux-guerres
Les tensions entre les partisans de l'école laïque et du clergé étaient alors vives comme en témoigne cet article du journal L'Ouest-Éclair en date du Modèle:Date, mais relatant des faits survenus l'année précédente : Modèle:Citation bloc En fait l'instituteur public mis en cause n'y était pour rien, comme l'avouèrent deux femmes, mais le lendemain « l'instituteur constata que sur 72 élèves, il en manquait 44 »<ref>Journal des débats politiques et littéraires, n° du 19 mars 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k505450b/f4.image.r=Thonan?rk=107296;4</ref>. Une école privée destinée aux filles ouvrit à la rentrée 1929.
La Seconde Guerre mondiale
Le Modèle:Date-, le Combat Command A, de la 6e division blindée américaine, venant du Huelgoat via Landivisiau, ville près de laquelle les soldats ont bivouaqué la nuit précédente, contourne Landerneau, mais est bombardé par les Allemands dans les environs de Saint-Thonan et Kersaint-Plabennec ; il passe la nuit suivante dans le secteur de l'Ormeau entre Plabennec et Gouesnou, nuit pendant laquelle il fut victime de tirs d'artillerie allemands qui firent de nombreuses victimes dans ses rangs<ref>Éric Rondel, "La libération de la Bretagne", éditions Ouestetcompagnie, 2014, Modèle:ISBN.</ref>.
L'après Seconde Guerre mondiale
Une mairie est construite en 1952, à proximité de l'actuelle. L'ancienne mairie était en location sur la place du bourg. En 1956, l'école publique est fermée « temporairement ».
En 1973, la voie express RN 12 Brest-Morlaix, suivant le tracé d'une voie romaine, coupe la commune en deux. Un échangeur est inaugurée en 1981 et une zone d'activités est créée à ses abords.
En 1979, les hameaux de Mestallic, Lesnon et Cosglouët sont rattachés à Saint-Thonan.
En 1987, la salle polyvalente est achevée. La nouvelle mairie est installée dans l'ancienne école publique à la fin de 1988.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En 2001, la salle polyvalente est agrandie au sud pour y accueillir une estrade. En 2005, l'ancien restaurant Le Guen est restauré en Espace associatif. La première tranche des travaux concernent le centre de loisirs et une hall de pétanque couvert.
En 2009, un Programme d'Aménagement Global est adopté par la commune portant sur l'aménagement futur du centre-bourg. En 2010, une nouvelle station d'épuration est créée. En 2011, la deuxième tranche des travaux de rénovation de l'espace associatif devrait s'achever. Il devrait abriter une bibliothèque, un espace multimédia, une centre de soins de kinésithérapie et quatre logements locatifs.
En 2012, la première tranche du nouveau complexe sportif (terrain de football) devrait s'achever et les travaux de la nouvelle maison de l'enfance entrepris.
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Industries
La ville de St Thonan rassemble de nombreuses entreprises issues de divers secteurs d'activité :
- Agriculture, sylviculture et pêche
- Industrie dont font partie les entreprises Lessonia et Cloitre
- Construction
- Commerce, transports et service divers
- Administration publique, enseignement, santé, action sociale
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Monuments et sites
- L'église paroissiale Saint-Thomas, édifiée entre 1876 et 1892 sur les plans de l'architecte Ernest Le Guerranic a remplacé l'église précédente construite en 1586 ; elle est toujours entourée de son cimetière<ref name="infbre"/>.
- La chapelle Saint-Herbot (un édifice de plan rectangulaire à clocheton amorti par une petite flèche carrée) et son calvaire (les deux datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), situés à Botiguéry.
- Le manoir de Botiguéry (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), modifié très profondément au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Le manoir de Pen-ar-Quinquis : il date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais a été reconstruit à l'identique vers 1970<ref name="saint-thonan patrimoine" />
- Le monument aux morts de 1914-1918.
- Plusieurs croix et calvaires : calvaire de l'église (vestiges d'un calvaire datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui fut vandalisé pendant la Révolution française), calvaire de Saint-Herbot, croix de Croas an Heizic, Croas-Kerdoc'h, croix de Kerarsaoz, croix de Kerillis, croix de Vilin Varc'h, croix de Pen ar Prat (toutes les croix précitées sont des croix monolithes), croix de Pen ar Quinquis (date de 1879)<ref>http://www.croixbretagne.fr/Ccb/Content/liste.jsp?comId=11122&statut=0</ref>.
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Saint-Thonan : la chapelle Saint-Herbot et son calvaire, vue extérieure d'ensemble.
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Saint-Thonan : la chapelle Saint-Herbot, vue extérieure d'ensemble.
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Saint-Thonan : chapelle Saint-Herbot, statue de saint Herbot.
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Saint-Thonan : le calvaire de Saint-Herbot.
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Croix de Ménez Leon, près de Saint-Éloi.
Voir aussi
Notes et références
Notes
Références
Liens externes
Modèle:Palette Communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas Modèle:Portail