Tour de France 1996
Modèle:Infobox Descriptif course cycliste Le Tour de France 1996 est la Modèle:83e du Tour de France, course cycliste qui s'est déroulée du 29 juin au Modèle:Date sur 21 étapes pour Modèle:Unité. Le départ du Tour a lieu à Bois-le-Duc (’s-Hertogenbosch) aux Pays-Bas ; l'arrivée se juge aux Champs-Élysées.
Bjarne Riis est le premier Danois à remporter la course. Cette édition permet de découvrir Jan Ullrich, jeune coureur allemand et coéquipier de Riis au sein de l'équipe Telekom, qui termine deuxième. Le Français Richard Virenque est troisième et remporte le maillot à pois de meilleur grimpeur. Quintuple vainqueur du Tour, l'Espagnol Miguel Indurain termine onzième à 14 min 14 s.
Ce Tour est particulier : il a été un temps considéré « sans vainqueur » à la suite des aveux de dopage de Riis, les organisateurs décidant de ne pas attribuer le titre au deuxième du classement Jan Ullrich, avant que le Modèle:Date ils ne décident de réinscrire le nom de Bjarne Riis dans le palmarès de la Grande Boucle<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Le Tour 1996 réattribué à Riis », lefigaro.fr, 4 juillet 2008.</ref>,<ref name="BJ" />.
Parcours
Le départ du tour se déroule le Modèle:Date- à Bois-le-Duc (Pays-Bas) dans l'enceinte d'un célèbre marché de bétail du pays pour un traditionnel prologue de 9,4 kilomètres. S'ensuivent deux étapes en ligne presque intégralement disputées aux Pays-Bas et en Belgique avant un retour par le nord de la France pour quatre étapes dévolues aux sprinteurs menant vers le massif alpestre qui donnera lieu à trois étapes de haute montagne.
La première reliera Chambéry à la montée des Arcs en empruntant le Col de la Madeleine et le Cormet de Roselend, la suivante qui donnera lieu à un contre-la-montre individuel vallonné qui mènera les coureurs à Val d'Isère et la dernière qui relie le village de Le Monêtier-les-Bains à la station de ski Italienne de Sestrières avec le redoutable enchaînement col de l'Iseran, col du Galibier et col de Montgenèvre.
Les six étapes de transition suivantes, de difficulté moyenne, permettront aux coureurs de préparer les deux étapes pyrénéennes via la région Rhône-Alpes et le Massif central. La difficile montée hors catégorie de Lourdes-Hautacam est au programme de la première étape pyrénéenne, avant l'étape reine de ce tour qui marque l'entrée en Espagne par l'ascension de cinq cols parmi les plus durs des Pyrénées (col du Soulor, Aubisque, Marie-Blanque, Soudet et le très difficile Port de Larrau), dont l'arrivée est jugée à Pampelune, non loin du domicile de Miguel Indurain.
Deux étapes de plaine à travers le Pays basque et l'Aquitaine précèdent un contre-la-montre individuel de 63,5 kilomètres qui reliera Bordeaux à Saint-Émilion avant la traditionnelle dernière étape qui mène aux Champs-Élysées à Paris.
Nombreux sont les observateurs qui jugent le parcours de ce Tour de France compliqué car il est différent des précédents. « Ce Tour pourrait déranger Miguel dans la mesure où les difficultés sont réparties différemment », affirme Bernard Thévenet, le double vainqueur du Tour en 1975 et 1977. Des mots que confirment Indurain lui-même, qui craint beaucoup les étapes de transition entre Alpes et Pyrénées : « À la sortie du secteur tracé dans le massif central, on ne saura probablement pas qui gagnera, mais on saura qui ne le gagnera pas »<ref>Modèle:Article</ref>.
Participants
Équipes sélectionnées
Dix-huit équipes sont qualifiées pour le Tour de France grâce à leur place au classement UCI. Quatre équipes invitées s'y ajoutent : Kelme (Modèle:19e au classement UCI), Brescialat (Modèle:23e), Agrigel-La Creuse (Modèle:29e) et Aubervilliers (Modèle:33e). Le choix de ces deux dernières équipes, alors classées (Modèle:29e) et Modèle:33e au classement UCI, surprend. Il est surtout dû à la volonté des organisateurs d'augmenter le nombre de coureurs Français dans le peloton au départ de l'épreuve. Parmi les équipes écartées, Aki et Petit Casino avaient participé au Tour 1995 (la seconde sous le nom de Chazal), et s'y étaient montrées discrètes<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'équipe Aki est néanmoins sélectionnée en tant que réserviste, en cas de défection d'une des équipes titulaires, au même titre que l'équipe belge Collstrop<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le peloton de ce Tour est composé de neuf équipes italiennes, quatre françaises, trois espagnoles, deux néerlandaises, une allemande, une américaine, une belge et une équipe saint-marinaise.
Favoris et principaux coureurs à suivre
198 coureurs de 24 nationalités différentes participent au Tour. Les pays les mieux représentés sont l'Italie (62 coureurs), la France (37) et l'Espagne (23).
Au départ du Tour, l'Espagnol Miguel Indurain, qui domine la course depuis 1991, fait figure de grand favori. Il vient de remporter le Critérium du Dauphiné libéré. Il est en lice pour une sixième victoire, ce qu'aucun coureur n'a réalisé auparavant<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Deux équipes fournissent chacune deux adversaires importants d'Indurain. L'équipe espagnole Once a pour leaders le Français Laurent Jalabert et le Suisse Alex Zülle. Jalabert vient de remporter le Grand Prix du Midi libre et la Route du Sud, puis a dû abandonner lors du Critérium du Dauphiné libéré. Vainqueur du Tour d'Espagne 1995 et quatrième du Tour de France 1995, il occupe la tête du classement mondial UCI et pense pouvoir gagner le Tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son coéquipier Alex Zülle, deuxième en 1995, est également considéré comme un des principaux rivaux d'Indurain.
L'équipe Mapei - GB se présente avec le Suisse Tony Rominger et l'Espagnol Abraham Olano. Rominger a terminé deuxième du Critérium du Dauphiné libéré en juin, derrière Indurain et possède une grande expérience sur les grands tours. Abraham Olano, champion du monde en titre, s'est classé troisième du Tour d'Italie et a dominé le Tour de Romandie. Bon rouleur capable de suivre les meilleurs grimpeurs, il présente des caractéristiques proches de celles de Miguel Indurain.
Le Russe Evgueni Berzin, leader de l'équipe Gewiss, a remporté le Tour d'Italie 1994, ce qui fait de lui le seul coureur à avoir battu Indurain lors d'un grand tour depuis 1991. Bon rouleur et grimpeur, il tarde cependant à confirmer ce succès obtenu à 24 ans. Il s'est toutefois plusieurs fois imposé contre la montre en début de saison, lors de Tirreno-Adriatico et du Tour d'Italie notamment<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Parmi les autres coureurs à suivre en vue du classement général, le très expérimenté Danois Bjarne Riis, troisième du Tour l'année précédente, qui bénéficiera du support de la Telekom, sa nouvelle équipe construite autour de lui, ainsi que le jeune Autrichien de la Carrera Peter Luttenberger, qui vient de remporter le Tour de Suisse, et enfin le Français Richard Virenque, auteur de nombreuses places d'honneur durant la saison, qui sera accompagné de son précieux lieutenant suisse Laurent Dufaux.
Du côté des sprinteurs, pour lesquels la première semaine devrait être très favorable, les noms de Mario Cipollini, Ján Svorada, très performants depuis le début de saison et qui bénéficient d'une équipe construite autour d'eux, ainsi que celui d'Erik Zabel, le jeune sprinteur de la Telekom, ressortent souvent.
Déroulement de la course
Au départ du Tour de France 1996, Miguel Indurain fait figure de grand favori. Face à lui, un immense défi : devenir le premier coureur à remporter six Tours de France. Pour l'empêcher d'y parvenir, ses adversaires sont présents en nombre. Alex Zülle et Laurent Jalabert, de l'équipe ONCE, Tony Rominger et Abraham Olano, de l'équipe Mapei, ou encore le Danois Bjarne Riis, de l'équipe allemande Telekom, viennent pour gagner.
Si Zülle remporte le prologue, la première semaine n'offre pas les traditionnels contre-la-montre, individuel et par équipe. C'est donc dans l'inconnu que les Alpes se profilent à l'horizon.
La première étape conduit les coureurs aux Arcs, après l'ascension du col de la Madeleine et du Cormet de Roselend. Dès la première difficulté, Laurent Jalabert est lâché, c'est une grosse surprise. Dans la descente difficile de la Madeleine, Zülle glisse dans le ravin, tout comme Johan Bruyneel un peu plus loin, mais les deux coureurs s'en sortent sans gravité. Dans la montée finale, le Français Luc Leblanc attaque et s'impose au sommet devant le Suisse Tony Rominger, mais la grande sensation est causée par la défaillance de Miguel Indurain qui cède deux minutes. Le lendemain, un contre-la-montre en altitude est proposé aux coureurs, avec l'ascension d'une bonne partie du col de l'Iseran : c'est le Russe Evgueni Berzin qui s'impose, confortant ainsi son maillot jaune. Le deuxième de l'étape, Bjarne Riis fait forte impression, d'autant que son jeune équipier Jan Ullrich prend la sixième place. Tony Rominger et Abraham Olano résistent également. Miguel Indurain, quant à lui, abandonne une minute supplémentaire. Une troisième étape de montagne alpine est au programme, mais le mauvais temps oblige les organisateurs à l'amputer des ascensions des cols de l'Iseran et du Galibier. Sur les 50 km restants, c'est Bjarne Riis qui fait étalage de sa supériorité. Attaquant très tôt, il résiste jusqu'à Sestrières où il s'impose. Derrière, Indurain et Rominger mènent la chasse, tandis que le maillot jaune Berzin est lâché. Riis prend la tête du classement général à la sortie des Alpes, mais Tony Rominger pointe derrière lui.
Après le difficile menu des Alpes, le peloton décompresse durant sa descente vers les Pyrénées. Seule la Modèle:14e arrivant à Super Besse est l'occasion d'une attaque des Français Richard Virenque et Luc Leblanc. Riis et Indurain résistent, mais Tony Rominger perd 50 secondes.
Lors de la Modèle:16e menant au sommet du Hautacam, Bjarne Riis conforte son maillot jaune en remportant la victoire. Il est le premier maillot jaune vainqueur d'une étape en ligne depuis Laurent Fignon en 1989. Derrière lui, Miguel Indurain craque et cède deux minutes supplémentaires, tandis que Richard Virenque réalise une belle opération au classement général, tout comme Tony Rominger. Le lendemain, dans une étape titanesque de 250 km en haute montagne, la course va exploser. À la suite d'une offensive de l'équipe Festina dans le difficile col du Soudet, Indurain et Rominger sont lâchés. Dans le port de Larrau, terrible montée menant en Espagne, un groupe de huit coureurs se forme en tête de la course : le maillot jaune Bjarne Riis, son jeune équipier Jan Ullrich, les deux Festina Richard Virenque et Laurent Dufaux, l'ancien champion du monde Luc Leblanc, ainsi que les outsiders Piotr Ugrumov, Peter Luttenberger et Fernando Escartín. Ces huit coureurs occuperont les huit premières places au classement général final. Finalement, Laurent Dufaux s'impose à Pampelune devant Riis. Indurain, Rominger et Olano cèdent près de dix minutes. Riis a réussi à assurer son maillot jaune, tandis que son équipier Ullrich est désormais à la deuxième place du classement général.
Jan Ullrich révèle son formidable talent en remportant le contre-la-montre final devant Miguel Indurain. Bjarne Riis remporte le Tour de France 1996 devant le jeune Allemand et le Français Richard Virenque. Riis est le premier Danois vainqueur du Tour. Son équipe Telekom truste toutes les victoires : en plus de Riis et Ullrich, Erik Zabel remporte pour la première fois le maillot vert. Miguel Indurain termine quant à lui à la Modèle:11e pour son dernier Tour de France.
Dopage
Pendant le déroulement même de la course, le Danois Bjarne Riis a été visé par des rumeurs de dopage. Son passé de coureur dans la sulfureuse équipe Gewiss, encadrée par le célèbre docteur Michele Ferrari (qui a introduit l'EPO dans le milieu cycliste au début des années 1990), et sa facilité en montagne ont soulevé de nombreuses interrogations. Dans le peloton, Riis se voyait affublé du surnom de « Monsieur 60 % », en référence à son hématocrite estimé à 60 % au vu de ses performances retentissantes (aujourd'hui, un coureur dont le taux est supérieur à 50 % est mis hors course).
De plus, un soigneur de l'équipe Telekom de Bjarne Riis, Jeff d'Hont, a affirmé en 2007 que Jan Ullrich aurait subi plusieurs injections d'EPO durant le Tour 1996, une méthode qui pourrait bien expliquer la supériorité insolente de l'équipe Telekom dans cette épreuve. À la suite de cette déclaration, d'autres coureurs de l'équipe, comme Erik Zabel, vainqueur du maillot vert, Rolf Aldag ou Udo Bölts, ont avoué s'être dopés. Le Modèle:Date, c'est finalement Bjarne Riis lui-même qui avoue s'être dopé lors du Tour 1996. Il ne s'estime d'ailleurs plus digne de cette victoire.
Le Modèle:Date, ASO, société organisatrice du Tour de France, déclare que Bjarne Riis « ne peut plus être considéré comme le vainqueur du Tour<ref>« Riis rayé du palmarès du Tour de France », France 2, 7 juin 2007.</ref> ». Pour ASO, Bjarne Riis n'est donc plus le vainqueur du Tour de France 1996 et cette édition sera à l'avenir considérée comme étant sans vainqueur. Un blanc suivra donc l'année 1996 dans les palmarès officiels de la Grande Boucle. Mais le Modèle:Date, les organisateurs du Tour de France reviennent en arrière et attribuent à nouveau la victoire à Bjarne Riis.
Étapes
Modèle:En-tête de tableau Liste des étapes |- | Prologue || 29 juin || Modèle:NED-d ’s-Hertogenbosch (NED) – Modèle:NED-d ’s-Hertogenbosch (NED) || Modèle:Étape || align=center|9,4 || Modèle:SUI-d Alex Zülle || Modèle:SUI-d Alex Zülle |-bgcolor="#FFF7DF" | [[1re étape du Tour de France 1996|Modèle:1re]] || 30 juin || Modèle:NED-d ’s-Hertogenbosch (NED) – Modèle:NED-d ’s-Hertogenbosch (NED) || Modèle:Étape || align=center|209 || Modèle:FRA-d Frédéric Moncassin || Modèle:SUI-d Alex Zülle |- | [[2e étape du Tour de France 1996|Modèle:2e]] || [[1er juillet|Modèle:Abréviation discrète juillet]] || Modèle:NED-d ’s-Hertogenbosch (NED) – Wasquehal || Modèle:Étape || align=center|247,5 || Modèle:ITA-d Mario Cipollini || Modèle:SUI-d Alex Zülle |-bgcolor="#FFF7DF" | [[3e étape du Tour de France 1996|Modèle:3e]] || 2 juillet || Wasquehal – Nogent-sur-Oise || Modèle:Étape || align=center|195 || Modèle:GER-d Erik Zabel || Modèle:FRA-d Frédéric Moncassin |- | [[4e étape du Tour de France 1996|Modèle:4e]] || 3 juillet || Soissons – Lac de Madine || Modèle:Étape || align=center|232 || Modèle:FRA-d Cyril Saugrain || Modèle:FRA-d Stéphane Heulot |-bgcolor="#FFF7DF" | [[5e étape du Tour de France 1996|Modèle:5e]] || 4 juillet || Lac de Madine – Besançon || Modèle:Étape || align=center|232 || Modèle:NED-d Jeroen Blijlevens || Modèle:FRA-d Stéphane Heulot |- | [[6e étape du Tour de France 1996|Modèle:6e]] || 5 juillet || Arc-et-Senans – Aix-les-Bains || Modèle:Étape || align=center|207 || Modèle:NED-d Michael Boogerd || Modèle:FRA-d Stéphane Heulot |-bgcolor="#FFF7DF" | [[7e étape du Tour de France 1996|Modèle:7e]] || 6 juillet || Chambéry – Les Arcs || Modèle:Étape || align=center|200 || Modèle:FRA-d Luc Leblanc || Modèle:RUS-d Evgueni Berzin |- | [[8e étape du Tour de France 1996|Modèle:8e]] || 7 juillet || Bourg-Saint-Maurice – Val-d'Isère || Modèle:Étape || align=center|30,5 || Modèle:RUS-d Evgueni Berzin || Modèle:RUS-d Evgueni Berzin |-bgcolor="#FFF7DF" | [[9e étape du Tour de France 1996|Modèle:9e]] || 8 juillet || Le Monêtier-les-Bains<ref group="Note">L'étape partait initialement de Val-d'Isère et était longue de Modèle:Unité, mais les mauvaises conditions météo ont conduit à la neutralisation de la première partie de la course, les cols de l'Iseran et du Galibier étant impraticables.</ref> – Modèle:ITA-d Sestrières (ITA) || Modèle:Étape || align=center|46 || Modèle:DEN-d Bjarne Riis || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[10e étape du Tour de France 1996|Modèle:10e]] || 9 juillet || Modèle:ITA-d Turin (ITA) – Gap || Modèle:Étape || align=center|208,5 || Modèle:GER-d Erik Zabel || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | || 10 juillet || Gap || Modèle:Étape || colspan="3" align=center|Journée de repos |- | [[11e étape du Tour de France 1996|Modèle:11e]] || 11 juillet || Gap – Valence || Modèle:Étape || align=center|202 || Modèle:COL-d José Jaime González || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | [[12e étape du Tour de France 1996|Modèle:12e]] || 12 juillet || Valence – Le Puy-en-Velay || Modèle:Étape || align=center|143,5 || Modèle:SUI-d Pascal Richard || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[13e étape du Tour de France 1996|Modèle:13e]] || 13 juillet || Le Puy-en-Velay – Super-Besse - Sancy || Modèle:Étape || align=center|177 || Modèle:DEN-d Rolf Sørensen || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | [[14e étape du Tour de France 1996|Modèle:14e]] || 14 juillet || Besse – Tulle || Modèle:Étape || align=center|185 || Modèle:UZB-d Djamolidine Abdoujaparov || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[15e étape du Tour de France 1996|Modèle:15e]] || 15 juillet || Brive-la-Gaillarde – Villeneuve-sur-Lot || Modèle:Étape || align=center|176 || Modèle:ITA-d Massimo Podenzana || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | [[16e étape du Tour de France 1996|Modèle:16e]] || 16 juillet || Agen – Lourdes - Hautacam || Modèle:Étape || align=center|199 || Modèle:DEN-d Bjarne Riis || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[17e étape du Tour de France 1996|Modèle:17e]] || 17 juillet || Argelès-Gazost – Modèle:ESP-d Pampelune (ESP) || Modèle:Étape || align=center|262 || Modèle:SUI-d Laurent Dufaux || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | [[18e étape du Tour de France 1996|Modèle:18e]] || 18 juillet || Modèle:ESP-d Pampelune (ESP) – Hendaye || Modèle:Étape || align=center|154,5 || Modèle:NED-d Bart Voskamp || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[19e étape du Tour de France 1996|Modèle:19e]] || 19 juillet || Hendaye – Bordeaux || Modèle:Étape || align=center|226,5 || Modèle:FRA-d Frédéric Moncassin || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |-bgcolor="#FFF7DF" | [[20e étape du Tour de France 1996|Modèle:20e]] || 20 juillet || Bordeaux – Saint-Émilion || Modèle:Étape || align=center|63,5 || Modèle:GER-d Jan Ullrich || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |- | [[21e étape du Tour de France 1996|Modèle:21e]] || 21 juillet || Palaiseau – Paris - Champs-Élysées || Modèle:Étape || align=center|147,5 || Modèle:ITA-d Fabio Baldato || Modèle:DEN-d Bjarne Riis |}
Notes : Modèle:Références
Classements
Classement général final
Classements annexes finals
Classement par points
Modèle:Classement d'étape par points Modèle:Col-2
Grand Prix de la montagne
Modèle:Classement d'étape par points Modèle:Col-end
Classement du meilleur jeune
Modèle:Classement final Modèle:Col-2
Classement de la combativité
Modèle:Classement d'étape par points Modèle:Col-end
Classement par équipes
Modèle:Classement général par équipes
Évolution des classements
Liste des coureurs
Modèle:LP/Légende/Course à étapes
Notes et références
Liens externes
- Tour de France 1996 sur letour.fr
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Tour de France 1996 sur bikeraceinfo.com
- Le dico du Tour / Le Tour de France 1996