Varces-Allières-et-Risset
Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Infobox Commune de France
Varces-Allières-et-Risset est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Autrefois rattaché à l'ancienne province royale du Dauphiné, le village puis la commune de Varces est longtemps resté une très modeste agglomération de la vallée de la Gresse, un affluent du Drac, avant de bénéficier du rattachement de nombreux villages (qui furent d'anciennes communes) situés aux alentours puis d'accueillir sur son territoire, au début des années 1970, un établissement pénitentiaire dénommé Maison d'arrêt de Grenoble-Varces. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Varces-Allières-et-Risset se situe dans le sud est de la France dans la partie méridionale de l'agglomération grenobloise à laquelle elle appartient. La commune se trouve à l'extrémité nord de vallée de la Gresse et elle est longée par le Drac, affluent de l'Isère.
La commune de Varces-Allières-et-Risset s’étend des bords du Drac à la crête du Vercors, entre les communes de Vif, Saint-Paul-de-Varces, Claix, Pont-de-Claix .
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Le territoire de la commune s'étend sur quatre étages en altitude :
- la plaine du Drac et la plaine de Reymure (Modèle:Unité) ;
- le plateau d’Allières, le nord de la montagne d'Uriol et Rochefort (Modèle:Unité/2) ;
- le plateau de Saint-Ange (Modèle:Unité/2) ;
- la crête du Vercors et le pic Saint-Michel (Modèle:Unité).
Climat
Modèle:Article connexe Situé dans la partie méridionale du bassin grenoblois, le climat de la commune est un mélange de climat océanique et continental, avec une très légère influence méditerranéenne (pluie d'été plus faibles qu'en hiver). Le bassin présente un bon ensoleillement avec des précipitations abondantes.
L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat avec un effet "cuvette" entrainant des chaleurs torrides l'été et un froid assez important l'hiver, ainsi que d'autres phénomènes liés aux vents, tels que l'effet de foehn.
Hydrographie
La rivière le Drac, affluent gauche de l'Isère, donc sous-affluent du Rhône, délimite le territoire de la commune au nord-est et à l'est la séparant des communes de Champagnier et de Champ-sur-Drac.
Le torrent la Gresse, un des affluents du Drac, longe le bourg central et l'ensemble du territoire communal selon un axe sud-nord, jusqu'à sa confluence avec le Drac. Le territoire est également traversé par le Lavanchon, également affluent du Drac<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
C'est sur le site du Grand-Rochefort, au nord de la commune, que sont installés les captages de la nappe phréatique du Drac, exploités par la SPL Eau de Grenoble<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui alimente en eau la ville de Grenoble.
Voies de communication et transports
Voies routières
Le territoire communal est traversé du nord au sud par la route départementale RD 1075, ancienne route nationale 75, ainsi que par la section nord de autoroute A51 à laquelle deux échangeurs donnent accès : le demi-échangeur Modèle:N° (Varces) et le demi-échangeur Modèle:N° (Saint-Paul-de-Varces).
Transport en commun
Transports routiers
La commune est desservie par les lignes 25, 26, 45, 46 et 47<ref> Modèle:Lien web.</ref> du réseau de bus des Transports de l'agglomération grenobloise (TAG) et par la ligne 4500 du réseau Transisère géré par le conseil départemental de l'Isère.
Transports ferroviaires
En outre, la gare ferroviaire la plus proche est celle de Vif, desservie par les trains TER Rhône-Alpes et PACA.
Urbanisme
Typologie
Varces-Allières-et-Risset est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,1 %), terres arables (22,4 %), zones urbanisées (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), prairies (9,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Morphologie urbaine
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 2 318, alors qu'il était de 1 849 en 1999<ref group="I">LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.</ref>.
Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 28,7 % des appartements<ref group="I" name="LOG T2">LOG T2 - Catégories et types de logements.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 72,9 %, en légère hausse par rapport à 1999 (70,8 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) n'était que de 8,7 %, en diminution par rapport à 1999 (10,8 %), leur nombre étant resté stable à 185<ref group="I">LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.</ref>.
Projets d'aménagements
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Modèle:Article connexe L'ensemble du territoire de Varces-Allières-et-Risset est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble du territoire de l'agglomération grenobloise<ref>Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité</ref>.
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 4 | Sismicité moyenne | accélération = Modèle:Unité2 |
Autres risques
Toponymie
Le village de Varces tire son nom de la présence de nombreux cours d'eau qui alimentent la commune depuis les différents sommets qui l'entourent<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. [?] Modèle:…
Histoire
Modèle:Section à sourcer Modèle:Article connexe
Préhistoire et Antiquité
Le territoire de Varces est peuplé depuis plus de Modèle:Nombre. La plateforme sommitale du Grand Rochefort a livré, en 1904, des restes de vases qui s'étalent de la fin du néolithique à l'âge du Fer. De chaque côté du Rocher, deux nécropoles, est et ouest, contenaient des corps avec de nombreux bracelets de bronze, de fer et de schiste ; elles datent des {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: V|-| – | V }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles
}} Modèle:Av JC<ref>Aimé Bocquet, L'Isère pré et protohistorique, Gallia-Préhistoire 1969, fasc. 2, pages 356-358 [1]</ref>
Au lieu-dit du Achard des fouilles ont permis de découvrir les vestiges d'un village gallo-romain<ref name="Tasset603612"/>.
Moyen Âge
La Tour de Saint-Giraud, reste du château féodal, dresse encore quelques pans de pierres sur la montagne d’Uriol.
En 1255, le mandement ou terre sur lequel se dressait le château appartenait au chevalier Lanthelme Paviot qui le vendit à cette date au dauphin Guigues VII de Viennois. Puis en 1289, le dauphin Humbert échangea le fief et le château de Varces contre le fief et la maison forte de Bellecombe au-dessus de Chapareillan, propriété de Emery de Briançon ; le dauphin trouvait l’avantage d’être ainsi plus à même de surveiller les agissements de son voisin le comte de Savoie<ref>Google livre, "Histoire générale de Dauphiné, Volume 2" de Nicolas Chorier, consulté le 25 août 2020.</ref>.
Au Moyen Âge, Varces est chef-lieu de mandement. L'enquête de 1339 signale l'existence d'une maison forte « Bâtie du Chatelard », petit fortin dépendant du château de Varces<ref name="a">Modèle:Harvsp.</ref> : « Infra autem predictum mandamentum de varsia est bastida de chastellario » décrit comme : in quadam alto magno molario et forti vocatus molare de fontanilibus (ADI B 3120, f° 122), « Item molarium de chastellario situs in mandamentum de varsee » (ADI B 3120, f° 158 v°) et « dominus de varsia tenet a dicto domino vallis bonnesi ad homagium I castrum de castellare » (ADI B 4443, f° 99 v°)<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. On note aussi la présence de la tour rendable de Jean Dauris décrite en 1283 comme : « turrim seu domum fortem quam habet apud varsiam »<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.
Le dénombrement de 1540, indiquait que le mandement de Varces était formé alors de cinq paroissesModèle:Refnec :
- San Pietro di Varcia (Saint Pierre de Varces) ;
- San Girardi (Saint Giraud) ;
- San Paoli (St Paul de Varces) ;
- San Ricci (Risset) ;
- Fontanilibus (Fontagneux).
Temps Modernes
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, messire de BriançonModèle:Lequel fit agrandir le château de Varces à tourelles carrées dans la plaine de Saint-Paul, au pied de son château de Saint-Giraud, en ruines. Mais en 1637, son descendant Louis de Briançon fut dans la nécessité de vendre les paroisses de Risset et de Fontagneux, la terre de Saint-Ange à son voisin le seigneur d’Allières, messire Samson de Périssol. C’est ce qui forma, dès 1654 le mandatement d’AllièresModèle:Refnec.
Époque contemporaine
Aujourd’hui, les deux châteaux de Varces et d’Allières dressent toujours leurs fièresModèle:Passage évasif façades. L'an 1792 marqua la fin des seigneuries et la création de trois communes : Varces, Allières et Risset. Ces deux dernières fusionneront avant 1794 en Allières-et-Risset. En 1955, les deux communes sont réunies pour former la nouvelle commune de Varces-Allières-et-Risset.
Modèle:Précision nécessaire. À l’abri des crues des torrents depuis la construction des digues, au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l’agriculture se développa. La vigne en occupa de vastes surfaces. L’implantation d’industries chimiques dès 1914 à Pont-de-Claix attira la main d’œuvre locale. Au cours des cinquante dernières années, la population augmentant, de nouveaux logements s’édifièrent. L’agriculture moderne est encore bien présente, surtout dans la plaine.
Varces a une autre richesse : une grande partie de l’eau « naturellement pure », alimentant l’agglomération grenobloise est pompée sur la commune, à Rochefort.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Au Modèle:Date-, Varces-Allières-et-Risset est jumelée avec<ref name="JUMEL"> Modèle:Lien web.</ref> :
Par ailleurs, la commune a signé en 2006 un contrat de mise en place d'actions sociales avec la commune rurale de Modèle:Lien au Maroc<ref name="JUMEL"/>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A), la commune de Varces-Allières-et-Risset administre une école maternelle et deux écoles élémentaires<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Le département y gère le collège Jules-Verne<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Équipements sportifs
La commune compte trois gymnases : le gymnase Lionel-Terray, le gymnase du Champ Nigat<ref name="z">Modèle:Lien web.</ref> et le gymnase Belledone<ref name="z" />.
Équipements publics
Établissement pénitentiaire
Modèle:Article connexe La commune héberge sur son territoire une un établissement pénitentiaire français. Relevant du statut de maison d'arrêt, celui-ci est situé au nord du bourg central et a été mise en service le Modèle:Date-.
Établissement militaire
Le quartier CBA de Reyniés héberge le 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA), le 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM), et le CMA de Varces. L'établissement est situé au nord du bourg central.
Manifestations culturelles et festivités
- Bface, manifestation autour de la musique et la culture vinyle, concerts, rencontres, expositions, chaque année au mois de mai sur la commune.
- Varces en live, fête musicale communale pour les mineurs, qui a lieu au mois de mai.
- Marché de Noël, en décembre.
Médias
Presse écrite
Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble-Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, de l'agglomération, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Presse audiovisuelle
En ce qui concerne la réception de la télévision, les habitants de la commune peuvent recevoir les chaines de la TNT.
Le bassin grenoblois bénéficie par ailleurs de la présence de chaines de télévisions régionales comme France 3 Alpes qui propose une édition locale du service public. Celle-ci domine historiquement l'information locale en offrant des reportages sur divers lieux de la région.
La chaîne locale TéléGrenoble est une chaîne de télévision privée mise en service en octobre 2005. Devenue en 2011, TéléGrenoble Isère, elle propose de multiples reportages d'actualités locales sur Grenoble, sa métropole et l'ensemble du Grésivaudan.
Cultes
La communauté catholique de Varces-Allières-et-Risset est rattachée à la paroisse catholique « Saint Loup » au sein du doyenné des « Montagnes du Sud » du diocèse de Grenoble-Vienne<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Le lieu de culte est l'église Saint Pierre<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France<ref>Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).</ref>.
Varces-Allières-et-Risset est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Varces-Allières-et-Risset au 2 726e rang parmi les Modèle:Nombre de plus de Modèle:Nombre en métropole<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
En 2009, 29,5 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables<ref group="I">REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.</ref>.
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on comptait 72,1 % d'actifs dont 67,6 % ayant un emploi et 4,5 % de chômeurs<ref group="I">EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.
On comptait Modèle:Nombre dans la zone d'emploi, contre 1 949 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 3 054, l'indicateur de concentration d'emploi<ref group="Note">L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.</ref> est de 91,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi par habitant actif<ref group="I">EMP T5 - Emploi et activité.</ref>.
Entreprises et commerces
Au Modèle:Date-, Varces-Allières-et-Risset comptait Modèle:Nombre : 21 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 26 dans l'industrie, 66 dans la construction, 200 dans le commerce-transports-services divers et 68 étaient relatifs au secteur administratif<ref group="I" name="CEN T1">CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.</ref>.
En 2011, Modèle:Nombre ont été créées à Varces-Allières-et-Risset <ref group="I">DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.</ref>, dont 28 par des autoentrepreneurs<ref group="I">DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune ne compte aucun monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ou à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Par ailleurs, elle compte deux objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> :
- le tableau représentant l'adoration des Mages, daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et situé dans la chapelle de Fontagneux, est « classé » depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- le tableau représentant le martyre de saint Maurice, daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et situé dans la chapelle de Risset, est « classé » depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
Patrimoine civil
- les ruines du château de Château VieuxModèle:Refnec
- l'ancien château delphinalModèle:Refnec dont l'église paroissiale des {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVI
}} en serait l'ancienne chapelle castrale.
- Le château d'Allières<ref group="Coord">Château d'Allières : Modèle:Coord.</ref>, ancienne maison forte de Porte-Traine<ref name="Tasset603612"/>.
- Ruines des remparts du Grand Rochefort, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, d'époque gauloise<ref name="Tasset603612">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Les vestiges du château fort de Saint-Giraud, de Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sur la colline Saint-Géraud<ref name="Tasset603612"/>.
- L'enquête de 1339 signale l'existence d'une maison forte « Bâtie du Chatelard », petit fortin dépendant du château de Varces<ref name="a" />.
- Le château Malissoles, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ancienne maison forte de du Molard du Châtelard<ref name="Tasset603612"/>.
- Le château de Varces, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset603612"/>.
- La maison forte de Pélissière, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset603612"/>.
- Le manoir de Brigaudières, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset603612"/>.
- Maisons anciennes, notamment à Varces et Le Martinais d'en Bas<ref name="Tasset603612"/>.
- Le manoir du Petit Rochefort, probablement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset603612"/>.
- Une porte datant du Moyen Âge avec un linteau sculpté en forme de tête de bélier<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Le château de Bouchage, dit château Durand<ref name="Tasset603612"/>.
- le monument aux morts communal
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Pierre de Varces<ref group="Coord">Église Saint-Pierre de Varces : Modèle:Coord.</ref>.
- L'ancienne église paroissiale située dans le hameau de Risset : l'église Saint-Pierre de Risset<ref group="Coord">Église Saint-Pierre de Risset : Modèle:Coord.</ref>
- La chapelle Saint-Maurice<ref group="Coord">Chapelle Saint-Maurice : Modèle:Coord.</ref>, située dans le hameau de Fontagneux, à l'écart du centre-bourg, citée pour la première fois en 1115<ref name="Tasset603612"/>.
- À Saint-Ange, la chapelle de l'ancien prieuré de Saint-Imbert<ref name="Tasset603612"/>.
- La grande statue de la Vierge de la Libération<ref group="Coord">Vierge de la Libération : Modèle:Coord.</ref>, érigée en 1946 au sein du sanctuaire marial.
- L'ancien ermitage de Lachal, à l'extrémité nord de la rue Notre-Dame de Lachal<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
- Quelques photos de monuments de la ville de Varces
-
Église Saint-Pierre à Risset
-
Chapelle Saint-Maurice au hameau de Fontagneux
-
Monuments aux morts de Varces
-
Château d'Allières
-
Croix du Jubilé à Varces
-
Manoir de Brigaudières
Patrimoine culturel
- Salle de représentation (l'Oriel)
- Musée de modèles réduits
Patrimoine naturel
- Cascade d'Allières<ref name="Tasset603612"/>.
Personnalités liées à la commune
- Charles Planelli de Lavalette (1763-1854), homme politique et haut fonctionnaire, fut maire de Varces et y mourut.
- Pierre Termier (1859-1930), géologue, Modèle:Référence nécessaire.
- Olivier Panis (1966), pilote automobile, possède une maison à Varces<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Charles Guillaud (1925-2014), artiste peintre, possédait une maison familiale à Varces
- André de Bellemontre, né en 1744 à Seurre (21). Général des armées de la Révolution, décède dans cette commune le 24 juillet 1812.
- Charles Mallerin (1878-1961), célèbre obtenteur de roses.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Insee
- Dossier relatif à la commune, Modèle:Lire en ligne