Saint-Hilaire-lez-Cambrai

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Hilaire-lez-Cambrai est une commune française, située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Hilairiens<ref>Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.</ref>.

Géographie

Fichier:Saint-Hilaire-lez-Cambrai - Entrée.jpg
Une entrée du village.

Site et situation

Saint-Hilaire se trouve à vol d'oiseau à Modèle:Unité à l'est de Cambrai, à Modèle:Unité au nord de Caudry et à Modèle:Unité au sud de Valenciennes. La capitale régionale, Lille, est à Modèle:Unité<ref>Calcul de l'orthodromie sur le site Lion1906</ref>.

Le territoire offre un aspect très légèrement vallonné. Le village est au centre des terres, sur une pente descendant d’ouest en est vers l'Erclin, un petit affluent de rive droite de l’Escaut. Le riot Collet, aujourd'hui ordinairement à sec, descend au sud du village vers l'Erclin<ref name="Geoportail-Hydro">Modèle:Géoportail.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Voies de communications et transports

La route départementale D942 (Cambrai - Solesmes - Le Quesnoy) passe en limite nord. La route départementale D45 (Caudry-Denain) traverse l'agglomération.

Saint-Hilaire est desservie par les lignes n° 302 (Cambrai - Solesmes) et 331 (Avesnes-les-Aubert- Caudry) du réseau départemental Arc-en-Ciel 3<ref>Modèle:Lien web. </ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Hilaire-lez-Cambrai est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Hilaire-lez-Cambrai, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), zones urbanisées (13,6 %), prairies (12,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Toponymie

Un Hilaire étant le saint protecteur du village, celui-ci a pris son nom. On le trouve mentionné sous les noms de Sanctus Hilarius du {{#switch: e

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}}, Saint-Lare en 1293, Saint-Hilaire en 1309<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bon-Air<ref name=Cassini/>.

En 1894, la terminaison lez-Cambrai est ajoutée au nom de Saint-Hilaire<ref name=Cassini/>, la même année où la commune homonyme de l'Avesnois devient Saint-Hilaire-sur-Helpe.

Histoire

Moyen Âge

En 1064, lors de la fondation de l’abbaye de Saint-Sépulcre à Cambrai, l’évêque-comte du Cambrésis la dote de « la villa de Saint-Hilaire, avec l’église et l’autel ». C’est la première mention écrite du village.

À cette date il y a depuis un certain temps, à Saint-Hilaire, une famille noble qui tient son fief de la maison de Crèvecœur. Sa ferme seigneuriale se situe sur le rang sud de la future grand place, avec des terres attenantes en direction de Quiévy, alors que la ferme de l’abbaye se situe à une centaine de mètres, près de l’église, avec des terres attenantes en direction du nord-ouest.

L’abbaye revendique la seigneurie du lieu. Elle vaincra les oppositions au prix de pressions et de procédures. En 1319, les Saint-Hilaire qui avaient gardé la mairie héréditaire, la lui cèdent. Les biens des branches cadettes se morcellent au fur et à mesure qu’elles se ramifient. Au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Robert de Saint-Hilaire perd le fief principal, faute d’honorer une dette qu’il avait garantie sur sa seigneurie. Dès lors la seule seigneurie notable des Saint-Hilaire s’exerce sur la moitié des anciennes terres de Robert ; le seigneur en est son parent qui tenait ce fief de lui, et qui le tient désormais du chapitre de la cathédrale de Cambrai. À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l’héritier de cette seigneurie imite les nombreux Saint-Hilaire qui avaient émigré au cours du Moyen Âge, et, avec lui, le nom de la famille disparaît au village. Le fief devient la propriété de plusieurs familles successives jusqu’à la Révolution. L’une d’entre elles lui vaut le nom de « fief de Bogny ». Aux {{#switch: e

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}}

}}, l’abbaye engage des procédures contre les seigneurs de Bogny qui contestent sa seigneurie sur les abords de leur ferme-manoir. L’abbaye a aussi plusieurs fois à lutter avec une autre abbaye de Cambrai, l’abbaye Saint-Aubert, pour faire prévaloir ses droits ou sa seigneurie sur certaines terres ou certaines maisons du village. Peu avant la Révolution, elle engage aussi une procédure contre la communauté qui se montrait contestataire. Ce sont les bans de l’abbé qui ont régi la vie communautaire jusqu’à la Révolution, et c’est sa justice qui s’est exercée.

Dépendant de la ville épiscopale de Cambrai, Saint-Hilaire a longtemps vécu du travail de la batiste (notamment pour fabriquer des mouchoirs), appelé la mulquinerie. Les habitants avaient souvent une double occupation : l'agriculture et le tissage. Les mulquiniers possédaient leurs métiers à tisser dans leurs caves (conditions idéales pour la batiste). Il s'agit d'un exemple intéressant de la proto-industrie rurale, orientée sur des produits de luxe à forte valeur ajoutée.

Époque contemporaine

Fichier:Saint-Hilaire-lez-Cambrai - Monument aux morts.jpg
Monument aux morts.

À la Révolution, les biens d’église étaient progressivement devenus considérables, atteignant à peu près la moitié du terroir. À ceux de l’abbaye de Saint-Sépulcre, s’ajoutaient ceux de l’abbaye Saint-Aubert, du chapitre de la cathédrale de Cambrai, de l’église de Saint-Hilaire et des pauvres. Pratiquement tous, ainsi que les biens de Bogny disparurent morcelés en biens nationaux. Pendant la Révolution, le village vécut des heures difficiles lors du passage des Autrichiens en 1794. Après l’Empire, il connut l’occupation russe.

À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, on démolit l’ancienne église fortifiée qui menaçait ruine. On rebâtit la nouvelle à la même place mais orientée en sens inverse.

Le Modèle:Date-, des combats eurent lieu dans l’agglomération : une unité de la cavalerie Von der Marwitz massacra une compagnie de territoriaux sarthois qui reculait depuis Valenciennes. Les Allemands y perdirent aussi de nombreux hommes, dont l’aristocrate Alfred zu Dohna. Le village fut occupé pendant la Grande Guerre ; le Modèle:Date-, sa population dut évacuer vers le nord-est. Cette évacuation fit de nombreuses victimes, la plupart à cause de l’épidémie de grippe espagnole. Pendant ce temps, le village fut repris par les Scots Guards le Modèle:Date-.

En 1939-1940, le Modèle:6e cantonna longuement au village, nouant des liens durables avec la population.

Politique et administration

La mairie
La mairie

Administration municipale

La commune comptant entre Modèle:Unité et Modèle:Unité en 2008, le nombre de conseillers municipaux est de 19. Depuis 2014, le maire est Maurice Defaux. Saint-Hilaire est membre de la Communauté de communes du Caudrésis-Catésis, qui comprend 46 communes et 65 874 habitants en 2014.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

  • François Margerin (1669-1744), mulquinier, fils d'Antoine Margerin (mort en 1692, échevin en 1685-1690) fut mayeur en 1729-1736.
  • François Margerin (1797-1863), fabricant de batiste et négociant, arrière-petit-fils du François Margerin mayeur en 1729-1736, fut maire en 1837.

Rattachements administratifs et électoraux

Saint-Hilaire-lez-Cambrai est située dans l'arrondissement de Cambrai. La commune était rattachée au canton de Carnières, supprimé à la suite du redécoupage cantonal de 2014, et relève maintenant du canton de Caudry. Elle est rattachée à la douzième circonscription du Nord.

Saint-Hilaire-lez-Cambrai relève du tribunal d'instance de Cambrai, du tribunal de grande instance de Cambrai, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Cambrai, du conseil de prud'hommes de Cambrai, du tribunal de commerce de Douai, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,62 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Enseignement

Modèle:...

Cultes

Les Hilairiens disposent d'un lieu de culte catholique : l'église Saint-Hilaire. Cette église dépend de la paroisse « Bienheureux Carl en Cambrésis » rattachée à l'archidiocèse de Cambrai<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Revenus et fiscalité

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Saint-Hilaire-lez-Cambrai au 24 587e rang parmi les Modèle:Nombre de plus de Modèle:Nombre en métropole<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Population active et emploi

Modèle:...

Entreprises

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Saint-Hilaire-lez-Cambrai - Chapelle Notre-Dame-de-Pitié 18.jpg
La chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
  • Ferme de l'Abbaye de Saint-Sépulcre à Saint-Hilaire en Cambrésis. L'abbaye était à Cambrai et des bâtiments de sa cense à Saint-Hilaire dont il reste la maison d'habitation du censier. Ce dernier étant presque toujours nommé mayeur de la communauté, la maison servait pour les plaids de la justice de l'abbaye. Elle se trouve à l'entrée du terre-plein de l'église<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Le moulin dit de Quiévy est l'ancien moulin banal de la cense de l’abbaye.
  • La chapelle Notre-Dame-de-Pitié située Route de Quiévy.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Pour approfondir

Bibliographie

  • Cyrille Thelliez, « Terre et seigneurie de l’abbaye Saint-Sépulcre à Saint-Hilaire-en-Cambrésis », publié dans le tome 67 des Mémoires de la Société d’émulation de Cambrai ; le même tiré à part, imprimerie Henry Lefebvre, Cambrai 1912, 364 pages ; le tiré à part est réédité chez Hachette Livre BNF, 1/06/2013. Modèle:Comment.
  • Cyrille Thelliez, « La tuerie de Saint-Hilaire », publié dans la revue cambrésienne Sous leur griffe, Modèle:Date-.
  • Maximilian Von Poseck, Die deutsche Kavallerie 1914 in Belgien und Frankreich, Verlag von E G Mittler & Sohn, Berlin, 1922. Les pages 53–54 de cet ouvrage proposent le seul témoignage militaire sur les combats de Saint-Hilaire du Modèle:Date-. Une traduction en anglais a été éditée en 1923. Réédition récente (Europäischer Hochschulverlag, 2011). Modèle:Comment.
  • Fernand Leprette, « Dans un village du Nord », première partie du recueil poétique Chansons de Béhéra, Le Caire, 1935, évoque la jeunesse hilairienne de l’auteur ; le premier chapitre du roman Le Mauvais Infirmier, éd. Horus, Le Caire, 1941, est consacré aux jours précédant la mobilisation de 1914 au village. Nombreuses mentions rapides de Saint-Hilaire dans la plupart des autres œuvres de l’auteur.
  • Aristide Caron, Notes sur le patois parlé dans dix villages du Cambrésis, Lille, 1950.
  • C Thelliez et L. Cotton, Contribution à l’histoire du Cambrésis : le village de Saint-Hilaire-lez-Cambrai de l’an 1064 à l’an 1950, 421 pages, imprimerie Lefebvre Lévêque et Cie, Douai, 1951.
  • Gérard Leducq, Le Patois de Saint-Hilaire-lez-Cambrai, mémoire de géographie linguistique, faculté des lettres de Grenoble, 20 exemplaires édités par l’auteur, 1968.
  • Gérard Leducq, articles dans la revue Linguistique picarde, musée de Picardie, Amiens : « Patronymes et surnoms à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », Modèle:N°, Modèle:Date-, ; « Noms de lieux à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », Modèle:N°, Modèle:Date- ; « De la naissance aux premiers pas à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », Modèle:N°, Modèle:Date- ; « Les travaux du ménage et l’entretien du linge (Saint-Hilaire-lez-Cambrai) », Modèle:N°, Modèle:Date-.
  • Gérard Leducq, « Vocabulaire de la vie agricole à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », article dans la revue Jadis en Cambrésis, Modèle:N° de Modèle:Date- et Modèle:N° d’Modèle:Date-.
  • Christian Lepie, « Une histoire d’amour pendant la « drôle de guerre » entre le Modèle:6e cuirassiers et le village de Saint-Hilaire-lez-Cambrai » (Modèle:Date--Modèle:Date-) : article dans la revue Cambrésis terre d’histoire Modèle:N° de Modèle:Date- et Modèle:N° de Modèle:Date-.
  • Pierre et Colette Lebecq, « Saint-Hilaire : Monsieur de l’arrière face à la justice », article dans la revue Jadis en Cambrésis, Modèle:N° de Modèle:Date- et Modèle:N° de Modèle:Date-.
  • Maurice Delacourte, articles dans la revue Jadis en Cambrésis : « En souvenir de ma mère », Modèle:N° de Modèle:Date- ; « Le père Baptiste », Modèle:N° de Modèle:Date-.
  • Saint-Hilaire-lez-Cambrai, Acu publishing, broché 140 pages, Modèle:Date-.
  • Jean-Marie Bérard, « De Saint-Hilaire-lez-Cambrai à Masnières : les Millet », dans la revue Cambrésis terre d’histoire Modèle:N° de Modèle:Date-.
  • Jean Doffe, « À la mémoire de Marceau Méresse », article dans la revue Farda Modèle:N° de Modèle:Date- (Groupe des généalogistes amateurs du Cambrésis).
  • Gérard Leducq, « Les combats de la cavalerie von der Marwitz le Modèle:Date- en Cambrésis », dans la revue Cambrésis terre d’histoire Modèle:N° d’Modèle:Date-, et Modèle:N° de Modèle:Date- (les combats de Saint-Hilaire sont détaillés dans le Modèle:N°).
  • Gérard Leducq, « 1914-1918, Saint-Hilaire-lez-Cambrai, un village allemand », tome 113 des Mémoires de la Société d’émulation de Cambrai (année 2013), 270 pages ; l’ouvrage comporte une annexe de 40 pages sur l’histoire du village en dehors de la période de la guerre).
  • Modèle:Ouvrage.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Autres références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail