Montay

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Modèle:Infobox Commune de France

Montay est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont les Montagnards<ref name="LVDN26012020"/>. Modèle:Sommaire

Géographie

Description

Fichier:Montay village.jpg
Le village et la Selle.

Montay est une petite commune jouxtant Le Cateau-Cambrésis, située aux limites du Cambrésis et de l'Avesnois, bâtie sur la Chaussée Brunehaut, ancienne voie romaine, au creux de la vallée de la Selle.

Elle se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau au sud-est de Cambrai, Modèle:Unité au sud de Valenciennes, Modèle:Unité de la frontière belge et à Modèle:Unité de Mons, Modèle:Unité au sud-ouest de Maubeuge, Modèle:Unité à l'ouest d'Avesnes-sur-Helpe et Modèle:Unité au noird-est de Saint-Quentin.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Géologie et relief

En 1900, l'intituteur communal mentionnait que « Le sol de Montay est formé en majeure partie d’argile sablonneuse, se prêtant très bien à la culture, ayant une couche végétale d’une profondeur assez variable.
La constitution du sol de cette commune varie souvent brusquement. Il n’est pas rare de trouver plusieurs sortes de terrains dans le même champ.
Sur la rive gauche de la Selle se trouve le plateau argileux que dominent Inchy et Béthencourt. Le sol est composé d’argile et de sable en fortes proportions.
Le sous-sol est formé d’une couche d’argile d’une épaisseur variant de Modèle:Unité recouvrant une couche de sable roux et blanc par endroit. C’est sur cette rive que sont établies les briqueteries de Montay.
On trouve cependant le calcaire en certains endroits de la Feuillie et des Cavignaux.
La marne argileuse affleure même le sol au bosquet.
Sur la rive droite, le sol est argilo-calcaire, sauf à la Borne à 3 Trous où le sable est assez abondant.
Le sous-sol est formé d’une mince couche d’argile, recouvrant une épaisse couche de calcaire ou de marne argileuse. Montay alimente de marne à brûler tous les environs jusqu’à une distance de 20 kilomètres
 » et indiquait Modèle:Citation<ref name="Monographie"/>.

Hydrographie

La commune est drainée par la Selle, un affluent du fleuve l'Escaut.

Le ruisseau de Richemont et un ruisseau intermitant y confluent. Le village dispose de nombreuses sources, notamment celle de la Cavée qui alimente la fontaine municipale , toujours utilisée, et la source de la Feuillée qui est la plus importante<ref name="cathocambrai">Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étreux », sur la commune d'Étreux, mise en service en 1956<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Montay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine du Cateau-Cambrésis, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Cateau-Cambrésis dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,9 %), prairies (17,9 %), zones urbanisées (4,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

En 1900, l'instituteur communal mentionnait l'existence des lieux-dits suivants : Baillon, Richemont, les Cailloux, la Borne à 3 trous, le Ravin Mordry, le Bas du chemin de Solesmes, le Village, le Jardin d’en Haut, les Cavignaux, la Feuillie, le Cent de la Feuillie, le Fief doré, le Pont des 4 vaux<ref name="Monographie">Monographie commune, document mentionné en Bibliographie, </ref>.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 147, alors qu'il était de 143 en 2013 et de 140 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 85,5 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 13,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montay en 2018 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,4 % en 2013), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement à Montay en 2018.
Typologie Montay<ref name="LogT2" group="I"/> Nord<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 85,5 90,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 13,8 7,7 8,2

Toponymie

Modèle:Section à sourcer L'origine de « Montay-sur-Selle », premier nom connu du village, n'est pas connue avec certitude. Étymologie : nom dû à sa situation sur une petite émergence près de la Selle.

Évolution du nom de la commune :

  • 1139 : Montali, titre de Sainte-Croix ;
  • 1158 : Montoye, titre de Saint-Aubert ;
  • 1266 : Montay.

Histoire

Antiquité

La Chaussée Brunehaut, voie romaine aménagée vers l'an 50 {{#if:|{{#ifeq:|l|{{#if:|[[| apr. J.-C.]]|apr. J.-C.}}| Modèle:Abréviation discrète}}|Modèle:Abréviation discrète}} sous l'empereur Claude, qui traverse le village affecte au niveau de Montay, le seul parcours sinueux entre Bellenglise et Bavay. Plusieurs hypothèses sur la destination du lieu à cette époque sont possibles quand on sait que les modifications de trajectoire pratiquées par les Romains se limitaient aux lieux de culte et aux cités déjà existantes et pacifiées par l'Empire<ref name="cathocambrai"/>.

Par ailleurs, la mise à jour de nombreuses sépultures des {{#switch: V

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}}

}} en 1895 lors des travaux de mise en place de la voie ferrée Valenciennes - Le Cateau-Cambrésis attestent l'importance de ce vicus gallo-romain.

Moyen Âge

Une élégante pierre tombale datant de l'époque mérovingienne provenant d'un sarcophage du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est visible sur le parvis de l'église du village.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une importante seigneurie était la propriété de Raoul de Montay<ref name="Monographie"/>. La cense de la Feuillée en est le centre de la vie communautaire jusqu'à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et on trouve trace à partir de 1311 de la fondation du monastère de Saint-Lazare de Chasteau-en-Cambrésis (Le Cateau-Cambrésis) qui desservait une léproserie (maladrerie Saint-Ladre, attestée par un acte de 1405)

Temps modernes

En 1566, durant les Guerres de Religion, le monastère est ravagé par les Huguenots du Chasteau mais survit jusqu'à la Révolution française.

Révolution française et Empire

Durant la Révolution française, en 1794, deux prêtres originaires de Montay, Jacques-François Preux et Jean-Baptiste Danjou, sont guillotinés. Une plaque dans l'église le rappelle<ref name="cathocambrai"/>.

Le Modèle:Date-, l'Empereur François Ier d'Autriche, à la tête d'une armée de Modèle:Unité<ref name="cathocambrai"/>., après avoir infligé une défaite sanglante aux armées révolutionnaires françaises, passe en revue toute la grande armée des alliés sur les hauteurs de Montay en direction de Forest-en-Cambrésis.

Après la défaite de Waterloo, [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] passe par Montay en allant de Valenciennes au Cateau. Quelque temps après, lors des Cent-Jours, Louis XVIII y passe également, se rendant du Quesnoy au Cateau. « La municipalité du Cateau s’avança jusqu’aux premières maisons de Montay pour recevoir le roi et lui souhaiter la bienvenue<ref name="Monographie"/> ».

Époque contemporaine

Les années 1850-1870 marquent l'entrée de Montay dans l’ère industrielle. Une partie de la population quitte le village et ses cultures agricoles pour travailler dans les complexes industriels nouvellement installés au Cateau (peignages, filatures, tissages, etc.). Dans le même temps, Montay se dote de petites unités de production : scierie, brasserie, sucrerie, savonnerie, unités d'extraction de phosphate, de chaux et de marne sur les berges de la Selle<ref name="cathocambrai"/>.. Un moulin à huile s'installe également sur la rivière pour le traitement des oléagineux (colza). Ce tordoir est transformé en savonnerie puis affecté au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au traitement du manganèse. Un second moulin situé en aval du premier a quant à lui une destination plus classique (meunerie). En 1900, l'intituteur communal mentionne que « depuis 1885 on extrait du phosphate au lieu-dit « La Borne à 3 Trous ». Plusieurs compagnies ont abandonné cette extraction à cause de la pauvreté du phosphate qui ne leur donne pas d’assez grands bénéfices pour le transformer en superphosphate. Ce phosphate naturel (titrant 18 % d’acide phosphorique) est cependant encore utilisé par quelques cultivateurs qui l’épandent à l’état naturel sur leurs terres, mais le plus souvent le jettent sur la litière des étables et écuries ou sur le tas de fumier, ce qui empêche ce dernier de perdre ses gaz ammoniacaux tout en rendant le phosphate assimilable<ref name="Monographie"/> ». En 1900, La Selle donne la force motrice à deux moulins, à un « Tordoir d’huile » et à une fabrique de broches pour filature<ref name="Monographie"/>.

En 1808 , Montay se dote d'une mairie-école pour les garçons et pour les filles, remplacée en 1891 par une nouvelle école. A cette époque, le nombre d'élèves varie de vingt à quatre-vingt<ref name="Monographie"/>.

Le village est occupé par l'armée allemande pendant toute la Première Guerre mondiale<ref name="cathocambrai"/>. Comme en témoignent les trois cimetières britanniques et leurs 618 tombes<ref>Montay-Neuvilly Road Cemetery sur www.inmemories.com, Montay Britsh Cemetery sur www.inmemories.com , Cimetière communal sur www.inmemories.com</ref>, Montay est le lieu de deux terribles batailles de la Première Guerre mondiale. La première, en Modèle:Date-, opposant d'une part les soldats anglais, français et écossais aux soldats allemands d'autre part stoppe la percée de ces derniers et permit aux alliés de se regrouper sur la Marne. La seconde en novembre 1918 brise une des dernières résistances allemandes. Modèle:Article connexe

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Cambrai du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton du Cateau-Cambrésis<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton du Cateau-Cambrésis, porté de 18 à 56 communes. Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-huitième circonscription du Nord. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Montay était membre de la communauté de communes du Pays de Matisse, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes du Caudrésis – Catésis qui se transforme le Modèle:Date- en communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

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Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services publics

La commune dispose d'une école primaire, qui, en 2021, scolarise 29 élèves<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 52,63 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Cultes

L'église catholique Saint Jean-Baptiste relève du Relais du Hainaut de la paroisse N.D. de la Fraternité en Cambrésis, placée sous l'autorité du diocèse de Cambrai<ref name="cathocambrai"/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

On peut signaler :

Il est probable que la base du chœur ait appartenu à l'ancienne chapelle de l'hôpital Saint-Ladre. L'édifice, endommagé durant la guerre, est restauré dans l'entre-deux-guerres et comprend un abondant mobilier et des statues en bon état de conservation<ref name="cathocambrai"/>.
  • La mairie est installée dans l'ancien presbytère et son jardin comprend une statue de Saint Bernard<ref name="cathocambrai"/>.
  • Moulin dit « du Tordoir<ref group="Note">Le « Tordoir » est le nom donné localement aux moulins à huile.</ref> », 2 rue de Richemont, au confluent de la Selle et du Ruisseau Saint-Maurice. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il produit de l'huile de colza, de lin, et d'oeillette, ainsi que des sous-produits tels que les tourteaux. Après la Première Guerre mondiale sous la direction de Charles Caillaux, il emploie une dizaine d'ouvriers et produit, dans les années 1930, de la poudre à laver « Kur », du savon mou et du savon de Marseille « Ponsin Frères ». Dans un second temps, il traite de la magnésie noire ou manganèse, ce qui a eu des effets néfastes sur l'environnement. Son activité cesse vers les années 1950<ref>

Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="cathocambrai"/>.

Modèle:Article détaillé

  • Monument aux morts, près de la mairie.
  • Monument d'hommage aux combattants de Montay, square du 8 mai 1945, utilisant une meule de moulin.
  • Chapelle « Notre-Dame-du-mont-Carmel » ex-« Chapelle du diable », érigée en 1854 par Jean-Baptiste Delfosse, dit « le Diable », et qui lui donna son sobriquet. Elle est restaurée à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Modèle:M. Zinguedeau, qui en change le vocable et y place l’image de Notre-Dame du Mont-Carmel. La chapelle et la statue sont bénites par le chanoine Decorne en 1891<ref name="Monographie"/>
  • Calvaire érigé en 1840 qui, d'après la légende, fut l'endroit où s'arrêta une épidémie de choléra en 1866 épargnant ainsi la population du village<ref name="Monographie"/>.
  • Chapelle « Notre-Dame-de-Lourdes », construite en 1949 pour la réalisation d'un vœu fait en 1940 par Mme veuve Claisse-Minaux et sa famille, avec l'aide de l'abbé Émile Glorieux, curé de Montay de 1907 à 1954<ref name="cathocambrai"/>
  • Source de la Cavée et la fontaine municipale aux eaux pures très recherchées (9 sources au total à Montay)


Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail