Thiennes

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Modèle:Infobox Commune de France

Thiennes (Thienen en néerlandais<ref>Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois</ref>) est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Géographie

Fichier:LocalisationThiennes.PNG
Thiennes dans son canton et son arrondissement

Situation

Thiennes est située sur la Lys.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fiefs », sur la commune de Fiefs, mise en service en 1952<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Thiennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Steenbecque, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,6 %), prairies (11,9 %), zones urbanisées (6,1 %), forêts (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

Au début de la période gallo-romaine, alors que Jules César peinait à pacifier le nord de la Gaule, le territoire de l'actuelle commune de Thiennes a fait l'objet d'une attention toute particulière puisque c'était le lieu d'embarquement sur la Lys et qu'elle a bénéficié pour cela de la construction d'une voie romaine qui la relie directement à Cassel, qui semblait être un des deux centres névralgiques de la région avec Bavay. Ainsi, le sel issu des salines de la Mer du Nord et transitant par Cassel pouvait être acheminé par barques jusqu'aux ports maritimes de l'embouchure du Rhin<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette voie romaine reliait Cassel à Mardyck, sur la côte<ref>Mr Bergerot, <<Vie de Saint-Folquin>>, dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, Modèle:P. à 131, lire en ligne</ref>.

La commune a bénéficié aussi de la présence proche de la forêt royale puis domaniale de Nieppe, qui est l'une des très rares forêts poussant sur sols limoneux riches, et ayant survécu aux défrichements du Néolithique, de la période gallo-romaine et des périodes médiévales et postérieures qui ont suivi (c'est aussi le cas de la forêt de Mormal).

Thiennes était réputée dans le passé pour ses carrières de silex<ref>Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1855, page 176, lire en ligne</ref>.

Thiennes a donné son nom à une famille de la noblesse qui a possédé la seigneurie de Thiennes puis s'est fixée en d'autres lieux.

Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne puis, à la disparition de celui-ci, dans le diocèse de Saint-Omer<ref name=":022">Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.</ref>.

La terre de Blaringhem est confisquée en 1298 sur Thomas de Lille et donnée par le connétable de France Raoul II de Clermont-Nesle à Baudouin de Le Planck, seigneur de Thienes (à l'époque, affrontement entre le comte de Flandre Gui de Dampierre et le roi de France Philippe IV le Bel qui gagne la partie; les seigneurs restés fidèles au comte voient leurs biens confisqués)<ref name="an">Annuaire Ravet-Anceau, Département du Nord Année, 1979, Tome III, Modèle:P..</ref>.

En 1745, les trois terres réunies de Thiennes, Steenbecque et Blaringhem sont érigées en comté au bénéfice de Jean-François Buisseret<ref name="an" /> sous la dénomination de comté de Thiennes. La terre et seigneurie de Thiennes-Steenbecque, relevant du roi à cause du château de Cassel, consiste en deux paroisses d'environ mille communiants, ayant toutes les justices (justice seigneuriale), ayant la première place en qualité de haut justicier de la noble cour de Cassel, droit de chasse, droit de pêche dans les rivières de Nieppe et de la Mesle, etc., possédant maison, jardins, prairies, bois, et terres labourables, environ 148 mesures (de l'ordre de 66 hectares), moulins, etc, dont relèvent 260 fiefs<ref name=":0">Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne.</ref>.

Pendant la Révolution française, en juin 1793, la municipalité s'est opposée à l'enlèvement des cloches tel que décidé par la Convention nationale<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 40,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 19,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,61 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Famille de Thiennes

  • La maison de Thiennes est issue des ducs de Limbourg en Luxembourg et en porte les armes (« D'argent au lion de gueules armé et lampassé d'or »); elle a fourni beaucoup de gouverneurs de provinces, de places de guerres, de chefs dans les armées, d'ambassadeurs, d'écuyers tranchants, de gentilshommes de bouche, de conseillers et chambellans<ref name=":1">Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne.</ref>.
  • À compter du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au moins, le nom de Thiennes est porté par des seigneurs retrouvés dans différentes paroisses de Flandre, en ayant quitté d'ailleurs leur cité d'origine : le Modèle:Date-, la terre de Rumbeke en Flandre, est érigée en comté, (titre de comte), en faveur de René de Thiennes, seigneur de Rumbeke, Caestre, Claerhoudt, Oudenen et de la cour d'Ideghem, dont la famille a rendu les plus grands services, depuis 1340, époque où Jean de Thiennes, seigneur de Lombize (Lombise) et de Beaurepaire, accompagna avec huit écuyers à sa solde, le duc de Bourgogne Eudes IV de Bourgogne allant au secours de Saint-Omer, assiégée par Robert III d'Artois (bataille de Saint-Omer (1340)<ref name=":1" />.
  • Robert de Thiennes, seigneur de Castre (Caëstre) et Berthen, est conseiller et chambellan des ducs de Bourgogne Philippe le Bon, et Charles le Guerrier (Charles le Téméraire fils de Philippe le Bon), ayant eu commandement de leurs armées contre la France<ref name=":1" />.
  • Jacques de Thiennes, fils de Robert, aussi chambellan des empereurs [[Maximilien Ier (empereur du Saint-Empire)|Maximilien {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et Charles Quint, puis bailli de Gand, commissaire ordinaire au renouvellement des magistrats du comté de Flandre, lieutenant et capitaine du pays et comté de Hollande, ambassadeur vers le roi d'Angleterre et envoyé aussi en qualité d'ambassadeur au roi du Danemark pour lui porter la Toison d'or (Ordre de la Toison d'or)<ref name=":1" />.
  • Le Modèle:Date-, par lettres de Madrid (la Flandre est espagnole à cette époque), la seigneurie et terre de Berthen, ayant haute, moyenne et basse justice (justice seigneuriale), située au comté de Flandre, relevant de la cour féodale de Bailleul, est érigée en marquisat (titre de marquis) en y annexant les terres et seigneuries de Vleminckhove, Noirmont et Houtambach, au profit de Georges de Thiennes, baron de Brouck, seigneur des dits lieux, mestre de camp entretenu, gouverneur, bailli et capitaine des ville et château d'Aire. Georges de Thiennes a servi 27 ans comme alfère, colonel, capitaine de cuirassiers, commissaire général de cavalerie, mestre de camp et depuis sept ans gouverneur d'Aire, s'est trouvé aux sièges de Maestricht, à la surprise de Trèves, à la bataille du prince Thomas de Savoie en la ville de Saint-Omer assiégée, au siège de Lens, au siège de La Bassée, où ayant pris les postes, empêcha l'ennemi d'y introduire des secours, à la défaite de l'armée de France, en la bataille d'Hancourt, etc. etc.<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne.</ref>.

Seigneurs de Thiennes

  • En 1298, Baudouin de Le Planck est sire de Thiennes et de Steenbecque. Il reçoit la terre de Blaringhem, récompense de sa fidélité au roi de France Phillipe le Bel.
  • Jean de la Viefville, dit "Porus", seigneur de Thiennes, combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • En 1438, la seigneurie est détenue par un membre de la famille La Viefville, également seigneur de Blaringhem; sa fille Bonne est abbesse de l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg<ref>Georges Dupas, Le clergé, les couvents et leurs biens dans la châtellenie de Bourbourg avant la Révolution, Coudekerque-Branche, Galaad, 2000, p. 41.</ref>.
  • Jean-François Buisseret est écuyer, seigneur de Thiennes, Steenbecque, Locquigny, Blandughem (Blaringhem). Fils de Michel, seigneur d'Hantes et de Catherine Fasse, il remplit les fonctions de capitaine au régiment d'Anjou (infanterie), conseiller du roi, commissaire ordinaire des guerres en 1745. Il devient bourgeois de Lille en décembre 1701. Il épouse à Lille le Modèle:Date Marie Cornélie Desbuissons (1667-1740), fille de Jacques Desbuissons II, seigneur de Hautevalle, bourgeois de Lille, anobli en janvier 1675 et de Cornélie Clémence Oly Van Velsen<ref>Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 46-47, lire en ligne.</ref>. En 1745, Jean-François Buisseret est fait comte de Thiennes. Il s'est distingué au siège de Lille en 1708. Son frère aîné a servi également avec distinction comme capitaine au régiment de Bresse (infanterie); atteint de plusieurs blessures, il a été gratifié d'une pension. La famille Buisseret est reconnue noble depuis 1408, les preuves ayant été vérifiées à la réception d'un de ses fils et petit-fils dans les pages de la grande écurie du roi; son fils aîné est député de la noblesse pour les villes et châtellenie de Douai et Orchies aux États d'Artois. La famille a noué de nombreuses alliances nobles. François Buisseret, grand oncle du bénéficiaire a été évêque de Namur puis archevêque de Cambrai, Hugues Buisseret fut abbé de l'abbaye du Jardinet, Étienne Buisseret abbé de Moliens, Jean Buisseret abbé de Belvaux. Jean-François Buisseret possède également la terre de Blaringhem, relevant elle aussi du château de Cassel, paroisse de plus de mille communiants avec justice vicomtière et 145 mesures (de l'ordre de 65 hectares) , bois, jardins, etc. dont relèvent 40 fiefs. Jean François Buisseret est mort à Lille en Modèle:Date-, âgé de 91 ans. L'érection en comté des terres susnommées aurait été obtenue pour Jean François, par son fils, seigneur de Hantes, par le canal du duc de Penthièvre, Louis-Jean-Marie de Bourbon qu'il avait logé chez lui pendant la guerre<ref name=":0" />. Jean Étienne Albert Buisseret (1703-1770), fils de Jean-François nait en février 1703 à Lille ou à La Madeleine. Il est écuyer, seigneur de Hantes, bourgeois de Lille, échevin, rewart (chargé de la police) de Lille. Il se marie trois fois : avec Marie Françoise Jeanne Agnès Talbout, puis Agathe Nicole du Retz, puis à Lille le Modèle:Date Marie Angélique Desbuissons (elle est la petite cousine de l'épouse de Jean François Buisseret) (1714-1749), fille d'Eugène Marie, écuyer, seigneur de la Bretagne, bourgeois de Lille, échevin, rewart (responsable de la police), mayeur de Lille et de Marie Anne de Fourmestraux. Elle nait à Lille en juin 1714 et meurt à Lille le Modèle:Date<ref>Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 45-46, lire en ligne.</ref>.

Pour approfondir

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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