Robert Ier (roi d'Écosse)

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Modèle:Titre mis en forme Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique Modèle:Robert Ier, également appelé Robert Bruce (Modèle:Langue en anglo-normand, Modèle:Langue en gaélique écossais, Modèle:Langue en anglais), est roi d'Écosse de 1306 à 1329. Robert Bruce est né le Modèle:Date de naissance, probablement (mais sans certitude) au Modèle:Lien, et mort le Modèle:Date de décès à Cardross. Il joue un rôle important dans la résistance écossaise à l'Angleterre durant les guerres d'indépendance de l'Écosse et reste considéré comme un héros national.

Membre de la maison de Bruce, il est le fils du comte de Carrick Robert de Bruce et le petit-fils du seigneur d'Annandale Robert de Bruce, candidat malheureux au trône écossais lors de la crise de succession écossaise de 1290-1292. En 1297, le jeune Robert Bruce participe à la révolte de William Wallace contre le roi anglais Modèle:Souverain2. Il est nommé Gardien de l'Écosse en 1298 aux côtés de son rival, le seigneur de Badenoch, Modèle:Souverain3, mais démissionne deux ans plus tard et se soumet à Modèle:Édouard Ier en 1302, sans pour autant renoncer aux droits sur le trône qu'il estime détenir.

Le Modèle:Date-, Robert Bruce assassine John Comyn dans l'église franciscaine de Dumfries, un geste qui lui vaut la haine de la famille Comyn et l'excommunication du pape. Il revendique la couronne et se fait couronner roi à Scone le Modèle:Date-. Il parvient à soumettre ses adversaires à l'intérieur du royaume et résiste avec succès aux armées anglaises, contre lesquelles il remporte une victoire décisive à la bataille de Bannockburn, en 1314. Les troupes écossaises passent ensuite à l'offensive dans le nord de l'Angleterre, ainsi qu'en Irlande. La Déclaration d'Arbroath de 1320, envoyée au pape par les principaux barons écossais, affirme l'indépendance du royaume. Le roi anglais Modèle:Souverain2 la reconnaît en 1328 par le traité d'Édimbourg-Northampton.

Robert meurt en 1329, dans sa vingt-troisième année de règne. Son fils Modèle:Souverain2 lui succède sur le trône. Le corps de Robert Bruce est inhumé en l'abbaye de Dunfermline, à l'exception de son cœur, enterré à l'abbaye de Melrose.

Origine familiale

Robert (Modèle:VII) Bruce est l'héritier d'une lignée issue du baronnage anglo-normand implantée en Écosse depuis le règne de Modèle:Souverain2. Son grand-père [[Robert de Bruce (5e lord d'Annandale)|Robert (Modèle:V) de Bruce]] est le fils et homonyme de [[Robert de Bruce (4e lord d'Annandale)|Robert (Modèle:IV) de Bruce]], Modèle:4e d'Annandale, et d'Isabelle (morte en 1251), la seconde fille de David de Huntingdon, le frère des rois Modèle:Souverain2 et Modèle:Souverain3. C'est de sa mère qu'il tient ses prétentions au trône d'Écosse qui lui vaudront lors de la Crise de succession écossaise son surnom de « Compétiteur ». Robert (Modèle:VII) est le fils aîné de [[Robert de Bruce (comte de Carrick)|Robert (Modèle:VI) de Bruce]] (mort en 1304), comte de Carrick, et Margaret de Carrick (morte en 1292), comtesse de Carrick de jure. Il naît au château de Cardross sur le Firth of Clyde<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Robert Bruce and the Community of the Realm of Scotland, E.U.P, Modèle:4e, Édimbourg, 2005 Modèle:ISBN, « Modèle:Rom-maj. The succession, 1290-2 », Modèle:P.494 et « Modèle:II. Some of the family relationships of King Modèle:Souverain- », Modèle:P.495.</ref>.

Gardien du royaume et prétendant

Fichier:Death of Comyn.jpg
La Mort de John Comyn dans l'église des franciscains de Dumfries, telle que représentée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Félix Philippoteaux.

De la famille des Bruce, il hérite du titre de comte de Carrick à la mort de sa mère. Il reconnaît pendant longtemps la suzeraineté du roi Modèle:Souverain2 d’Angleterre qui le fait baron Bruce d'Anandale dans la pairie d'Angleterre en 1295. Lors de l'insurrection de William Wallace, il mène la révolte dans le Carrick en Modèle:Date mais, vaincu à Irvine avec Robert Wishart, l'évêque de Glasgow, et James Stuart, le grand sénéchal, par les troupes de Robert de Clifford, il fait sa soumission dès juillet.

Robert Bruce exerce la fonction de gardien de l'Écosse conjointement avec Modèle:Souverain3 à partir du second semestre de 1298<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.137.</ref>, malgré la présence de William de Lamberton (mort en 1328), évêque de St Andrews. La tension entre les deux hommes est telle que Robert Bruce renonce à sa charge, lors du « Parlement » de Rutherglen le Modèle:Date et il est remplacé par Ingram de Umfraville<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.144.</ref>. En Modèle:Date, Robert Bruce accepte « la Paix » proposée par le roi d'Angleterre et se soumet à lui. Peu après, avant le Modèle:Date, il épouse en secondes noces Élisabeth de Burgh, une fille du comte d'Ulster. La paix conclue entre le royaume de France et l'Angleterre le Modèle:Date ayant exclu l'Écosse, la plupart des nobles écossais acceptent l'année suivante de se soumettre à Modèle:Souverain2<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.175.</ref>.

Devenu le chef de sa maison après la mort de son père et après une rencontre secrète avec l'évêque William Lamberton, le Modèle:Date<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.185.</ref>, Robert Bruce décide de faire valoir ses droits au trône d'Écosse. Lors d'une entrevue à Dumfries le Modèle:Date, il tue John Commyn, devenu son rival potentiel, qui protestait contre la spoliation des droits de son parent Jean d'Écosse et refusait de lui apporter son soutien<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.188.</ref>.

Conquête du royaume

Robert Bruce est couronné roi d'Écosse à Scone le Modèle:Date par ses partisans dont Isabelle de Fife, John Strathbogie, comte d'Atholl, Modèle:Souverain2, comte de Lennox, et Alan Stuart, comte de Menteith, qui étaient sans doute accompagnés de [[Donald (8e comte de Mar)|Modèle:Souverain- de Mar]], comte de Mar, un jeune enfant neveu du roi Modèle:Robert Ier dont il était le tuteur. Henry, abbé de Scone, et trois évêques participent à la cérémonie ; William de Lamberton, Robert Wishart, évêque de Glasgow, et David Murray, évêque de Moray<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Modèle:Op. cit., Modèle:P.196.</ref>.

Après avoir été battu par Aymar de Valence, comte de Pembroke, à la bataille de Methven dès le Modèle:Date suivant et vaincu lors du combat de Dail Righ (juillet ou Modèle:Date) par les forces d'Alexandre MacDougall, un parent de Commyn, le nouveau roi doit se cacher et se faire passer pour mort. Robert Bruce fuit Modèle:Lien et se réfugie en septembre dans les Hébrides intérieures, le domaine d'Angus Og MacDonald, seigneur d'Islay, qui deviendra ensuite son fidèle allié.

En Modèle:Date, il débarque dans son comté de Carrick. Début mai, il progresse à travers l'Ayrshire et, avec l'aide de ses partisans locaux, il repousse l'armée de chevaliers d'Aymar de Valence lors du combat de Loudon Hill le Modèle:Date. Profitant de la mort d'Modèle:Édouard Ier le Modèle:Date suivant près de Carlisle, il se rend maître de presque tout le Sud de l’Écosse.

Entre l'Modèle:Nobr et l'Modèle:Nobr, Robert Bruce mène campagne contre ses ennemis des Highlands du Nord de l'Écosse. Il bat John Comyn, Modèle:7e, à Inverurie le Modèle:Date. [[William (3e comte de Ross)|William (Modèle:II) Ross]], comte de Ross, accepte alors de le reconnaître comme roi en Modèle:Date. Robert Bruce mène ensuite campagne en Argyll et au Galloway entre août et Modèle:Date. Le Modèle:Date le clergé d'Écosse se prononce en faveur de sa légitimité comme roi<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, « 1310: Declaration of clergy in favour of King Modèle:Souverain- » dans Scottish Historical Documents, Scottish Academic Press, Edinburgh & London, 1974, Modèle:P.48-50.</ref>.

Modèle:Souverain2, le nouveau roi d'Angleterre, n'intervient en Écosse qu'à partir de Modèle:Date. Après avoir signé à Inverness le Modèle:Date un traité d'amitié avec Modèle:Souverain3, le frère et successeur d'Modèle:Souverain3, en 1313, Robert Bruce s'empare de Perth (Modèle:Date--Modèle:Date-) de Dumfries (Modèle:Date-) et de l'île de Man (Modèle:Date--Modèle:Date-). En Modèle:Date, James Douglas prend la forteresse de Roxburgh, et le Modèle:Date, Thomas Randolph le château d'Édimbourg. Robert Bruce remporte une victoire décisive contre les Anglais le Modèle:Date lors de bataille de Bannockburn, près de Stirling.

Exercice du pouvoir

Afin d'assurer la pérennité de sa dynastie, Robert Bruce, sans héritier mâle fait désigner à Ayr le Modèle:Date, comme successeur son frère Édouard Bruce au détriment de sa fille Marjorie dont il préserve néanmoins les droits et ceux de ses éventuels descendants en cas de décès d'Édouard<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, Scottish Historical Documents, Scottish Academic Press, Edinburgh & London 1974 « 1315 Settlement of Succession », Modèle:P.51-53.</ref>.

Entre janvier et Modèle:Date, Robert Bruce mène en personne mais sans grand succès une campagne en Ulster afin d'appuyer son frère cadet Édouard Bruce, qui s'était fait reconnaître comme roi d'Irlande en 1315<ref>Annales des quatre maîtres : AM 1317.4.</ref>. En Modèle:Date, le pape excommunie Robert Bruce et place l'Écosse sous interdit. Le Modèle:Date, après la mort au combat en Irlande de son frère Édouard, son successeur désigné depuis 1315, Robert Bruce qui est toujours sans héritier mâle fait reconnaître par les prélats, les comtes et les barons, les droits à la succession de son petit-fils Robert Stuart, le fils de sa défunte fille Marjorie « de bonne mémoire » et de Walter Stuart<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, « 1318 Settlement of succession », Modèle:Op. cit., Modèle:P.53-54.</ref>. Une trêve de Modèle:Nobr est négociée le Modèle:Date.

Le Modèle:Date, par la déclaration d'Arbroath, la noblesse d'Écosse quasi unanime intervient auprès du pape Modèle:Souverain2 dans le but de confirmer le statut de l'Écosse en tant que nation indépendante et souveraine et de justifier le recours aux forces armées si elle se trouvait injustement attaquée<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, « 1320 Letter of Barons of Scotland to Pope Modèle:Souverain- », Modèle:Op. cit., Modèle:P.55-58.</ref>. Des pourparlers de paix avec l'Angleterre à Bamburgh en Modèle:Date restent sans suite et en Modèle:Date, Modèle:Souverain3 mène sans succès sa dernière campagne contre l'Écosse et Modèle:Robert Ier répond en conduisant en octobre des raids de représailles dans le nord du Yorkshire. Une trêve de Modèle:Nobr est finalement conclue le Modèle:Date.

En Modèle:Date, la papauté reconnaît le titre royal à Modèle:Robert Ier et ce dernier par le traité de Corbeil en 1326 renouvelle l'alliance avec la France. Le Modèle:Date, la succession du trône est dévolue au fils du roi le jeune David et ensuite à son petit-fils Robert Stuart.

Après la déposition d’Modèle:Souverain- (Modèle:Date) et le couronnement de son fils Modèle:Souverain3, ce dernier, pour répondre à un raid écossais contre Duhram (Modèle:Date), mène une expédition jusqu'à Allendale (Modèle:Date). En août, Modèle:Souverain- se retire à York. Les Écossais envahissent alors de nouveau le Northumberland en Modèle:Date. Le conflit avec l'Angleterre s'achève par des négociations en Modèle:Date qui débouchent par la signature du traité d'Édimbourg-Northampton en Modèle:Date qui reconnaît l’indépendance de l’Écosse et le titre royal de Robert Bruce<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, « 1328 Treaty of Edinburgh- Northampton », Modèle:Op. cit., Modèle:P.61-62.</ref>.

Modèle:Robert Ier Bruce meurt, l'année suivante, au château de Cadroos près de Dumbarton (Écosse). Il sera inhumé à l'abbaye de Dunfermline. Sa dynastie s'éteint en 1371. Il est le héros du poème épique The Brus composé vers 1380 par John Barbour d'Aberdeen.

Unions et descendance

Fichier:Robert I and Isabella of Mar.jpg
Modèle:Robert Ier et Isabelle de Mar.

Robert Bruce eut deux épouses :

  1. vers 1295 : Isabelle de Mar, fille de [[Donald (6e comte de Mar)|Modèle:Souverain-]], comte de Mar, avec laquelle il eut :
  2. vers 1302 : Élisabeth de Burgh, morte le Modèle:Date, fille de Richard Og de Burgh, comte d'Ulster, avec laquelle il eut :

Modèle:Robert Ier eut également plusieurs enfants illégitimes dont :

Ascendance

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Découverte de sa tombe

Le Modèle:Date-, les ouvriers qui inaugurent la nouvelle église paroissiale construite sur le site du chœur oriental de l'abbaye de Dunfermline découvrent une chapelle sous l'emplacement de l'ancien maître-autel de l'abbaye. La voûte a été couverte par deux grandes dalles formant une pierre tombale, et une pierre plus grande de Modèle:Unité de longueur, avec six anneaux ou poignées de fer fixés sur elle. Cette voûte mesurait Modèle:Unité de longueur, Modèle:Unité de largeur et Modèle:Unité de profondeur. Dans la voûte, à l'intérieur des restes d'un cercueil de chêne pourri, il y avait un corps entièrement enfermé dans du plomb. Au-dessus du crâne, le plomb avait la forme d'une couronne. Des fragments de marbre et d'albâtre avaient été trouvés dans les débris autour du site de la voûte plusieurs années plus tôt, qui étaient liés à l'achat enregistré par Robert Bruce d'un tombeau de marbre et d'albâtre fait à Paris. La Modèle:Lien ordonne alors que la voûte soit préservée de toute inspection supplémentaire et surveillée par des agents, et qu'une fois les murs de la nouvelle église construits autour du site, une investigation de la voûte et les restes pourrait avoir lieu. Par conséquent, le Modèle:Date-, celle-ci débuta. La toile de linceul d'or et la couverture en plomb s'étaient rapidement dégradées depuis que la voûte avait été ouverte Modèle:Nobr plus tôt. Le corps a été placé sur un panneau en bois de cercueil sur le bord de la voûte. Il a été constaté qu'il était recouvert de deux fines couches de plomb d'environ Modèle:Unité d'épaisseur chacune. Le plomb a été retiré et le squelette a été inspecté par James Gregory et Alexander Monro, professeurs d'anatomie à l' Université d 'Edimbourg. Le sternum était scié de haut en bas, ce qui avait permis de retirer le cœur du roi après sa mort. Un moulage en plâtre du crâne a été réalisé par l'artiste William Scoular. Les os ont été mesurés et dessinés, et la longueur du corps a été établie à Modèle:Unité. Il a été estimé que Bruce pouvait avoir atteint environ Modèle:Nobr Modèle:Nobr (Modèle:Unité) de haut dans sa jeunesse, ce qui, selon les normes médiévales, était impressionnant.

Le squelette, posé sur la planche de bois, fut ensuite placé sur le sommet d'un cercueil en plomb et une grande foule de curieux qui s'étaient rassemblés devant l'église fut autorisée à défiler devant la voûte pour voir les restes du roi. C'est à ce stade de la procédure que certaines petites reliques - les dents et les os des doigts - auraient été enlevées du squelette. Les récits publiés de témoins oculaires tels que Henry Jardine et James Gregory confirment l'enlèvement de petits objets à ce moment. Les restes de Robert Bruce ont été déplacés pour être déposés dans l'abbaye de Dunfermline, dans un nouveau cercueil en plomb.

Un certain nombre de reconstitutions du visage de Robert Bruce ont été réalisées, y compris celles de Richard Neave de l'Université de Manchester, ou celles du projet réunissant Peter Vanezis et Martin McGregor (Université de Glasgow) et Caroline Wilkinson (Université John Moores de Liverpool)<ref>Modèle:Article</ref>.

Blasons

Modèle:Robert Ier d'Ecosse appartenait à la branche écossaise de la Maison de Bruce, lords d'Annandale. Avant son couronnement, son blason personnel (D'or au sautoir de gueules, au chef du même chargé d'un léopard d'or) est donc dérivé de celui de ses ancêtres (d'or au sautoir de gueules, au chef du même). Après son couronnement il reprend le blason des rois d'Ecosse : D'or au lion rampant de gueules, armé et lampassé d'azur, au double trescheur fleuronné et contre-fleuronné du second. Modèle:Article détaillé

Culture populaire

Notes et références

Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mike Ashley, The Mammoth Book of British Kings & Queens, Londres, Robinson, 1998 Modèle:ISBN, « Robert (Modèle:Rom-maj) Bruce », Modèle:P.549-550.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G.W.S. Barrow, Robert Bruce and the Community of the Realm of Scotland, Édimbourg, E.U.P, 2005 (Modèle:4e), Modèle:P.531 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Michael Brown, « The Wars of Scotland 1214~1371 », The New Edinburgh History of Scotland, Édimbourg, Edinburgh University Press, 2004 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} David Cornell, « A kingdom cleared of castles : the role of the castle in the campaigns of Robert Bruce », Scottish Historical Review, Modèle:T., 2008, Modèle:P.233-257.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gordon Donaldson, Scottish historical documents, Édimbourg & Londres, Scottish Academic Press, 1974 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rosalind K. Marshall, Scottish Queens: 1034-1714, East Linton, Tuckwell Press, 2003, Modèle:P.35 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} John. L. Roberts, Lost Kingdoms Celtic scotland and the Middle Ages, Édimbourg, Edinburgh University Press, 1997 Modèle:ISBN.

Liens externes

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