Monein
Modèle:Infobox Commune de France
Monein (en béarnais Monenh ou Mounenh) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le gentilé est Moneinchon<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref> (Monenshon ou Mounenchoun<ref>Lespy et Raimond, ib(</ref>, en béarnais).
Géographie
Localisation
La commune de Monein se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Mourenx<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx<ref name=meta/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Cuqueron (Modèle:Unité), Parbayse (Modèle:Unité), Abos (Modèle:Unité), Lahourcade (Modèle:Unité), Pardies (Modèle:Unité), Tarsacq (Modèle:Unité), Bésingrand (Modèle:Unité), Noguères (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Monein fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Monein est limitrophe avec 13 communes, dont deux en deux endroits différents.
Géologie et relief
Hydrographie
Les terres de la commune sont arrosées<ref>Notice du Sandre sur Monein</ref> par les affluents du gave de Pau suivants :
- le ruisseau la Baïse<ref>Géoportail 1/10 000e
Fédération Nationale pour la Pêche en France</ref> et ses tributaires :- le ruisseau la Baysère ou Baïse de Monein<ref>Modèle:Légifrance.</ref> et ses affluents :
- le ruisseau la Baylongue, formée du Chicqet du Caparrecq<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, et son tributaire :
- le Laring ou ruisseau de Naudy et son affluent :
- le ruisseau d'Antony
- le Laring ou ruisseau de Naudy et son affluent :
- le ruisseau de Lassoure
- le ruisseau la Baylongue, formée du Chicqet du Caparrecq<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, et son tributaire :
- le ruisseau la Lèze
- l'ancien canal du moulin
- le ruisseau du Coigt d'Arrens
- le ruisseau de Bernatouse et son tributaire :
- le ruisseau de Broucà
- le ruisseau le Bert
- le ruisseau de Rouède
- le ruisseau la Baysère ou Baïse de Monein<ref>Modèle:Légifrance.</ref> et ses affluents :
- le ruisseau le Luzoué<ref>Noté Luzouré sur le site du Sandre</ref> et ses affluents :
- le ruisseau de Lassabaigt
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues<ref group=Note>La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.</ref> encore vivace<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Monein est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,4 %), prairies (30,2 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), terres arables (13,3 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et hameaux
- Arue ; comptait 47 feux en 1385.
- Bourg-Neuf ; comptait 58 feux en 1385.
- Candeloup ; comptait 49 feux en 1385.
- Coos ; comptait 20 feux en 1385.
- Loupien ; comptait 43 feux en 1385.
- Marquemale ; comptait 7 feux en 1385.
- Tresserre ; comptait 28 feux en 1385.
- le Trouilh et Lizà ; comptaient 24 feux en 1385.
- Ucha ; comptait 39 feux en 1385.
Autres quartiers de Monein : Serrot, Laquidée, Cabirau, Castet, Yolette.
Voies de communication et transports
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Monein est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Baïse de Lasseube, la Baysère, la Baylongue et le Luzoué. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2006, 2008, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 93,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2012 et par des mouvements de terrain en 2013, 2019 et 2020<ref name=Géorisques/>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Monein est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le toponyme Monein /munéŋ/ (cf. Munein) est basé sur le radical mun- (basque munho « colline ») et le suffixe aquitanique -eŋ<ref>D'origine discutée (-enko, -ain, -enn…).</ref>. Il est documenté<ref name="Raymond"/> sous les formes Moneng (1127)<ref name="Sauvelade">Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca</ref>, Moneing (1128)<ref name="Aubertin">Titres de la commanderie d'Aubertin, publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca</ref>, Monen (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name="Sauvelade"/> Munins (1154, Édrisi<ref name="Édrisi">Édrisi, géographe arabe du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.</ref>), Monenh (1215)<ref name="cartulaire d'Oloron">Cartulaire d'Oloron - Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca.</ref>), Sent-Girontz de Monenth (1434)<ref>Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.</ref>, Monneinh et Mouneinh (1675)<ref name="Réformation de Béarn">Modèle:Réformation de Béarn</ref>.
Son nom béarnais est Monenh<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Mounégn<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydronymes
Les rivières étaient appelées localement Baïse (baisa), Lèze ou tout simplement Arriou (arriu).
Autres toponymes
- Arrègle : moulin sur la Baylongue
- Baylongue de Baigt Loungue « vallée allongée » (Baglongue en 1441)<ref>not. d'Oloron, Modèle:N° f° 115.</ref>.
- Candeloup : versant ouest de la Baylongue
- Les Castérasses : relief ; augmentatif de casterà, ancienne place forte.
- Coos (lo Cos en 1385, lo Coz en 1675<ref name="Réformation de Béarn" />)
- Larring / Laring / Larincq (Arinc en 1267<ref>Cartulaire d'Oloron f° 58</ref>, Larrinco en 1323<ref>ch. de Béarn, E. 953.</ref>, Larinc en 1441…), d'un ancien Larrinko (basque Larre « lande » — ou harri « roche » ? — et suffixe pré-celtique -enko) : bois traversé par le Laring ou Hibaruet.
- Lizà (Lo Lisar en 1385, Lo Lizar en 1420) :
- Loupien /lupijéŋ/ (Lopienh en 1385, Lopieng en 1657 ; comparer avec Loubieng).
- Marca : ancien moulin.
- Marquemale « limite dangereuse ».
- Marquiza : ancien moulin sur la Baylongue
- Oustaloup : bois où coule le Luzoué au niveau de Loupien
- Le Trouilh (lo Trolh en 1385)
- Uchaà ou Uxà (Uxar en 1385, Uxa en 1441…) : relief séparant les cours de la Baïsère et de la Baylongue.
Histoire
De nombreux vestiges (lames, grattoirs, bifaces) prouvent que le site de Monein était déjà très fréquenté au paléolithique et au néolithique.
Paul Raymond<ref name="Raymond"/> associait la ville de Monein avec le peuple aquitain présumé des Monesi. Il s'agit en fait d'une mauvaise lecture du nom des Onesii (Pline le Jeune, Modèle:Nobr romains) de Bagnères-de-Luchon<ref>Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Escòla Gaston Febus, 1991.</ref>.
Il note que Monein comptait une abbaye laïque dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Monein comptait 414 feux. Le bailliage de Monein était composé de Cardesse, Cuqueron et Monein.
Le roi Modèle:Souverain2 surnommait Monein « le Paris du Béarn »<ref>http://www.orgambide.com/region.html</ref>.
Politique et administration
Situation administrative
Monein a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au Modèle:Date-. À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
La commune fait partie de quatre structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
- le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Enseignement
La commune dispose de trois écoles primaires et d'un collège (collège Recteur-Jean-Sarrailh).
Depuis la rentrée de Modèle:Date- l'école publique communale propose une filière bilingue français/occitan (dans sa variante locale gasconne-béarnaise) qui commence dès la maternelle.
Économie
La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.
L'activité est principalement agricole (élevage, maïs). Une variété de pêche est également présente sur la commune, la roussane.
Culture locale et patrimoine
-
Monein, l'église.
-
L'entrée du parc du château.
-
Les halles.
-
La route de Monein.
La commune possède un office de tourisme intercommunautaire, l'office de tourisme du Pays de Lacq, Cœur de Béarn<ref>Site de l'office de tourisme Cœur de Béarn</ref>
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le monument aux morts est l'œuvre d'Ernest Gabard, sculpteur palois et soldat de la Grande Guerre.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Girons date<ref>Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Girons</ref> des {{#switch: XVI
| e | er | = {{#switch: XVI
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
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| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}. Elle est la plus grande église gothique du Béarn.
Elle abrite une charpente construite en cœur de chêne de cinquante mètres de long et de dix-huit mètres de hauteur, ayant la forme d'une double coque de navire renversé.
Personnalités liées à la commune
Nées au Moyen Âge
- Raymond de Saint-Sever (? Monein - 1317 Avignon), cardinal bénédictin ;
Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Jean-Baptiste Lalanne (1757 Monein - 1805 Tours), funambule au théâtre Nicolet à Paris dans la troupe des Grands-Danseurs du Roi ;
- Sa fille Marguerite-Antoinette Lalanne, dite « Madame Saqui » (1786 Agde - 1866 Paris) ; mariée à Tours à Jean Julien Saqui, artiste d'agilité<ref>Marcel Douyrou, Bulletin de la Société de Borda, Dax, Modèle:N°, 1989.</ref> ;
- Pèdre Lacaze (1794 Monein - 1874 Paris), homme politique français
Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Jean Sarrailh, né à Monein le Modèle:Date- et mort à Paris le Modèle:Date-, est un historien français, spécialiste de l'histoire et de la culture hispaniques aux Modèle:S mini et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècles ;
- Le compositeur Henri Duparc a vécu plusieurs années à Monein ;
- Marie Bartête (1863 Monein - 1938) qualifiée de "dernière bagnarde", orpheline, mariée à 15, veuve à 20. Elle commet un vol à l'étalage puis se range en se trouvant une place de bonne à Bordeaux ; malgré cela cette première condamnation sert de prétexte à sa déportation comme reléguée au bagne de Saint-Laurent-du-Maroni dans le cadre du plan du Second Empire pour le repeuplement de la colonie. Une stèle lui rendant hommage a été inaugurée le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- Henri Lapuyade (1894 Orthez - 1956 Pau), homme politique, résistant et conseiller général de Monein.
Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Jean-Patrick Lescarboura (1961, Monein), joueur de rugby à XV.
- Ninon Paloumet, chanteuse du groupe Nadau.
- Thomas Lebas, coureur cycliste professionnel<ref>Modèle:Article</ref>.
Héraldique
Culture populaire
L'érudit béarnais Vastin Lespy, dans son Dictionnaire béarnais de 1887, mentionne une danse (proche du « saut » basque) moneinchone : Lo saut de Monenh. Pour cette raison peut-être, au gentilé monenshon il relève cette expression : Monenshons, gays e lurons, ajam cansons e vriulons (« Moneichons, gais et lurons, ayons des chansons et des violons")<ref>Dictionnaire béarnais , tome II page 77.</ref>.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:Autorité
- Modèle:Bases
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Site officiel
- Monein sur le site de la maison des communes des Pyrénées-Atlantiques
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes