Monein

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 17 juillet 2023 à 13:27 par >Roland45-Bot (Section Occupation des sols : Déplacement et centrage carte + reformulation txt IGN.)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Infobox Commune de France

Monein (en béarnais Monenh ou Mounenh) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Moneinchon<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref> (Monenshon ou Mounenchoun<ref>Lespy et Raimond, ib(</ref>, en béarnais).

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Carte interactive

La commune de Monein se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Mourenx<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx<ref name=meta/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Cuqueron (Modèle:Unité), Parbayse (Modèle:Unité), Abos (Modèle:Unité), Lahourcade (Modèle:Unité), Pardies (Modèle:Unité), Tarsacq (Modèle:Unité), Bésingrand (Modèle:Unité), Noguères (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Monein fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Monein est limitrophe avec 13 communes, dont deux en deux endroits différents.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:...

Hydrographie

Les terres de la commune sont arrosées<ref>Notice du Sandre sur Monein</ref> par les affluents du gave de Pau suivants :

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 6,2 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues<ref group=Note>La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.</ref> encore vivace<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Monein est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,4 %), prairies (30,2 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), terres arables (13,3 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux

  • Arue ; comptait 47 feux en 1385.
  • Bourg-Neuf ; comptait 58 feux en 1385.
  • Candeloup ; comptait 49 feux en 1385.
  • Coos ; comptait 20 feux en 1385.
  • Loupien ; comptait 43 feux en 1385.
  • Marquemale ; comptait 7 feux en 1385.
  • Tresserre ; comptait 28 feux en 1385.
  • le Trouilh et Lizà ; comptaient 24 feux en 1385.
  • Ucha ; comptait 39 feux en 1385.

Autres quartiers de Monein : Serrot, Laquidée, Cabirau, Castet, Yolette.

Voies de communication et transports

Modèle:...

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Monein est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Baïse de Lasseube, la Baysère, la Baylongue et le Luzoué. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2006, 2008, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:64393-Monein-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monein.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 93,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2012 et par des mouvements de terrain en 2013, 2019 et 2020<ref name=Géorisques/>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Monein est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Le toponyme Monein /munéŋ/ (cf. Munein) est basé sur le radical mun- (basque munho « colline ») et le suffixe aquitanique -eŋ<ref>D'origine discutée (-enko, -ain, -enn…).</ref>. Il est documenté<ref name="Raymond"/> sous les formes Moneng (1127)<ref name="Sauvelade">Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca</ref>, Moneing (1128)<ref name="Aubertin">Titres de la commanderie d'Aubertin, publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca</ref>, Monen (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name="Sauvelade"/> Munins (1154, Édrisi<ref name="Édrisi">Édrisi, géographe arabe du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.</ref>), Monenh (1215)<ref name="cartulaire d'Oloron">Cartulaire d'Oloron - Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca.</ref>), Sent-Girontz de Monenth (1434)<ref>Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.</ref>, Monneinh et Mouneinh (1675)<ref name="Réformation de Béarn">Modèle:Réformation de Béarn</ref>.

Son nom béarnais est Monenh<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Mounégn<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydronymes

Les rivières étaient appelées localement Baïse (baisa), Lèze ou tout simplement Arriou (arriu).

Autres toponymes

  • Arrègle : moulin sur la Baylongue
  • Baylongue de Baigt Loungue « vallée allongée » (Baglongue en 1441)<ref>not. d'Oloron, Modèle:N° f° 115.</ref>.
  • Candeloup : versant ouest de la Baylongue
  • Les Castérasses : relief ; augmentatif de casterà, ancienne place forte.
  • Coos (lo Cos en 1385, lo Coz en 1675<ref name="Réformation de Béarn" />)
  • Larring / Laring / Larincq (Arinc en 1267<ref>Cartulaire d'Oloron f° 58</ref>, Larrinco en 1323<ref>ch. de Béarn, E. 953.</ref>, Larinc en 1441…), d'un ancien Larrinko (basque Larre « lande » — ou harri « roche » ? — et suffixe pré-celtique -enko) : bois traversé par le Laring ou Hibaruet.
  • Lizà (Lo Lisar en 1385, Lo Lizar en 1420) :
  • Loupien /lupijéŋ/ (Lopienh en 1385, Lopieng en 1657 ; comparer avec Loubieng).
  • Marca : ancien moulin.
  • Marquemale « limite dangereuse ».
  • Marquiza : ancien moulin sur la Baylongue
  • Oustaloup : bois où coule le Luzoué au niveau de Loupien
  • Le Trouilh (lo Trolh en 1385)
  • Uchaà ou Uxà (Uxar en 1385, Uxa en 1441…) : relief séparant les cours de la Baïsère et de la Baylongue.

Histoire

De nombreux vestiges (lames, grattoirs, bifaces) prouvent que le site de Monein était déjà très fréquenté au paléolithique et au néolithique.

Paul Raymond<ref name="Raymond"/> associait la ville de Monein avec le peuple aquitain présumé des Monesi. Il s'agit en fait d'une mauvaise lecture du nom des Onesii (Pline le Jeune, Modèle:Nobr romains) de Bagnères-de-Luchon<ref>Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Escòla Gaston Febus, 1991.</ref>.

Il note que Monein comptait une abbaye laïque dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Monein comptait 414 feux. Le bailliage de Monein était composé de Cardesse, Cuqueron et Monein.

Le roi Modèle:Souverain2 surnommait Monein « le Paris du Béarn »<ref>http://www.orgambide.com/region.html</ref>.

Politique et administration

Situation administrative

Monein a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au Modèle:Date-. À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

La commune fait partie de quatre structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune dispose de trois écoles primaires et d'un collège (collège Recteur-Jean-Sarrailh).

Depuis la rentrée de Modèle:Date- l'école publique communale propose une filière bilingue français/occitan (dans sa variante locale gasconne-béarnaise) qui commence dès la maternelle.

Économie

Fichier:Vignoble de Monein.jpg
Vignoble à Monein à la période des vendanges.

La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.
L'activité est principalement agricole (élevage, maïs). Une variété de pêche est également présente sur la commune, la roussane.

Culture locale et patrimoine

La commune possède un office de tourisme intercommunautaire, l'office de tourisme du Pays de Lacq, Cœur de Béarn<ref>Site de l'office de tourisme Cœur de Béarn</ref>

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Le monument aux morts est l'œuvre d'Ernest Gabard, sculpteur palois et soldat de la Grande Guerre.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Girons date<ref>Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Girons</ref> des {{#switch: XVI

 | e | er | = 
   {{#switch: XVI
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}. Elle est la plus grande église gothique du Béarn.

Elle abrite une charpente construite en cœur de chêne de cinquante mètres de long et de dix-huit mètres de hauteur, ayant la forme d'une double coque de navire renversé.

Personnalités liées à la commune

Nées au Moyen Âge

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Modèle:Blasonnement

Culture populaire

L'érudit béarnais Vastin Lespy, dans son Dictionnaire béarnais de 1887, mentionne une danse (proche du « saut » basque) moneinchone : Lo saut de Monenh. Pour cette raison peut-être, au gentilé monenshon il relève cette expression : Monenshons, gays e lurons, ajam cansons e vriulons (« Moneichons, gais et lurons, ayons des chansons et des violons")<ref>Dictionnaire béarnais , tome II page 77.</ref>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail