Rollancourt

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Modèle:Infobox Commune de France

Rollancourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe Modèle:EPCI-pop1 communes et compte Modèle:Nombre en Modèle:EPCI-pop1. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Carte interactive

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes : Modèle:Communes limitrophes

Paysages

Modèle:Article connexe La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)<ref group=Note>La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent Modèle:Nobr.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Ces paysages, qui concernent Modèle:Nobr avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et Modèle:Nobr.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de Modèle:Pourcentage de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent Modèle:Pourcentage et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que Modèle:Pourcentage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> : le site de la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. La Ternoise, avec ses Modèle:Unité de vallée étroite, a des versants occupés par des bois, des pelouses, des prairies et des lisières arbustives, et son plateau limoneux est utilisé pour la culture. Le versant droit de la Ternoise est entaillé par de nombreuses vallées sèches drainant les collines crayeuses de l’Artois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Rollancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Auchy-lès-Hesdin, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61 %), prairies (28,7 %), zones urbanisées (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), forêts (3,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Rollancourt est un ancien fief de la commune de Fouquereuil attesté sous les formes Rollencourt en 1514 et Rollancourt au {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:s| s }} }} siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. L'appellatif toponymique -court (français moderne cour) est issu du gallo-roman CORTE qui signifie « domaine ». Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref group="Note">Proposition émise en 1976, par Maurice Lebègue, professeur de français à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.</ref>,<ref>Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, Modèle:P. à Modèle:P..</ref>. Le premier élément Rollan- s'explique par un nom de personne germanique<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, 4 volumes, Genève : Droz, 1990-1998Modèle:Source insuffisante.</ref>.

Histoire

Citée dès 1071, la famille de Rollancourt possédait la seigneurie jusqu'au mariage de Marie de Rollancourt vers 1335 qui l'apporta par ses noces à Jean de Châtillon, fils de Gaucher VI de Châtillon et Marguerite de Dampierre. À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle entra par alliance dans la famille de Lannoy (Maison de Lannoy), puis passa au milieu du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:s| s }} }} à Maximilien d'Egmont et à Guillaume de Nassau, prince d'Orange (1533-1584). Elle constituait alors une baronnie qui fut vendue au début {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIIe{{#if:s| s }} }} aux d'Ongnies (Oignies). En 1642, Isabelle d'Ongnies l'apporta en mariage à Nicolas François de Marnix dont la famille demeura à Rollancourt jusqu'à la Révolution.

Hugues d'Ohlain, seigneur de Rollecourt-en-Artois, combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jacques de Lattre, seigneur de Villerval (Willerval?) et Rollancourt obtient contre finances de 250 livres, des lettres d'anoblissement données à Madrid le Modèle:Date. Il appartient à une famille honorable, a été plusieurs fois échevin d'Arras. En voulant réprimer les troubles connus récemment (apparition du protestantisme, agitation des Pays-Bas espagnols contre l'Espagne), il a été emprisonné par les rebelles. Libéré, de nouveau échevin , il a été député par les États d'Artois auprès du duc de Parme Alexandre Farnèse. Sa demande d'anoblissement a été soutenue par ce dernier et par le seigneur de Marles<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne</ref>.

Pierre-Baudouin-Priez-Cardon (ou Prietz-Cardon) (1657-1746), écuyer, est seigneur de Rollancourt, Douvrain? ou Douvrin?, Blocus, Rongy à Flers. Fils de Pierre Prietz, écuyer, et de Marie-Joseph Cardon, il nait à Douai en 1657, est licencié en droit à l'Université de Douai le Modèle:Date, conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France vers 1700. Il relève les noms et armes des Cardon en vertu du testament de son grand-oncle Maurand Cardon qui l'a institué son héritier universel à ces conditions. Il meurt le Modèle:Date, à 89 ans. Il a épousé le Modèle:Date à Lille, Marie-Françoise Breckvelt (1664-1741), née à Lille en juillet 1664 (baptisée le Modèle:Date) morte à Douai le Modèle:Date, à 77 ans. Elle était la fille d'Ignace Breckvelt, seigneur de la Haye, bourgeois de Lille, intendant du Mont-de-Piété et de Barbe de le Beulque<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Jean-Louis Prietz-Cardon, chevalier, seigneur de Rollancourt, fils de Pierre-Baudouin Priez-Cardon, licencié en droit de l'université de Douai le Modèle:Date, chef du magistrat (maire) de Douai , est créé trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille, le Modèle:Date, et reçu le 5 ou 6 février 1710. Il le reste jusqu'au Modèle:Date. Il prend pour femme Marie-Anne-Antoinette de La Bauvette de Warnicamps, et en secondes noces, épouse sa cousine Marie-Françoise de Breckvelt(1702-1732), née en février 1702 (baptisée le Modèle:Date), décédée à Lille le Modèle:Date. Elle était la fille de Jacques Breckvelt, seigneur de la Haye, du Bois, de la Houtte, bourgeois de Lille, trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille, convoqué aux assemblées des nobles, et de Marie de Lespaul<ref name=":02">Modèle:Ouvrage</ref>.

Marie-Françoise Cardon de Rollancourt, dame de Rollancourt, Rongy, née du premier lit de Jean-Louis, épouse par contrat du Modèle:Date à Douai, François-Emmanuel de Quellerie de Chanteraine, chevalier, seigneur de Chanteraine, Quiéry, Boursies, Vadencourt, Courchelettes, créé comte de Quellerie de Chanteraine en 1769, chevalier d'honneur à la cour du Parlement de Flandres de 1764 au Modèle:Date. Il est le fils de Charles-Philippe de Quellerie, écuyer, seigneur de Chanteraine, Quiéry, Boursies, du Forestel, ancien officier au régiment d'Issenghien, et de Marie-Françoise de Marmet de Valcroissant<ref name=":0" />.

Politique et administration

Découpage territorial

Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.

Circonscriptions administratives

Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales

Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 41,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,70 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Riquier

Fichier:War Drawings by Muirhead Bone- Spring in Rollencourt Village Art.IWMREPRO00068425.jpg
L'église en 1917.
Fichier:Manoir de Courcelle.jpg
Manoir de Courcelles

Manoir de Courcelles

Un premier édifice d'époque médiévale, de plan carré et aux murs très épais, ouvert seulement d'une porte, fut agrandi dans sa longueur et à l'Ouest au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La tour couronnée d'un pignon à pas-de-moineaux et qui renfermait l'escalier d'accès aux étages, flanquant la façade sud, date de cette dernière période. Seules trois fenêtres à meneaux au premier étage éclairaient alors l'intérieur du manoir. Ce dernier avait la fonction d'une maison-forte. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle des fenêtres à cadre de bois furent ouvertes dans les murs. L'ensemble des élévations est monté en pierre calcaire sur un soubassement en damier de grès et de silex. Le pignon Est présente des rampants à wimbergue de pierre tandis que le pignon Ouest a du être restauré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec des rampants à épis de briques. Hugues et Pierre de Courcelles sont mentionnés au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1442 Rasel Galbart acquiert la seigneurie de Courcelles. Né du mariage d'Anselin Galbart, l'un de ses successeurs, avec Marie Doutremepuich, François Galbart, épouse Marie de la Personne dont il a Artus qui bénéficie en 1599 d'une sentence de noblesse et qui pourrait être le constructeur du manoir dans sa configuration actuelle; Anne-Jeanne Galbart, la fille d'Artus, épouse Jacques-Liévin Vainet, seigneur de Calemberg, capitaine d'infanterie de Sa Majesté Catholique, et sa fille Anne-Liévine, Christophe de Gargan qui a passé une vingtaine d'années de captivité en Angleterre. Admis aux États d'Artois au titre de sa terre de Courcelles, Christophe de Gargan y meurt en 1716. Né à Courcelles, son fils François-Joseph, grand bailli des villages de Fauquembergues, épouse Madeleine-Henriette de Rune, mais sa fille unique meurt célibataire à 26 ans. Revenue à Marguerite Vainet, épouse de Louis Descorniquet, bailli de Blangy, la terre de Courcelles fit par la suite l'objet de longues procédures. En 1790, Yolande Dutailly, épouse de Jean-Baptiste Huré, meurt en la maison seigneuriale de Courcelles. Cette dernière est acquise en 1873 par Albert Ledein-Courquin, apparenté aux Gargan, qui lui ajoute une chapelle contre la façade nord et aujourd'hui disparue.

Le manoir changea plusieurs fois de propriétaires avant d'être repris en 2017 par Mr Minet et Mr Lefèvre qui y ont entrepris d'importants travaux de restauration (maçonnerie, pose d'une couverture en tuiles plates, menuiseries)

Le château de Rollancourt

Le château médiéval entouré de fossés fut détruit au cours des combats livrés entre Français et Espagnols pour la possession d’Hesdin au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Quelques vestiges subsistent du château primitif dont une tourelle en encorbellement reconvertie en pigeonnier ou les caves situées sous l’aile gauche.

L'édifice actuel fut élevé au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Claude François Dominique de Marnix, marquis d'Ogimont.

C’est une vaste construction comprenant un grand corps de logis encadré de deux ailes plus basses en retour sur la cour. Bâti en craie sur soubassement de grès, le château s'élève sur deux niveaux surmontés d’un toit en mansarde couvert d’ardoise. La façade aligne onze travées et est rythmée sur toute sa longueur par des pilastres colossaux surmontés de chapiteaux ioniques. Les trois travées centrales, qui constituent un avant-corps légèrement saillant, possèdent, contrairement aux autres travées, des ouvertures en plein cintre. Cet avant-corps est surmonté d’un fronton où sont sculptés des motifs décoratifs et des armoiries. La façade arrière, qui surplombe une vaste pelouse, est une copie plus sobre de la façade avant.

À l'intérieur, les pièces de réception se disposent en enfilade dans le corps principal. Seul le grand salon central a conservé son décor d'origine de boiseries et de stucs. L'escalier à rampe hesdinoise se trouve localisé à une extrémité du corps central. La propriété compte en outre plusieurs dépendances.

Vers 1850, le comte Hubert de Bertoult (1804-1877) originaire d'Hulluch, achète le domaine qui appartient encore à la même famille. Entre 1856 et 1867, il fait restaurer la façade, y ajoutant sur le fronton triangulaire ses armoiries et celles de son épouse Pauline Clara d’Hespel de Guermanez. En 1889, son fils Maurice de Bertoult, fait poser les grilles et les persiennes. Occupé par l’armée allemande entre 1940 et 1944, le château est déserté en 1948.

Depuis 1976, le château abrite l'Institut rural d'éducation et d'orientation du Pas-de-Calais. Son vaste parc comprenant bois, pâtures et étangs est confié à une société de chasse privée, inscrite au guide des meilleures chasses de France.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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