Géronce
Modèle:Infobox Commune de France
Géronce (en béarnais Geronce ou Geroùncẹ, en basque Jeruntze) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
La commune de Géronce se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité d'Oloron-Sainte-Marie<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Saint-Goin (Modèle:Unité), Orin (Modèle:Unité), Geüs-d'Oloron (Modèle:Unité), Aren (Modèle:Unité), Poey-d'Oloron (Modèle:Unité), Préchacq-Josbaig (Modèle:Unité), Saucède (Modèle:Unité), Verdets (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Géronce fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Joos, le Josset, un bras du gave d'Oloron, un bras du Joos, un bras du Ruisseau le Joos, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Le Joos, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Montory et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Préchacq-Josbaig, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> :
- le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Géronce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38 %), prairies (24 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), terres arables (14 %), zones urbanisées (3,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et hameaux
- Dous : ancien village qui possédait une église (Saint-Pierre de Dous) entourée de son cimetière, aujourd'hui disparus. Les seuls vestiges de cette époque sont un tableau en bon état de conservation, mis en évidence dans l'église actuelle et une maison du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle transformée en gîte rural. Cette maison fut un temps un presbytère.
- Ce quartier possède un beau pont de pierre qui enjambe le Joos avec, en contrebas aval, un passage à gué utilisé surtout par les engins agricoles volumineux ;
- le Lacé : nom donné à ce quartier de par sa route étroite et sinueuse. Ce quartier éloigné est habité en majorité par des familles d'origine basque.
- Pour y accéder depuis le village, il faut emprunter le CD 524 via les villages souletains d'Esquiule et de Barcus ;
- le Prat ('le pré') : il s'agit d'une place bordée par le Joos, laissée en herbe et entourée de chênes séculaires. Pour s'y rendre, il faut traverser le pont situé au pied de l'église ;
- Urein : ce quartier commença à voir ses premières maisons neuves à la fin des années 1970. Le petit chemin, dit du Campagnot (CD 524), est devenu très vite une véritable rue desservant bon nombre de nouvelles habitations ;
- le Vialé : il s'agit d'une petite place verdoyante située juste après le pont de pierre ; deux cents mètres après, se trouvent le nouveau cimetière, le local technique et la station d'épuration ;
- le Castéra : colline surplombant le village et la plaine agricole de Josbaig (altitude : 226 m). Deux lotissements communaux : le Castéra (le plus ancien) et le Bourda y sont implantés. Une extension de cinq nouveaux lots est actuellement achevée sur le lotissement Castéra ;
- les Barrats ('barrières' ou 'fermetures') : enceintes qui entouraient et défendaient le cœur du village. La rue Saint-Laurent et la rue des Barrats en délimitent toujours leur périmètre. À proximité, une maison forte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (privée) fut probablement la résidence des seigneurs du lieu. Un important moulin, limitrophe et en partie ruiné, bâti sur une dérivation du Joos, peut occuper l'emplacement du moulin banal.
Voies de communication et transports
La route départementale 936 reliant Oloron-Sainte-Marie et Bayonne passe à l'extérieur du village. La route départementale 836 passe au milieu de Géronce et relie la D 936 au niveau des giratoires d'Orin et de Geüs-d'Oloron. Le CD 524, traversant les quartiers d'Urein, de Dous, du Castéra et du Lacé, relie la D 836 à la D 24 via Esquiule et Barcus.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Géronce est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Joz erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 76,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le toponyme Géronce apparaît sous les formes Jeroncen (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, cartulaire de l'abbaye de Lucq<ref name="Abbaye de Lucq">Cartulaire de l'abbaye de Lucq, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn</ref>), Gironce (1343<ref name="Raymond"/>, hommages de Béarn<ref name="Hommages Béarn">Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>), Sant Laurens de Geronse (1396<ref name="Raymond"/>, notaires de Lucq<ref name="Lucq">Notaires de Lucq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>), Guironce (1402<ref name="Raymond"/>, censier de Béarn<ref name="censier">Modèle:Censier de Béarn.</ref>) et Gironsse (1443<ref name="Raymond"/>, notaires d'Oloron<ref>Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>).
Son nom béarnais est Geronce<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Geroùncẹ<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en basque son nom est Jeruntze.
Anglade, ancienne ferme et fief vassal de la vicomté de Béarn, et qui dépendait du bailliage d'Oloron, est mentionné en 1385<ref name="Raymond"/> (censier de Béarn<ref name="censier"/>).
Nous pouvons voir l'origine du nom de GERONCE avec le nom d'un martyr du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à lectoure (gers) dont les restes ont été rapatriés par charlemagne au moment de la bataille de roncevaux. les Chasses de sept saints dont st géronce sont actuellement exposées à l'église ste eulalie de bordeaux où une chapelle leur est attribuées. Dans cette église on trouve un tableau de charlemagne qui amène ces chasses. st géronce est le saint aussi de l'église de BOURG SUR GIRONDE.(références dans église ste eulalie bordeaux et à bourg sur gironde. ce sont les seuls endroits où est évoqué ce saint.)
Histoire
Paul Raymond<ref name="Raymond"/> note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Géronce comptait 42 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.
D'après Francisque Michel, auteur du début du Modèle:Rom-maje siècle, Géronce était le lieu de rassemblement des cagots de toute la vallée de Josbaig dans son lieu-dit le Prat.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
La commune fait partie de cinq structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- la Communauté de communes du Haut Béarn ;
- le syndicat AEP du pays de Soule ;
- le syndicat AEP du Vert ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.
Économie
L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
-
L'église Saint-Laurent et son reflet dans le Joos.
-
Le clocher de l'église.
-
Mairie, salle communale et école Lasserre.
-
Le Joos à Géronce.
Modèle:Article détaillé Son carnaval annuel, en février, étalé sur deux week-ends, attire une foule importante de milliers de masqués et dans son défilé de chars. Ce défilé traverse toute la vallée de Josbaig (Orin, Géronce, Saint-Goin, Geüs)<ref>Le site du carnaval de Géronce</ref>.
Patrimoine civil
Le castéra de Géronce : ce site élevé, non loin de l'église, où vient s'adosser le Prat, est resté très longtemps l'endroit de processions religieuses et aurait été à l'origine un camp romain.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Laurent recèle des retables.
Équipements
Le Joos est enjambé par trois ponts principaux : les ponts de Dous, du Prat et du Viallé.
Enseignement
La commune dispose de deux salles d'école pour trois classes de CM1 et CM2.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Lasserre (1811-1884), philanthrope, légua en 1884 des fonds pour la création du bâtiment école-mairie ;
- Jean Labarthe (1892-1950), philosophe et poète ;
- Anna Labarthe (1897-1976), poétesse ;
- Eugène Ruiz, né à Géronce le Modèle:Date- et décédé le Modèle:Date-, est un joueur de rugby à XV. Il fut champion de France en 1964 avec l'équipe 1 de la Section paloise où il évoluait au poste de pilier gauche. En 1965, il obtint une sélection en équipe de France B.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes