Milan-San Remo

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Modèle:Infobox Compétition sportive

Milan-San Remo ou Milan-Sanremo, surnommée Modèle:Citation (la Classique Printanière) ou Modèle:Citation (la Classique des classiques) est une course cycliste sur route italienne qui se déroule entre Milan et Sanremo, en Italie nord-occidentale. Avec une distance totale de Modèle:Unité, elle est la plus longue course professionnelle d'un jour dans le cyclisme moderne. Elle est la première classique de la saison, ayant traditionnellement lieu le troisième samedi de mars. La première édition a lieu en 1907<ref name="Storia" />.

Milan-San Remo est considéré comme l'un des cinq Monuments du cyclisme<ref name="UCI" />. C'est la course d'ouverture de la Coupe du monde sur route jusqu'à ce que la compétition soit remplacée par le ProTour en 2005 puis le World Tour en 2011.

Le coureur le plus titré est le Belge Eddy Merckx avec sept victoires<ref name="Primavera Preview" >Modèle:Lien web</ref>. L'Italien Costante Girardengo détient le record de onze podiums pendant l'entre-deux-guerres, remportant la course à six reprises. Dans l'époque moderne, l'Allemand Erik Zabel s'est imposé quatre fois et l'Espagnol Oscar Freire trois fois.

Milan-San Remo est considéré comme une course pour sprinteurs en raison de son parcours principalement plat<ref name="UCI" />. Elle est souvent opposée au Tour de Lombardie, l'autre classique italienne, qui se déroule en automne et est considéré comme une course pour grimpeurs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

De 1999 à 2005, une course féminine, la Primavera Rosa est organisée en lever de rideau de la course masculine, mais sur une distance plus courte<ref> Modèle:Lien web</ref>.

Histoire de la course

Le temps des pionniers

Au début de l'année 1906, les membres de l'Union Sportive Sanremese ont l'idée d'organiser une course à pied le long du trajet Milan-San Remo<ref name="Storia" >Modèle:Lien web</ref>. La compétition se déroule le Modèle:Date-, sur deux étapes (Milan-Acqui et Acqui-San Remo)<ref name="inrng" >Modèle:Lien web</ref>.

Cependant, la course est partiellement un échec. C'est ainsi que l'année suivante le journaliste Tullo Morgagni, qui avait déjà lancé le Tour de Lombardie, propose comme idée d'utiliser le parcours pour une course de vélo. Le projet est soumis au directeur de La Gazzetta dello Sport, Eugenio Camillo Costamagna<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="Storia" />. Malgré quelques réticences, Costamagna confie le projet à l'un des grands organisateurs de compétitions cyclistes, Armando Cougnet (premier organisateur du Tour d'Italie). La première édition a lieu le Modèle:Date- avec une certaine appréhension, car lors de la réunion de départ établi à l'Osteria della Conca Fallata à la périphérie de Milan, le long du Naviglio Pavese, seulement 33 des Modèle:Nobr sont présents. En effet, le temps est très mauvais, il pleut et il fait très froid. La course est remportée par le Français Lucien Petit-Breton, sous contrat avec Bianchi, qui termine les Modèle:Nobr à une moyenne de Modèle:Nobr par heure. Seuls Modèle:Nobr terminent l'épreuve<ref name="Storia" />.

Fichier:Lucien Mazan.jpg
Lucien Petit-Breton remporte la première édition en 1907.
Fichier:Voiture suiveuse dans Milan-San Remo 1912.jpg
Une voiture suiveuse en 1912.

La course est un succès commercial et attire certains des meilleurs coureurs du cyclisme européen, de sorte que la Gazzetta dello Sport organise une deuxième édition en 1908, remportée par le Belge Cyrille Van Hauwaert. Le premier vainqueur italien de Milan-San Remo est Luigi Ganna en 1909 avec 3 minutes d'avance sur le Français Émile Georget.

En 1910, la course, entre dans la légende du cyclisme. Les conditions sont dantesques, les coureurs cherchent refuge dans les maisons le long du parcours pour se réchauffer en raison des conditions météorologiques extrêmes<ref name="Storia" />,<ref name="museo" >Modèle:Lien web</ref>. Des quelque soixante participants, seuls quatre parviennent à rejoindre l'arrivée et la victoire revient au Français Eugène Christophe. Cette victoire acquise dans la douleur (à cause de la neige, il est longtemps convaincu qu'il ne roule pas sur le bon chemin) lui valut un mois de soins dans un hôpital<ref>Milan-San Remo 1910 : la légende du Gaulois</ref>. Christophe termine la course en Modèle:Nobr et Modèle:Nobr, ce qui en fait l'édition la plus lente de la course. Giovanni Cocchi se classe deuxième à 1 heure et Modèle:Nobr du vainqueur<ref name="BRI" >Modèle:Lien web</ref>.

La Modèle:Citation

Fichier:Costante Girardengo vainqueur de Milan-San Remo en avril 1923.jpg
Costante Girardengo vainqueur de la course en avril 1923.

Après les premières éditions commence l'ère de Costante Girardengo, qui lie son nom de manière indélébile à cette classique. Entre 1917 à 1928, il remporte six éditions sur onze et termine onze fois sur le podium. Les années suivantes sont marquées par la rivalité entre Learco Guerra et Alfredo Binda, dont l'émulation leur a fait perdre plusieurs victoires certaines. Une rivalité similaire que l'on retrouve quelques années après entre Gino Bartali et Fausto Coppi (années 1940), dont le duel fait l'objet d'une intense couverture et aboutit à des courses épiques.

Milan-San Remo est alors à l'apogée de sa popularité et la presse italienne invente le terme de la Modèle:Citation (la Super-classique ou la Classique des Classiques), pour désigner la plus grande de toutes les classiques<ref name="UCI" >Modèle:Lien web</ref>. De 1935 à 1953, la course se déroule chaque année le 19 mars, jour de la fête du saint patron Joseph. La presse italienne, majoritairement catholique, lui donne son autre surnom, la Gara di San Giuseppe (la Course de Saint-Joseph). En 1949, la course se termine pour la première fois sur la fameuse Via Roma, une rue commerçante très fréquentée dans le cœur de San Remo.

Les années 1950 marquent la fin de la domination des coureurs italiens sur la classique, qui, après la victoire de Loretto Petrucci de 1953, restent Modèle:Nobr sans succès<ref name="inrng" />. En 1960, le parcours inclut pour la première fois la célèbre montée du Poggio, fortement souhaitée par Vincenzo Torriani, fatigué de voir les sprinteurs flamands s'imposer à l'arrivée à San Remo<ref name="Storia" />. Mais, cette nouvelle difficulté n'a pas l'effet désiré et les coureurs étrangers continuent à gagner.

En 1965, le parcours emprunte l'ascension du Col de Melogno, déplaçant le départ effectif à la Certosa di Pavia, mais en dépit de l'issue défavorable pour les sprinteurs (course remportée au sein d'une échappée à trois, par le Néerlandais Arie den Hartog) l'expérience n'est pas répétée<ref>The 1965 Milan-San Remo (en) Milansanremo.co.uk</ref>. L'édition 1966 inaugure l'ère Eddy Merckx, qui, avec ses sept victoires, dépasse le record historique de Girardengo (ce qui est aussi le record de tous les temps pour un cycliste sur une grande classique)<ref name="Primavera Preview" />. Depuis 1976 et la dernière victoire du Modèle:Citation, la course est remportée par différents coureurs, sans que ceux-ci ne parviennent à s'imposer plus de deux fois. Pour retrouver un vainqueur multiple, il faut attendre la fin des années 1990<ref>Modèle:Lien web</ref> et l'arrivée du sprinteur allemand Erik Zabel qui s'impose à quatre reprises et termine deux fois deuxième<ref name="Primavera Preview" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sprinteurs contre puncheurs

Fichier:Petacchi MSR 2005.jpg
Alessandro Petacchi vainqueur de l'édition 2005.

En 1990, l'Italien Gianni Bugno établit un nouveau record sur la course en Modèle:Nobr Modèle:Nobr et Modèle:Nobr, avec quatre secondes d'avance sur Rolf Gölz (Modèle:Nobr par heure de moyenne). Une autre édition mémorable dans les années 1990 a lieu en 1992. L'Irlandais Sean Kelly rattrape Moreno Argentin dans la descente du Poggio et le devance au sprint<ref name="Primavera Preview" />. Il s'agit de l'avant-dernière victoire de Kelly dans sa carrière. Lors de l'édition de 1999, Andreï Tchmil lance son attaque décisive sous la bannière du dernier kilomètre et conserve jusqu'à l'arrivée une légère avance sur le peloton, Zabel remportant le sprint pour la deuxième place<ref>Modèle:Lien web</ref>

En 2004, Zabel aurait pu gagner une cinquième fois l'épreuve. Il est finalement battu par Oscar Freire, car il a arrêté de pédaler trop tôt pour lever les bras et célébrer sa victoire<ref name="Primavera Preview" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Freire remporte un total de trois victoires au sprint sur la Primavera dans sa carrière<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2008, l'arrivée est déplacée à un autre endroit pour la première fois en Modèle:Nobr, en raison de travaux sur la Via Roma. Le Suisse Fabian Cancellara devient le premier à s'imposer sur le Lungomare Italo Calvino, grâce à une attaque en solitaire dans les rues de San Remo<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette même année, avec les trois grandes courses par étapes (le Tour d'Italie, le Tour de France et le Tour d'Espagne) ainsi que d'autres classiques, Milan-San Remo décide de quitter le circuit ProTour. Depuis 2011, la course fait partie de l'UCI World Tour.

La 100e édition a vu le triomphe au sprint du Britannique Mark Cavendish (pour sa première apparition), qui a dépassé de quelques millimètres sur la ligne l'Allemand Heinrich Haussler<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

2013, la première d'après guerre disputée un dimanche, reste une année épique. Les fortes chutes de neige et la température en dessous de zéro obligent les organisateurs à raccourcir la course de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr en éliminant deux ascensions clés - le Passo del Turchino et Le Manie - et à organiser un transfert en bus, pour que la course commence une deuxième fois<ref>Modèle:Article</ref>. Lorsque la course reprend, après 1 heure et demie d'arrêt, les écarts sont conservés. La course est remportée par l'Allemand Gerald Ciolek<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2015, après sept ans sur le bord de mer, le directeur de course Mauro Vegni décide de terminer la course à nouveau sur la Via Roma. Vegni explique qu'il était satisfait de cette décision et que le retour sur la Via Roma serait pour 2015 et au-delà<ref>Modèle:Lien web</ref>. La course est remportée par l'Allemand John Degenkolb devant le vainqueur de l'année précédente Alexander Kristoff<ref>Modèle:Article</ref>. La victoire d'Arnaud Démare en 2016, lors d'un sprint chaotique, marque le premier succès pour un Français dans une classique Modèle:Citation depuis Laurent Jalabert en 1997. En 2017, Michał Kwiatkowski devient le premier vainqueur polonais de Milan-San Remo dans un sprint à trois avec le champion du monde Peter Sagan et Julian Alaphilippe. Les victoires de Vincenzo Nibali en 2018, Julian Alaphilippe en 2019 et Wout van Aert en 2020, indiquent un retour en force des puncheurs aux dépens des sprinteurs..

L'édition 2020, qui est reportée à la mi-août, en raison de la pandémie de Covid-19<ref>L'UCI prépare la reprise de la saison cycliste 2020 et confirme le transfert de ses activités antidopage à l'ITA</ref>,<ref>Milan-San Remo se déroulera bien le 8 août</ref> a lieu sur une distance record de Modèle:Nobr.

Parcours

Milan-San Remo est la plus longue course du calendrier mondial avec ses Modèle:Nobr, sa difficulté résulte dans sa distance.

Course actuelle

Fichier:Milano-sanremo 2011.png
Parcours de l'édition 2011

Dès sa création, Milan-San Remo est conçu comme une ligne directe reliant Milan, le cœur industriel de l'Italie du Nord, à San Remo, la station balnéaire à la mode sur la Riviera italienne, avec ses célèbres villas de la Belle Époque. La course commence sur la Piazza del Duomo, dans le cœur de Milan et se dirige immédiatement vers le sud-ouest, sur les plaines de la Lombardie et du Piémont, le long des villes de Pavie, Voghera, Tortona, Novi Ligure et Ovada. Alors que la course entre en Ligurie, le peloton rejoint le bord de mer à mi-parcours par le Passo del Turchino, col long de plus de Modèle:Nobr et présentant la première difficulté du parcours, après Modèle:Nobr de course<ref name="Preview" >Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Après la descente du Turchino, la course atteint la mer Ligure à Voltri, placé à mi-chemin du départ et de l'arrivée. De là, le parcours suit l'autoroute Aurelia, à l'ouest<ref name="Preview" />, avec ses spectaculaires et typiques paysages le long de la côte ligure. La course traverse les villes d'Arenzano, Varazze, Savone, Finale Ligure, Pietra Ligure et Loano, suivies par les stations balnéaires de la Riviera dei Fiori (Alassio, Andora, Diano Marina et Imperia). Après Imperia, trois montées sèches et courtes, le long de la côte sont à grimper : Capo Mele, Capo Cervo et Capo Berta<ref name="MS Preview" >Modèle:Lien web</ref>. Dans Santo Stefano al Mare, le parcours se dirige vers l'intérieur pour escalader la Cipressa. Située à Modèle:Nobr de l'arrivée, cette côte est un point stratégique de la course. Après les villes de Santo Stefano al Mare et Arma di Taggia, il reste pour les coureurs à gravir la dernière et la plus célèbre montée, le Poggio, qui est en fait, une banlieue de San Remo, construit sur une colline le long de la mer.

Du haut du Poggio, situé à Modèle:Unité de l'arrivée, le parcours emprunte alors une descente rapide et sinueuse pour atteindre le centre de San Remo où la course se termine traditionnellement sur la Via Roma, illustre rue commerçante de la ville<ref name="Preview" />,<ref name="MS Preview" />.

Caractéristiques de la course

Topography chart of Milan-San Remo Classic race
Profil de l'édition 1964

Étant la plus longue course professionnelle d'un jour, Milan-San Remo est un test inhabituel d'endurance au début de la saison<ref name="Preview" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il est souvent gagné non pas par le sprinteur le plus rapide, mais par le coureur le plus fort et le mieux préparé et qui bénéficie d'une bonne pointe de vitesse. Au cours des années, la Cipressa et le Poggio ont joué leur rôle et piégé plusieurs sprinteurs pas assez forts pour rester avec le groupe de tête.

Dans les premières années, la seule difficulté notable est le Passo del Turchino, qui est souvent le point décisif dans la course. Au fil des années, quand le cyclisme devient plus professionnel, l'ascension n'est plus assez exigeante et est placée trop loin de l'arrivée pour être décisive. En 1960, le Poggio, quatre kilomètres de montée situé près de l'arrivée, est ajouté au parcours. En 1982, la Cipressa, près d'Imperia fait à son tour son apparition<ref name="Storia" /> . Les autres côtes sont le Capo Mele, le Capo Cervo et Capo Berta. De 2008 à 2014, les organisateurs ont ajouté la montée du Manie, entre le Turchino et la Capi<ref name="inrng" />. Ils sont les plus longues montées, destinées à provoquer une première sélection dans le peloton, tandis que le Capi, la Cipressa et le Poggio sont plutôt courts, invitant les attaquants à distancer le peloton.

Au cours des dernières années, toutes ces difficultés n'ont que très rarement créé une grande sélection dans les derniers kilomètres de la course. Beaucoup de sprinteurs sont en mesure de suivre le peloton dans les montées, de ce fait la course se termine le plus souvent avec un groupe qui arrive au sprint. Néanmoins, l'emplacement du Poggio près de l'arrivée a souvent signifié que la position des coureurs au sommet du Poggio est cruciale pour gagner la course<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Malgré son parcours relativement plat et sa longue ligne droite finale, les équipes de sprinteurs se sont fait piéger de temps à autre par une attaque lors des dernières côtes. Parmi eux, Laurent Jalabert et Maurizio Fondriest, tous deux échappés en 1995 et en tête jusqu'à l'arrivée<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2003, Paolo Bettini attaque avec Luca Paolini et Mirko Celestino avant de s'imposer. En 2012, Vincenzo Nibali et Fabian Cancellara partent sur le Poggio, suivis par l'Australien Simon Gerrans qui les devance finalement à l'arrivée<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2017 et 2018, ce sont également les attaquants qui sont récompensés, après avoir placé une attaque dans le Poggio.

Modifications proposées

Au cours de son histoire, Milan-San Remo a connu quelques changements depuis sa première édition. Néanmoins, les organisateurs mettent un point d'honneur à rester fidèle au parcours original<ref name="inrng" />.

Fichier:Pompeiana panorama da collina sanstevi.jpg
Vue de Pompeiana, une nouvelle difficulté proposée sur Milan-San Remo

La dernière modification importante du tracé est l'inclusion du Manie en 2008. En Modèle:Date-, l'organisateur RCS Sport annonce que la course inclurait la montée de Pompeiana entre la Cipressa et le Poggio<ref>Modèle:Lien web</ref>. Pour garder la course à une distance totale raisonnable, il décide d'exclure Le Manie. Le Pompeiana, nommé d'après le village homonyme où la route passe, grimpe sur cinq kilomètres avec une pente maximale de 13 %, et serait donc la montée la plus difficile dans le final de la course<ref name="inrng" />.

Le tracé proposé est finalement modifié quelques semaines avant la course en Modèle:Date-, le Pompeiana étant endommagé par des glissements de terrain récents<ref>Modèle:Lien web</ref>. De ce fait, le parcours est plus traditionnel et favorable aux sprinteurs. Cela conduit certains sprinteurs - qui prévoyaient de faire l'impasse en raison des rajouts de difficultés - à finalement participer à la course<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2015, la montée du Manie est supprimée, le Pompeiana n'est plus au programme. Avec cet itinéraire pré-2008, les organisateurs de la course déclarent qu'ils veulent revenir au parcours traditionnel de la course<ref>Modèle:Lien web</ref> .

Palmarès et statistiques

Palmarès

Fichier:Gustave Garrigou, vainqueur de Milan-San Remo 1911 (sut bicyclette Alcyon).jpg
Gustave Garrigou, vainqueur de l'édition 1911 (sur bicyclette Alcyon, et Modèle:2e en 1907 et 1912).
Fichier:Peloton de tête du Milan-San Remo 1912.jpg
Peloton de tête, édition 1912.
Fichier:Milan-San Remo 1914, passage à niveau à Livello, puis groupe de tête avant Valtri.jpg
Milan-San Remo 1914, passage à niveau à Livello, puis groupe de tête avant Valtri.
Fichier:Arrivée de l'Italien Cavallotti à San Remo, en mars 1938 (Milan-San Remo).jpg
Arrivée de l'Italien Cavallotti à San Remo, en mars 1938.

Lors de l'édition 1915, Costante Girardengo est disqualifié, c'est Ezio Corlaita qui a obtenu la première place. En 1976, Jean-Luc Vandenbroucke initialement troisième est disqualifié.

Modèle:Cycling race/listofwinners

Statistiques et records

Modèle:Col-début Modèle:Col-2

Par coureurs

# Coureurs Victoires
1. Modèle:BEL-d Eddy Merckx 7
2. Modèle:ITA-d Costante Girardengo 6
3 Modèle:ITA-d Gino Bartali 4
Modèle:GER-d Erik Zabel
5 Modèle:ITA-d Fausto Coppi 3
Modèle:BEL-d Roger De Vlaeminck
Modèle:ESP-d Óscar Freire

Modèle:Col-2

Par pays

Victoires Pays
51 Modèle:Pays
22 Modèle:Pays
14 Modèle:Pays
7 Modèle:Pays
5 Modèle:Pays
4 Modèle:Pays
2 Modèle:Pays
Modèle:Pays
Modèle:UK-GBR
Modèle:Pays
1 Modèle:Pays
Modèle:Pays
Modèle:Pays

Modèle:Col-fin

Cyclosportive

L'Unione ciclistica San Remo organise chaque année depuis 1970 la cyclosportive « Granfondo Milano-San Remo ». Elle réunit en juin Modèle:Nombre sur un parcours de Modèle:Nobr, quasi identique à celui-des professionnels<ref>Vélo Magazine du Modèle:Date-</ref>.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail