Penne-d'Agenais
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Penne-d’Agenais est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Les habitants de Penne-d’Agenais sont appelés les Pennois.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située dans son pôle urbain à Modèle:Unité à l'est de Villeneuve-sur-Lot en Agenais et en Pays de la Vallée du Lot. C'est une commune limitrophe avec le département de Tarn-et-Garonne.
Communes limitrophes
Penne-d'Agenais est limitrophe de neuf autres communes dont une dans le département de Tarn-et-Garonne. Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
Située sur un éperon rocheux (le terme celte Modèle:Langue signifie crête de montagne), la cité médiévale domine la vallée du Lot de Modèle:Nombre, à son pied, le Port de Penne sur les rives du Lot en face de Saint-Sylvestre-sur-Lot.
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Hydrographie
La commune est arrosée par le Lot est ses affluents le Boudouyssou et la Tancanne qui y confluent.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte-Livrade-sur-Lot », sur la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune de Penne-d'Agenais a connu 2 247 heures d'ensoleillement en 2022, contre une moyenne nationale des villes de 2 248 heures de soleil. Penne-d'Agenais a bénéficié de l'équivalent de 94 jours de soleil en 2022. La commune se situe à la position n°6 896 du classement des villes les plus ensoleillées.[1]
Urbanisme
Typologie
Penne-d'Agenais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,8 %), zones agricoles hétérogènes (30 %), forêts (21 %), prairies (6,8 %), zones urbanisées (3,8 %), cultures permanentes (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales D 911 (ex RN 111), D 611 (ex RN 661, D 159, D 103 et D 229. elle est aussi située sur la Via Arvernha un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Et avec la SNCF en gare de Penne.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Penne-d'Agenais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot, le Boudouyssou et la Tancanne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 2000, 2007, 2008, 2009 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 92,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risque technologique
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe AModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
Modèle:Langue est un mot celte qui signifie crête ou éperon à rapprocher des mots pointu et "pine", le plateau ayant été vraisemblablement occupé par les Gaulois<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>..
Histoire
De nombreuses fouilles réalisées dans le village et aux alentours ont mis au jour les vestiges d’une occupation gallo-romaine.
Richard Cœur de Lion fait fortifier le château de Penne, qui devient une puissante place défensive, une Modèle:Citation selon certains textes du Moyen Âge.
Le Midi de la France connaît au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle un fort développement du mouvement religieux cathare. La volonté du pouvoir royal français d'étendre sa domination sur le Midi, jointe au souci de défendre le Christianisme, entraîne la région tout entière dans une guerre religieuse qui se double d'une guerre de conquête dont le pouvoir "franc" sortira vainqueur : de nombreux biens et châteaux seront confisqués et les Cathares, totalement anéantis, ne seront plus qu'un sujet de controverses historiques. Durant la guerre albigeoise, le comte de Toulouse avait confié à Hugue d’Alfaro la lourde tâche de repousser les Croisés hors de la place forte de Penne. Mais, au début du mois d’août 1212, après cinquante jours de siège, Penne capitula.
Au lendemain de la guerre albigeoise, Penne connut un fort repeuplement. Son importance lui permit alors de réclamer l’établissement d’une administration municipale et d’une charte des coutumes. Il semble que cette dernière fut établie en premier lieu dès 1243 avant d’être remaniée et étoffée en 1270. À la fin de la guerre de Cent Ans, le roi [[Charles VIII de France|Modèle:Nobr]] accorda aux habitants le renouvellement de leur charte disparue dans l’incendie qui avait ravagé la ville en 1373.
En 1154, l’accession au trône d’Henri Plantagenet, second époux d’Aliénor d’Aquitaine, fit passer toute la province sous domination anglaise. Pendant toute la guerre de Cent Ans, Penne sera tantôt française, tantôt anglaise. En 1373, les Anglais incendièrent la ville avant de l’abandonner à Duguesclin qui l’assiégeait depuis trois mois.
Érigée en place protestante au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Penne fut le théâtre d’affrontements entre catholiques et huguenots. Le plus sanglant eut lieu en 1562. Après Modèle:Nombre de siège, le chef de l’armée catholique (Blaise de Montluc) s’empara de la place occupée par les protestants. Une partie des défenseurs furent égorgés et jetés dans les puits du château.
C’est aux {{#switch: e
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}} que la peste sévit dans la région de Penne. En 1653, afin d’obtenir l’enrayement de l’épidémie, les habitants de Penne s’engagèrent à reconstruire l’église de Notre-Dame de Peyragude et à s’y rendre en procession le 15 août de chaque année.
À Penne, la Révolution permet une évolution économique et sociale tout à la faveur du peuple et de la bourgeoisie.
Avant 1806, Penne absorbe pas moins de treize communes éphémères : Allemans, Ladignac, Laval, Magnac, Mondoulens, Port-de-Penne, Sainte-Foy, Saint-Léger, Saint-Marcel, Saint-Martin, Saint-Sylvestre-sur-Lot, Tremons et Trentels<ref name=Cassini/>. En 1839, l'ancienne commune de Trentels reprend son indépendance et élargit son territoire en récupérant ceux de Ladignac et Laval<ref name=Cassini/>. En 1852, Saint-Sylvestre-sur-Lot redevient à son tour indépendante<ref name=Cassini/>.
À l’aube du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la commune de Penne compte environ Modèle:Nombre. Ce n'est qu'en 1919 que la commune prend le nom de Penne-d'Agenais<ref name=Cassini/>.
À la fin des années 1970, après un siècle d'exode rural et de vieillissement, Penne-d’Agenais semblait vouée au dépeuplement voire à une mort lente. Une opération de sauvetage est lancée en 1979 sous la conduite d'un petit groupe de passionnés : le maire, Marcel Garrouste, historien de formation ; un architecte-urbaniste, Bernard Kaleski, soucieux d'intégrer l'art contemporain à l'environnement traditionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; un entrepreneur du bâtiment qui se voue au patrimoine local ; et l'architecte des bâtiments de France du département. Ils obtiennent un soutien d'EDF, qui fait de cette commune une expérience pilote d'enterrement des câbles électriques, et créent avec des habitants une association de sauvegarde. Les maisons du bourg, nettoyées des couches de ciment gris qui les voilaient depuis un demi-siècle, révèlent des éléments architecturaux typiques de la construction médiévale et Renaissance du Sud-Ouest : arcades sarrazines, mélange harmonieux de briques plates et de calcaire, etc. Progressivement restauré, dans les années 1980 Penne-d’Agenais reprend une nouvelle vie et, sans perdre la population qui lui restait, séduit et attire des artistes, des artisans, des restaurateurs, des amateurs de patrimoine et de mode de vie convivial, qui parfois y élisent domicile et y créent des activités<ref>Bernard Kaleski et Erwan Poënces, Urbanisme et volupté - La France pavillonnaire enchaînée, Apogée, 2012, p. 32-41, 112-115.</ref>. Le village vivra ensuite sur cet acquis, sans continuer à nourrir la dynamique de mise en valeur du patrimoine<ref>Modèle:Lien web.</ref>, mais reste attractif pour un tourisme de festivaliers et de visiteurs.
Héraldique
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix-neuf<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Villeneuve-sur-Lot de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot et du canton du Pays de Serres (avant le redécoupage départemental de 2014, Caussade était le chef-lieu de l'ex-canton de Penne-d'Agenais) et avant le Modèle:Date- elle faisait partie de la communauté de communes de Penne-d'Agenais.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
- Le recensement de 1826, qui ne serait qu’une réactualisation de celui de 1821, n’a pas été retenu.
- Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l’année 1872.
- Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n’a donné lieu à aucune publication officielle.
Le maximum démographique a été atteint en 1793 avec Modèle:Nombre. Le minimum fut atteint en 1975 avec Modèle:Nombre. En 2006, la population était de Modèle:Nombre.Modèle:Référence souhaitée
Économie
Principales activités économiques : pruneaux, tourisme, artisanat d’art, commerces de proximité.
Vie pratique
Service public
Penne-d'Agenais possède une gendarmerie, un bureau de poste, une perception du trésor public, un office du tourisme, un hôpital Local,
Enseignement
Penne-d'Agenais fait partie de l'académie de Bordeaux.
L'éducation est assurée sur la commune de Penne-d'Agenais par une halte-garderie municipale, une école maternelle du port, une école élémentaires jean Moulin, et un collège Damira Asperti.
Culture
Bibliothèque municipale
Manifestations
Fête de la Tourtière, fête du Port, feu d’artifice et bal populaire du 15-Août, festival d’Art Contemporain (Penne'Art, Paperolles), fête des pitchounes, journées des Métiers d’Art artisanat d’art, rencontres botaniques, festival de musique en Pays de Serres, échoppes en fête,
Activités sportives
Aviron, badminton, basketball, chasse, club nautique, football, judo, karaté, musculation, parapente, tennis de table,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur la commune, il existe une déchèterie située sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine Civils
Il existe plusieurs monuments à découvrir à Penne-d'Agenais :
- La porte de la Ville
- La porte de Ferracap
- La porte de Ricard
- La tour d'Escoute
- Le château de Noaillac
- Les ruines du château Richard Cœur de Lion
- Le pont gallo-romain de Payssel
- Le monument aux Morts par le sculpteur Antoine Bourlange
- La gare de Penne et le monument commémoratif aux prisonniers Déportés du centre de détention d'Eysses.
Patrimoine religieux
- Le sanctuaire Notre-Dame de Peyragude. L'église est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Saturnin de Magnac. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Notre-Dame-du-Mercadiel de Penne-d'Agenais. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Notre-Dame d'Allemans. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Sainte-Foy de Sainte-Foy. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Léger de Penne-d'Agenais. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église du couvent des Cordeliers de Penne-d'Agenais.
- Église Saint-Martin de Saint-Martin-des-Cailles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Pierre de Noaillac. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Port-de-Penne. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Notre-Dame de Penne-d'Agenais. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Paul Froment : (1875-1898), poète occitan ; la place de la Mairie porte son nom
- L’écrivain français Paul Guth (Modèle:Date- à Ossun, Hautes-Pyrénées - Modèle:Date-) est inhumé dans le cimetière de Sainte-Foy-de-Penne
- Robert Mallet-Stevens (1886-1945) : pendant l’occupation, il se réfugie avec sa famille à Ferracap
- Émile Mollard (1895-1991), général de brigade en 1940, résistant français, créateur du camouflage du matériel
- Hubert Ruffe (1899-1995), homme politique, né et mort dans la commune
- Gustave Barlot (1914-1998), résistant, Compagnon de la Libération, y est mort
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Pierre Capdeville, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Penne-d'Agenais, Éditions du BRGM Service géologique national, Paris, 2000, Modèle:ISBN (lire en ligne)
- Marcel Garrouste, Histoire de Penne et de sa région", 2011, Modèle:ISBN Modèle:BNF
- Marcel Garrouste, Penne-d’Agenais, cité royale de Guyenne, éd. Fragile, Gavaudun, 2000
- Jean Bourbiel, Guide touristique de Penne-d’Agenais, imp. Alfred Bador, Villeneuve-sur-Lot, 1934. réédition.
- Bernard Kaleski et Erwan Poënces, Urbanisme et volupté - La France pavillonnaire enchaînée, Apogée, 2012.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de Penne-d’Agenais.
- Site de l’Office de tourisme de Penne-d’Agenais.
- Fiche Station Verte de Penne-d’Agenais.
- Penne-d’Agenais sur le site de l’Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes