École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre
{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Université L'École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre (ENSATT), appelée familièrement autrefois « Centre d'art dramatique », ou simplement « Rue Blanche », créée en 1941 sous le nom de Centre de formation professionnelle du spectacle<ref name="Histoire">Fonds d'archive de l'ENSATT</ref>, est l'une des douze écoles nationales de théâtre en France. Il s'agit d'un établissement public sous tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche<ref>Modèle:Lien web</ref>, délocalisé à Lyon en 1997.
Missions
L’ENSATT est une « école-théâtre » où sont enseignés les métiers de comédien, administrateur, costumier, coupeur, directeur technique, écrivain dramaturge, metteur en scène, concepteur lumière, concepteur sonore, régisseur, et scénographe.
À ces enseignements professionnels s'ajoute un enseignement théorique transversal : arts et humanités. L'établissement accueille près de 150 étudiants en formation initiale et 120 en formation continue.
Les diplômes de l'ENSATT s'inscrivent dans la Modèle:Refnec à la rentrée 2014.
Histoire
Le Modèle:Date-, pendant l'Occupation allemande, le Centre de formation professionnelle du spectacle est créé au 32, rue Eugène-Flachat, dans le [[17e arrondissement de Paris|Modèle:17e]] de Paris. Le Modèle:Date-, il est transformé en Centre de jeunesse du spectacle dans le cadre des centres de formation professionnelle institués par le gouvernement de Vichy. C'est une école préparatoire gratuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique (alors Conservatoire de musique et de déclamation), ouverte à d'autres disciplines, la décoration, l'écriture de pièces, la mise en scène ainsi qu'à des enseignements théoriques et pratiques, que dirige Raymond Rognoni, ancien pensionnaire de la Comédie-Française, chef de troupe, acteur et fondateur, en 1924, de l'École des enfants du spectacle, rue du Cardinal-Lemoine dans le [[5e arrondissement de Paris|Modèle:5e]] de Paris.
Par manque de place, l'école déménage au 21 rue Blanche dans le [[9e arrondissement de Paris|Modèle:9e arrondissement]], dans un hôtel particulier à l'abandon construit, vers 1900, par Charles Girault<ref>Girault, l'architecte du Petit Palais, l'a conçu à la demande de l'éditeur de musique Paul de Choudens</ref>. En Modèle:Date-, le Centre, sous tutelle de l'Enseignement technique rattaché au ministère de la Jeunesse et des Sports, passe sous la direction artistique de Jean Meyer.
En Modèle:Date-, le centre d'apprentissage d'art dramatique est transformé en lycée technique avec l'appellation d'École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre.
En Modèle:Date-, Pierre Roudy, l'époux d'Yvette Roudy, agrégé d'anglais et auteur dramatique, est nommé proviseur du nouveau lycée technique, Jean Meyer, restant directeur artistique, devient le responsable adjoint.
En Modèle:Date-, Patrick Bourgeois succède à Pierre Roudy.
À la suite de grèves et révoltes d'élèves, l'ENSATT passe, en Modèle:Date-, sous la tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur.
Malgré l'opposition des professeurs, l'école déménage à Lyon en Modèle:Date-, au 4 rue Sœur-Bouvier, dans un bâtiment neuf.
Thierry Pariente prend ses fonctions de directeur de l'ENSATT le Modèle:Date-. Il est nommé pour un second mandat de trois ans à compter du Modèle:Date- puis pour un troisième à compter du Modèle:Date-<ref>[1]</ref>. Laurent Gutmann, nommé par arrêté du Modèle:Date-, lui succède<ref>Arrêté du 14 août 2018 portant nomination du directeur de l'École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre JORF Modèle:N° du 28 août 2018 texte Modèle:N° NOR: ESRS1815476A</ref>.
Liste d’anciens élèves
Modèle:Méta bandeau d'avertissement{{#ifeq:||{{#ifeq:||[[{{#ifexist:Catégorie:Article à vérifier{{#if:culture|/culture}}|Catégorie:Article à vérifier{{#if:culture|/culture}}|Catégorie:Article à vérifier}}|École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre]]{{#if:novembre 2018||}}}}|}} Modèle:Catégorie détaillée Modèle:Colonnes
Liste de professeurs
Filmographie
- 1961 : 21 rue Blanche à Paris, court métrage documentaire de Quinto Albicocco et Claude-Yvon Leduc
- « Blanche rhapsodie » de Claire Ruppli ( 2016 )
Notes et références
Liens externes
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