Centième denier

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{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Le centième denier est un impôt royal sur les mutations immobilières établi en France en 1703 par le roi Louis XIV. Il est perçu à partir de 1706<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>.

À chaque mutation de propriété, en dehors des successions en ligne directe, des donations prévues par contrat de mariage et des dons à des œuvres pieuses, il faut verser la taxe représentant le centième de la valeur du bien<ref name=":0" />.

Ce droit est la contrepartie de l'enregistrement (insinuation) de l'acte sur les registres du greffe du bailliage afin que quiconque puisse le consulter<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1789, le centième denier rapporte environ 9 millions de livres<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Autres significations

  • Le centième denier est le nom d'une taxe annuelle de 1/100° de la valeur, évaluée par le propriétaire, d'un office. En 1771, il remplace la paulette<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
  • En Artois, la province dispose d'une taxe, le centième denier, sur le revenu des biens fonciers établi en 1569 par le roi d'Espagne Philippe II<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Voir aussi

Notes et références

<references /> Modèle:Portail