Coucy-le-Château-Auffrique
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Coucy-le-Château-Auffrique est une commune française du département de l'Aisne et de la région Hauts-de-France, dans l'arrondissement de Laon.
La commune de Coucy-le-Château absorba en 1921 celle d'Auffrique-et-Nogent. À l'heure actuelle, on désigne encore communément la commune sous les vocables « Coucy » ou « Coucy-le-Château » sans mention d'« Auffrique ».
Le célèbre château de Coucy se trouve sur la commune, il est enserré dans la cité des Sires de Coucy, ensemble fortifié bâti sur un promontoire rocheux ceignant d'un long rempart d'1,7 km tout le centre historique de la commune.
Géographie
Localisation
Le bourg de Coucy-le-Château-Auffrique est situé à l'ouest de Laon et à peu près à mi-chemin entre Chauny (au nord) et Soissons (au sud).
La commune est répartie sur deux niveaux : la ville basse (où convergent les voies de communication) et la cité médiévale de Coucy, enclose dans des remparts comprenant le fameux château de Coucy, lui-même plus en avant sur le promontoire dominant les vallées de l'Oise et de l'Ailette).
Rose des vents | Folembray | Coucy-la-Ville | Rose des vents | |
Champs | Modèle:Abréviation discrète | Jumencourt | ||
Modèle:Abréviation discrète Coucy-le-Château-Auffrique Modèle:Abréviation discrète | ||||
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Pont-Saint-Mard | Crécy-au-Mont | {{#if:| | ||
Enclave : }} |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Faucoucourt », sur la commune de Folembray, mise en service en 1984<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Coucy-le-Château-Auffrique est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,2 %), terres arables (29,4 %), zones urbanisées (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), prairies (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Modèle:… Durant la Révolution, la commune de Coucy-le-Château porte le nom de Coucy-la-Montagne<ref name=Cassini/>.
Histoire
L'histoire de la ville de Coucy est intimement liée au château. Le nom de Coucy n'est pas connu avant les premières années du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les territoires de la ville et du château faisaient partie du domaine des archevêques de Reims.
Un premier château fut construit vers l'année 920 par l'archevêque Hervé de Reims. Sa position exceptionnelle le fit convoiter par les plus puissants seigneurs de la région. Herbert de Vermandois, son gendre Thibaut, comte de Blois, et d'autres encore, s'en emparèrent successivement, jusqu'à ce que l'archevêque de Reims, Odalric, en régularisât la possession à [[Eudes Ier de Blois|Eudes {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Blois]], fils de Thibaut. Celui-ci finit par le recevoir en fief, moyennant un cens de 60 sous (994).
Les descendants (?) de ce dernier, Robert et Albéric, furent ses successeurs. Albéric, dans la deuxième moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fut sans doute le premier mari d'Ade de Marle et Coucy, qui suit et autour de laquelle s'organisa la succession.
Le domaine fut acquis vers 1085, par [[Enguerrand Ier de Coucy|Enguerrand {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Coucy]]<ref>Généalogie d'Enguerrand de Boves sur le site Medieval Lands</ref> († vers 1118), surnommé « de Boves », parce qu'il possédait la seigneurie de Boves, la plus importante du comté d'Amiens qui lui appartenait également (1085-1116). Son mariage avec Ade de Marle, fille de Létard (ou Létaud) de Roucy, le firent sire de Coucy, Marle, La Fère, Vervins, etc. Vers 1104, Enguerrand {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} prit pour maîtresse Sibylle de Château-Porcien, femme séparée depuis 1102 du comte [[Godefroi Ier de Namur|Godefroi {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Namur]]. Cette union devint la cause d'une guerre acharnée avec d'autres barons du Saint-Empire romain germanique. À la suite d'un accord, Enguerrand {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} garda Sibylle. De son premier mariage, il eut un fils Thomas dit « de Marle ». Ils participèrent l'un et l'autre à la première croisade.
Du vivant de son père, Thomas se fit une position indépendante. Sa seconde femme, Ermengarde de Montaigu, lui apporta en dot le château de ce nom, dont il fit une forteresse très hostile pour tous les seigneurs des alentours. À la suite de ses excès, la noblesse picarde vint l'y assiéger, avec l'aide de son père lui-même (1105). C'est alors que l'héritier du trône de France, le futur Louis VI le Gros, vint à son secours et força les alliés à lever le siège. Une lutte sanglante s'engagea à cette époque entre Enguerrand et son fils Thomas, laquelle dura jusqu'en 1113. À ce moment, une diversion se produisit, et Thomas prit parti pour son père dans ses vues sur les communes d'Amiens et de Laon. Le vidame d'Amiens soutint la lutte contre lui, le blessa dans un combat et réussit à en délivrer la commune. Louis le Gros s'empara sur ces entrefaites des deux châteaux de Crécy-sur-Serre et du Nouvion-et-Catillon en 1115, où Thomas avait donné asile aux Laonnois révoltés et fugitifs.
À la mort de son père en 1116, Thomas, devenu maître d'immenses domaines, se montra cruel et sans foi. Il entra en guerre contre le roi Louis VI qui lui enleva en 1117 la tour de Coucy et la réduisit à une soumission complète. Un assassinat commis sur Henri, seigneur de Chaumont-en-Vexin, des actes continuels de pillage firent encore recommencer la guerre. Il mourut en 1130, tué par surprise de la main même du comte [[Raoul Ier de Vermandois|Raoul {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Vermandois]], frère d'Henri de Chaumont.
Après Thomas, ses domaines furent partagés entre ses fils Robert Ier, qui eut Boves, et Enguerrand II, l'aîné, qui eut Coucy. Ce dernier continua la guerre contre le roi qui avait assiégé La Fère pendant plusieurs mois. La résistance de cette place força le roi à traiter. Enguerrand alla à la croisade de 1146 et mourut en Terre sainte (entre 1147 et 1149, selon les sources).
[[Raoul Ier de Coucy|Raoul {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Coucy]], fils d'Enguerrand II, épousa successivement Agnès de Hainaut et Alix de Dreux, dont il eut Enguerrand III, son successeur dans la seigneurie de Coucy, Thomas, seigneur de Vervins, Robert, seigneur de Pinon et Raoul, évêque de Noyon. Après avoir accordé des chartes communales aux villes de Marle (1174) et de Vervins (1183), Raoul Ier mourut également en Terre sainte (1191).
La domination d'Enguerrand III, surnommé « le Grand », ou « le Bâtisseur », marque l'apogée de la maison de Coucy. Après une minorité pendant laquelle la ville de Coucy obtint de la veuve de Raoul une charte de commune, Enguerrand III, disposant de forces et de richesses considérables, chercha à imposer son autorité à toute la région. Affranchie en 1197 du pouvoir seigneurial, Coucy se protège, à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, grâce à son enceinte et à ses portes de Laon, de Chauny et de Soissons.
Enguerrand III ravagea les terres de l'Église de Reims (1200) et figura à Bouvines avec éclat. Par l'une des alliances qu'il contracta successivement, il devint le beau-frère de l'empereur germanique Othon IV. Accusé, non sans vraisemblance, d'aspirer à la couronne de France, il prit une part des plus actives aux luttes politiques et aux révoltes féodales qui se produisirent pendant la régence de Blanche de Castille, mère du roi Louis IX. C'est sous sa direction que furent bâtis en quelques années (vers 1225) les tours et le donjon de Coucy, les châteaux de Marle, de Saint-Gobain et de Folembray.
Il mourut à la suite d'un accident, en 1242. Une de ses filles, Marie de Coucy, épousa le roi Alexandre II d'Écosse.
Raoul II, son successeur, périt en 1250 à la bataille de Mansourah. Le frère de ce dernier, Enguerrand IV, qui fut alors appelé à lui succéder, est surtout connu par les mesures sévères dont il fut l'objet de la part du roi Louis IX, à la suite de plusieurs exécutions arbitraires, parmi lesquelles celle de trois jeunes clercs. Il mourut en 1311.
Enguerrand V de Guînes (1311-vers 1321/1324 ; fils du comte Arnould III et d'Alix de Coucy sœur d'Enguerrand IV), laissa la seigneurie à son fils Guillaume (1324-1333) qui ne signala son gouvernement par rien de remarquable.
Enguerrand VI (1333-1346) assista, sans pouvoir l'empêcher, à la dévastation de ses domaines par les Anglais en 1339, et fut tué au cours de la bataille de Crécy en 1346, laissant son héritage à un fils encore enfant qui fut Enguerrand VII, le dernier et aussi le plus illustre des membres de la dynastie des Coucy.
À la suite de la capture du roi Jean II le Bon, il est emmené par les Anglais en qualité d'otage à la cour d'Édouard III, il acquit une grande influence auprès de ce dernier, dont il épousa la fille Isabelle. Revenu ensuite à Coucy en 1368, il s'occupa de ramener la prospérité dans ses domaines dévastés et accorda une charte de franchise à Coucy en même temps qu'aux 21 villages qui en dépendaient. Il resta neutre quand la guerre reprit peu après entre la France et l'Angleterre. C'est alors qu'il se décida à partir pour l'Italie, dans le but d'y servir le pape, contre les Visconti de Milan. Il guerroya ainsi pendant quelque temps et imagina ensuite de revendiquer la couronne d'Autriche, sur laquelle il prétendait avoir des droits par sa mère Catherine d'Autriche, fille de [[Léopold Ier d'Autriche|Léopold {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]. Il ramassa dans toute la France et même en Angleterre tous les routiers disponibles et s'apprêta à engager la lutte contre son oncle. Après avoir ravagé cruellement l'Alsace, il fut battu en Suisse (1375). À son retour, la cour de France le chargea de plusieurs missions délicates. Rallié après la mort d'Edouard III, il prit part à la campagne de Flandre et à la tentative d'invasion de l'Écosse. À diverses reprises, le gouvernement de Charles VI l'employa dans des négociations diplomatiques importantes. En 1390, il assista les Génois dans leur expédition contre Tunis, au cours de laquelle il se signala par de nombreux exploits. Il fut l'un des chefs de l'armée envoyée contre Bajazet et les Turcs au secours de la Hongrie. Fait prisonnier au cours de la bataille de Nicopolis, il fut un des huit prisonniers épargnés et délivrés moyennant rançon (1397). Il mourut à Brousse, en Asie, peu après la dure captivité qu'il venait de subir.
Avec lui s'éteignit la puissante maison qu'il venait d'illustrer par ses multiples et lointaines expéditions, et qui avait été pendant 200 ans, sans contredit, une des plus puissantes familles du Nord de la France. Sa fille aînée et héritière Marie réussit à transmettre une partie de ses biens (La Fère, Saint-Gobain, Marle...) à ses descendants les Bar-le-Duc, les Luxembourg-Saint-Pol puis les Bourbon-Vendôme (jusqu'à Henri IV)... mais sans Coucy !
En effet la terre de Coucy fut vendue par sa fille Marie, veuve d'Henri de Bar-le-Duc, au duc [[Louis Ier d'Orléans|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Orléans]] en 1400. Celui-ci la fit ériger en pairie en 1404. Le domaine passa ensuite à son fils Charles. Il fut saisi en 1411, vendu à Philippe III, duc de Bourgogne en 1440, racheté encore en 1550. Louis II d'Orléans, roi de France sous le nom de Louis XII, réunit Coucy à la couronne et le concéda en apanage à sa fille Claude, femme du duc François d'Angoulême. Ce dernier, devenu le roi [[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], le donna à titre d'apanage à son second fils Charles de Valois. Le domaine fut ensuite attribué comme douaire à Catherine de Médicis en 1562. Il passa en 1576 à Diane de France fille d'Henri II, et entra enfin dans la Maison d'Orléans-Bourbon (issue du frère de Louis XIV, Philippe duc d'Orléans) qui le garda, à titre d'apanage, jusqu'à la Révolution. César de Vendôme, fils d'Henri IV et oncle de Philippe d'Orléans, naquit à Coucy en 1594.
Au cours de la Première Guerre mondiale, l'armée allemande occupa le château de Coucy. Elle le dynamita au moment de le quitter en 1917.
Le samedi 6 avril 1918, les Allemands attaquent la Modèle:6e française dans la forêt de Coucy-le-Château, sur l’Ailette, et la prennent.
En 1921, les communes de Coucy-le-Château et d'Auffrique-et-Nogent sont fusionnées sous le nom de Coucy-le-Château-Auffrique<ref name=Cassini/>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution
Modèle:Population de France/section
Coucy-le-Château
L'évolution démographique de Coucy-le-Château avant l'absorption d'Auffrique-et-Nogent était :
{{#invoke:Démographie|demographie}}
Auffrique-et-Nogent
L'évolution démographique d'Auffrique-et-Nogent avant l'absorption par Coucy-le-Château était :
{{#invoke:Démographie|demographie}}
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Coucy, connu jusqu'en 1917pour son énorme donjon, séparé de la cité fortifiée par la basse-cour. Classé Monument historique par liste de 1862.
- Remparts de l'ancienne cité fortifiée, avec sa gloriette, ses tours et ses trois portes :
- porte de Chauny ;
- porte de Laon (classée MH en 1889) ;
- porte de Soissons.
- Domaine de la Grangère, dont l'entrée se trouve sur le côté du monument aux morts. Cet espace vert était autrefois le jardin de la maison du gouverneur, bâtisse où Gabrielle d'Estrées accoucha, en 1594, de César (duc de Vendôme), fils bâtard d'Modèle:Noble. Classé MH en 1931.
- Église Saint-Sauveur, qui nécessita de gros travaux de reconstruction après la Première Guerre mondiale. Classée MH en 1920
- Abbaye de Nogent-sous-Coucy.
- Jardin médiéval : ce jardin d'inspiration médiévale est situé au pied du rempart, du côté de l'église. Autour d'une fontaine représentant la Vierge Marie, les parterres sont cultivés dans quatre carrés (ou des multiples de quatre) afin de former une géométrie parfaite et rappelant les quatre points cardinaux ou les quatre éléments.
- Point d'eau ancien.
- Dans le bois du Montoir, on peut voir une énorme cuvette de béton sur laquelle les Allemands, pendant la guerre 1914-1918, avaient installé un obusier de Modèle:Unité, classée aux monuments historiques en 1922<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- Le mémorial des résistants volontaires dans la ville basse.
- La ferme de Moyembrie est un établissement rural de réinsertion pour détenus en fin de peine<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, membre du réseau Emmaüs France<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Donjon de Moyembrie<ref>Modèle:Atlas des châteaux forts en France.</ref>.
-
Une des tours des remparts de la cité.
-
Détail remparts de la cité.
-
La gloriette sur le rempart.
-
Mémorial des résistants volontaires.
Personnalités liées à la commune
- Moïse ben Jacob de Coucy, tossafiste et légaliste du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.
- Claude Duflos (1665-1727), graveur.
- Henri Carette.
- Louis-Xavier Gargan (1816-1886), industriel né et mort à Coucy-le-Château<ref>Modèle:Base Léonore (consulté le 20 novembre 2013)</ref>.
- César de Vendôme, né à Coucy le Modèle:Date-.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Jumelages
- La commune de Coucy-le-Château-Auffrique est jumelée<ref>Comité de Jumelage</ref> avec Saarbrücken-Altenkessel (Allemagne) depuis 1966, avec Framlingham (Royaume-Uni) depuis 1973, avec Altenkessel (Allemagne) depuis 1982 et avec Modèle:Jumelage.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Article
- Modèle:Article, compte-rendu par Louis Serbat dans Bulletin monumental, 1908, tome 72, Modèle:P.
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
Articles connexes
- Cité de Coucy
- Château de Coucy
- Maison de Coucy
- Liste des seigneurs de Coucy
- Abbaye de Nogent-sous-Coucy
- Modèle:Page h
- Liste des communes de l'Aisne