Billy Graham

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William Franklin Graham, Jr., dit Billy Graham, né le Modèle:Date de naissance à Charlotte (Caroline du Nord) et mort le Modèle:Date de décès à Montreat dans le même État américain, est un pasteur et prédicateur chrétien évangélique baptiste américain.

Biographie

Graham naît le 7 novembre 1918 à Charlotte (Caroline du Nord)<ref>George Thomas Kurian, James D. Smith III, The Encyclopedia of Christian Literature, Volume 2, Scarecrow Press, Modèle:Lang, 2010, Modèle:P.</ref>. Il vit dans une ferme avec un frère et deux sœurs et est élevé dans la foi presbytérienne par ses parents<ref>David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, Modèle:Lang, 2010, Modèle:P.</ref>. Adolescent, il est renvoyé d'un groupe de jeunes de son église parce qu'il n'était pas très intéressé par les questions spirituelles<ref>David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, Modèle:Lang, 2010, Modèle:P.</ref>. Après avoir assisté à plusieurs réunions d'évangélisation de Mordecai Ham, Graham se convertit à l'âge de Modèle:Nobr en 1934<ref name="Randall Herbert Balmer 2004, p. 300">Randall Herbert Balmer, Encyclopedia of Evangelicalism: Revised and expanded edition, Baylor University Press, Modèle:Lang, 2004, Modèle:P.</ref>. En 1936, il commence des études de théologie évangélique au Bob Jones College (devenu Université Bob Jones), mais arrête parce qu'il trouve l'institution trop légaliste, reprochant à cette dernière de préférer le texte à l'esprit du texte<ref>Timothy J. Demy Ph.D., Paul R. Shockley Ph.D., Evangelical America: An Encyclopedia of Contemporary American Religious Culture, ABC-CLIO, Modèle:Lang, 2017, Modèle:P.</ref>. En 1937, il intègre le Trinity College of Florida<ref name="Barry Hankins 2009, p. 41">Barry Hankins, Modèle:Lang, Rowman & Littlefield Publishers, Modèle:Lang, 2009, Modèle:P.</ref>. Il prêche son premier sermon à l'âge de dix-neuf ans, dans la Bostwick Baptist Church près de Palatka, en Floride<ref>David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, Modèle:Lang, 2010, Modèle:P.</ref>. En 1939, il est consacré pasteur baptiste par une église de la Convention baptiste du Sud, la Peniel Baptist Church de Palatka, en Floride<ref>George Thomas Kurian, Mark A. Lamport, Encyclopedia of Christianity in the United States, Volume 5, Rowman & Littlefield, Modèle:Lang, 2016, Modèle:P.</ref>. En 1940, il obtient un Bachelor of Arts en théologie du Trinity Bible College évangélique (devenu Trinity College of Florida)<ref> Bill Adler, Ask Billy Graham: The World's Best-Loved Preacher Answers Your Most Important Questions, Thomas Nelson Inc, États-Unis, 2010, p. VIII </ref>,<ref> Beau Zimmer, Rev. Billy Graham attended Bible College in Temple Terrace, wtsp.com, États-Unis, 21 février 2018 </ref>. Puis il étudie l’anthropologie au Wheaton College et obtient un Bachelor of Arts en 1943<ref>Edward E. Hindson, Daniel R. Mitchell, The Popular Encyclopedia of Church History: The People, Places, and Events That Shaped Christianity, Harvest House Publishers, Modèle:Lang, 2013, Modèle:P.</ref>.

Ministère

Fichier:Bundesarchiv Bild 194-0798-29, Düsseldorf, Veranstaltung mit Billy Graham.jpg
Billy Graham lors d'une prédication à Düsseldorf, en Allemagne, le 21 juin 1954.
Fichier:Billy Graham in het Feyenoord stadion.ogv
Discours de Billy Graham au stade de Feyenoord à Rotterdam, aux Pays-Bas, le 30 juin 1955.

De 1943 à 1944, Graham est pasteur de la First Baptist Church à Western Springs (Illinois). En 1946, il devient évangéliste à plein temps pour Youth for Christ<ref name="Randall Herbert Balmer 2004, p. 300"/>. En 1947, il fait sa première réunion d'évangélisation au Civic Auditorium à Grand Rapids (Michigan) en présence de Modèle:Nombre<ref>CBN, Remembering the Billy Graham Crusades That Led People to Jesus, cbn.com, Modèle:Lang, 24 février 2018</ref>.

En 1948, dans une chambre d'hôtel à Modesto (Californie), l’évangéliste Billy Graham et son équipe d’évangélisation ont établi le Modesto Manifesto, un code d’éthique de vie et de travail pour les hommes pour se protéger des accusations d’abus financiers, sexuels et de pouvoir<ref> Seth Dowland, The “Modesto Manifesto”, christianhistoryinstitute.org, États-Unis, #111, 2014</ref>. Ce code comprend des règles pour la répartition des offrandes reçues dans les églises, le travail uniquement avec des églises favorables à l’évangélisation coopérative, l’usage des estimations officielles des foules lors des évènements en plein air et l’engagement à ne jamais être seul avec une femme autre que son épouse<ref> Yonat Shimron, Billy Graham made sure his integrity was never in question, religionnews.com, États-Unis, 23 février 2018</ref>.

De 1948 à 1952, il est président du Northwestern Bible College (devenu University of Northwestern - St. Paul) à Minneapolis. En 1950, il fonde la Billy Graham Evangelistic Association, une organisation d'évangélisation<ref>Randall Herbert Balmer, Encyclopedia of Evangelicalism: Revised and expanded edition, Baylor University Press, Modèle:Lang, 2004, Modèle:P.</ref>.

En 1951, avec le producteur Dick Ross, il a fondé la société de production cinématographique World Wide Pictures<ref> John Lyden, The Routledge Companion to Religion and Film, Taylor & Francis, Abingdon-on-Thames, 2009, Modèle:P. </ref>.

Il a été administrateur à l’International Mission Board à la fin des années 1950 et administrateur de la Commission de radio et de télévision de la SBC à la fin des années 1960<ref> David Roach, Billy Graham’s Southern Baptist ties highlighted, baptistpress.com, USA, 23 février 2018</ref>.

Lors de ses réunions d'évangélisation, Billy Graham met l'accent sur la conversion et le pardon des péchés par Jésus-Christ<ref>JEFFREY COLLINS, Thousands pay their respects to Rev. Billy Graham in North Carolina, thestar.com, Canada, 26 février 2018</ref>.

Fichier:Countries that preacher Billy Graham visited for his crusades.jpg
Pays où Billy Graham a prêché<ref>"Pilgrim Preacher: Billy Graham, the Bible, and the Challenges of the Modern World". Museum of the Bible. 21.04.2020</ref>.


En 1995, lors de l’évènement Global Mission, il a prêché un sermon au Estadio Hiram Bithorn de San Juan à Porto Rico qui a été transmis par satellite dans Modèle:Nobr et traduit en Modèle:Nobr<ref> Andrew S. Finstuen, Anne Blue Wills, Grant Wacker, Billy Graham: American Pilgrim, Oxford University Press, UK, 2017, Modèle:P.</ref>.

Après sa dernière croisade en 2005 à New York, il avait prêché lors de 417 croisades, dont 226 aux États-Unis et 195 à l’étranger<ref> Cathy Lynn Grossman, Billy Graham reached millions through his crusades. Here's how he did it, usatoday.com, USA, 21 février 2018 </ref>,<ref> Billy Graham Evangelistic Association, BILLY GRAHAM CRUSADES, billygraham.org, USA, consulté le 5 juin 2023</ref>.

Actions de paix

Billy Graham a été en complicité avec Martin Luther King et il a œuvré en faveur des lois anti-ségrégationnistes durant les années 1960 et tout au long de son ministère<ref>Grant Wacker, America's Pastor, Harvard University Press, Modèle:Lang, 2014, Modèle:P., 132</ref>,<ref>Géraud Bosman-Delzons , Mort de Billy Graham, berger évangélique de l'Amérique, Rfi.fr, France, 21 février 2018</ref>. Cependant, Graham n'a jamais assisté publiquement à des manifestations pour les droits civiques, ne s'est jamais exprimé officiellement en soutien au mouvement de libération des Africains Américains, même après la mort de Martin Luther King<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

S'étant rendu deux fois en république populaire démocratique de Corée (RPDC), en 1992 et 1994, à l'invitation des autorités nord-coréennes, Billy Graham était apprécié du président nord-coréen Kim Il-sung. Les liens de confiance entre la famille Graham et les autorités nord-coréennes ont ainsi conduit à la réalisation de plusieurs projets de coopération en Corée du Nord par la BGEA et la Samaritan's Purse, par exemple, le réseau de télévision de la RPDC, la mise en place de cliniques dentaires ou d'une unité de soins intensifs<ref>Michelle Vu, Franklin Graham: “Kim Il Sung Liked My Father”, sur le site The Christian Post, 8 juillet 2006.</ref>.

Liens avec le monde politique

Fichier:Barack Obama and Billy Graham.jpg
Billy Graham rencontre le président Barack Obama à Montreat, NC, en 2010.

Billy Graham était membre du Parti démocrate (États-Unis) et a eu des rapports privilégiés avec divers personnages haut placés américains, dont douze présidents américains de Truman à Obama<ref>WILLIAM LOBDELL et RUSSELL CHANDLER, Modèle:Lang, latimes.com, Modèle:Lang, 21 février 2018</ref>. Il a été conseiller spirituel présidentiel de plusieurs de ces derniers.

Ainsi, George W. Bush attribue à une discussion avec le révérend Graham sa décision d'arrêter de boire à l'âge de Modèle:Nobr<ref>Sophie Tatum, George W. Bush says Billy Graham changed his life, cnn.com, Modèle:Lang, 24 février 2018</ref>.

En 2006, il a dit avoir commenté certains sujets politiques qui ne sont pas du Seigneur, mais avoir la responsabilité de s’exprimer sur d’autres sujet, comme le communisme ou la ségrégation<ref name="newsweek2006p4">Modèle:Article</ref>.

En 2007, il a expliqué son refus de rejoindre la Moral Majority en 1979, en raison de sa conviction que la morale devrait aller au-delà du sexe et prôner la liberté et la justice sociale<ref>Modèle:Article</ref>. Il a affirmé que les évangélistes ne devraient pas être identifiés à un parti et rester au milieu, afin de prêcher à tous, de droite comme de gauche.

Le 25 avril 2010, le président Barack Obama rend visite à Billy Graham dans sa maison de Montreat en Caroline de Nord, et ils prennent ensemble un temps de prière<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2011, bien que reconnaissant d’avoir rencontré des politiciens qui ont des besoins spirituels comme les autres, il a affirmé avoir parfois franchi la ligne et aurait préféré éviter la politique<ref name="Q & A: Billy Graham on Aging, Regrets, and Evangelicals | Christianity Today"> Sarah Pulliam Bailey, Q & A: Billy Graham on Aging, Regrets, and Evangelicals, christianitytoday.com, États-Unis, 21 janvier 2011</ref>.

Vie privée

Fichier:Billy Graham - L0055 860Fo30141612210024.jpg
Billy Graham et son épouse à Oslo en Norvège, 1955.

Famille

Il a épousé Ruth Graham en 1943, une camarade du Wheaton College<ref name="Barry Hankins 2009, p. 41"/>. Ils ont eu cinq enfants ensemble<ref> Terry Mattingly, Billy Graham's children say their goodbyes, knoxnews.com, États-Unis, 10 mars 2018 </ref>.

Église

En 1953, il est devenu membre de la première église baptiste de Dallas, même s’il n’a jamais habité dans l’état du Texas<ref> Bobby Ross Jr., Billy Graham never lived in Texas but belonged to a Dallas church for 54 years, religionnews.com, USA, 21 février 2018</ref>. En 2008, il a changé son adhésion pour la première église baptiste de Spartanburg (Caroline du Sud), à environ 1h30 de route de sa maison à Montreat (Caroline du Nord).

Fin de vie

En 2011, lorsqu’on lui a demandé s’il aurait fait des choses différemment, il a mentionné qu’il aurait passé plus de temps à la maison avec sa famille, étudié davantage et prêché moins<ref name="Q & A: Billy Graham on Aging, Regrets, and Evangelicals | Christianity Today" />. Il aurait participé à moins de conférences. Il a également dit avoir l’habitude de conseiller aux évangélistes de préserver leur temps et d’éviter d’avoir trop d’engagements.

Billy Graham meurt dans son sommeil le Modèle:Date à l'âge de Modèle:Nobr. Il souffrait depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les 28 février et Modèle:1er mars 2018, il est devenu le quatrième citoyen non politique de l'histoire des États-Unis à avoir des obsèques nationales à la rotonde du Capitole des États-Unis à Washington , DC<ref name="nyt20180222">Modèle:Lien web</ref>.

Un service funéraire privé avec 2,300 invités a eu lieu le 2 mars 2018 à la bibliothèque Billy Graham de Charlotte (Caroline du Nord)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Critiques et controverses

Critiques religieuses

Graham a été critiqué pendant plusieurs années par quelques évangéliques fondamentalistes pour ses messages d'unité et sa proximité avec l'Église catholique (particulièrement à l'adresse du pape Jean-Paul II)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Grant Wacker, America's Pastor, Harvard University Press, Modèle:Lang, 2014, Modèle:P.</ref>.

Des dirigeants baptistes se sont aussi exprimés contre la tendance de Graham à instrumentaliser la religion à des fins politiques, une démarche en contradiction avec le principe de séparation de l'Église et de l'État<ref name=":0" />.

Critiques sociales et politiques

De façon générale, Graham est présenté comme l'incarnation du mouvement évangélique moderne, qui est critiqué pour sa promotion du néo-libéralisme, du néo-colonialisme, du racisme culturel, du conservatisme social, du créationnisme biologique (anti-darwinisme), autant de fondements de la modernité occidentale auxquels résistent la majorité des évangélistes contemporains<ref name=":0" />.

Graham peut être vu comme un représentant d'une guerre spirituelle contre le communisme, un acteur du maccarthysme<ref name=":0" />. En effet, pendant la guerre froide, il était financé par des pétroliers dans le but de défendre la supériorité économique et culturelle des États-Unis sur l'ensemble de la planète. De ce point de vue, Graham est décrit comme un missionnaire du nouvel impérialisme américain. De l'Afrique à la Corée en passant par l'Amérique latine, il a contribué au développement de la mondialisation au profit des États-Unis.

Bien qu'il ait progressivement ouvert, aux États-Unis, ses prêches aux personnes Noires et qu'il se soit rapproché de Martin Luther King, Graham n'a pas participé aux manifestations contre la ségrégation raciale (celles de Selma et Washington, par exemple)<ref name=":0" />. Pour cette raison, on l'accuse d'avoir maintenu le statu quo en défaveur des Africains américains, tout en tirant profit symboliquement et financièrement des conversions, parmi les Africains américains, à l'évangélisme. Selon la sociologue des religions Anthea Butler, il a été surpris par la mort de Martin Luther King, mais loin d'être triste.

Graham a mis sa réputation au service des candidats républicains, en mobilisant ses fidèles en faveur de l'élection des présidents républicains comme Eisenhower et R. Nixon. En pleine guerre du Viêt Nam, très contestée par la population américaine, Graham ne défend pas la paix intérieure et extérieure. Il devient même le conseiller officieux du président Nixon, jusqu'à sa chute, moment auquel Graham se retire de la politique intérieure<ref name=":0" />.

Aussi, lors d'un voyage au Brésil en 1974, Graham défend la dictature en place, proche du gouvernement américain et favorable à l'exploration pétrolière par des entreprises américaines. De ce fait, il participe à l’offensive contre la théologie de la libération, courant chrétien de gauche, soutenu par les couches paupérisées du Brésil, qui conteste l'ordre social en vigueur<ref name=":0" />.

Graham a également été critiqué pour sa position traditionnelle à propos du rôle des femmes ("épouse, mère et ménagère")<ref>Brantley W. Gasaway, Progressive Evangelicals and the Pursuit of Social Justice, University of North Carolina Press, Modèle:Lang, 2014, Modèle:P.</ref>. Plus généralement, depuis 1974, le mouvement majoritaire des évangéliques sont contre le droit à l'avortement des femmes et contre le mariage homosexuel. En effet, après la victoire législative du mouvement des droits civiques, les évangéliques constatent la difficulté de construire une communauté de fidèles sur la base de la ségrégation raciale. Ils font du droit à l'avortement leur nouvelle cible spirituelle et politique pour étendre leur influence sociale. Cependant, Graham s'est publiquement exprimé contre ce tournant patriarcal des évangéliques<ref name=":0" />.

Distinctions

Fichier:President Ronald Reagan presenting the Presidential Medal of Freedom to Billy Graham in the East Room.jpg
Billy Graham recevant la médaille présidentielle de la Liberté par le président Ronald Reagan, le 23 février 1983.

Il a obtenu de nombreuses récompenses, notamment le prix Templeton en 1982 pour sa contribution à l’entraide et la compréhension inter-religieuse<ref>George Thomas Kurian, Mark A. Lamport, Encyclopedia of Christianity in the United States, Volume 5, Rowman & Littlefield, Modèle:Lang, 2016, Modèle:P.</ref>, la médaille présidentielle de la Liberté en 1983 pour ses actions d'évangélisation<ref> Irvin Molotsky, 12, INCLUDING JAVITS, GET FREEDOM MEDAL FROM THE PRESIDENT, nytimes.com, États-Unis, 24 février 1983</ref>et la Ronald Reagan Freedom Award pour sa contribution à l’avancement de la liberté dans le monde, en 2000<ref> Thomas P. Johnston, Examining Billy Graham's Theology of Evangelism, Wipf and Stock Publishers, États-Unis, 2003, Modèle:P.</ref>.

Entre 1948 et 2018, Billy Graham a figuré Modèle:Nobr dans le groupe des dix hommes les plus admirés publié par la firme Gallup<ref>Frank Newport, In the News: Billy Graham on 'Most Admired' List 61 Times, news.gallup.com, Modèle:Lang, 12 mai 2008</ref>.

Récompenses

Modèle:Boîte déroulante/début Il a reçu plusieurs récompenses<ref> Thomas P. Johnston, Examining Billy Graham's Theology of Evangelism, Wipf and Stock Publishers, USA, 2003, Modèle:P.</ref>.

Modèle:Boîte déroulante/fin

Doctorats honoris causa

Modèle:Boîte déroulante/début Il a reçu plusieurs doctorats honoris causa<ref> Thomas P. Johnston, Examining Billy Graham's Theology of Evangelism, Wipf and Stock Publishers, USA, 2003, Modèle:P.</ref>.

Modèle:Boîte déroulante/fin

Publications

En français

  • La paix avec Dieu, 1964 impr., éditeur : Groupes Missionnaires, Modèle:ISBN
  • Christ ressuscité, éditeur : Groupes Missionnaires, GM1545-20
  • Christ revient, éditeur : Groupes Missionnaires, GM1545-12
  • Les anges, agents secrets de Dieu, 1976, éditeur : 7ici, Modèle:ISBN
  • La mort, point final ou deux points ?, 1989, éditeur : Ebv, Modèle:ISBN
  • Avis de tempête, 1993, éditeur : Vida, Modèle:ISBN
  • Tel que je suis, 1997, éditeur : Eternity Publishing, Modèle:ISBN

En anglais

  • Calling Youth to Christ (1947)
  • America's Hour of Decision (1951)
  • I Saw Your Sons at War (1953)
  • Peace with God (1953, 1984)
  • Freedom from the Seven Deadly Sins (1955)
  • The Secret of Happiness (1955, 1985)
  • Billy Graham Talks to Teenagers (1958)
  • My Answer (1960)
  • Billy Graham Answers Your Questions (1960)
  • World Aflame (1965)
  • The Challenge (1969)
  • The Jesus Generation (1971)
  • Angels: God's Secret Agents (1975, 1985)
  • How to Be Born Again (1977)
  • The Holy Spirit (1978)
  • Evangelist to the World (1979)
  • Till Armageddon (1981)
  • Approaching Hoofbeats (1983)
  • A Biblical Standard for Evangelists (1984)
  • Unto the Hills (1986)
  • Facing Death and the Life After (1987)
  • Answers to Life's Problems (1988)
  • Hope for the Troubled Heart (1991)
  • Storm Warning (1992)
  • Just As I Am: The Autobiography of Billy Graham (1997, 2007)
  • Hope for Each Day (2002)
  • The Key to Personal Peace (2003)
  • Living in God's Love: The New York Crusade (2005)
  • The Journey: How to Live by Faith in an Uncertain World (2006)
  • Wisdom for Each Day (2008)
  • Nearing Home: Life, Faith, and Finishing Well (2011)
  • The Heaven Answer Book (2012)
  • The Reason for My Hope: Salvation (2013)
  • Where I Am: Heaven, Eternity, and Our Life Beyond the Now (2015)

Ouvrage scientifique sur l'évangélisme et Billy Graham

  • Philippe Gonzalez, Que ton règne vienne. Des évangéliques tentés par le pouvoir absolu, Genève, Labor et Fides, coll. « Protestantisme », 2014, 472 p.
  • Joan Stavo-Debauge, Le loup dans la bergerie. Le fondamentalisme chrétien à l’assaut de l’espace public, Genève, Labor et Fides, 2012.
  • Antha Butler, White Evangelical Racism. The Politics of Morality in America, The University of North Carolina Press, 2021 ; Women in the Church of God in Christ Making a Sanctified World, The University of North Carolina Press, 2012.
  • Yannick Fer, Sociologie du pentecôtisme, Paris, Karthala, coll. « 4 Vents », 2022, 223 p., Modèle:ISBN.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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