Elbeuf

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France

Elbeuf<ref group="Note">Le nom officiel de la commune est Elbeuf dans le code officiel géographique de la République française, Modèle:Lire en ligne.</ref> (Modèle:MSAPI<ref group="Note">Prononciation en français standard standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.</ref>) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La commune est dénommée localement Elbeuf-sur-Seine<ref group="Note">Le site de la mairie utilise l'appellation Elbeuf sur Seine, sans tiret, Modèle:Lire en ligne.</ref>, pour faire la distinction avec les communes d'Elbeuf-en-Bray et d'Elbeuf-sur-Andelle, toutes trois dans le même département. Les habitants se nomment les Elbeuviens.

Ancienne cité drapière située à Modèle:Unité au sud de Rouen et Modèle:Unité au nord-ouest d'Évreux, Elbeuf est le bureau centralisateur du canton d'Elbeuf. Depuis 2010, elle fait partie de la Métropole Rouen Normandie, qui atteint ainsi Modèle:Unité, ainsi que de l'unité urbaine de Rouen.

Elbeuf a obtenu le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris.

La ville a le label « Villes et Pays d'art et d'histoire ». Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Elbeuf est un chef-lieu de canton situé dans la Seine-Maritime sur un méandre de la Seine, à Modèle:Nobr de Rouen. Modèle:Multiple image

Communes limitrophes

La commune a pour principale commune limitrophe Caudebec-lès-Elbeuf.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Le territoire de la commune occupe une surface de Modèle:Unité.

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau traversant la commune<ref>Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (SIGES)</ref>,<ref>Elbeuf. Sandre-Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (eaufrance.fr)</ref> :

Du fait de sa position sur la Seine, la ville a été périodiquement sujette aux inondations. La plus importante d'entre elles se produisit en 1910.
Les digues ont été relevées et les routes surélevées en bordure du fleuve. Deux ponts franchissent la Seine en direction de Saint-Aubin-lès-Elbeuf : le pont Guynemer et le pont Jean-Jaurès.

Sismicité

Commune située dans une zone de sismicité 1 très faible<ref>Didacticiel de la réglementation parasismique</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Modèle:Loupe Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Elbeuf est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,6 %), zones urbanisées (20,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,9 %), prairies (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), terres arables (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme intercommunal Métropole Rouen Normandie<ref>PLUi de la Métropole Rouen Normandie.</ref>.

Toponymie

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un village, attesté sous la forme Wellebou dans une charte de Modèle:Noble, se développe. On trouve aussi Guellebo en 1021-1025 et Wellebuoht en 1070-1081<ref name="Beaurepaire">Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio</ref> (lire Wellebuoth).

Il s'agit d'un type toponymique médiéval fréquent en Haute-Normandie, où l'on trouve aussi deux autres communes portant ce nom : Elbeuf-sur-Andelle (Wellebotum 1218) et Elbeuf-en-Bray (Wellebof 1046 - 1048). Le déterminant complémentaire -sur-Seine, parfois ajouté à Elbeuf, sert à éviter la confusion avec ces deux autres communes situées également dans le département de la Seine-Maritime.

Le premier élément El- représente l'ancien scandinave vella « source, cours d'eau »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ou son correspondant anglo-saxon wella « source, cours d'eau »<ref name="fdb1">Modèle:Harvsp.</ref>. Il apparaît dans la toponymie normande de manière générale comme second élément d'un composé toponymique sous diverses formes, à savoir : la plus courante -vel(le) (Jersey, Moulin de Quétivel ; Seine-Maritime, Moulin de Quenarvelle en 1539 ; nombreux Caquevel), -ouelle (Rouelles, Seine-Maritime, Rodewella 1035 ; Fontaine de Mirouel, Exmes, Orne), voire -gueule (le Radegueule, affluent de la Béthune, Seine-Maritime, Radevele Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle cf. Radwell, Angleterre)<ref>Jean renaud, op. cit.</ref> et en emploi autonome dans la Veules (source et rivière à Veules-les-Roses, Wellas 1025, Welles Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

La forme Guellebo est une forme francisée, correspondant au normand Wellebo(u), elle ne s'est pas imposée. En revanche, le W- initial s'est amuï, conformément à ce qu'on observe dans la toponymie de la Haute-Normandie et ce, devant e ou i, cf. Incarville (Eure, Wicardi villa 1025)<ref name="fdb1"/>.

Le second élément -beuf est issu de l'ancien scandinave bóð « cabane, baraque » (cf. vieux danois both, danois bod, anglais booth, d'origine scandinave). En Normandie, il a généralement pris la forme -beuf ou -bot et est souvent noté -b(u)oth ou -bod dans les attestations les plus anciennes, exemple : Daubeuf-la-Campagne (Eure, Dalbuoth 1011). François de Beaurepaire donne à both le sens de « village »<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Le sens global est donc celui de « cabane au bord du cours d'eau » ou « village au bord du cours d'eau »<ref name="Beaurepaire"/>.

Histoire

Modèle:Article détaillé

Robert de Meulan (Modèle:V.-1118) à la suite de son mariage vers 1100 avec Isabelle de Vermandois recueille l'honneur d'Elbeuf-sur-Seine<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:Date-, au début de la guerre de Cent Ans, la ville sur le passage des Anglais lors de la chevauchée d'Édouard III est ravagée<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'industrie drapière

Vers 1514, les premières draperies d'Elbeuf voient le jour. Après la corporation des tisserands, Jean-Baptiste Colbert donnera en 1667 un élan supplémentaire à l'industrie drapière avec la Manufacture royale de draps d'Elbeuf.

Le Modèle:Date-, [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] visite les manufactures.

La concurrence étrangère aura raison de cette activité économique de la ville, qui chutera pendant le contrôle allemand lors de la Seconde Guerre mondiale. Les bombardements de 1944 détruisent une partie du centre-ville. La ville se reconstruit mais, dans les années 1950, l'industrie drapière doit faire face à l'apparition des textiles synthétiques. Cette concurrence va amener la disparition progressive de cette industrie. La firme Prudhomme est la dernière à fermer en 1990<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La « ville aux cent cheminées », telle qu'elle fut surnommée, s'est tournée vers une activité industrielle plus moderne : industrie chimique et mécanique, avec notamment les usines Renault et Sanofi.

Une forte immigration alsacienne

Après la guerre de 1870, un grand nombre d'Alsaciens qui refusaient l'annexion ont choisi Elbeuf pour s'y installer. Beaucoup de ces nouveaux habitants travaillaient dans l'industrie textile en Alsace. Or les clauses douanières du traité de Francfort leur fermaient dorénavant le marché français<ref>Connaissance du patrimoine de Haute-Normandie..</ref>.

Paul Lévy écrit : Modèle:Citation et il cite Delahache : Modèle:Citation.

Parmi cette communauté d'origine alsacienne se trouvaient les familles Blin<ref>L'histoire du textile : le passé industriel d'Elbeuf</ref>,<ref>Elbeuf. L’histoire de la manufacture drapière Blin & Blin, L'Humanité 22 août 2013</ref>, Fraenckel et Herzog<ref>Site de la mairie d'Elbeuf.</ref>,<ref>Les usines Blin en images</ref>. L'écrivain André Maurois, de son vrai nom Émile Herzog, appartenait à cette dernière famille. Il est né à Elbeuf. La peintre Marie Ritleng, née à Strasbourg, est également arrivée à Elbeuf avec sa mère en 1871<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluFin

Finances locales

Elbeuf se situe dans la strate des communes de Modèle:Unité/2 appartenant à un groupement fiscalisé (TPU).

Budget et fiscalité 2021

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 21,69 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 52,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 74,04 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Euro<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.</ref>.

Jumelages

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Fichier:IUT Elbeuf.JPG
L'IUT d'Elbeuf.
Fichier:Collège-Lycée d'Elbeuf.jpg
Bâtiment principal du collège-lycée Fénelon.
  • La ville dispose de l'antenne de l'IUT de Rouen, axée sur les NTIC.
  • Lycées
  • Collèges
  • Écoles élémentaires
    • Georges Brassens
    • Antoine de Condorcet
    • Alphonse Daudet
    • Jules Michelet
    • Molière
    • Charles Mouchel
    • Saint-François d'Assise (privé)
  • Écoles maternelles
    • Georges Brassens
    • Alphonse Daudet
    • Raymonde Lefrançois
    • André Malraux
    • Molière
    • Jacques Prévert
    • Saint-François d'Assise (privé)

Santé

Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé.</ref> :

Cultes

Manifestations associatives, culturelles et festivités

Économie

Entreprises et commerces

Agriculture et services divers

Tourisme

Commerces

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Elbeuf-sur-Seine - Saint-Jean.jpg
Église Saint-Jean.
Fichier:Rene Youinou garden.jpg
Jardin René-Youinou.
Fichier:2016 - Elbeuf - Cirque théatre.jpg
Cirque-théâtre.
Fichier:Fabrique des Savoirs à Elbeuf.JPG
La Fabrique des Savoirs, section dédiée à l'activité textile.
Patrimoine religieux
Orgue de tribune<ref>Modèle:Base Palissy. </ref>,<ref>Modèle:Base Palissy</ref>,<ref>Le Grand-Orgue de St Jean-Baptiste</ref>.
L’Orgue de Chœur de St Jean-Baptiste<ref>L'Orgue de Chœur de St Jean-Baptiste</ref>.
Orgue de tribune<ref>Modèle:Base Palissy. </ref>,<ref>Modèle:Base Palissy. </ref>.
L’Orgue de Chœur de St Étienne<ref>L'Orgue de Chœur de St Étienne</ref>.
Le Grand-Orgue de l'Immaculée-Conception<ref>Le Grand-Orgue de l'Immaculée-Conception</ref>.
L‘Orgue de Chœur de l’Immaculée-Conception<ref>L'Orgue de Chœur de l’Immaculée-Conception</ref>.
Autres lieux et patrimoines

Personnalités liées à la commune

Modèle:Catégorie détaillée

Elbeuf dans les arts

Héraldique

Image Nom de la commune et blasonnement
Fichier:Blason ville fr Elbeuf (Seine-Maritime).svg Elbeuf

Parti, au premier d'or à la croix patriarcale de gueules, posée sur une terrasse de sinople, supportant une vigne du même fruitée de pourpre, au second d'azur à une ruche d'or, posée sur une terrasse de sinople, entourée d'abeilles sans nombre du même.

Fichier:Blason ville fr Elbeuf-Empire.svg Elbeuf (Seine-Inférieure)

Pendant le Premier Empire : d'argent, à une ruche d'azur, posée sur une terrasse de sinople et entourée d'un essaim, au chef de gueules, chargé de trois abeilles d'or<ref>L'Armorial des villes et des villages de France.</ref>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

"Elbeuf" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail