Église Saint-Georges de Lyon
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Modèle:Infobox Édifice religieux
Le Sanctuaire Saint-Georges est une église de Lyon, située dans l'ensemble de quartiers qualifiés de Vieux Lyon. Elle dépend de la paroisse Primatiale.
La seconde église, fondée par Leidrade, a donné son nom au quartier environnant. L'édifice actuel, de style néogothique, est construit par l'architecte Pierre Bossan (qui est également l'auteur des plans de la basilique de Fourvière) en 1844-1845. Elle est nommée en l'honneur de Georges de Lydda.
Elle est située entre le quartier de la Quarantaine et le quartier Saint-Jean, à proximité de la place Benoît-Crépu, son ouverture sur le quai rappelant l'existence jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle du Port Sablet, et de la place Bertras. Elle occupe l'ancien emplacement de la commanderie des chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
Histoire
Moyen Âge
Le premier édifice ecclésial sur le site de l'église saint-Georges actuel est fondé par Sacerdos au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il y fonde un lieu de culte sous le vocable de Sainte Eulalie et, non loin au sud, un monastère de religieuses lié à l'église<ref name="cure 46">Modèle:Harvsp. L'auteur ne précise pas de quelle sainte Eulalie il s'agit.</ref>.
L'église semble abimée par les vagues sarrasines du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle est restaurée par Leidrade autour des années 800. L'église est alors dédiée à saint Georges. Les fouilles permettent d'estimer que l'église actuelle se situe à l'emplacement des églises primitives<ref name="cure 46"/>.
Aux {{#switch: e
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}}, l'église est entourée par le cimetière de la paroisse de Saint-Georges, sur les faces nord<ref>Modèle:Harvsp</ref>, Modèle:Refnec.
Les chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem arrivent à Lyon au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et s'installent en 1315 dans l'ancien monastère attenant à l'église. Celle-ci reste une église paroissiale mais est rattachée à la commanderie<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
Renaissance
À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'église est restaurée. En 1492, l'hôtel de la commanderie est construit non loin par Humbert de Beauvoir et il en profite pour remettre en état l'église Saint-Georges. Il fait refaire l'extrémité du chœur et embellit l'ensemble du bâtiment<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Il fait apposer ses armes dans l'église : écartelé d'or et de gueules, ainsi que celles de l'ordre<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
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Plan des caves et caveaux en 1778
Histoire contemporaine
Reconstruction
En 1792, les églises sont fermées et les prêtres non jureurs pourchassés, par décision du maire de Lyon, Louis Vitet : non entretenue, l’église Saint Georges se détériore rapidement. Le Modèle:Date-, le clocher s’effondre en partie.
Décrétée bien national, la Commanderie est occupée par divers locataires, avant d’être vendue, en 1807. Un incendie survient en 1854 et l’immeuble est détruit en 1857 ; en 1884, un groupe scolaire est édifié à sa place<ref>Histoire de Saint Georges, sur le site officiel de la paroisse.</ref>.
L'église est reconstruite à partir de 1842.
Célébration du rite lyonnais
Modèle:Refnec. La Fraternité célèbre la messe dans le rite lyonnais, en application du motu proprio Ecclesia Dei de 1988.
La paroisse redevient diocésaine Modèle:Refnec, désormais desservie par d’anciens prêtres de la fraternité Saint-Pierre ayant rejoint l'archidiocèse.
Le Modèle:Date-, le cardinal Barbarin signe l'incardination de trois des cinq prêtres desservant cette église. Le Modèle:Date-, à la suite des travaux de réfection de l'extérieur de l'église et des places attenantes, l'inauguration de l'église a lieu en présence du cardinal Barbarin et du sénateur-maire de Lyon Gérard Collomb.
Galerie d'illustrations
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
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- Modèle:Ouvrage (cote DRAC : 24304 RAP LY 617).