Mirepoix (Ariège)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Mirepoix (Mirapeis en occitan languedocien) est une commune française située dans le nord-est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une grande diversité.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Vif, le Countirou, le ruisseau des Bessous, le ruisseau de Lestrique, le ruisseau de Malgoude et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« Condomine - Mirepoix ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Mirepoix est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle appartient à l'unité urbaine de Mirepoix. Ses habitants sont appelés les Mirapiciens ou Mirapiciennes.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Ariège

La commune de Mirepoix se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan historique et culturel, Mirepoix fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Foix<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Pamiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Besset (Modèle:Unité), La Bastide-de-Bousignac (Modèle:Unité), Coutens (Modèle:Unité), Manses (Modèle:Unité), Roumengoux (Modèle:Unité), Sainte-Foi (Modèle:Unité), Malegoude (Modèle:Unité), Saint-Julien-de-Gras-Capou (Modèle:Unité).

Mirepoix est limitrophe de treize autres communes dont quatre dans le département de l'Aude. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Mirepoix, commune traversée par le cours de l'Hers-Vif et limitrophe du département de l'Aude, est située entre piémont pyrénéen et Lauragais, sur la route reliant Pamiers à Carcassonne. Le GR7 y passe.

Superficie et relief

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>. L'altitude du territoire varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Géologie

La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a Modèle:Nobr d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1058 - Mirepoix » de la carte géologique harmonisée au Modèle:Nobr du département de l'Ariège<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mirepoix.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Hers-Vif, le Countirou, le ruisseau des Bessous, le ruisseau de Lestrique, le ruisseau de Malgoude, un bras de l'Hers, Canal des Moulins de Mirepoix, Canal du Moulin de Basset, la Coume Factou, le Pintat, le ruisseau Abéouradou, le ruisseau Combe de Saint-Martin, le ruisseau de Fajous, le ruisseau de la Clef, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Hers-Vif, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le Countirou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Tabre et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le ruisseau des Bessous, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lafage et s'écoule vers le sud. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Manses, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web</ref>. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Cascades », sur la commune de Roquefort-les-Cascades, mise en service en 1996<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Un espace protégé est présent sur la commune : « Condomine - Mirepoix », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:09194-Mirepoix-Natura2000b.png
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :

et trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :

Urbanisme

Typologie

Mirepoix est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Mirepoix, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,2 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), terres arables (15,8 %), prairies (15 %), zones urbanisées (3,7 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 066, alors qu'il était de 1 954 en 2013 et de 1 871 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 75,7 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 17 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,9 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mirepoix en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (57,8 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Mirepoix en 2018.
Typologie Mirepoix<ref name="LogT2" group="I"/> Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 75,7 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 17 9,7 8,2

Voies de communication et transports

Accès par les anciennes routes nationales N 119, N 625, N 626.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Mirepoix est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:09194-Mirepoix-argile.png
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Mirepoix.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Hers-Vif, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant l'Hers figure la crue torrentielle de 2014 de l'Hers amont impactant en particulier le village de Lassur<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Mirepoix<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 13 septembre 2010<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref name=DDRM-TMD>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Mirapixo en 1063<ref name="Dauzat">Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, réédition Librairie Guénégaud, Paris, 1984, p. 458b.</ref>

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale assez fréquente issue de l'occitan mira peis « (lieu d'où l'on) regarde les poissons »<ref name="Dauzat"/>,<ref name="Fénié">Bénédicte Boyrie-Fénié et Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays Occitans, p. 301, édition Sud-Ouest, 2007</ref>, ce qui fait référence à l'emplacement de la ville, bâtie à proximité d'un gué sur l'Hers, aux eaux suffisamment claires et limpides en cet endroit pour pouvoir y admirer les poissons<ref name="Fénié"/>.

Remarque : les formes anciennes des différents Mirepoix, Mirepeix (Basse-Pyrénées, Mirapes 1181) et de la forme diminutive Mirepeisset (Aude, de Mirapisce 1271) impliquent toutes cette signification pour ce type toponymique occitan<ref name="Dauzat"/>.

Histoire

Modèle:Section à sourcer Dépendante du comté de Foix et d'une famille seigneuriale locale (cf. Pierre-Roger), la ville fut gagnée par le catharisme à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Un concile en 1206 y rassembla 600 cathares. La ville fut prise en 1209 par Simon de Montfort qui la donna à un de ses lieutenants, Guy de Lévis, d'où la famille de Lévis-Mirepoix.

Fichier:Mirepoix - MHNT PHa 138 A074.jpg
Place des Couverts, 1906, photographie d'Eugène Trutat, conservée au Muséum de Toulouse.

La ville, initialement établie près du lit de l'Hers, sur sa rive droite, est inondée par une violente crue qui emporte la majeure partie de la population faisant plus de mille morts<ref>Modèle:Lien web</ref> (à la suite de la rupture du verrou du lac de Puivert) en 1289, et non 1279, comme l'erreur ancienne d'un copiste l'a longtemps fait croire.

Totalement détruite, elle est rebâtie immédiatement sur l'autre rive de la rivière, mais cette fois sur une terrasse naturelle surélevée, cédée par le seigneur de Mirepoix.

Mirepoix n'est donc pas à proprement parler une bastide (ville nouvelle de repeuplement), mais une ville ancienne reconstruite sur les plans urbanistiques en vigueur à cette époque et qui sont typiques des bastides.

Mirepoix fut un évêché jusqu'en 1801.

Politique et administration

Fichier:Mirepoix Town Hall, Ariège, France.jpg
Mairie.

Découpage territorial

La commune de Mirepoix est membre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Mirepoix. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

  • École maternelle et primaire Jean-Jaurès<ref>Modèle:Lien web</ref>
  • École privée Saint-Maurice
  • Collège et lycée polyvalent régional regroupés au sein de la cité scolaire de Mirepoix<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le lycée, le seul du département de l’Ariège à vocation technologique, n’a jamais cessé d’affirmer sa vocation de pôle technologique depuis son installation en 1968 dans les locaux actuels<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Culture et événements

  • Espace culturel André-Malraux.
  • Premier dimanche de juillet : Salon du livre d'histoire locale de Mirepoix.
  • Modèle:3e de juillet (depuis 1979<ref>Modèle:Lien web</ref>) : Fêtes Historiques de Mirepoix. Durant quatre jours des animations et spectacles sont proposés de jour et en soirée. Un grand défilé, multi-époques est présenté le dimanche après-midi.
  • Premier weekend d'août (depuis 1988) : Festival MiMa<ref>Modèle:Lien web</ref>, festival des arts de la marionnette. Durant 4 jours, la ville est décorée par un scénographe et de très nombreux spectacles (régionaux, nationaux et internationaux) sont joués dans différents lieux de la bastide.
  • Mirepoix Musique est une association dont le but est de promouvoir la musique classique à Mirepoix et alentour<ref>http://www.mirepoixmusique.com/index_fr.html</ref>.
  • Saison de concerts (de mai à octobre) en la cathédrale par les amis de l'orgue.
  • Début de la rentrée scolaire, exposition scientifique organisée par l'association Vive la science.
  • Médiathèque intercommunale.

Sport et équipements sportifs

Le sentier de grande randonnée 7 (sentier européen E4) venant de Mazamet et allant vers Andorre-la-Vielle considère Mirepoix comme une ville étape.

Tennis, pétanque, dojo, lieu de passage de la [[12e étape du Tour de France 2006|Modèle:12e du Tour de France 2006]], piscine Intercommunale...

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix<ref>http://mairie-mirepoix.fr/dechetterie/</ref>,<ref>http://www.paysdemirepoix.org/dechets_collecte.php</ref>.

Une déchetterie intercommunale existe depuis Modèle:Date- sur la commune<ref>http://www.paysdemirepoix.org/dechets_dechetterie.php</ref>.

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 37 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (40,7 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 71,5 % d'actifs (59,2 % ayant un emploi et 12,3 % de chômeurs) et 28,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 1 357 en 2013 et 1 403 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 052, soit un indicateur de concentration d'emploi de 140,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 1 052 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 548 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 70,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 17,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

424 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Mirepoix au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 424 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
29 6,8 % (12,9 %)
Construction 34 8 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
159 37,5 % (27,5 %)
Information et communication 7 1,7 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 13 3,1 % (2,8 %)
Activités immobilières 25 5,9 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
55 13 % (13,2 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
66 15,6 % (14,4 %)
Autres activités de services 36 8,5 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (159 sur les 424 entreprises implantées à Mirepoix), contre 27,5 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • SJCP, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité)
  • Bastirem, supérettes (Modèle:Unité)
  • Recaero Composites - Socam, construction aéronautique et spatiale (Modèle:Unité)
  • SARL Ferrand Philippe Et Fils, travaux de revêtement des sols et des murs (Modèle:Unité)
  • Agence Hamilton, agences immobilières (Modèle:Unité)

Agriculture

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 52 lors du recensement agricoleModèle:Note de 1988 à 35 en 2000 puis à 31 en 2010<ref name=Agreste/>, soit une baisse de 40 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 44 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et bâtiments

Modèle:Article détaillé

Fichier:Cathédrale Saint-Maurice de Mirepoix.JPG
Cathédrale Saint-Maurice de Mirepoix.
Fichier:Mirepoix - Evêché - Musée.JPG
Palais épiscopal et musée.
Fichier:MaisonDesConsuls.jpg
La Maison des Consuls.
Fichier:Mirepoix, place des Couverts.JPG
La place des Couverts.
Fichier:Chateau de Terride (Mirepoix-Ariège).jpg
Château de Terride.

Ancienne cathédrale Saint-Maurice

Modèle:Article détaillé

Palais épiscopal

Modèle:Article détaillé Le palais épiscopal, pour la partie située dans le prolongement de la nef de la cathédrale, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Bruno Tollon - Le palais épiscopal de Mirepoix - Modèle:P., dans Congrès archéologique de France. Modèle:131e. Pays de l'Aude. 1973 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1973.</ref>,<ref>Base Mérimée : Palais épiscopal.</ref>. Il fut bâti, également, par Philippe de Lévis. Le bâtiment perpendiculaire fut construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la demande de l'évêque Jean Boyer.

Maison des consuls

Modèle:Article détaillé Elle date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : le Modèle:Date-, Modèle:Souverain3 donne aux habitants de la cité le droit d'élire des consuls. Après la crue dévastatrice de l'Hers en Modèle:Date-, il leur fait concession, quelques jours plus tard, de cent sétérées de terre sur la rive gauche de la rivière pour y bâtir la ville nouvelle. En l'année 1500, les consuls se voient octroyer le droit de bâtir leur maison sur le solier de la maison de Justice. Le Modèle:Date-, ils achètent une maison pour en faire l'Hôtel de Ville. Elle faisait office de tribunal, de salle de conseil et de prison. La poutre de façade, ou poitrail, est un cœur de chêne d'un seul tenant de près de Modèle:Unité de long et de plus de Modèle:Unité d'épaisseur. Modèle:Unité ornent les extrémités des sommiers (poutres perpendiculaires à la façade) et les piliers de soutènement.

La porte d'Avail

Modèle:Article détaillé Elle date de 1372. La tour se trouvant à proximité, aujourd'hui propriété privée, est celle de Charles de Montfaucon, seigneur de Rogles (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Elle servait de poste de guet.

Les couverts et maisons à colombages

À l'ouest du Grand Couvert, un écusson porte la date de 1573. Une carte de l'Ariège, œuvre des frères Poulain, est peinte au plafond du Couvert (côté Est de la place).

Maisons d'illustres personnages

On notera la maison du maréchal Bertrand Clauzel et celle de l'astronome Jean-Joseph Vidal<ref>Modèle:Article.</ref>, né et mort à Mirepoix (Modèle:Date- - Modèle:Date-), qui avait installé un observatoire dans sa maison natale pour ses études sur la planète Mercure, en particulier, et qui a laissé des mémoires scientifiques qui font encore autorité. De même, les Hôtels de Montfaucon, des Lévis sont à signaler.

L'église Notre-Dame-et-Saint-Michel

L'église Notre-Dame-et-Saint-Michel est située dans le cimetière, avenue Victor Hugo, elle présente quatre tableaux dont trois retracent la fondation et l'œuvre des Trinitaires, et un retable du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On peut voir dans le cimetière le mausolée du maréchal Clauzel ainsi que les tombeaux du colonel Petitpied, du gouverneur Émile Pinet-Laprade, et du couple d'écrivains Raymond et Marie-Louise Escholier.

Le pont

D'une longueur de Modèle:Unité et comportant sept arches, il est l'œuvre de l'architecte Jean-Rodolphe Perronet (1708-1794), qui fonda avec Daniel-Charles Trudaine l'École nationale des ponts et chaussées, et dont les ouvrages les plus connus sont le pont de la Concorde à Paris (1787-1791) et le pont de Nantes. Sa construction est initiée en 1776. Le chêne vert, proche du pont, est un vénérable arbre de Modèle:Unité.

La fontaine des Cordeliers

Dans la périphérie, la fontaine des Cordeliers date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est en 1272 que les franciscains « cordeliers » s'étaient installés à Mirepoix, à la demande de Modèle:Souverain3 (1216).

Le château de Terride

Modèle:Article détaillé L'ancien château de Mirepoix, dont la première mention remonte à 960, avait été pris en même temps que la cité, le Modèle:Date-, jour de la Saint-Maurice, par les croisés de Simon de Montfort. Celui-ci l'avait donné à Guy de Lévis (c'est le Modèle:Date- que ce dernier reçoit un domaine d'environ Modèle:Unité, dont Mirepoix est le siège). Le château ne prit le nom de « Terride » qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en vertu d'une convention conclue entre Jean de Lévis et Catherine-Ursule de Lomagne, qui lui apporta en dot la baronnie de Terride en Gimois (commune de Labourgade, où se trouve le château de Terride, en Tarn-et-Garonne). Il est classé à l'inventaire des monuments historiques en 1875.

Autres monuments

Personnalités liées à la commune

Mirepoix dans la culture

  • Un des sketches du film d'horreur grand-guignolesque The Theatre Bizarre, The Mother of Toads, réalisé par Richard Stanley, se passe à Mirepoix. Le protagoniste principal, qui effectue des recherches sur diverses formes d'ésotérisme et de mouvements occultes, y emmène sa femme. On peut y voir la maison des consuls, ses sculptures et une librairie située non loin, qui se trouve être tenue par une bien étrange vieille femme...

Héraldique

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Histoire

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail