Le Grand-Quevilly

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Modèle:Rédaction Modèle:Méta bandeau d'avertissementModèle:Contrôle date bandeau{{#if:||{{#ifeq:||[[Catégorie:Article à wikifier{{#if:août 2019|{{#ifexist:Catégorie:Article à wikifier depuis août 2019| _depuis août 2019}}|, date manquante}}]]}}}} Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France Le Grand-Quevilly, dit usuellement Grand-Quevilly, est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte Le Grand-Quevilly est située en Normandie dans le département de Seine-Maritime. Voisine de Rouen, elle est la Modèle:6e du département avec Modèle:Unité et Modèle:4e commune de l'agglomération rouennaise derrière Rouen, Sotteville-lès-Rouen et Saint-Étienne-du-Rouvray. Le Grand-Quevilly s'étend sur Modèle:Unité. Ses communes voisines sont Petit-Couronne, Saint-Étienne-du-Rouvray, Le Petit-Quevilly et Rouen. Elle se situe sur la rive gauche d'un méandre de la Seine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'altitude sur la commune varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité.

Grâce aux animations qu’elle propose, ses espaces de verdure et ses commerces, la ville du Grand-Quevilly est vivante et agréable. Elle fait partie des villes de France contenant le plus de logements sociaux. En effet, le pourcentage de logements sociaux de la ville est actuellement de 67 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Voies de communication et transports

Le Grand-Quevilly est desservie par le « métro » de Rouen (tramway) depuis son inauguration en 1994. La ligne Georges-Braque traverse la ville du nord au sud avec 5 stations, à une fréquence d'une rame toutes les 6 minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes (correspondances avec les principales lignes de l'agglomération) et Le Petit-Quevilly en quelques minutes.

Des lignes de bus (T4, F6, F9, 27 et 42) offrent la possibilité de rejoindre des communes non desservies directement par le métro telles qu'Isneauville, Sotteville-lès-Rouen Petit et Grand-Couronne.

Le Grand-Quevilly est traversée par la Sud III (RN 338) qui donne accès à l'autoroute A13.

Le bac permet le passage vers Dieppedalle. Modèle:Article détaillé

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Le Grand-Quevilly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (88,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (39,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,4 %), forêts (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chevillei vers 1027 ; Cavilleium (en latin médiéval) au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="beaurepaire">Modèle:Ouvrage.</ref>. Puis Quevilly le Grand à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècleModèle:Refnec.

Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum<ref name="beaurepaire"/>, suffixe d'origine gauloise marquant la localisation ou la propriété. Généralement, il a abouti à la terminaison -(a)y ou -(e)y dans la plupart des régions de Normandie, comme dans la région parisienne, en Picardie et les régions du centre nord de la France.

Le premier élément Quevil(l)- représente sans doute un anthroponyme selon le cas général<ref name="beaurepaire"/>. François de Beaurepaire propose deux noms de personnes différents, soit le nom d'homme gaulois Cabillus (mentionné dans une inscription de Lyon, CIL XIII, 382), soit le nom de personne latin Capellus<ref name="beaurepaire"/> (porté par un autochtone). D'où le sens global de « domaine rural, propriété de Cabillus ou Capellus ».

Un début de palatalisation a affecté la voyelle initiale /a/ > /e/ suivi d'une régression, ainsi Quevilly conserve le [k-] initial (graphié qu-) caractéristique du normand septentrional et du picard au nord de la ligne Joret.

Le même nom d'homme se rencontre dans Quevillon (Seine-Maritime) et Cavillon (Somme), suivi du suffixe -o / -on(em). Homonymie avec les Chevilly et Chevillé (Sarthe, Caviliaco Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) du Centre et de l'Ouest de la France.

Les toponymes en -acum ne prennent jamais l'article puisque ce ne sont pas des formations médiévales, mais gauloises ou gallo-romanes. En effet, l'article défini le / la, issu du latin ille / illa, n'a été utilisé pour créer des toponymes qu'à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle en Normandie<ref>François de Beaurepaire, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>, alors que Quevilly est une formation toponymique antérieure au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Aussi l'usage conforte-t-il cette règle, puisqu'on dit souvent Grand-Quevilly et Petit-Quevilly au lieu de Le Grand-Quevilly et Le Petit-Quevilly, formes officielles récentes. En outre, les communes contiguës de Grand-Couronne et de Petit-Couronne issues également d'une scission médiévale de la même époque (vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) ne prennent pas l'article<ref name="beaurepaire"/>.

Histoire

Modèle:À délister

  • 1154 : Le Grand-Quevilly est acquis par le seigneur Charles de Becdelièvre, alors maître du grenier à sel de Rouen.
  • 1195 : Donation aux Hospices de Rouen du domaine du Grand Aulnay (en bordure de la Seine) au sud de la commune par Richard Cœur de Lion.
  • 1554 : Acquisition du fief du Grand Quevilly par un seigneur, Charles De Becdelièvre, sieur de Sazilly (près de Chinon), maître du grenier à sel de Rouen.
  • 1599 : Transfert sur le territoire du Grand-Quevilly du prêche établi quelques mois plus tôt à Dieppedalle le Modèle:Date-, conséquence locale de l’édit de Nantes de 1598. Le Grand Temple des Réformés est édifié.
  • 1793 : La vie communale s'organise autour d'un conseil général communal bientôt transformé en conseil de la commune révolutionnaire du Grand-Quevilly. En 1794, une équipe est choisie pour le destin de la commune. Elle est dirigée par André Boutigny, qui prendra en 1800 le titre de « maire provisoire », avant l'arrivée de Germain Delamare, premier maire de la commune et qui le resta jusqu'en 1814.
  • Fin Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle : Construction du château du Grand-Quevilly par le marquis Pierre-Jacques-Louis de Becdelièvre (1718-1771). Il fut couramment appelé le château de Montmorency, du nom de Anne Louis Christian de Montmorency (Modèle:Date - Neuilly25 décembre 1844 - Munich), comte de Tancarville, Modèle:8e prince de Robech (1812), marquis de Seignelay, marié, le 4 septembre 1797 à Henriette de Becdeliévre de Cany (Modèle:Date - Paris15 mars 1833), fille d'Anne Louis Roger de Becdelièvre (Modèle:Date26 juin 1789), marquis de Quevilly, seigneur de Cany, dit le « marquis de Cany », lieutenant-général des armées du Roi, chevalier de Saint-Louis. Sa bibliothèque et certains meubles furent vendus aux enchères en 1941.
  • 1870 : Les Prussiens envahissent la commune. Des soldats sont prisonniers dans le château du Grand-Quevilly, où était installé un quartier général prussien.
  • De 1882 à 1899 : Des progrès ont lieu : des plaques indicatives de rues et de maisons sont installées ; une école pour garçons est construite ; création d'un boulevard de l'industrie et, en 1894, d'un chantier naval.
  • 1886 : Création du boulevard de l'Industrie au long duquel vont pousser les usines. Le bourg du Grand-Quevilly compte alors Modèle:Nombre.
  • 1893 : Implantation, à la limite nord de la commune du Grand-Quevilly, des [[Chantiers de Normandie|Ateliers et Chantiers Laporte et Modèle:Cie]]<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> dont l'un des plus célèbres bateaux construits est le pétrolier baptisé Quevilly.
  • 1899 : Installation de la filature Dieusy et ouverture de la première poste locale.
  • 1914 : Plusieurs camps de militaires britanniques s'installent dans la commune. Une nécropole nationale en perpétue le souvenir.
  • 1919 : Déjà amorcée avant-guerre, l'industrialisation se poursuit au bord de la Seine surtout grâce à l'installation de la Centrale Électrique qui fonctionne au charbon pour fournir l'énergie aux usines. La population qui avoisine les Modèle:Nombre, passe à 10 000 à la veille de la guerre 39-45.
  • 1935 : Les élections municipales ont lieu. La liste du « progrès social » conduite par le docteur Prat et Tony Larue arrive en tête. Un programme de réalisations voit la construction de deux écoles maternelles, d'un établissement de bains-douches, d'une école de garçons, d'un foyer communal doté d'une salle de spectacle et d'une nouvelle mairie.
  • 1939 à 1944 : Pendant la Seconde Guerre mondiale, les immigrés partent, les usines sont alors désorganisées, mais des militaires donnent la main-d'œuvre. En 1941, le maire Tony Larue est destitué de ses fonctions et est remplacé. La ville est la cible de plusieurs bombardements. 76 résistants sont condamnés à mort sur le stand de tir des Bruyères, réquisitionné par l'armée allemande. En 1944, la ville est libérée.
  • 1944 : Libération de la ville le Modèle:Date-. La ville se dote d'un nouveau bureau de poste au Bourg et d'un bureau annexe. Un marché couvert, un groupe postscolaire, de nouveaux établissements scolaires, une bibliothèque populaire publique et gratuite en 1951 sont créés.
  • 1945 : Louis Jouvin, résistant et déporté, devient maire du Grand-Quevilly.
  • 1947 : Tony Larue est réélu au poste de maire jusqu'en 1995.
  • 1953 à 1977 : construction de pavillons, de centres commerciaux (Centre Sud 3), de la zone à urbaniser en priorité et inauguration de l'hôtel de ville en 1974.
  • 1961 : la nouvelle ville se construit. Constitution d'une zone à urbaniser en priorité (ZUP). La ville procède à l'acquisition de la forêt du Chêne-à-Leu. Suivent dans les années 1970, les ZAC (Zones d'aménagement concerté) des Provinces à vocation d'habitation et du Grand Launay à vocation économique, le centre commercial et artisanal du Bois Cany et la rénovation du Bourg.
  • 1974 : l'hôtel de ville, dont la construction a été confiée à l'architecte Henri Tougard, est inauguré.
  • 1977 : Tony Larue fait appel à Laurent Fabius (alors directeur de cabinet de François Mitterrand) pour achever la construction de la ville. Depuis sont apparus une école de musique, une bibliothèque, un théâtre (théâtre Charles-Dullin) et une crèche.
  • 1978 : création des Espaces Seniors qui permettent un accueil des ainés pour des animations et des sorties.
  • 1986 : François Mitterrand, alors président de la République, est accueilli par Laurent Fabius. Fermeture des Chantiers de Normandie.
  • 1995 : mort de Tony Larue, fin du mandat. Marc Massion est élu sénateur et Laurent Fabius devient maire du Grand-Quevilly. La politique municipale (logement, développement économique, solidarité et loisirs) s'accompagne d'une stabilité, voire de la baisse des impôts communaux.
  • 1996 : Lancement du dispositif du Relais Partenaire Jeunes qui permet aux familles quevillaises de bénéficier d'une aide pour financer tout ou partie de l'inscription à une activité extrascolaire des jeunes de 6 à 19 ans.
  • 1996 à 2006 : De nombreuses modifications voient le jour, Gaz de France s'installe, des places sont modernisées ; le parc des Provinces est créé (il fut récompensé aux Marianne d'Or). La Sud III (voie reliant Le Grand-Quevilly à Rouen) est créée, la bibliothèque devient médiathèque et est rénovée. 1999, le tout nouveau Multiplex (Gaumont Grand-Quevilly) ouvre ses portes au centre commercial du Bois Cany, il a une capacité de Modèle:Nombre pour un total de seize écrans dont un IMAX (environ Modèle:Unité de base). En 2001, ouverture du Zénith de Rouen et Marc Massion devient maire.
  • 1997 : Création du parc des Provinces, une réalisation récompensée par la Marianne d'or des communes, plus haute distinction française pour les réalisations locales.
  • 1998 : Le parc des Provinces devient le théâtre du festival musical de plein air gratuit ; Un printemps au Parc. Cette même année, la bibliothèque prend un nouveau visage et devient multimédiathèque. Toutes les écoles de la ville sont équipées d'une salle multimédia et la ville participe également à l'équipement du lycée et des trois collèges. Le dispositif des Espaces Seniors se complète par un service de restauration.
  • 1999 : La Maison des Arts ouvre ses portes, les travaux de construction de l'Espace jeunesse commencent et le Contrat Municipal Étudiant est lancé afin d'aider financièrement les étudiants dans la poursuite de leurs études.
  • 2000 : Marc Massion est élu maire de la Ville et Laurent Fabius prend la place de premier adjoint à la suite de sa nomination au gouvernement.
  • 2001 : Marc Massion est réélu dès le premier tour avec 82 % des voix. L'Espace jeunesse est inauguré.
  • 2003 : L'ensemble des écoles maternelles est informatisé.
  • 2004 : Lancement du dispositif 1 élève / 1 ordi qui permet à chaque élève de CE2, CM1 et CM2 des écoles quevillaises de disposer gratuitement d'un ordinateur à son domicile, équipé de tous les logiciels éducatifs utilisés à l'école et choisis par les enseignants.
  • 2005 : La crèche est agrandie pour devenir l'Ile aux Enfants.
  • Le jeudi Modèle:Date- : Le château d'eau, qui était un emblème de la Ville, est détruit.
  • 2008 : Marc Massion est réélu au poste de maire.
  • 2008 : En lieu et place du château d'eau, une roseraie est réalisée. Elle mesure six hectares et contient près de deux-cents espèces de roses, la Ville inaugure la Roseraie à quelques pas de l'hôtel de ville. Elle compte plus de 280 variétés de roses, avec plus de 16 000 plants.
  • 2009 : Les chantiers urbains des quartiers Matisse et Kennedy commencent.
  • 2010 : La Ville participe au festival Normandie impressionniste avec une exposition présentée à la Maison des Arts. Les premiers arbres de la spirale du temps sont plantés par des écoliers dans le Bois Matisse.
  • 2012 à 2019 : De nombreux travaux urbains voient le jour comme ceux du Père Jules, du quartier Kennedy et du Bois Matisse. Plusieurs projets solidaires naissent, c'est le cas du dispositif Encore+Ensemble ou Rendez-vous en terres jumelles qui permet aux jeunes quevillais de partir en voyage dans l'une des villes jumelées au Grand-Quevilly.
  • 2020 : La liste « Grand-Quevilly, j'y tiens » de Nicolas Rouly obtient 80 % des suffrages au premier tour de l'élection municipale. Nicolas Rouly est élu maire le Modèle:Date-.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

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Jumelages

Le Grand-Quevilly est jumelée avec<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}grandquevilly.fr.</ref> :

La Ville organise différents projets autour du jumelage :

  • La fête des 5 villes qui a lieu chaque année pendant les Bakayades,
  • Le projet Rendez-vous en terres jumelles qui a permis a 10 jeunes de découvrir les 5 villes jumelées au Grand-Quevilly,
  • Le jeu connecté des 7 familles Enfants de terres jumelles<ref>Modèle:Lien web.</ref> distribué dans les écoles en Modèle:Date-,
  • Les échanges interculturels entre jeunes Quevillais.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Établissements scolaires

  • Crèche l'Île aux Enfants
  • Crèche Delacroix (bâtiment écologique, inauguré en Modèle:Date-)
  • École maternelle Césaire-Levillain
  • École maternelle Anne-Frank
  • École maternelle Jean-Cavaillès
  • École maternelle Jean-Moulin
  • École maternelle Charles-Calmette
  • École maternelle Charles-Perrault
  • École maternelle Louis-Pasteur
  • École maternelle Jean-Zay
  • École élémentaire Césaire-Levillain
  • École élémentaire Jean-Moulin
  • École élémentaire Jean-Cavaillès
  • École élémentaire Maryse-Bastié
  • École élémentaire Roger-Salengro
  • École élémentaire Henri-Ribière
  • École élémentaire Jean-Jaurès
  • Collège Jean-Texcier
  • Collège Claude-Bernard
  • Collège Édouard-Branly
  • Lycée Val-de-Seine (général, technologique et professionnel ; BTS ; Prépa.).

Sports

  • Équipe de tennis de table nommé l'ALCL Grand-Quevilly. La section féminine du club évolue en Pro A depuis 2005 et a réussi l'exploit de remporter le titre de champion de France en 2007 face aux montpelliérains.
  • Piscine municipale (3 bassins) rénovée en 2007, la ville possède également un club de natation sportive et synchronisée, l'Espadon de Grand-Quevilly (E.G.Q.), qui organise chaque année La nuit de l'eau.
  • Judo-club, où se pratiquent le judo, la musculation et le fitness.

Manifestations culturelles et festivités

Fichier:Jennifer BAKAYADES 2019.jpg
Jenifer sur la scène des Bakayades, le 22 juin 2019.

Chaque année en juin ont lieu Les Bakayades qui se déroulent au parc des Provinces. C'est une série de concerts et de cinéma en plein air les week-ends.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Armes de la famille de Becdelièvre : De sable à deux croix de calvaire, treflées et fichées d'argent, accompagnées en pointe d'une coquille du même.
Armes de la famille de Becdelièvre : De sable à deux croix de calvaire, treflées et fichées d'argent, accompagnées en pointe d'une coquille du même.

Le léopard signifie l'appartenance à la Normandie puisqu'il est issu des armes de la Normandie. La fasce est aux armes de la famille de Becdelièvre.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • La Roseraie
  • La Grange du Grand Aulnay : La grange du Grand Aulnay fut bâtie sur un domaine en bord de Seine qui, comme son nom l'indique, était une aulnaie, terrain couvert d'aulnes ou vernes, généralement marécageux. Une aumône bien pauvre offerte en 1195 aux Hospices de Rouen par Richard Cœur de Lion. Seul le courage des religieux put faire fructifier ces terres. On y fit la culture de légumes, d'arbres fruitiers et même de vignes. Le domaine servit également à héberger les malades trop nombreux qui envahissaient les hospices de Rouen lors des famines, des guerres, des épidémies redoutables de choléra, de peste ou de lèpre. C'est ainsi que dans ce domaine fut construite une magnifique grange à la charpente si solide qu'elle résiste du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à nos jours. C'est le développement du port qui la condamne en 1971 et la ville de Grand Quevilly en fait alors l'acquisition. Ce trésor est démonté puis transporté à l'orée de la forêt du Chêne à Leu. En 1974, la grange du Grand Aulnay devient une salle de réception que les Quevillais peuvent louer pour leurs célébrations. Elle est adaptée pour vos événements tels que : séminaires, mariages, expositions…
  • Cimetière militaire : Le cimetière militaire britannique, ou cimetière Saint-Sever, situé à quelques mètres de Rouen et du stade Robert-Diochon, a été créé pendant la Première Guerre mondiale. Modèle:Nombre de l'Empire britannique y sont enterrés. Entretenu par le ministère britannique des armées, il s'étend sur les communes du Petit-Quevilly et du Grand-Quevilly. Le Modèle:Date-, la reine Élisabeth II s'est rendue sur place pour rendre un hommage aux soldats britanniques.
  • Le stand des Fusillés
  • Église paroissiale Saint-Pierre
  • Église Sainte-Bernadette, 58 rue Abbé-Lemire (1962). Architecte : Caron ; sculpteur-plasticien : Pierre Szekely ; peintres-verriers : Odette Ducarre et Vera Székely. L'église a été démolie en 2014, mais les objets de culte et les vitraux ont été transférés à l'église Sainte-Lucie.
  • Centre culturel Marx-Dormoy (ancien hôtel de ville) (1937)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
  • Maison pour contremaîtres et directeur due à Auguste Perret sur le site des Chantiers de Normandie (1922)
  • Parc des Provinces (1997, récompensé aux Marianne d'Or

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail