Prière de la Sérénité

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 15 octobre 2023 à 21:12 par >Jarfe (v2.05 - Correction syntaxique (Modèle mal fermé - Lien interne mal ouvert - Modèle mal ouvert))
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Titre en italique Modèle:Homon La Prière de la Sérénité est un texte rédigé par le théologien américain Reinhold Niebuhr (1892–1971), au cours des années 1930, et utilisée de façon certaine dans un sermon en 1943 alors qu'il travaillait dans un séminaire protestant du « Congregational Church » à Heath, dans le Massachusetts, aux États-Unis. Cette prière propose d'obtenir la sagesse de faire la différence entre le changeable et l'inchangeable.

Le texte de la prière

Texte original en anglais de R. Niebuhr

<poem> God, give us grace to accept with serenity the things that cannot be changed, courage to change the things which should be changed, and the Wisdom to distinguish the one from the other<ref> Elisabeth Sifton, The Serenity Prayer: Faith and Politics in Times of Peace and War, New York, W. W. Norton & Company, 2005, p. 8</ref>. </poem>


<poem> Dieu, donne-nous la grâce d'accepter avec sérénité les choses qui ne peuvent être changées, le courage de changer celles qui devraient l'être, et la sagesse de les distinguer l'une de l'autre (variante : d'en connaître la différence). </poem>

Utilisation du texte

La prière de sérénité est utilisée et a été rendue célèbre par les Alcooliques anonymes dans leur Modèle:Lang paru en 1939, au même titre que la Prière de saint François, d'où parfois son attribution erronée à ce saint.

Chansons
Enregistrements audio
Films
Séries

Modèle:Lang.

Livres

Histoire

  • Le livre de référence sur l'histoire de cette prière est : Elisabeth Sifton, Modèle:Lang, New York, W. W. Norton & Company, 2005. Elizabeth Sifton est la fille du pasteur Niehbur.

Origine

Cette prière a été attribuée de façon erronée à différents auteurs dont Boèce, François d'Assise ou Friedrich Christoph Oetinger.

Il semble que Niebuhr ait pu s'inspirer d'une formule attribuée faussement à Marc Aurèle (121-180), adepte du stoïcisme<ref>https://dicocitations.lemonde.fr/citations/citation-65629.php</ref>: "Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé; le courage de changer ce qui peut l'être; et la sagesse de distinguer l'un de l'autre".

Voir aussi

Références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Portail