Héric

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Homophone Modèle:Infobox Commune de France

Héric est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Cette commune du Pays nantais fait partie de la Bretagne historique.

Géographie

Fichier:Location Héric.svg
Situation de la commune d'Héric dans le département de la Loire-Atlantique.

Héric est située à Modèle:Unité au nord de Nantes, sur la voie express Nantes-Rennes.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 4,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Héric est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Héric, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65 %), prairies (13,8 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hyhariacum au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Kerofis"/> dans le cartulaire du Ronceray d'Angers et Hyeric dans le cartulaire de Redon au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. il est encore mentionné sous les formes Hiheric ou Yeric du {{#switch: au

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle

}}<ref name=":1">Albert Dauzat et Charles Rostaing : Hyhariacum, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle; Hiheric, 1287 http://marikavel.com</ref>,<ref>Jean-Yves Le Moing (1990) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287". http://marikavel.com</ref>,<ref>Erwan Vallerie (1995) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287; Iheric, XIIIe; Hihiric, 1398". http://marikavel.com</ref>,<ref name="Abalain">Hervé Abalain (2000) : Hiheric, 1287; http://marikavel.com</ref> selon les différents scripteurs et recteurs et s'orthographie définitivement Héric au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Registres paroissiaux de Héric Archives du Conseil général de Loire Atlantique</ref>.

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise désignant le lieu, puis la propriété. Le passage de l'élément -IACU (noté -iacum dans les formes les plus anciennes latinisées) à -ic s'explique par l'influence du breton sur l'évolution romane régulière qui aurait dû se faire en -(a)y ou . En effet, les toponymes des alentours terminé par le suffixe -(i)acum ont tous évolué dans ce sens cf. Saffré, Issé, Sucé, Ligné, etc.

Le premier élément Her- s'explique par l'anthroponyme germanique Hithar<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit</ref>,<ref name="Abalain" />, dont le [t] intervocalique s'est régulièrement amuï par la suite en langue d'oïl, d'où la contraction Her-. Le sens global est donc celui de « propriété d'Hithar ».

Erwann Vallerie distingue plutôt une latinisation puis une bretonnisation d'un hydronyme d'origine gauloise, Isariācon<ref>Modèle:Article</ref>.

Héric possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Éri selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce Modèle:MSAPI, la variante Modèle:MSAPI a également été relevée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le nom est Modèle:Langue en breton<ref name="Kerofis">Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Héric est composé d'un bourg principal et de plusieurs hameaux qui correspondent en majeure partie aux anciens fiefs et sieuries qui existaient avant la révolution française et dont on retrouve les noms sur les cartes de Cassini<ref>Archives de Loire Inférieure Léon Auguste Maitre Tome 3 série E Titres-Fiefs</ref>,<ref>La Châtellenie du Chalonge appartient à Sidrac Chambellé sergent de Héric et mari de Jeanne Hamon Dame de Boudené (Bout-de-Bois), tous deux grands-parents de Michel-Sidrac Dugué de Boisbriant, pionnier et Gouverneur de Montréal.</ref>,<ref>La seigneurie de la Foresterie appartient à 1539 à René de La Touche-Limouzinière mari de Florida de la Lande-Machecoul.</ref>,<ref>La terre et le château de la Courosserie appartenaient en 1550 à Pierre Fourché mari de Jeanne de Moayre tous deux ancêtres de Louise fille de Jean Fourché de Quéhillac et première épouse de Nicolas Foucquet. Un siècle plus tard, la Courosserie est anoblie au profit de Philippe Bitault écuyer, cette seigneurie sera transmise à la famille Collobet du Bot par le mariage d’Élisabeth Bitault et de Jean Marie Clément Collobel du Bot. Le Blason de la commune de Héric est d'ailleurs le Blason de la Maison Collobet.</ref>,<ref>Le Château de Dréneuf parfois noté Dréneuc appartenait aux Rohan qui y installèrent des Calvinistes afin de surveiller la rivière et la route menant au Bourg d'Héric. Le Modèle:Date-, Henri de Bourbon, prince de Condé devenu "seigneur et possesseur de tous les biens ayant appartenu au sieur de Rohan en la province de Bretagne continue à Thomas Guihard Sieur des Jaulnayes, le bail des terres et seigneuries de Blain et Héric". Thomas Guihard est Lieutenant général de la Maréchaussée de Bretagne et procureur aux Eaux, Bois et Forêts du Gâvre. Son fils aîné prénommé Louis (9/08/1620 Blain - 27/10/1691 Blain) entre dans les ordres à la mort de son épouse, après une carrière militaire comme Modèle:1er Capitaine du Régiment d'Enghien. C'est en qualité de prêtre et de recteur de la paroisse qu'il va sévir sur les registres paroissiaux de Blain datant de 1550 à 1691 date de sa mort. Il est l'auteur d'une multitude de faux grossiers et de détériorations, allant jusqu'à déchirer de multiples pages, dans le but, notamment, de se créer des quartiers de noblesse. Il sera débouté de ses prétentions nobiliaires à la réformation de 1669. Sources : Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire Inférieure - Registres paroissiaux de Blain et Fonds généalogique Freslon Blain vue 73/164 http://archives.loire-atlantique.fr</ref>

C'est à Saint-Félix, futur évêque de Nantes, que la tradition attribue la création de la paroisse de Héric vers 549.

L'église Saint-Nicolas a été reconstruite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à l'emplacement de l'ancienne église détériorée pendant la Révolution. La chapelle du Rosaire été ajoutée devant elle et une autre, de la même époque, dans le cimetière situé à l'extrémité du bourg sur la route de Nantes.

Avant la Révolution, outre l'église, on dénombrait plusieurs chapelles aujourd'hui disparues : la chapelle Sainte-Honorée du nom de l'Abbaye au lieu-dit Bout-de-Bois, les chapelles de Saint-Hubert, de la Primais, du Haut-Fay, du Haut-Brossay<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La chapelle du château du Chalonge, n'étant pas visible depuis l'extérieur n'a pas été détruite. Elle est encore visible au Domaine du Chalonge.

Époque romaine

Les Romains se sont établis à Héric après avoir découvert une mine de fer entre les lieux de Néron et du Haut-Brossay. Ils exploitèrent ce fer au lieu-dit la Forgette. Les fouilles de l'archéologue Léon Maitre y ont mis au jour des briques ainsi que des pièces de bronze et d'argent.

Moyen Âge

C'est sur la terre nommée Boudené (Bout-de-Bois), au nord de Héric, sur les bords de la rivière Isar, que le comte de Nantes [[Hoël III de Bretagne|Modèle:Nobr le Désavoué]], dernier de la lignée des Comtes de Cornouaille, prétendant au Duché de Bretagne en 1148, a fait élever le prieuré Sainte-Honorine. Ce prieuré qu'il donne à l'abbaye de Marmoutier fait partie de la dot de sa fille qu'il consacre à Dieu dès le Modèle:Date- en l'abbaye des Couëts<ref>Résumé du Dictionnaire historique, géographique et topographique de Nantes ... de J.F. Macé de Vaudoré page 61</ref>.

L'histoire des ducs de Bretagne n'a retenu que l'initiale O<ref>Père Anselme Histoire généalogique et chronologique des pairs de France: Bretagne p. 50</ref> du prénom de cette jeune fille, mais la tradition héricoise la prénomme Odeline<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref> et affirme que cette demoiselle se réfugia à Bout-de-bois des suites d'un chagrin d'amour.

En 1070, Guegon de Blain, cité en 1090 et 1133 dans le cartulaire de Redon, est seigneur de Blain et de Héric<ref name=":0" />,<ref>Armorial Général ou Registre de la Noblesse de France pages 39 et suivantes.</ref>.

La seigneurie de Héric détenue par le seigneur de Blain passe, vers 1150, dans la maison de Pontchâteau par le mariage d'Agnès de Blain et d'Olivier de Pontchâteau.

Vers 1200, Constance de Pontchâteau épouse Modèle:Souverain3, dit le Jeune et transmet la seigneurie de Héric à la Maison de Clisson où elle restera jusqu'en 1407, date du mariage de Béatrix, fille ainée du Connétable de France Modèle:Souverain3 l'éborgné d'Auray, avec Modèle:Souverain3.

Du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècle

La seigneurie de Héric se transmet en 1515 à la Branche de Rohan-Gié par le mariage d'Anne de Rohan avec son cousin Modèle:Souverain2.

Dans la seconde partie du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, à la suite de leurs seigneurs Modèle:Souverain2 et Modèle:Souverain2 tous deux fils d'Isabeau d'Albret, une partie de la population de Héric et notamment une partie de ses notables, est sensibilisée voire se convertit au calvinisme<ref>Georges Brisset (~ 1570) Sieur des Grustières, Seigneur de Gratence, Auteur de l'Apologie rédigée en considération de " l'attitude inhumaine" du feu le roi de France.</ref>,<ref>On relève plusieurs actes d'abjuration de la religion réformée sur les registres paroissiaux de Héric http://archives.loire-atlantique.fr</ref>. Un des vicaires de Héric y est assassiné en 1565 sans que ses meurtriers ne soient pourchassés ni dénoncés par la population.

En 1642, les trois anciennes châtellenies : Blain, Héric et Fresnay sont réunies en une seule juridiction par Modèle:Souverain2, puis érigée en marquisat par Modèle:Souverain2 en 1660 à la requête de sa cousine Marguerite duchesse de Rohan et princesse de Léon.

Le marquisat de Blain s'étendait sur dix-sept paroisses : Blain, Fay-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne, Bouvron, Saffré, Héric, Fresnay, Grandchamp-des-Fontaines, Sucé-sur-Erdre, Puceul, Vay, Guémené-Penfao, Campbon, Plessé, Guenrouët, Fégréac et Avessac<ref>Les lettres royales d'érection du Marquisat furent enregistrées au Parlement de Bretagne en 1662 et à la Chambre des Comptes en 1667.</ref>.

En 1645, la seigneurie de Héric est transmise à la famille Chabot. Marguerite de Rohan-Gié Princesse de Léon, Duchesse de Rohan et de Porhoët, Dame de Blain, de Héric, de Fresnay, de la Garnache, unique héritière, épouse en 1ères noces Henri Chabot seigneur de Jarnac, d'Apremont, marquis de Saint Aulaye, baron de Mouchamps, qui prend le nom de Modèle:Souverain- de Rohan-Chabot. Héric restera dans cette maison jusqu'à la révolution française.

Une verrerie d'art est créée à Héric en 1588 par Giovanni Ferro<ref>Maître verrier à Lyon, Nevers, Machecoul (44) puis Nantes (44) vers 1585-1598 et enfin Maître de la verrerie d'Héric (44) suivant l'autorisation donnée par les maire et échevins de Nantes en date du Modèle:Date-. (tiré de Les Italiens à Nantes et dans le pays Nantais, extrait du Bulletin Italien, t13, 1913, Modèle:Numéro avec majuscule).</ref> « Gentilhomme de l'art et de la science de la verrerie », natif de l'Altare, au Marquisat de Monferrat en Italie. Il fut naturalisé français en 1596 par décret du Roi de France Modèle:Souverain2.

Jean Leray, Maître Cordonnier, né le Modèle:Date à Héric, bénéficia en son temps d'une certaine notoriété, il prit le "titre" de "Sieur de la Pantoufle", un terme en qui l'abbé Beziau voit un exemple de "spiritualité et de française malice"<ref>Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Loire-Inférieure. Archives civiles Volume 05 pt.01 page 208</ref>.

Héric et ses environs étaient à l'origine couverts d'une épaisse forêt. Elle disparaîtra presque entièrement dans le courant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle du fait de l'exploitation humaine.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:Article détaillé Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Section à actualiser Selon le classement établi par l'Insee, Héric est une ville isolée qui fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Treillières<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme Modèle:Citation : 89 % des habitants résidaient dans des zones Modèle:Citation et 11 % dans des zones Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web, données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.</ref>.

Évolution démographique

En 1871, la commune cède une partie de son territoire, conjointement avec Fay-de-Bretagne, pour permettre la création de Notre-Dame-des-Landes.

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 18,9 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Patrimoine et culture locale

Lieux et monuments

Modèle:...

  • Église Saint-Nicolas
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours
  • Château de Dréneuf
  • Château de la Courosserie
  • Château de Challonge ou Chalonge
  • Château de la Jubinière
  • Château de la Prairie
  • Château de Beaulieu

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blasonnement

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail