Groupe islamique armé

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Modèle:Voir homonymesModèle:À sourcerModèle:Rédaction Modèle:Infobox Faction armée

Le Groupe islamique armé (dit « GIA ») (en Modèle:Lang-ar, al-Jama'ah al-Islamiyah al-Musallaha) est une organisation terroriste islamiste d'idéologie salafiste djihadiste créée lors de la guerre civile algérienne. Son but déclaré est de renverser le gouvernement algérien pour le remplacer par un État islamique<ref>Modèle:Lien web</ref>.

L'organisation est une nébuleuse placée sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>, des États-Unis<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>, du Royaume-Uni<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> et de la France. Elle est considérée par l'ONU comme proche d'Al-Qaïda et, à ce titre, elle est sanctionnée par le Conseil de sécurité des Nations unies<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

Histoire

Le Modèle:Date-, le Front Islamique du Salut (FIS), formation politique militant pour la création d'un État islamique, arrive en tête du premier tour des élections législatives en Algérie<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le gouvernement décide d’annuler le second tour<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après cette décision, le GIA se lance dans la lutte armée. Ses activités se caractérisent par des attentats contre la population civile et contre d'autres groupes islamistes armés. Une unité spécialisée est créée, Katibat al-Mawt (Brigade de la Mort), dont la devise est reprise par le reste des unités de l'organisation : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. L'organisation est issue de la fusion, en Modèle:Date-, deux groupes : le Mouvement islamique armé (MIA) de Mansouri Meliani et celui d'Abdelhak Layada.Modèle:Référence souhaitée

Le GIA est une organisation non centralisée et morcelée, dirigée par l’émir Abou Abd Ahmed (ou Mourad Si Ahmed, surnommé « Djafaar al-Afghani »), et Djamel Zitouni. L’effectif des combattants du GIA est réparti en plusieurs clans. Les estimations vont de Modèle:Nombre en 1993 et à 40 000 en 1994. Tout comme le FIS, le GIA est divisé en deux clans, les salafistes qui cherchent à mettre au point une révolution islamique mondiale et les djazaristes qui cherchent à prendre le pouvoir en Algérie.Modèle:Référence nécessaire

Le GIA est composé de volontaires (dont Mokhtar Belmokhtar) formés militairement durant la guérilla dans les maquis d'Afghanistan qu'ils ont rejoints dès les années 1983-1984. Créée en Modèle:Date-, l'organisation Le Jour du jugement d'Modèle:Lien(dit Tayeb el-Afghani) commet le Modèle:Date, le premier attentat de la période, en tuant trois sentinelles du Modèle:15e groupe des gardes-frontières de Guemar<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1993, le GIA édite une publication en Angleterre, Al-Ansar. À la même époque, sa Katiba Al-Maout (« Unité de la Mort »), commet et revendique plusieurs actions violentes partout en Algérie.

Le Modèle:Date-, deux semaines avant la coupe du monde de football, une opération visant des islamistes rattachés au GIA, est lancée dans cinq pays (Allemagne, Belgique, France, Italie et Suisse)<ref name="Coup de filet avant le Mondial">Modèle:Lien web</ref>. Une centaine d'individus sont alors appréhendés, dont trois personnes influentes (Adel Mechat, un important représentant d'Hassan Hattab en Europe, Omar Saïki et Abdallah Khinai)<ref name="Coup de filet avant le Mondial" />. Ces trois islamistes avaient vocation à ranimer les réseaux déjà créés en Europe et affiliés au GIA, et à recruter de nouveaux adhérents<ref name="Coup de filet avant le Mondial" />.

Les communiqués du GIA sont adressés par fax et par appel téléphonique à la radio marocaine arabophone Médi 1 par un homme se présentant comme Mohamed Redouane, chargé des « relations extérieures » du mouvement.Modèle:Référence souhaitée

Le GIA, une organisation puissante

Grâce à ses réseaux de soutien de toute sorte à partir de l’étranger (notamment les États-Unis, la France, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Suisse et des pays arabes tels que l'Arabie saoudite ou le Yémen), le GIA prend en quelques années une stature médiatique de premier plan, et s'impose dans les consciences comme un acteur prépondérant du terrorisme islamique. Il entend rester le seul à conduire le « Djihad » en Algérie, tolère difficilement la concurrence et s'en prend à quiconque se permet la moindre divergence quant à ses décisions. Dans cet esprit, Djamel Zitouni a envoyé son «officier exégète» au Soudan pour en avertir Ben Laden à la fin de l’année 1995. Cet émissaire, Radouane Makadour (dit Abou Bassir), lui a signifié que le GIA Modèle:Citation.Modèle:Référence nécessaire

Rapport entre le GIA et le FIS

L'objectif politique du GIA et de l'Armée islamique du salut (AIS, branche armée du FIS) est le même mais l'AIS a plusieurs fois condamné les actions violentes du GIA. Pour l'organisation terroriste en revanche, un rapprochement avec l'aile modérée du FIS est exclu et ses membres, partisans à l'époque du dialogue avec le gouvernement, méritent la mort.

Le groupe terroriste est aujourd'hui largement marginalisé à la suite des initiatives d’amnistie générale du président Abdelaziz Bouteflika après les années 2000, qui ont permis à des milliers de combattants de retrouver une vie normale. Quant à l'armée régulière, elle considère officiellement avoir pratiquement anéanti l'organisation.

Hypothèse de la manipulation politique du GIA

Modèle:Section à sourcer Selon l'étude menée par Nafeez Mosaddeq Ahmed, le GIA aurait vu sa création instrumentalisée par le régime algérien pour discréditer les milieux islamistes et contrôler la population qui avait porté le FIS au pouvoir en Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un courant dissidentModèle:De quoiModèle:Lequel, à la suite de l'affaire de l'assassinat des moines du monastère de Tibhirine, impute désormais les manœuvres terroristes du GIA à des membres violents du FLN dans le but de mobiliser l'opinion internationale en faveur du gouvernement algérien.Modèle:Référence nécessaire

Divers témoignages et sourcesModèle:Lesquelles avancent que ces massacres étaient soit perpétrés par le GIA, à l'instigation d'agents du DRS infiltrés ou d'islamistes « retournés », soit directement organisés par le DRS et ensuite revendiqués par la publication de faux communiqués du GIA.

Les actions menées par le GIA

En France

Le Modèle:Date-, un commando du GIA détourne le vol AF 8969, parti d'Alger, avec pour but de le faire s'écraser sur Paris, si les autorités algériennes ne libéraient pas deux des responsables du FIS : Abbassi Madani et Ali Belhadj<ref name="La prise d'otages Alger-Paris">Modèle:Lien web</ref>. Le GIGN reprend le contrôle de l'avion, à l'aéroport de Marseille-Marignane, en tuant les quatre preneurs d'otages<ref name="La prise d'otages Alger-Paris"/>.

Le Modèle:Date-, le cheikh Abdelbaki Sahraoui est abattu d’une balle dans la tête<ref>Modèle:Lien web</ref>, avec son secrétaire personnel<ref>Modèle:Lien web</ref>, dans la salle des prières de la mosquée Khalid Ibn Walid, dans le [[18e arrondissement de Paris|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:|  }} }} arrondissement de Paris]]<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Entre juillet et octobre 1995, le GIA organise une série d’attentats en France<ref>Modèle:Lien web</ref>.

L'attentat de la station Saint-Michel, commis le Modèle:Date-, entraîne le bilan humain le plus élevé, avec huit morts et environ 150 blessés<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date-, par une lettre de menaces adressée à la presse, le GIA annonce un djihad sur le territoire français. Les raisons n'en sont pas clairement connues, bien que le changement de la politique française en Algérie ait pu être invoqué.Modèle:Référence nécessaire.

Outre la France, le groupe revendique également des implantations en Belgique, en Grande-Bretagne, en Italie, aux États-Unis, en Suède, au Maroc, ainsi que dans de nombreux pays d'Afrique du Nord et subsaharienne.

En Algérie

Contre des Français

Le Modèle:Date-, deux religieux français (le père Henri Vergès et sœur Paul-Hélène Saint-Raymond) sont assassinés, par deux hommes armés de revolvers, dans le quartier de la Casbah, à Alger<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date, lors de l'attentat d'Aïn Allah à Dely Ibrahim, trois gendarmes français et deux agents de l’ambassade de France sont pris en otages et assassinés<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date-, quatre Pères blancs, dont trois Français (Alain Dieulangard, Christian Chessel et Jean Chevillard) sont assassinés à Tizi Ouzou, en Kabylie<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date-, cinq coopérants dont deux Français (Richard Machabert et Jean-Claude Corjon), un Britannique (Edward Wilson), un Canadien (Janer MacGari) et un Tunisien (Moustafa Zemirli) sont assassinés dans les locaux de la société algérienne Anabib, près de Ghardaïa<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ces assassinats sont attribués au GIA, ce dernier ayant menacé d'éradiquer tous les étrangers qui viendraient apporter leur soutien au maintien de « la junte au pouvoir »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Autres actions

Si le GIA se concentre à ses débuts sur les militaires, les intellectuels de gauche, les fonctionnaires et les étrangers<ref name=":0">Modèle:Article.</ref>, le groupe organise par la suite des massacres de civils :

Le Modèle:Date-, près d'un millier de personnes sont tuées au village de Rais<ref name=":0" />.

Le Modèle:Date-, plus de 400 villageois sont tués en quelques heures à Bentalha<ref name=":0" />.

En octobre 1997, le GIA tue 50 personnes à Sig, dans le Sud oranais<ref name=":0" />.

En Modèle:Date-, on dénombre 400 morts à Ai Moussa<ref name=":0" />.

En Modèle:Date-, le GIA fait plus de Modèle:Nombre à Had Chekala et 103 à Sidi Hamed<ref name=":0" />.

Doutes concernant l'implication du GIA

Le Modèle:Date-, Pierre Claverie, évêque d'Oran, est tué avec son chauffeur, lors d'un attentat à la bombe<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette attaque est officiellement imputée au GIA, mais cette version des faits est contredite par l'ancien général français François Buchwalter, qui affirme que ce sont les autorités algériennes de l'époque qui sont en partie responsables de cette opération<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en rétorsion, de nouveau, au changement de politique décidé par la France envers l'Algérie.

Modèle:Article détaillé Dans la nuit du 26 au Modèle:Date-, sept moines trappistes du monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés et séquestrés pendant deux mois<ref name="Le juge Trévidic pour relancer l'enquête">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="La seconde vie du monastère">Modèle:Lien web</ref>. L'assassinat des moines est annoncé le Modèle:Date<ref name="Rebondissement dans l'affaire Tibéhirine">Modèle:Lien web</ref>, dans un communiqué attribué au Groupe Islamique Armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le Modèle:Date<ref name="Le juge Trévidic pour relancer l'enquête"/>, non loin de Médéa<ref name="La seconde vie du monastère"/>, mais pas leurs corps<ref name="Le juge Trévidic pour relancer l'enquête"/>. Ceci suscite des doutes concernant la thèse officielle expliquant leur décès<ref name="Rebondissement dans l'affaire Tibéhirine"/>.

L'identité des commanditaires de cet enlèvement, leur motivation ainsi que les causes réelles de l'assassinat font toujours l'objet de débats à ce jour.

Les modes opératoires du GIA

Modèle:Section à sourcer Modèle:Passage évasifModèle:Passage contradictoire :

  • Assassinats de membres des forces de l'ordre (policiers, gendarmes, militaires, gardes communaux, miliciens d'autodéfense…) ; assassinats d'intellectuels et d'artistes (écrivains, chanteur, chercheurs, professeurs d'université…) ; assassinats de ressortissants étrangers ; assassinats voire massacre de populations des zones semi-urbaines, notamment lors de faux barrages de contrôle<ref>Modèle:Lien web</ref> ; assassinats d'Algériens ayant accompli leur Service national ou ayant répondu au rappel de mobilisation.
  • Enlèvements de femmes, considérées comme un butin de guerre ; enlèvements de futures victimes d'assassinats, entre autres.
  • Sabotages d'usines et fabriques ; destruction d'écoles, lycées et établissements culturels ; destruction et sabotage des installations d'énergie et d'eau ; destruction et sabotage des voies ferrées, ponts, trains, bus, camions.
  • Vols et opérations de racket.
  • Véhicules piégés : emploi systématique des véhicules piégés dans les cités urbaines et bombes pour faire le maximum de victimes.

Dirigeants du GIA

Dirigeants principaux

Modèle:Colonnes

Émirs régionaux et autres membres du GIA

Modèle:Section à sourcer

  • Mokhtar Belmokhtar ;
  • Rachid Abou Tourab, assassiné par ses proches en Modèle:Date- ;
  • Nabil Moustafa Sahraoui, tué fin juin 2004 près de Béjaïa (Petite Kabylie, Modèle:Unité à l'Est d'Alger), devenu émir national de GSPC ;
  • Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud. Artificier de GIA devenu émir du GSPC, puis a fait allégeance à Al-Qaïda ;
  • Amari Saïfi, dit Abderrezak Le Para, ancien parachutiste, ancien numéro 2 du GSPC livré à l'Algérie par la Libye ;
  • Abdelmadjid Broche, alias Ikrima, émir (chef) de la région de Skikda (Modèle:Unité à l'Est d'Alger) ;
  • Hassan Hattab, émir de la zone Est d’Alger ;
  • Abou el-Haïtham, bras droit de Hacène Hattab ;
  • Zerabib Ahmed (alias Abou el-Bara), originaire de Boudouaou, idéologue du GSPC Il signe les décrets appelant au djihad, supervise les actions de propagande et de diffusion idéologique du mouvement dans les couches populaires ;
  • Abdelkader Souane (alias « Abou Thoumama », alias « Hadj Belkacem »), ex-émir de la katiba « er-Rabbania » du GIA, qui serait mort de maladie en Modèle:Date- ;
  • Mohammed Houti ;
  • Mohamed Berrachad ;
  • Yacine Napoli, émir local ;
  • Moh Flicha, émir local ;
  • Halouane Amrane, alias Hanzalah, 36 ans, natif de la ville de Thénia (w. de Boumerdès) éliminé au cours d’un ratissage mené par les services de sécurité dans le massif de Boukhenfer, région montagneuse enclavée entre le Nord-Est de Thénia et l’Ouest de la ville de Si-Mustapha. Il était monté au maquis en 1994 et faisait fonction d’« émir » de la « loudjna-el-askaria » (commission militaire) au sein de la seriat de la région Thénia-Si- Mustapha. Cette seriat fait partie de la katiba El Arkam ;
  • Sid-Ali Rachid alias Abou Amine, originaire d'Aïn-El-Hamra dans la commune de Bordj- Menaïel ;
  • Ali Benhadjar (émir de la « katiba Wafa’ » de Médéa et qui dirigera peu après la Ligue islamique de la Daawa et du Djihad, LIDD.) ;
  • Anouar Heddam, membre du GIA ;
  • Omar Eulmi, membre du GIA ;
  • Saïd Makhloufi ;
  • Hocine Kobbi ;
  • Aït Bouali Abdelkrim ;
  • Boutaf Ammar ;
  • Selmane Djamel ;
  • Mahdi Chemseddine ;
  • Azzouz Mokrane ;
  • Laalaoui Salim ;
  • Rahali Tahar ;
  • Mehdid Mohamed ;
  • Djelloul Bouhamdi, alias Abou Oubeïda, membre du GIA ;
  • Mohamed Saïd, ancien dirigeant du FIS devenus membres du GIA ;
  • Abderrezak Redjam, ancien dirigeant du FIS devenus membres du GIA ;
  • Djamel Zitouni, émir national du G.I.A ;
  • Antar Zouabri, émir national du GIA ;
  • Ali Benhadjar, émir régional du GIA, candidat du FIS aux élections législatives de 1991, il a bénéficié de la loi sur la « concorde civile » et vit aujourd’hui à Médéa. Il a été d’abord membre du GIA avant de fonder, en 1997, son propre mouvement armé, la LIDD ;
  • Kada Benchiha de la zone 4 (chef du GIA pour l’Ouest) ;
  • Amor Habchi, émir régional du GIA pour le Centre ;
  • Ahmed Benaïcha, de l'AIS ;
  • Chérif Gousmi, émir national du GIA ;
  • Farid Achi, dhabit charîi [officier légal, exégète] du GIA ;
  • Redouane Mohammed, dit Abou Bassir ou Makador [officier légal, exégète] du GIA ;
  • Anouar Haddam, réfugié à Washington ;
  • Mahfoud Tajin alias Abou Khalil émir national du GIA ;
  • Hassen Kobbi, dit Abou Mossaâb ;
  • Kerkar Rachid ;
  • Rachid Oukali, dit Abou Thourab, émir national du GIA ;
  • Chebouti, abattu en Modèle:Date- ;
  • Rabah Kebir, président de l’instance exécutive du FIS à l’étranger ;
  • Abderezak Redjem, membre de la direction du F.I.S., qui avait rejoint le GIA en Modèle:Date- ;
  • Habchi Mohamed ;
  • Mahieddine Djamal, dit Merouan ;
  • Sayah Attia dit « El Khan », ou « Abou Younès », émir de la katiba EKhadra de Médéa. Neutralisé en 1993 ;
  • Belhout alias Abou Mouraïra, l’émir de la katibat EKhadra de Médéa ;
  • M’hamed Houti, émir de la katibat EKhadra de Médéa éliminé, sur les hauteurs de Ksar El-Boukhari ;
  • Kamareddine Kherbane ;
  • Abdelkrim Ould Adda ;
  • Rabah Kebir ;
  • Moussa Kraouche ;
  • Ahmed Zaoui ;
  • Anouar Haddam ;
  • Rabah Kébir.

Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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