Étrembières

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Modèle:Infobox Commune de France

Étrembières est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Le territoire d'Étrembières est une bande de terre, longue de Modèle:Unité, située au pied du mont Salève, sur les bords de l'Arve. Sa population est de 1 857 habitants (en 2009), répartie principalement entre le chef-lieu et le lieu-dit Pas de l'Échelle. Deux des trois massifs du mont Salève, qui dominent tout le territoire de la commune, surgissent en falaise escarpée à l'ouest pour s'incliner en pentes douces vers la vallée de l'Arve. Il s'agit du grand Salève (Modèle:Unité) et du petit Salève (Modèle:Unité), séparés par le col de Monnetier.

Communes limitrophes

Climat

Le climat y est de type montagnard.

Voies de communication et transport

La commune d'Étrembières est la toute première commune d'Europe à accueillir un dispositif de double-radars de vitesse installé sur un passage à niveau. Celui-ci a été installé sur la route du Salève. Il fut inauguré par le préfet de Haute-Savoie, Michel Bilaud, ainsi que des représentants de Réseau ferré de France (RFF) et de la direction départementale de l'équipement<ref>Journal Le Dauphiné libéré, édition 38H du Modèle:Nobr.</ref>.

La commune est reliée aux autoroutes A40 (Mâcon-Chamonix) et A411 (vers Genève) via l'échangeur d'Étrembières.

Urbanisme

Typologie

Étrembières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,3 %), zones urbanisées (23,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,7 %), mines, décharges et chantiers (10,8 %), terres arables (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Toponymie

Les graphies ès Trembières et les Tremblières sont attestées en 1680, ainsi que aux Trembières (soit « aux taillis de trembles ») en 1682<ref name=topo >Henri Jaccard. Essai de toponymie, Origine des noms de lieux habités et des lieux dits de la Suisse romande. Société d’histoire de la Suisse romande, Seconde série, Tome VII, 1906, pages 158 et 471 [1].</ref>.

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Étranbîre (graphie de Conflans) ou Ètrembiéres (ORB)<ref name="Toponyme">Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio.</ref>.

Histoire

Préhistoire

Cette région a connu une occupation préhistorique révélée à Étrembières par des fouilles sur un gisement du Magdalénien supérieur aujourd'hui détruit où l'on a notamment trouvé des bâtons perforés ornés de représentations de loutres et de bouquetin - et les traces d'une importante industrie lithique ayant exploité le silex<ref>Laurence-Isaline Stahl-Gretsch, Les occupations magdaléniennes de Veyrier : histoire et préhistoire des abris-sous blocs, Coédition Cahiers d’archéologie romande. Documents préhistoriques n°20, Modèle:ISBN.</ref>.

Ancienne présence d'un dolmen de l'époque mégalithique, aujourd'hui disparu<ref>Modèle:Article.</ref>.

Antiquité

Étrembières est connue depuis l'Antiquité par la présence de la voie romaine de Genava qui, après avoir passé par les Bornes, franchissait l'Arve à Étrembières, à l'endroit où ses rives sont les plus rapprochées. Un pont en bois fut sans aucun doute construit, pour remplacer le premier moyen de communication entre les deux rives, à savoir un bac. Bien qu'il n'existe aucune mention de ce pont sous la période antique, il est néanmoins cité en 1304 dans un accord intervenant entre le comte du Genevois et le sire du Faucigny<ref>Chanoine Adrien Gavard, Quelques notes sur Étrembières à travers les siècles, Le livre d'histoire Lorisse, Paris, 2006 (réédition de 1934), p. 34.</ref>.

Moyen Âge

Du {{#switch: e

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}}, Étrembières, et en particulier son pont, se trouve dans un secteur stratégique sous le contrôle du comte de Genève, mais convoité par les sires de Gex, installés à Mornex, les sires de Faucigny et les comtes de Savoie établis dans le Chablais. La population subit fréquemment les chevauchées de ces seigneurs, ou de leurs vassaux, qui luttent pour l'hégémonie, affectant gravement la vie économique et sociale de la région<ref name="P26">Étrembières, d'hier à aujourd'hui, Eurolivres, Manchecourt, 2004, Modèle:P..</ref>.

L'Escalade

Après la Réforme calviniste à Genève, nombre de catholiques doivent s'exiler dans les villes et villages avoisinants. Étrembières est alors considéré comme un village à majorité catholique. Etrembières fait cependant partie, de 1536 à 1567, du bailliage bernois de Gaillard puis est restitué au duc de Savoie<ref name=DHS>Etrembières, dans le Dictionnaire historique de la Suisse.</ref> C'est depuis le château des Terreaux que Charles-Emmanuel Ier, duc de Savoie, entreprend en 1602 une action militaire à l'encontre de Genève, afin de compenser la perte de ses provinces à la suite du traité de Lyon de 1601, et par la même occasion, tenter de rendre à l'Église romaine la grande cité des Alpes<ref name="P26"/>. L'expédition se soldera par un désastre militaire qui entraînera la signature du traité de Saint-Julien en 1603. Genève commémore chaque année cette victoire sous le nom de L'Escalade.

Les Traités de Turin

Après le traité de Turin de 1754, signé entre la République de Genève et le royaume de Sardaigne, Étrembières se retrouve sous la tutelle de la province de Carouge, et rattachée au comté de Veyrier à partir de 1770<ref>Archives de l’État de Genève, classeur des communes, Veyrier, acte d'érection du comté de Veyrier, 1770.</ref>. Devenue française en 1792 à la suite de la Campagne d'Italie du général Bonaparte, elle le reste jusqu'à la signature du traité de Turin de 1816 où elle réintègre le royaume de Sardaigne. Le village de Veyrier est coupé en deux par la nouvelle frontière (Veyrier devient suisse), donnant naissance au hameau du Pas de l'Echelle (aujourd'hui partie intégrante de la commune d'Étrembières).

Étrembières française

Le Modèle:Date-, le traité franco-sarde de cession de la Savoie à la France est signé. Bien qu'Étrembières se soit montrée favorable à son annexion à la Suisse au cours du plébiscite populaire - comme un certain nombre de communes du nord de la Savoie - elle intègre le tout nouveau département de la Haute-Savoie. C'est à partir de cette date qu'Étrembières connaît un développement important.

Étrembières dans l'ère moderne

En 1875, les plans de la voie ferrée Annecy - Annemasse sont approuvés, et l'année suivante ce sont ceux de la voie ferrée de Collonges-sous-Salève - Annemasse. La jonction des deux tracés s'effectue à Étrembières. En 1879, une maison communale, avec son école, est construite en face de la Maison-Blanche. En 1891, c'est la création du chemin de fer à crémaillère du Salève. En 1906, une école est créée au Pas de l'Échelle et en 1922, décision est prise d'électrifier le village. En 1932, le téléphérique du Salève est inauguré et destiné à remplacer le chemin de fer à crémaillère qui cesse de fonctionner en 1935. En 1960, la commune décide de restaurer l'ancienne chapelle d'Étrembières. L'inauguration est célébrée le Modèle:Date-, alors qu'une nouvelle église a été érigée au Pas de l'Échelle le Modèle:Date-<ref>Étrembières, d'hier à aujourd'hui, Eurolivres, Manchecourt, 2004, Modèle:P..</ref>.

Politique et administration

Administration territoriale

La commune est rattachée administrativement à l’arrondissement de Saint-Julien-en-Genevois. Elle fait partie du canton d'Annemasse-Sud jusqu'à sa suppression en 2015 et depuis cette date de celui de Gaillard. Enfin, elle est rattachée à la quatrième circonscription de la Haute-Savoie.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre Modèle:Nombre et Modèle:Nombre, le nombre de membres du conseil municipal est de dix-neuf<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

La commune fait partie d'Annemasse - Les Voirons Agglomération depuis sa création en 2008.

Démographie

Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Château d'Étrembières

Le château d'Étrembières fut certainement construit vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1328, il est inféodé à une ancienne famille du genevois, les Compey. En 1539, il passe aux mains de Marin de Montchenu, puis à celles de Prosper de Genève Lulin en 1559. En 1589, il est pillé par les troupes de Genève - qui ont pénétré en Savoie - puis légué à l'hôpital d'Annecy en 1606<ref>Étrembières, op. cit. p. 35.</ref>. Aujourd'hui, il appartient à une exploitation agricole. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Daniel Colladon procéda dans ce château aux essais d'une machine perforatrice à air comprimé qui, après avoir attaqué le Salève, fut utilisée pour le percement du tunnel du Mont-Cenis<ref>Chanoine Adrien Gavard, op. cit. p. 52.</ref>.

Le château des Terreaux ou château de Châtillon

Le château des Terreaux ou de Châtillon, fut construit entre le {{#switch: e

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXV

}}, et était situé en contrebas du château d'Étrembières. Il appartenait à l'origine aux sires de Faucigny, dont il est un aleu<ref name="Gavard p.59">Modèle:Ouvrage.</ref>, et relève de la châtellenie de Monthoux. Le Modèle:Date-, il est cédé à Pierre de Châtillon<ref name="Gavard p.59"/> lors de son mariage avec Marguerite de Gerbais, fille de Galois de Gerbais, qui l'apporte en dot. Sans descendance, la place forte des Terreaux passe en 1530 entre les mains de Marius d'Arenthon, seigneur d'Alex<ref name="Gavard p.59"/>,<ref>Chanoine Adrien Gavard, op. cit. p. 53; Louis Blondel, Châteaux de l’ancien diocèse de Genève, Mémoires et documents publiés par la Société d’histoire et d’archéologie de Genève, série in-4, VII, Genève, 1956.</ref>.

En 1654 (et non en 1684 comme il est quelquefois indiqué par erreur dans certains ouvrages), il est cédé en dot de mariage à François-Marie de la Fléchère, seigneur de Bellegarde, qui épouse Marie-Claudine d'Arenthon, nièce du prince évêque de Genève Jean d'Arenthon d'Alex<ref>De Foras, Armorial de Savoie, famille de la Fléchère, p. 392. L'Armorial mentionne que le contrat dotal est établi le 22 octobre 1654.</ref>.

Son dernier propriétaire, Pierre-Claude de la Fléchère, né dans ce château en 1722, seigneur de Châtillon, de Symond et de Sierne, devient Comte de Veyrier en 1770. Il abandonne dès lors les Terreaux - qui tombe progressivement en ruines - et se fait construire une nouvelle demeure dans son nouveau fief<ref>Chanoine Adrien Gavard, op. cit. Modèle:P..</ref>.

Le château de Symond (Bois Salève)

Connu depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à l'emplacement même de l'actuel Bois Salève, la maison forte de Symond (ou Cymont dans certains textes) commandait l'accès au Pas de l'Echelle, escaliers taillés dans la roche du Salève et permettant d'accéder au village de Monnetier. En 1304, elle appartient à la famille Villette, vassaux des comtes de Genève, puis en 1565 au marquis de Cluses, Martin du Fresnoy. En 1722, elle est acquise par Louis de Portes qui la revend, en 1743, aux de la Fléchère. À la mort du dernier comte de Veyrier, la demeure est achetée par le peintre François Diday qui la garde jusqu'en 1847, année où il la revend à une congrégation de religieuses enseignantes, les « Fidèles Compagnes de Jésus ». Ces dernières en feront un pensionnat qui fonctionnera jusqu'en 1901. Inutilisée jusqu'en 1917, cette vaste demeure sert à soigner les blessés et les malades de la Première Guerre mondiale sous la tutelle de la Croix Rouge. Après la guerre, elle abrite un préventorium pour enfants d'anciens combattants, mais ferme ses portes à nouveau en 1932. C'est la Protection mutuelle qui s'en porte acquéreur en 1934 pour accueillir des cheminots en convalescence, puis des enfants des cheminots durant la Seconde Guerre mondiale. À l'issue de la guerre, la SNCF conserve l'établissement et en devient officiellement propriétaire en 1957. Durant de longues années, la SNCF y accueille des enfants en colonies de vacances, puis des retraités. En 2003, l'établissement ferme ses portes en raison d'un manque de normes de sécurité. Aujourd'hui, la Maison de Bois-Salève a été réhabilitée en appartements de haut standing<ref>Ce texte est tiré de: Étrembières, op. cit. Modèle:P..</ref>.

Le cimetière israélite

Modèle:Article détaillé Le cimetière israélite de Veyrier Modèle:Incise, inauguré en 1920, est un cimetière a cheval sur la frontière franco-suisse, son accès est possible depuis les deux pays. Une singularité, unique au monde, rendue possible par un accord bilatéral entre la France et la Suisse.

Au début du XXe siècle, la communauté israélite de Genève, avec le cimetière juif de Carouge arrivé à saturation, cherchait un nouveau lieu d'inhumation. La loi cantonale genevoise de 1876 interdisant sur son territoire toute nouvelle implantation de cimetières privés ou confessionnels, elle se voit contrainte de rechercher un nouveau terrain en France voisine et un accord est trouvé avec la commune d'Étrembières et ouvre en 1920.

Le cimetière est agrandi en 1930 et on en profite pour y implanter sur le secteur suisse un oratoire, construit par l'architecte suisse Julien Flegenheimer, comprenant une salle de prières et un petit centre funéraire.

Le cimetière servira pendant la Seconde Guerre mondiale, de lieu de passage vers la Suisse pour les juifs fuyant les persécutions nazies mais également juste après guerre, pour les juifs réfugiés en Suisse cherchant à rejoindre les ports français méditerranéens pour se rendre en Palestine.

L'oratoire recevra en 1981 un monumental vitrail réalisé par l'artiste Régine Heim, et verra ses façades ornementées par de la pierre de Jérusalem en 1999.

Le cimetière, agrandi une deuxième fois en 1985, abrite en 2009 environ Modèle:Nobr, dont celles de quelques personnages connus comme Albert Cohen, Liebmann Hersch, Zino Davidoff, Edmond Safra, Stefan Lux ou Édouard Stern.

Bien que son nom officiel soit Cimetière israélite de Veyrier, 70 % de sa surface dépend juridiquement de la commune d'Étrembières et des lois françaises<ref>Archives de la mairie d'Étrembières ; Archives de la Communauté israélite de Genève.</ref>,<ref>cimetière israélite de Veyrier.</ref>.

Église Notre-Dame-de-la-Paix

Au lieu-dit le Pas de l'Échelle, l'église Notre-Dame-de-la-Paix est édifiée de 1964 à 1967 d'après les plans de l'architecte savoyard Maurice Novarina (1907-2002)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le téléphérique du Salève

Modèle:...

Le sentier du Pas de l'Échelle

C'est un sentier historique, d'une longueur de 15 km, existant depuis au moins le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (cité en 1320), nommé alors "scalam de Munetier". Il monte au Salève (la montagne aux Genevois) depuis 430 mètres à Étrembières jusqu'à 1 244 mètres en passant par Monnetier-Mornex à 750 mètres. Dans ses parties les plus raides, les marches sont directement taillées dans la roche. C'est par ce sentier que les paysans du Salève allaient vendre leurs produits sur les marchés de Genève. De nombreux écrivains et scientifiques l'ont emprunté. Alphonse Lamartine y est passé vers 1820 et le cite dans ses souvenirs<ref>Modèle:Article.</ref>.

L'île aux Castors

Modèle:...

Parc ornithologique

Le parc est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

  • Ville d’Étrembières, Étrembières d’hier à aujourd’hui, Maury Eurolivres, Manchecourt, 2004.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Article (réédition de 2006).
  • Modèle:Ref-HCS-FA
  • René-Louis Piachaud, Œuvres complètes, tome II, Slatkine, Genève, 1982.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Annemasse-Les Voirons Agglomération Modèle:Portail