Bourg-Bruche
Modèle:Infobox Commune de France Bourg-Bruche est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
La commune se trouve dans la haute vallée de la Bruche, à une altitude de 495 m et le village est à Modèle:Unité de Saales. Le territoire communal s'étend sur Modèle:Unité. Si l'habitat permanent est situé pour la plus grande majorité des maisons entre 490 mètres et 560 mètres d'altitude, l'espace communal s'échelonne entre 450 et 839 mètres d'altitude. Le point le plus bas est en limite de Saulxures et de Colroy-la-Roche dans la vallée de la Bruche, en contrebas des Grandes Haies et du hameau des Charasses sous le Petit Alhan. Le point le plus haut est le Rocher des Enfants, lequel, en prolongement de la montagne de Solamont, surplombe Bourg à l'ouest<ref>L'altitude mentionnée sur ce rocher partagé avec Saâles est de 836 mètres.</ref>.
Outre la route nationale RD 1420, de Saint-Dié à Strasbourg filant vers le nord, la départementale D 50 rejoint le val de Villé par le col de Steige, retrouvant le vieil axe antique de la voie des Saulniers.
La commune est née de l'union de deux communautés, situées de part et d'autre de la rivière Bruche : Bourg au nord-ouest du centre actuel, Bruche dans le vallon et à l'occident.
Géographie
Bourg occupe l'extrémité du plateau sablonneux de Saales. Au pied du Solamont, à proximité de replats où la tradition situait la première fixation paysanne par des restes de huttes, maisons et ossements, avait été érigé divers castels. Le dernier château, connu après rénovation sous le nom germanique de Neuenburg en 1263, abrite depuis un siècle une agglomération comportant forges et fonderies de minerais de fer<ref>Après le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ce Burg est ensuite connu en vieux français : Neubourg, Neufchâteau.</ref>. Il s'agit d'abord d'un verrou défensif pour entraver la remontée du val de Bruche, praticable par de mauvais chemins et surtout un site d'observation et de protection de la très fréquentée voie des Saulniers entre Val de Villé et Saint-Blaise.
Bruche est une communauté liée au péage ou point de contrôle du pont sur la Bruche ainsi qu'à des habitats mieux protégés en amont du ruisseau Lévreuil. Le premier nom connu de ce petit village alsacien est Bruck, c'est-à-dire le pont. Comme les habitants des montagnes parlent un dialecte parent de l'ancien français, l'évolution phonétique a rapproché et confondu le nom de la rivière et du village-pont. L'église Saint-Pierre primitive était d'ailleurs près de ce pont de pierre.
Bourg-Bruche est inventorié dans les notices de l'époque moderne comme un village de l'ancienne province d'Alsace. Ce qui n'empêche pas son appartenance à la subdélégation de Saint-Dié qui s'étend jusqu'à Thanvillé et Saint-Hippolyte, comme son inclusion dans le district de Saint-Dié et le canton de Saâles qui sont formés dans le département des Vosges créé en 1790. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Urbanisme
Typologie
Bourg-Bruche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group="Note" name="+1">Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref name="+2">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="+3">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="+4">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,6 %), prairies (32,1 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Bourg-Bruche est un nom composé désignant les deux agglomérations situées sur les hauteurs de part et d'autre de la rivière Bruche. Ces deux agglomérations ont été liées par la présence de l'église, originellement à Bruche (aux Hauts de Bruche), paroisse la plus proche pour les habitants du Bourg. C'est probablement la proximité géographique et la présence d'un lieu de culte pour les deux agglomérations qui explique leur désignation commune. Dans les registres paroissiaux de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune est ainsi désignée fréquemment sous le nom de Bruches et Bourg<ref>Modèle:Lien web</ref>. La forme actuelle Bourg-Bruche, germanisée sous la forme Burg-Breusch durant le Reichsland (1871-1918) puis durant l'occupation nazie (1940-1944), semble n'apparaître qu'au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On trouve ainsi cette forme dans le cadastre napoléonien publié en 1837<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Le nom du Bourg apparaît pour la première fois au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans la Chronique de Richer de Senones (1263)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref> sous le nom de Neufchateau. Il est traduit fréquemment dans les sources germanophones sous le nom de Newenburg<ref>Modèle:Article</ref>, Burg ou même Neuburg. Le nom actuel provient de la contraction du nom en Burg, probablement transformé en Bourg par la population francophone dès son origine. Ce toponyme désigne l'existence d'une fortification probablement à l'origine de l'agglomération. L'histoire de ce château est totalement inconnue, seuls les assemblages toponymiques et la précision de la première mention permettent de l'attester avec certitude.
Histoire
La première mention du village, Bruxa, qui s'apparente au nom gaulois de la rivière Bruche, Bruxu, Buscu ou Bruscu daterait de 661. Au haut Moyen Âge, une communauté près de la Bruche aurait existé.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Saâles et l'actuel Bourg-Bruche forment une seule paroisse. La communauté chrétienne s'est scindée de plus en plus à partir du siècle suivant, cette séparation a été attisée par la séparation accrue entre Alsace et duché de Lorraine. Rappelons que Saâles et Bourg-Bruche étaient de population et de langue lorraine bien que faisant partie dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de la seigneurie de Villé.
En 1634, le village, comme l'ensemble du bailliage de Villé, est versé par la couronne suédoise à la famille de Veldenz (Ban de la Roche - La Petite Pierre), laquelle en devient provisoirement propriétaire.
L'industrie du fer est attestée autrefois à Bourg car les mines de fer, liées au fossé géologique de Saâles, sont toutes proches.
Communauté anabaptiste
Presque imperceptiblement à partir de 1650 et de façon croissante jusque 1780, des mennonites d'origine suisse et de langue allemande s’installent sous les hauteurs des environs du Climont, et particulier sur les terres du Hang et du Levreuil<ref>On admet aussi les graphies Han, Ham et L'Evreuil en français.</ref>. Mais c'est surtout après 1750 que les grandes familles anabaptistes affluent, leurs fils sobres et robustes sont recrutés comme travailleurs des verreries. La verrerie du Hang, construite en 1723, est exploitée jusqu’en 1770. Après 1750, elle exporte en Lorraine et en Alsace des verres de toutes sortes ainsi que des gobelets gravés. Une part de ces productions se retrouve sur les foires et les marchés de montagne, en particulier ceux de Saales. Les activités forestières liées à l'industrie verrière déclinent ensuite, les verreries de cristal se sont déplacées dans le secteur de Baccarat vers 1790, cherchant à bénéficier du flottage à bûches perdues sur la Meurthe.
En parallèle de cette participation à l'industrie, les mennonites, qui ne se mélangent pas à la population du lieu, préservent leur dialecte germanique et obéissent à de strictes observances religieuses et matrimoniales, investissent de plus en plus dans l'élevage. Les éleveurs de bétail et fabricants de fromages construisent de grosses fermes monoblocs, qui sont abandonnées après les exodes de années 1890 et 1910. Au cours des années 1920 et 1930, beaucoup de bâtisses abandonnées parfois depuis plus d'une décennie disparaissent du paysage, laissant çà et là un tas de pierres informe et des orties.
La communauté mennonite de Bourg-Bruche, paradoxalement à l'écart du centre de la commune, devient rapidement l’une des plus importantes d’Alsace. Elle laisse un cimetière à Levreuil. Les anciens construisent une maison de culte, où ils s'assemblent pour lire la bible. Ces admirateurs du sermon sur la montagne afin de rompre leur isolement se rapprochent des autres groupes chrétiens de leur foi et cela pendant plus d'un siècle : un évêque anabaptiste nommé Boeler habite encore Salm en 1893.
Bourg-Bruche en 1845
Dans la statistique des Vosges, Bourg-Bruche est mentionné sur la route départementale Modèle:N°, dite de Saint-Dié à Strasbourg. Le village est à 4 km de Saâles, à Modèle:Unité de Saint-Dié et Modèle:Unité d'Épinal.
Parmi les écarts peuplés, on relève
- les hameaux de l'amont, le Hang et le moulin de la Bruche.
- les terres de censes d'autrefois dénommées les Charasses, Counotte.
- les fermes : Chalmeuche, l'Evreuil, la Fraise, le Grand Roué, Lardoise
- les moulins : le Grabe, le Paire
Sa population s'élève à Modèle:Unité<ref>. Parmi les treize communes du canton de Saâles, c'est la troisième par la population, derrière Plaine avec Modèle:Unité et Lusse avec Modèle:Unité. Elle devance faiblement Ranrupt (Modèle:Unité) et Saâles (Modèle:Unité).</ref>.
Le service des impôts recense 228 maisons et 284 ménages. Une école commune aux deux sexes regroupe 165 élèves.
Les champs labourés en saisons s'étendent sur 634 ha et produisent essentiellement seigle, avoine et pommes de terre. Les bois croissent sur Modèle:Unité. Prés et prairies fournissent le fourrage à environ 250 vaches occupent 276 ha alors que les jardins, vergers, chènevières aux abords des maisons cumulent une douzaine d'ha<ref>On peut comparer ces données avec les statistiques agricoles de 1982 : pour une surface agricole utile de 268 ha, 253 ha sont gérés en herbes et les exploitations s'occupent d'élevage bovin. La forêt dépasse 757 ha, dont 410 ha à usage commerciale.</ref>.
L'industrie est présente avec des tissages à bras - plus de 300 ouvriers à domicile-, trois moulins à grains, de nombreuses scieries (trois au Vieux Moulin, une au Paire,une à Grand Roué même avant 1845), une tuilerie (près du lieu-dit Chalmeuche), une huilerie (au Vieux Moulin) et même une tannerie avant 1845.
Cent vingt-deux électeurs censitaires participent à l'élection des douze conseillers municipaux. Le maire Drouant, est assisté de l'adjoint Dollé. Les lettres du service postal passent par le bureau de Saint-Dié.
La réfection du centre initiée en 1845/1846
La route de Saint-Dié à Schirmeck a été conçue à la manière française, c'est-à-dire avec un tracé géométrique suivant les fonds de vallées. Lancée en 1772, elle devient dès la Révolution fort peu praticable car la maintenance exigeante est négligée et surtout certains tronçons n'ont jamais été terminés avant 1790.
La voie des Saulniers, en grande partie délabrée car délaissée en chemins secondaires, reste bien utile. Dès la Restauration, les lacunes routières sont béantes, et en particulier il manque crucialement à la route française la partie de Fouday à Schirmeck. Ainsi, pour gagner la Haute vallée de la Bruche, Senones conserve l'hégémonie de la principauté de Salm-Salm : on peut gagner facilement par diverses routes et chemins aisés Saales, Saulxures, Plaine, La Broque et même Schirmeck par Grandfontaine. Sans précipitation et avec méthode, les autorités des Ponts et chaussées réalisent l'équipement au cours des années 1830.
Bourg-Bruche décide de construire un nouveau centre administratif et religieux en 1845, pour s'adapter à la nouvelle route. Il comporte :
- une mairie-école ;
- une église Saint-Pierre reconstruite le long du nouveau tracé de la route de Schirmeck à Saâles. Elle comporte des verrières de sainte Odile et sainte Richarde ;
- un presbytère.
Enfin, de nouvelles auberges de voyageurs sont inaugurées.
Entre 1855 et 1857, l'école de Bourg est construite sur les plans de l'architecte déodatien A. Bruyant pour enlever le surplus d'élèves à la mairie-école. Alors qu'une grande partie de ce centre a été détruite lors des combats de 1914, notamment la mairie-école, l'école du Bourg intacte, mais désaffectée du fait de la pénurie d'élèves est transformée en 1934 en salle de cinéma et de théâtre. Elle est ensuite convertie en foyer rural.
Héraldique
Urbanisme
Typologie
Bourg-Bruche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group="Note" name="+1" />,<ref name="+2" />,<ref name="+3" />,<ref name="+4" />. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020" />,<ref name="AAV20202b" />.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,6 %), prairies (32,1 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)<ref name="CLC" />.
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref name="remonterletemps.ign.fr" />.
Toponymie
Bruxa (661), Nüwenburg (1303), Niuwenburg (1310), Nuwenburg (1468), Bourg (1793), Bourg-Brusque (1801), Bourg-Bruche (1801),
Breuscheburg ou Burg-Breusch en allemand.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Démographie historique
La belle reprise du début du siècle après la saignée de la Révolution et des guerres d'Empire arrive en butée dès la fin des années 1830. Une première vidange causée par la viabilité des routes apparaît au cours des années 1840. Après une reprise, l'attrait facilité par le chemin de fer des villes lumières au début du Second Empire provoque la seconde, accélérant le vieillissement de la population.
À partir de 1880, la population diminue constamment : l'exode rural, la politique douanière franco-allemande et bien plus tard les difficultés de l’industrie textile accentuent la décroissance.
Modèle:Population de France/section
Un lent déclin démographique
En 1894, une scierie et une vingtaine d'ouvriers regroupé par un grand tissage, construit en amont du centre et appartenant la société Veuve Mansching, appelée par la municipalité pour donner du labeur à ses derniers ouvriers textiles, représentent le secteur de la transformation industrielle.
Lieux et monuments
- Le Climont, en particulier son sommet culminant à 965 mètres d'altitude, n'appartient pas au territoire de Bourg-Bruche, mais à celui d'Urbeis. La Bruche qui s'écoule vers l'ouest dans le vallon en forme d'assiette du Hang, mais aussi le Giessen vers l'est et une branche de Fave vers sud y prennent leur source, c’est un des châteaux d’eau de la région. Notons que les sources de la Bruche sur le versant ouest du Climont sont précisément à quelques mètres au-dessus de la limite communale entre Urbeis et Bourg-Bruche, à 670 mètres d'altitude, donc sur le territoire d'Urbeis.
- Site de l’ancienne église Saint-Pierre du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l’église Saint-Pierre
-
Église Saint-Pierre. -
Vue intérieure de la nef vers le chœur. -
Vue intérieure de la nef vers l'orgue. -
Fresque Jésus marchant sur les eaux (Modèle:S mini-Modèle:S mini).
- La chapelle de la Vierge est construite à l’endroit où la Sainte Vierge serait apparue.
- La clairière du Hang, site historique mennonite.
- Les nombreuses fontaines…
- La gare desservie par le TER Alsace.
- La première gare construite dans les années 1890. La ligne de ce petit tortillard de fond de vallée étaient desservie par la compagnie Elsass-Lothringen. Bâtiment détruit en 2016.
-
Mairie-école, route de la Salcée. -
Presbytère (Modèle:S mini), 2 route de la Salcée. -
Ferme et café du Climont, 8 Les-Paires. -
-
Bûcher pour les feux de la Saint-Jean.
Personnalités liées à la commune
- Charles Drouant, fondateur du « Café Drouant » à Paris.
- Pierre Depp (1908-1945), résistant français en Alsace pendant la Seconde Guerre mondiale, y est mort.
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- « Bourg-Bruche », in La Haute vallée de la Bruche, Patrimoine d’Alsace, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2005, Modèle:P. Modèle:ISBN
- Bourg-Bruche (Bas Rhin 67059) tables de mariage 1793-1862 : listes alphabétiques, époux et épouses, Cercle Généalogique d'Alsace. Section Île-de-France, Paris, 2000, 69 p.
- « Commerces d'autrefois à Bourg Bruche », in L'Essor, 2003, no 200, Modèle:P.
- Pie Meyer-Siat, « L'orgue Rinckenbach de Bourg-Bruche », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Molsheim et environs, 1984, Modèle:P.
- André Nussbaumer, « À l'occasion du Modèle:40e anniversaire de la chapelle mennonite de Bourg-Bruche », in Souvenance anabaptiste, 1992, no 11, Modèle:P.
- Jean-Marc Thiébaut, « Bourg-Bruche : les sapins dans leur jardin », in Saisons d'Alsace, 2009, no 42, Modèle:P.
- Michèle Wolf, Situation linguistique en 1992 de l'Assemblée mennonite de Bourg-Bruche, Universitaet, Essen, 1992, 36 p.
Articles connexes
- Communauté de communes de la Vallée de la Bruche
- Vallée de la Bruche
- Communes du Bas-Rhin
- Mennonites d'Alsace
- Censes anabaptistes
- Gare de Bourg-Bruche