Sarre-Union
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Sarre-Union est une commune française située dans le département du Bas-Rhin, en région administrative Grand Est.
La ville est issue de la fusion de deux communes : Bouquenom et Neuf-Sarrewerden le Modèle:Date- ; elle fait partie, depuis sa création, de la région historique et culturelle d'Alsace. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune de Sarre-Union se situe dans la région naturelle de l'Alsace bossue, partie alsacienne du plateau lorrain depuis 1793.
Géologie et relief
Sarre-Union est située sur un territoire vallonné, d'une altitude comprise entre 200 et Modèle:Unité, datant pour l'essentiel du Trias moyen, qui se caractérise notamment par le calcaire coquillier du Muschelkalk. On trouve aussi quelques marnes et dolomies légèrement plus récentes. Enfin, le cours de la Sarre a apporté des alluvions récentes sur son passage<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Hydrographie et les eaux souterraines
La commune est traversée par la Sarre, rivière de Modèle:Unité, affluent de la Moselle, ainsi que par quelques cours d'eau alimentant la Sarre : le Leylach<ref>Le Leylach sur le site du Sandre</ref>, le Metzlachgraben.
Climat
La ville est soumise à un climat de type semi-continental, comme toute l'Alsace Bossue.
Urbanisme
Typologie
Sarre-Union est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarre-Union, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarre-Union, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (25,5 %), prairies (24,7 %), forêts (21,3 %), cultures permanentes (14,7 %), zones urbanisées (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), terres arables (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communications et transports
Réseau routier
Sarre-Union est traversée par la route [[Route nationale 61 (France)|Modèle:Nobr]] reliant Phalsbourg à Sarrebruck. La route Modèle:Nobr relie la commune à l'axe de la route [[Route nationale 419|Modèle:Nobr]] au nord, et à Sarrebourg en suivant la Sarre au sud-est. Outre les routes départementales, la ville dispose d'une gare routière, correspondant à la sortie Modèle:Sortie de l'autoroute A4 qui traverse également la commune.
Réseau ferroviaire
La gare de Sarre-Union, inaugurée en 1872, est fermée depuis le 22 décembre 2018. Seule subsiste une desserte routière.
Autres
L'aérodrome Victor Hamm dispose de deux pistes, dont l'une est revêtue et l'autre est en herbe. Il accueille l'aéro-club local.
Toponymie
- Modèle:Langue
- En ce lieu, dit-on, le chef Bucco ou Burco, diminutif de Burckardt, aurait établi sa demeure sous les hêtres (unter den Buchen). Mais au temps des Gallo-romains s’élevait aussi tout près, au Wasserwald, un autel dédié à Bucius, une divinité éponyme de Mercure, le dieu des commerçants et des voyageurs<ref>Histoire de Sarre-Union sur sarre-union.fr</ref>.
- anciennes mentions : Buckenheym, Modèle:Langue (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 1178), Buckenheimensis et Bouchenheim (1539), Modèle:Langue (1756<ref>Notice de la Lorraine, 1756</ref>, 1758<ref>Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, 1758</ref>, 1840<ref>Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, 1840</ref>), Modèle:Langue (1840<ref>Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, 1840</ref>), Boucquenome.
- Buckenum<ref>Geoplatt</ref> ou Buggenum en francique rhénan et Modèle:Langue<ref>Maximilian Samson Friedrich Schöll - Cours d'histoire des états européens depuis le bouleversement de l'Empire - Page 174 (1830)</ref> ou Modèle:Langue<ref name="Mérat-Lens">F. V. Mérat et A. J. de Lens - Dictionnaire universel de matière médicale - Tome Premier (1829)</ref> en allemand.
- Sobriquet des habitants : Staenboeck<ref>Les sobriquets des villages sur villages.ab.pagesperso-orange.fr</ref> (boucs de pierre).
- Modèle:Langue (Ville-Neuve)
- Neuf-Sarrewerden désigne le « nouveau Sarrewerden » ; Sarrewerden venant de Sarre, la rivière qui traverse le village et Werd, « île » qui désigne un îlot se trouvant à proximité<ref>Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, 1840</ref>.
- anciennes mentions : Modèle:Langue (1702-1793), Modèle:Langue<ref>Notice de la Lorraine, 1756</ref> (1756), Modèle:Langue<ref>Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, 1840</ref> (1840), Modèle:Langue.
- Modèle:Langue ou Modèle:Langue en allemand.
- Sobriquet des habitants : Schisskiwel<ref>Jean-Louis Wilbert - Les sobriquets d'Alsace Bossue - Tome 2 (2009)</ref> (pots de chambre).
- Modèle:Langue
- issue de l'union de Bouquenom et Neuf-Sarrewerden, d'où le nom Sarre-Union.
- anciennes mentions : Modèle:Langue (1794-1801), Modèle:Langue (1801-1870).
- durant les annexions allemandes : Modèle:Langue (1871-1915) et Modèle:Langue<ref>Europeana 1914-1918</ref> (1915-1918, 1940-1945).
- Modèle:Langue en allemand.
- Sobriquet des habitants : Klarbes et Grossmaul<ref>Necknamen aus den Dörfern des Krummen Elsass sur lichtydiedendorf.unblog.fr</ref> (grandes gueules).
Histoire
Les premières traces d'occupation du site de ce qui allait devenir la ville de Sarre-Union remontent à la période gallo-romaine. Des vestiges datant des {{#switch: e
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}} sont mis au jour, principalement des ateliers de poterie et de métallurgie<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le village de l'époque avait une surface estimée à une quarantaine d'hectares. De plus, une voie romaine traversait Sarre-Union<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
La commune est connue au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous le nom de Bockenheim, et devient en 1328 une ville libre sous l'impulsion du comte de Sarrewerden. À cette époque, la cité est fortifiée, ceinte d'un rempart comportant treize tours, dont certaines subsistent encore. Aux {{#switch: e
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}}, de nouveaux bâtiments sont construits, notamment ceux de la Grand-Rue actuelle<ref name=":0" />.
Lors de la mort du dernier comte de Sarrewerden, Bouquenom est donnée en fief au comte de Moers, puis au comte de Nassau-Sarrebruck (1554-1559) partisan du luthéranisme et qui introduisit la Réforme.
La guerre de Trente Ans provoque d'épouvantables ravages et les continuels passages de troupes dévastent toute la région. Le château de Sarre-Union est détruit. En 1629, le duc François II de Lorraine prend possession de la ville et y rétablit la religion catholique. En 1697, Bouquenom et Sarrewerden sont rattachées directement à la Lorraine ; les Nassau décident de construire une nouvelle capitale, Neusaarewerden (La Ville Neuve). À la mort du dernier duc de Lorraine, Stanislas, en 1766, Bouquenom devient française. Dans le comté, le prince Louis de Nassau-Sarrebrück succède en 1768 à son père Guillaume Henri. Ses maladresses contribuent au rattachement du comté et de Neuf-Sarrewerden à la France. Pour des raisons confessionnelles, la région est rattachée au Bas-Rhin par un décret du Modèle:Date-. Les villes de Bouquenom et Neuf-Sarrewerden sont réunies par un décret de la Convention du Modèle:Date- sous le nom de Saar-Union, qui est francisé après la Première Guerre mondiale en Sarre-Union. Elle est chef-lieu de district de 1793 à 1795.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la ville devient, avec la Révolution industrielle, une bourgade industrielle dont la population compte jusqu'à plus de Modèle:Nb. Les remparts sont démolis, des fabriques ouvrent et la ville est finalement raccordée au réseau des chemins de fer en 1872. La guerre franco-allemande de 1870 plaçe la cité dans le giron de l'Empire allemand jusqu'à son retour à la France en 1918. Enfin, après l'annexion de l'Alsace-Moselle par le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale, Sarre-Union redevient définitivement française.
Après la guerre, de nouvelles industries s'installent sur place. La construction de l'autoroute A4, ouverte en 1976 à la hauteur de la ville et qui donne lieu à la visite du Président de la République Georges Pompidou, permet son désenclavement.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:...
Liste des maires
La commune est l'ancien chef-lieu du canton et accueille le siège de la communauté de communes de l'Alsace Bossue.
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Politique environnementale
La station d’épuration de la Vallée de la Sarre-Sud est conçue pour traiter les eaux usées et pluviales des 9 communes de Bissert, Burbach, Diedendorf, Harskirchen, Rimsdorf, Sarre-Union, Sarrewerden / Bischtroff-sur-Sarre / Zollingen, Schopperten et Wolfskirchen<ref>La station d’épuration de la Vallée de la Sarre-Sud</ref>. La station d'épuration intercommunale a une capacité de 8 000 équivalent-habitants.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Pyramide des âges
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Plusieurs associations sont présentes dans la commune et organisent des festivités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La principale manifestation liée à la commune est depuis 2005 la fête d'automne, ou Fête de la pomme. Celle-ci se déroule à la fin de l'été ou en automne, et accueille un marché artisanal, des artistes ainsi que diverses animations<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La cavalcade (carnaval), est organisé par le comité des fêtes vers la fin de l'hiver<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est précédé par le kappensitzung (fête qui annonce le début de la saison du carnaval) en fin janvier<ref>Modèle:Lien web.</ref> organisé par le Festivités Club<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sports et loisirs
L'équipe de football locale, l'US Sarre-Union, promue en 2011 en championnat de France Amateur (Modèle:4e française), a réussi à se maintenir à ce niveau depuis, malgré un budget restreint.
Le 19 janvier 2016, l'US Sarre-Union réalise l'exploit d'éliminer le club de ligue 2 Niort 1 à 0 en seizième de finale de coupe de France.
La commune dispose d'un stade omnisports, d'un boulodrome, d'un centre équestre ainsi que d'un complexe sportif situé sur l'emplacement de l'ancienne corderie Dommel.
Enseignement
Sarre-Union fait partie de l'académie de Strasbourg. Les habitants de la ville et des communes voisines ont accès aux différents niveaux de l'enseignement primaire et secondaire au travers de quatre établissements publics<ref>écoles à Sarre-Union</ref> :
- Lycée d'enseignement général et professionnel Georges-Imbert ;
- Collège Pierre-Claude ;
- École maternelle Le Petit-Prince ;
- École élémentaire (primaire).
Il est à noter que les élèves ont la possibilité d'effectuer un cursus bilingue français-allemand de l'école maternelle au collège<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En outre, une option de langue et culture régionale est proposée aux collégiens.
Santé
L'ancien hôpital local a été transformé en EHPAD<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune accueille en outre plusieurs cabinets médicaux.
Cultes
De nombreuses confessions disposent d'un lieu de culte :
- l'église catholique Saint-Georges ;
- le temple luthérien ;
- une salle de prière musulmane a été aménagée ;
- l'église évangélique de Pentecôte ;
- l'église néo-apostolique ;
- la synagogue existe toujours, mais n'est plus en activité faute d'une communauté suffisante.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Située dans une région rurale disposant d'une forte tradition agricole, la commune comporte depuis le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle de nombreuses industries.
- L'entreprise Jus de fruits d'Alsace du groupe Laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel est implantée sur le territoire de la commune<ref>Jus de fruits d’Alsace investit Modèle:Unité,Le Républicain lorrain</ref>.
Tourisme
Commerces
Revenus de la population et fiscalité
Budget et fiscalité 2021
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 19,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 25,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,99 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,11 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 18,08 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Emploi
En 2008, le taux de chômage dans la catégorie des 15-64 ans atteignait 12,1 %.
Le taux de Chômage à Sarre Union est, en 2022, de 6,9 % de la population active<ref>Taux de chômage</ref>.
Entreprises et commerces
- La distribution d'électricité pour les particuliers n'est pas assurée par EDF mais par une régie communale.
- La commune est le siège historique de l'entreprise d'appareillage électrique Sarel, fondée en 1956<ref>Modèle:Lien web.</ref> et rachetée par le groupe Schneider Electric en 1986 ; la marque continue d'être utilisée jusqu'en 2009. Un site de production (situé entre autres dans les anciennes casernes de la ville) et un centre logistique sont implantés sur le territoire communal.
- Le secteur de la chaudronnerie est également présent avec les entreprises Ziemex (anciennement Ziemann-Hengel) et Bruder-Keller.
Les 305 établissements et entreprises actifs sur le territoire communal fin 2009 se répartissaient dans les domaines suivants :
- Commerces, transports et services : 59,7 %
- Services publics et santé : 20,7 %
- Industrie : 7,9 %
- BTP : 7,5 %
- Agriculture : 4,3 %
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le cormier de Sarre-Union, rue de la Poste n'existe plus<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Le musée régional de l'Alsace Bossue.
- Gare de Sarre-Union.
- Le château<ref>Modèle:Base Mérimée Château</ref>.
- La fontaine monumentale aux boucs<ref>[htps://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=67434_2 La fontaine monumentale aux boucs]</ref>.
- Monument aux morts<ref>Monument aux morts </ref> : Conflits commémorés : 1939-1945<ref>Monument aux morts</ref>.
Monuments historiques
- Portail d'entrée du 1 rue du Presbytère, inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (MHIS) en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue et escalier du 1, anciennement 3, rue des Potiers, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur cour (1560) du 9 Grand'Rue, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue (1714) du 27 rue de Verdun, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue, appui de la baie voisine avec consoles à têtes de lions et porte latérale du 14 rue de Verdun, inscrits MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Oriel de la façade du 37 Grand'Rue, inscrit MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue (1707) au 16 rue de Verdun, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue au 25 rue de Verdun, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Façade et toiture du 1, anciennement 5, rue des Tourneurs, inscrites MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Ancien temple réformé (1750), rue des Églises, inscrit MH en 1923<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Façades et toiture de l'ancien hôtel de ville de Neusaarwerden, 1 rue de l'École, inscrites MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue au 29 rue du Couvent, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte et oriel au 6, rue du Couvent, inscrits MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Oriel (1620) de la façade sur rue au 25, Grand'Rue, inscrit MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte (1718) encastrée dans le mur de clôture du jardin de l'hôtel de ville, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Oriel sur rue (inscrit MH en 1934) ; façades sur rue et sur cour de la maison Renaissance et de l'aile en retour sur la cour (inscrites en 1993) au 11, Grand'Rue<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Porte sur rue au 22 rue Frédéric-Fluher, inscrite MH en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
-
Hôtel de ville de Bouquenom (1684), aujourd'hui de Sarre-Union. -
Maison, 1 rue des Tourneurs. -
Maison 6 rue du Couvent. -
Maison 25, Grand'Rue. -
s }} }}),
1 rue du Presbytère. -
s }} }}), 1 rue des Potiers.
-
s }} }}-{{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:s| s }} }}),
22 rue Frédéric-Flurer. -
Ancien hôtel de ville de Neusaarwerden (Villeneuve). -
s }} }}),
44 rue de Verdun (Villeneuve). -
Maison (1714), 27 rue de Verdun. -
Maison (1700), 25 rue de Verdun. -
Portail (1700), 25 rue de Verdun.
Édifices religieux
- Église Saint-Georges à Bouquenom<ref>Modèle:Base Mérimée église paroissiale Saint-Georges</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Cimetière</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Cimetière</ref>.
- Église luthérienne à Ville-Neuve<ref>Modèle:Base Mérimée Église de luthériens</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Ancien temple réformé</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée temple de protestants</ref>.
- Ancien temple réformé à Ville-Neuve<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, désormais dédié aux manifestations culturelles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Chapelle Saint-Louis de l'ancien collège des jésuites à Bouquenom<ref>Modèle:Base Mérimée Collège de jésuites Saint-Louis</ref>.
- Synagogue<ref>Sarre-Union-Bouquenom</ref>. La première fut construite en 1839, mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, elle fut ravagée et pillée, et l'immeuble fut endommagé par des tirs d'artillerie. Restaurée, elle fut inaugurée en 1950<ref>Modèle:Base Mérimée synagogue</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Cimetière de juifs</ref>
- Un cimetière juif<ref>Album du Cimetière</ref>, datant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, profané à six reprises depuis 1945, en particulier en 1988, en 2001 et en 2015<ref>Alsace : les profanateurs du cimetière juif de Sarre-Union lourdement condamnés à payer des dommages et intérêts, "un jugement exemplaire"</ref>. En février 2015, plus de deux-cent cinquante tombes ont été renversées et brisées<ref>Des centaines de tombes profanées dans un cimetière juif à Sarre-Union », Le Monde, 15 janvier 2015.</ref>. Cet événement a provoqué une immense émotion en France, et la visite du chef de l’État, François Hollande, le 17 février 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Église Saint-Georges. -
Intérieur de l'église Saint-Georges. -
Chapelle Saint-Louis (ancien collège des jésuites). -
Église luthérienne. -
Ancien temple protestant réformé. -
Ossuaire. -
La synagogue reconstruite en 1950. -
Après la profanation du cimetière juif de 2015. -
René Gutman et François Hollande le 17 février 2015 à Sarre-Union après la profanation du cimetière juif.
Personnalités liées à la commune
- Louis XIV, qui passa une nuit dans la cité en juillet 1683. À la suite de son séjour, il fit don aux habitants de la reconstruction des halles, aujourd'hui l'hôtel de ville<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Le général baron Jean Jacques Schilt, commandeur de la Légion d'honneur, né à Bouquenom le Modèle:Date, mort à Mongelos le Modèle:Date.
- Le capitaine de hussards Antoine Schilt, né à Sarre-Union le Modèle:Date, mort lors de la bataille d'Austerlitz le Modèle:Date.
- Le général Virgile Schneider (1779-1847), ministre de la Guerre sous la monarchie de Juillet dans le deuxième gouvernement Soult du Modèle:Date au Modèle:Date.
- Le journaliste Théodore Karcher, né à Sarre-Union en 1821, mort à Paris le Modèle:Date de décès.
- François-Xavier Niessen, fondateur du Souvenir français à Neuilly en 1887, est originaire de la ville.
- Le peintre, sculpteur et dessinateur Ernest Wittmann (1846-1921), né à Sarre-Union.
- Le sénateur Ferdinand de Langenhagen, né à Sarre-Union en 1859.
- Georges Imbert, né à Niederstinzel en 1884 et décédé à Sarre-Union en 1950. Inventeur du gazogène à bois.
- Victor Hamm, pilote français, pionnier de l'aéropostale y est né.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Pour approfondir
Bibliographie
- Claudine Dupont, 1944-1994 : il y a cinquante ans, la Libération, Musée régional de l'Alsace Bossue, Sarre-Union, 1994, 32 p. (publié à l'occasion de l'exposition Sarre-Union, 1944-1994 présentée au Musée régional de l'Alsace Bossue, Sarre-Union, en septembre-décembre 1994)
- Dagobert Fischer, Sarre-Union, Sarrewerden et leurs environs : histoire de l'ancien comté de Saarwerden et de la prévôté de Herbitzheim, Res Universis, Paris, 1993, 211 p. Modèle:ISBN (titre original : Histoire de l'ancien comté de Saarwerden et de la prévôté de Herbitzheim, 1877)
- Georges Irrmann, Saarunion Elsass à Sarre-Union (Bas-Rhin) : un siècle d'histoire en images, vol. 2, Artisans, commerçants et industries, associations, évènements et traditions, 2005, 159 p. Modèle:ISBN
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Joseph Levy, Geschichte der Stadt Saarunion, seit ihrer Entstehung bis zur Gegenwart, Buchdruckerei M. Hostetter, Vorbruck-Schirmeck, 1898, 479 p.
- Colette Thomas, « Souvenir d'enfance de la guerre 1939/45 de Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, revue des vallées de la Sarre, de l'Eichel et de l'Isch, 2004, Modèle:P.
- Jean-Louis Wilbert, Le vécu de la population de Sarre-Union et des environs, 1914, in Pays d'Alsace, 2014, no 248, Modèle:P. (Modèle:1re) et no 249, Modèle:P. (Modèle:2e)
- Jacques Wolff, « L'apogée de la fabrique de couronnes en perles de verre 'Max Karcher' à Sarre-Union », in Annuaire du Musée régional de l'Alsace Bossue, 2000, no 14, Modèle:P.
- Jacques Wolff, « Sur les traces d'Albert Schweitzer à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2001, no 15, Modèle:P.
- Jacques Wolff, « Une déesse-mère à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2003, Modèle:P.
- Jacques Wolff, « Croyances et superstitions à Sarre-Union au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle », in L'Alsace Bossue, 2003, Modèle:P.
- Jacques Wolff, « L'épuration à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2003, Modèle:P.
- Jacques Wolff, « Quelques adresses commerciales de Sarre-Union entre les deux guerres », in L'Alsace Bossue, 2004, Modèle:P.
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Alsace Bossue
- Bouquenom et Neuf-Sarrewerden
- Liste des communes du Bas-Rhin
- Liste des monuments historiques de Sarre-Union
- US Sarre-Union