Villé
Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France
Villé (prononcé Modèle:API-fr ; alsacien : Willer, allemand : Weiller) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Communes limitrophes
Situation
Située à 15 km de Sélestat sur le versant oriental du massif des Vosges, Villé est le centre administratif, économique et commercial d'un canton composé de 18 villages disséminés dans une région vallonnée. Le Giessen qui arrose la cité est un affluent gauche de l'Ill.
Le chef-lieu de canton, à 15 km environ au nord-ouest de Sélestat, s'est établi au point stratégique du val de Villé, c'est-à-dire à la jonction de l'avant-vallée, large et aérée, et des deux vallées supérieures qui mènent aux col de Steige (vers la haute vallée de la Bruche) et à celui d'Urbeis (vers le bassin de Saint-Dié). Le chef-lieu, jadis fortifié, contrôle ainsi les passages entre la plaine d'Alsace et la Lorraine.
Le bourg s'est installé entre le Giessen d'Urbeis et le Giessen de Steige, peu avant le confluent des deux rivières dont les eaux épousent partiellement le tracé des anciennes fortifications. L'agglomération se développe actuellement le long des voies de communications qui rayonnent du centre, ainsi que sur les coteaux environnants qui sont recherchés par la beauté du site (Schrann, Luttenbach). Altitude au centre du bourg : 275 m.
Le territoire communal, vaste de 284 ha seulement, prendre en écharpe les vallées et vallons qui convergent dans ce secteur soit :
- – la vallée du Giessen d'Urbeis en direction de Bassemberg ;
- – les premières pentes du massif boisé de la Honel (475 m au Scheibenberg) ;
- – la vallée du Giessen de Steige en direction de Saint-Martin (Bas-Rhin) ;
- – le vallon d'Albé, encadré par les hauteurs déjà escarpées de la Sohl (446 m) et de la Schrann (400 m) ;
- – en rive droite du Giessen, le finage déborde quelque peu sur les glacis du Comte-Ban, assez fortement incisés par la rivière (présence d'anciennes terrasses de culture bien visibles de la cité ouvrière FTV jusqu'à Bassemberg).
Géologie et relief
Le territoire communal repose sur le bassin houiller de la vallée de Villé<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, par le BRGM :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée<ref>Didacticiel de la réglementation parasismique</ref>.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau traversant la commune :
- Le Giessen<ref>Le Giessen</ref>,
- Ruisseaux Dit le Giessen<ref>Ruisseaux Dit le Giessen</ref>,
- Ruisseau le Lutterbach<ref>Ruisseau le Lutterbach</ref>,
- Ruisseau l'Erlenbach<ref>Ruisseau l'Erlenbach</ref>.
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger.
Urbanisme
Typologie
Villé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Villé, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sélestat, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (39,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (38,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (39,9 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), forêts (27,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
En alsacien : Willer.
Le nom du chef-lieu de canton est dérivé de villare qui désigne un domaine rural à l'époque franque. La première mention du lieu, Wilre, est relevée dans une fausse charte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On trouve également mention de Wilre in Valle Alberti (1241), Wihr (1303) dans le terrier des Habsbourg, Wihr encore en 1371, 1419 et 1464, Villiers en 1525, Weiler en 1633, Weyler en 1685, Weiller au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Weyller en 1793, Villé en 1870, Weiler pendant les périodes d'occupation allemande.
Voies de communications et transports
Voies routières
- D 424 vers Saint-Martin et Triemcha-au-Val<ref>Voies routoères</ref>.
- D 39 vers Basemberg.
- D 439 vers Albé.
Transports en commun
SNCF
- Gare de Dambach-la-Ville,
- Gare d'Epfig,
- Gare de Scherwiller
- Gare d'Eichhoffen,
- Gare de Bourg-Bruche.
Histoire
À partir de 829, il est fait état de « Weiler », « Wilre » et « Willer » qui deviendra « Villé ».
En l'an 1000, Villé était sous la domination d'un seigneur nommé Wernher qui résidait au « château d'Ortenoerg ».
Cette ancienne seigneurie appartint aux Habsbourg, aux Fugger, puis à une branche de la maison de Choiseul.
Villé est campée au cœur de la Vallée Albertine (l'Albrechtstal), au confluent du Giessen d'Urbeis et du Giessen de Steige. La localité se situe à la bifurcation de l'antique route du Sel et du chemin de Saint-Dié par le col d'Urbeis. En position stratégique, le bourg commande ainsi l'accès aux deux vallées supérieures et à leur col. Cette situation a peut-être conféré à Villé un rôle important dès le haut Moyen Âge. Le village s'est probablement formé autour d'une « cour » carolingienne prenant le relais d'une occupation gallo-romaine établie sur la route évoquée ci-dessus.
Les premières mentions du lieu ne sont guère fiables ; toutes figurent dans de fausses chartes, comme cet acte de 1120 du pape Calixte II confirmant, pour les besoins du faussaire ou de son commanditaire, la donation faite par Adelaïde, nièce de Werner de Hurningen (fondateur de l'abbaye de Honcourt), de l'église, des rentes et dîmes de Villé.
Le centre historique du bourg se situe probablement sur la butte portant l'actuel presbytère. À son pied, l'église et l'ancien cimetière fortifié, entouré d'un profond fossé comblé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle lors de la reconstruction de l'église. Ce quartier est aujourd'hui encore connu sous l'appellation de « Schloessel » (le petit château). La tradition populaire veut qu'un castel y ait été implanté, résidence des Hurningen-Hohenberg-Ortenberg avant la construction du château d'Ortenberg (château de l'Ortenbourg)(1624). Aucune preuve historique ou archéologique ne peut toutefois sérieusement étayer cette hypothèse.
Le bourg, ayant acquis une certaine importance, est doté d'une enceinte portant neuf tours. La première mention de ces fortifications date de 1471. Il est possible toutefois qu'elles soient beaucoup plus anciennes (certains auteurs avancent, sans preuves, les dates de 1290 ou de 1330). Les trois quarts du fossé sont directement constitués par les lits des deux Giessen d'Urbeis et de Steige. On accède à l'intérieur des murs par l’Obertor (porte de Bassemberg, démolie en 1814) et l’Untertor (porte du Faubourg, rasée en 1857). De ces fortifications ne subsistent aujourd'hui que de rares pans de murs et l'ancienne « prison », rue de l'Abattoir.
Le terrier des Habsbourg établi en 1303 par Von Fricke, relève les contributions versées par la localité. Y figurent par exemple 40 chapons et 5 livres de poivre que le bourg prélève sur les épiciers et marchands. On peut supposer que Villé possède déjà le statut de « Marktflecken » (place de Marché). Corvées diverses (entretien de l'ancienne route du Sel et dîmes versées à Honcourt) grèvent également les revenus.
L'administration communale revient au « Meier » (du latin major), fonctionnaire seigneurial. Villé en compte deux. Le premier avait autorité sur la partie supérieure de l’Albrechtstal (de Saint-Martin à Colroy), le second sur la vallée inférieure (de Triembach à Urbeis). Les « Meier » président notamment les réunions des bourgeois et organisent l'élection des fonctionnaires communaux et des sept échevins (Schoeffen ou Sybner).
Le tribunal de Villé veille à l'observation du droit coutumier, plus tard à celui du « Fleckenrecht ». L'existence d'un gibet (Galgen) qui a donné son nom à un lieu-dit (Galgenrain) peut laisser supposer qu'on exerce également la haute justice. Celle-ci n'est toutefois pas du ressort du tribunal de Villé, mais plutôt de celui du bailli (Vogt) de l'Ortenberg, siégeant avec quelques assesseurs pris dans les localités de la seigneurie.
L'histoire de Villé est jalonnée par plusieurs épisodes militaires qui, à défaut d'être scrupuleusement attestés par les archives, figurent dans la mémoire collective ou la tradition. Les destructions du Modèle:Date sont probables, lorsque Walter de Geroldseck, évêque de Strasbourg, fait ravager les territoires des Habsbourg. On peut supposer que le bourg souffre également en 1374 lorsque le duc Modèle:Noble se venge des incursions menées par les Müllenheim de Strasbourg, alors engagistes de l’Abrechtstal. On peut également imaginer que les Armagnacs (les Schinder = écorcheurs) s'intéressent aux richesses du bourg lors de leurs incursions de l'hiver 1444-1445.
Placé sur la route directe reliant l'Alsace centrale à la Lorraine, Villé voit le passage des troupes bourguignonnes de Pierre de Hagenbach (1470) et, en 1525, de l'armée d'Antoine de Lorraine. Celui-ci campe entre le bourg déserté par ses habitants et les ruines de Honcourt, au retour de la bataille de Scherwiller (Modèle:Date-) où il écrase les paysans révoltés réunis sous la bannière du « Bundschuh ». Villé est d'ailleurs condamnée l'année suivante à Ensisheim pour sa participation au sac de Honcourt.
Comme pour le reste de la vallée, la guerre de Trente Ans est certainement source de dévastations, en particulier lors du passages des « Suédois » en Modèle:Date. C'est en 1648 que Villé et la seigneurie autrichienne de la vallée passent à la couronne de France. Ce sont successivement Conrad de Zurlauben (1681) et son héritier Henri-Louis de Choiseul-Meuse (1711) qui administrent la seigneurie. Ils possèdent une résidence au bourg.
La Révolution marque la fin de l'ordre seigneurial. La municipalité est instituée le Modèle:Date-. On élit un maire, un procureur, cinq fonctionnaires municipaux et douze notables. L'église, reconstruite peu avant, est même coiffée d'un bonnet phrygien en tôle sur sa tour !
Lorsque le Premier Empire s'effondre, Villé connaît de nouveaux passages de troupes et l'occupation par les troupes alliées, autrichiennes en l’occurrence (1814-1816). Le territoire communal a connu une exploitation de houille au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la suite de l'accord d'une concession<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Après la guerre de 1870 avec son cortège d'optants et de réfractaires, la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voit enfin une « modernisation » progressive du bourg : raccordement du chemin de fer (1891), construction de deux ateliers textiles relayés au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par les premières usines (voir Industrie et Économie (à venir), plus bas), arrivé du télégraphe, de l'électricité.
En Modèle:Date, de violents combats entre armées française et allemande ont lieu au Klosterwald (cimetière militaire). La gare de Villé devient le point de départ de la « Lordonbahn », voie ferrée exclusivement militaire ravitaillant le front, alors fixé sur les crêtes, en hommes et matériel. Villé retourne à la France le Modèle:Date.
En Modèle:Date, après quelques combats, Villé tombe sous le joug nazi et abrite la nouvelle hiérarchie politique et administrative de l'occupant. Des filières d'évasion vers la France (réseaux Sengler et Haubtmann<ref>Villé en 1939-1945</ref>) acheminent des centaines de prisonniers évadés, résistants ou réfractaires au-delà de la nouvelle frontière. La Libération s'annonce par un premier bombardement aérien sur le carrefour de la fontaine (Stockbrunna) ; plusieurs maisons sont endommagées ou détruites. Les combats des 26 et Modèle:Date provoquent à nouveau d'importants dégâts, mais la liberté est de retour...
Paul Mathéry comptait parmi les fondateurs du Réseau Vélite-Thermopyles<ref>Paul Mathéry</ref>. Il a été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France<ref>Villé en 1939-1945</ref> pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2021
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,75 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 31,59 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 36,09 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
- Agriculture<ref>Soutien à l’Agriculture de Montagne</ref>.
- Agriculture/Forêt/Chasse<ref>Le ban communal de Villé est constitué de 180,15 hectares (forêt, prairies, friches)</ref>.
Tourisme
- Hébergements et restauration<ref>Hébergements et restauration</ref>.
- Hébergement touristique et autre hébergement de courte durée<ref>Hébergements</ref>.
- Restauration de type rapide.
Commerces
- Commerces et services de proximité<ref>Le cadre de vie des Territoires</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- École maternelle et primaire.
- Collèges.
- Lycées à Barr, Sélestat.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins.
- Pharmacies à Villé, Triembach-au-Val, Lièpvre, Sainte-Croix-aux-Mines, Dambach-la-Ville.
- Hôpitaux à Neuve-Église, Dambach-la-Ville, Epfig, Sainte-Marie-aux-Mines.
Cultes
- Culte catholique, Communauté de paroisses de la Vallée de Villé<ref>Communauté de paroisses de la Vallée de Villé</ref>, Diocèse de Strasbourg.
- Confession Protestante<ref>Paroisse réformée</ref>,<ref>UEPAL : Paroisse de Villé (Climont, Saâles)</ref>.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux :
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 15 décembre 2015<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Orgue de l'église Notre-Dame de l'Assomption<ref>église de l'Assomption de la B.V.M.</ref>.
- Objets mobilier de l'église Notre-Dame de l'Assomption<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- La synagogue (1905)<ref>La synagogue</ref>,<ref>Patrimoine juif d'Alsace</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- L'église réformée<ref>Église reformée</ref> et le presbytère (1895).
- Chapelle du cimetière<ref>Chapelle du cimetière</ref>,<ref>Chapelle du cimetière, sur ww.petit-patrimoine.com/</ref> .
- Croix de cimetière.
- Le cimetière bourgeois, ancien cimetière, à côté de l'église.
- Monument aux morts<ref>Monument aux morts : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy Monument aux morts</ref>.
- Nécropole nationale de Villé<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>La nécropole nationale de Villé, sur www.petit-patrimoine.com/</ref>.
Autres patrimoines :
- Ancien relais de poste de 1743<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Maison datant du {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIX
}}
| {{#switch: et
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- La fontaine aux cristaux<ref>La fontaine aux cristaux, sur www.petit-patrimoine.com/</ref>.
-
Église Notre-Dame-de-l'Assomption. -
Vue intérieure de la nef
vers le chœur. -
Vue intérieure de la nef vers la tribune de l'orgue Besançon-Rinckenbach (1763-1913). -
s }} }}).
-
Cimetière de l'église Notre-Dame-de-l’Assomption dit « cimetière Bourgeois ». -
Croix de cimetière (1673). -
Chapelle du nouveau cimetière. -
Chapelle réformée et presbytère (1895), 1 rue du Haut-Koenigsbourg. -
Synagogue (1905). -
Maison de maître dit Hôtel d'Ornano (1733), 10 place du Marché. -
s }} }}-{{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:s| s }} }}),
1 place du Marché. -
Maison de maître (1739),
16 rue Louis-Pasteur. -
Maison de négociant (1822),
1 rue de la Libération. -
Ancien relais de poste (1743),
1 rue du Mont-Sainte-Odile. -
s }} }}-{{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:s| s }} }}),
4-2 rue Louis-Pasteur. -
s }} }}-{{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:s| s }} }}),
11 rue de l'Abattoir.
Personnalités liées à la commune
- Oliva Uhlrich (1837-1917) fondatrice des servantes du Cœur de Jésus de Strasbourg, née à Villé.
- René Kuder (1882-1962), artiste-peintre surtout décorateur d'églises, né à Villé.
- Julien Freund (1921-1993), politologue et sociologue, à vécu dans la commune et y est enterré.
- Roger Siffer (1948- ), acteur, chansonnier, humoriste et cabaretier alsacien, né à Villé.
- René Bittinger (1954- ), coureur cycliste professionnel, remporte la première étape du Tour de France 1979, né à Villé.
Villé, village fleuri
La commune de Villé a obtenu en 2004 la première fleur au Concours des Villes et Villages fleuris. Après une requalification du centre bourg en 2006, 2007, la commune a été récompensée pour ses efforts en matière d'embellissement, de fleurissement et de développement durable, ce qui lui a valu la récompense d'une Modèle:2e en 2009.
Voir aussi
Bibliographie
- Site de la Société d'histoire du Val de Villé
- Observatoire du patrimoine religieux
- Villé, sur geneawiki.com/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Liens externes
- site officiel de la commune
- site de l'office de tourisme
- Villé sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région