Henri Chapu

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 16 septembre 2023 à 07:23 par 2a01:e0a:6c:e1e0:19c8:dfb6:809d:3a45 (discussion) (→‎Conférences : format normalisé h min s)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Biographie2

Henri Michel Antoine Chapu est un sculpteur et médailleur français, né le Modèle:Date de naissance au Mée-sur-Seine et mort le Modèle:Date de décès dans le [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e]] de Paris<ref>Archives de Paris Modèle:7e, acte de décès no 894, année 1891, Modèle:P..</ref>.

Biographie

Fichier:Vogüé, Léonce de 2.jpg
Léonce de Vogüé
Fichier:Léon Bonnat - Autoportrait.jpg
Léon Bonnat, Autoportrait (1855) , Paris, musée d'Orsay.
Fichier:Motif décoratif Cour de Cassation Paris.jpg
Fronton de la Cour de cassation à Paris.
Fichier:Chateau de Versailles Marcok 31 aug 2016 f16.jpg
Hercule et Mars au repos, château de Versailles.
Fichier:Carl Jacobsen (Jerndorff).jpg
Carl Jacobsen (1893) par Modèle:Lien.

L'enfance

Henri Chapu naît du mariage de Julien Chapu (1811-1869) et de Claire Lecoq (1803-1880), dans la propriété que possède le marquis Armand Pierre de Fraguier (mort en 1841), au Mée-sur-Seine, où ceux-ci sont employés respectivement comme cocher et comme ménagère. Après avoir été placé en nourrice chez des alliés familiaux, successivement à Marcq et à Thoiry<ref name="OCT"/>, à l'âge de dix ans, il est de retour au Mée-sur-Seine pour aussitôt suivre ses parents à Paris lorsque son père devient concierge du marquis Léonce de Vogüé dans son immeuble aujourd'hui disparu du 92, rue de Lille. Les traits de ses parents nous sont connus : ceux de Julien, doublement, par le portrait au pastel réalisé en 1846 par la jeune Ursule de Vogüé (future comtesse Charles-Marie de Bryas)<ref name="URS">Modèle:Pdf Les portraits intimes : les parents de Henri Chapu par Ursule de Vogüé et Pierre De Coninck, collections du musées de Melun.</ref> avant qu'ils ne soient fixés par le portrait en médaillon que Chapu lui-même exécutera en 1861<ref name="PER">Petit Palais, Le père de Henri Chapu, médaillon en bronze dans les collections.</ref>, ceux de Claire par le portrait sur toile que brossera Pierre De Coninck vers 1861<ref name="URS"/>.

La formation, le prix de Rome

Après qu'il a fréquenté l'école des Frères, c'est dans la perspective d'aboutir au métier de tapissier par l'apprentissage du dessin qu'il entre à la Petite école, rue de l'École-de-Médecine à Paris, où ses aptitudes lui valent une bourse lui offrant de changer de voie.

Devenu l'élève de James Pradier à partir de 1849 puis, au décès de celui-ci en 1852, de Francisque Duret et Léon Cogniet à l'École des beaux-arts de Paris, il remporte, successivement, en 1851 le second grand prix de Rome en gravure de médaille et pierre fine pour Neptune faisant naître un cheval, en 1853, le second grand Prix de Rome de sculpture pour Le Désespoir d'Alexandre après le mort de Clitus et, en 1855, conjointement avec Amédée Doublemard, le premier grand prix de Rome de sculpture pour Cléobis et Biton, à l'unanimité du jury malgré une mutilation de l'œuvre survenue accidentellement pendant son transport<ref name="OCT"/>.

Il part pour la villa Medicis à Rome en Modèle:Date-, en même temps que les autres primés qui, outre Doublemart, sont l'architecte Honoré Daumet, le médailleur Alphée Dubois et le compositeur Jean Conte, les haltes lui offrant de visiter Lyon, Avignon, Arles, Nîmes, Marseille, Gênes et Florence<ref name="OCT"/>. Sur le trajet, il s'initie à la langue italienne et exécute quelques portraits en médaillons de ses camarades. Effectuant deux grands périples, l'un vers le nord (Pise, Sienne, Venise, Padoue, Bologne et à nouveau Florence), l'autre vers le sud (Naples, Baïes, Pouzzoles, le Cap Misène, le lac Lucrin et Pompéi), il se rapproche de Gustave Moreau avec qui il mesure les proportions des sculptures antiques, plus durablement de Léon Bonnat, les Paysages d'Italie qu'il dessine alors et que conservent aujourd'hui le musée Bonnat-Helleu à Bayonne et la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris portant témoignage des promenades qu'affectionnent les deux amis tant dans la ville que dans la campagne et les montagnes environnantes<ref name="LAM">Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française, tome premier, Librairie ancienne Honoré Champion, 1914.</ref>. Chapu reviendra ensuite fréquemment dans la campagne romaine afin de s'y délasser, continuant d'en rapporter Modèle:Citation<ref>Dictionnaire Bénézit, vol.3, Gründ, 1999, p. 485.</ref>. Après ses deux premiers envois à Paris Modèle:Incise, qui font l'objet de critiques cinglantes de l'Institut, son troisième envoi, Mercure inventant le caducée en 1861, année où au mois d'août s'achève ce premier séjour à Rome, est enfin favorablement apprécié<ref name="OCT"/>.

Les années difficiles

De retour à Paris en Modèle:Date-, Henri Chapu trouve un Modèle:Citation situé rue de l'Abbaye, dans le [[6e arrondissement de Paris|Modèle:6e]], acceptant les travaux qui dans l'art industriel (ornements divers) et l'architecture (cariatides et mascarons) Modèle:Incise lui fournissent tant bien que mal une maigre subsistance alimentaire. Son œuvre de 1862-1863 intitulée Beauvais, sur la façade de la gare du Nord à Paris, sera suivie entre autres d'un cartouche cantonné de deux enfants et du médaillon Napoléon Ier ornant la façade de la Cour de cassation<ref name="OCT"/>.

La société des Caldarrosti, qui s'est formée à la villa Medicis vers 1860, continue de grouper fraternellement un groupe d'artistes se rassemblant au cours d'un dîner mensuel qui l'été se déroule à la campagne et où Henri Chapu retrouve des peintres, sculpteurs, architectes ou compositeurs, tous anciens de Rome comme Léon Bonnat, Jean-Baptiste Carpeaux, Jules Chaplain, Pierre De Coninck, Honoré Daumet, Théodore Dubois, Alexandre Falguière, Jean-Paul Laurens, Jules Lefebvre, Charles Lenepveu, Louis Hector Leroux, Constant Moyaux ou Tony Robert-Fleury : de plusieurs d'entre eux il réalise alors des portraits en médaillons. Chapu s'associera également au groupe des Florentins avec Ernest Christophe, Paul Dubois, Alexandre Falguière, Laurent Marqueste, Antonin Mercié et Hippolyte Moulin.

Henri Chapu expose chaque année au Salon à partir de 1863 où la médaille de troisième classe qu'il reçoit pour son Mercure inventant le caducée ouvre la série des récompenses officielles. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en Modèle:Date-. Après les bustes de Léon Bonnat et Paul Sédille, celui du comte Tanneguy Duchâtel (1803-1867), qui est une commande de sa veuve née Rosalie Paulée et qu'il expose au Salon de 1869, énonce le début de sa célébrité en ce qu'il l'introduit Modèle:Citation<ref name="OCT"/>. Frédéric Le Play, dont il réalise le buste en marbre que conserve aujourd'hui le musée Henri-Chapu au Mée-sur-Seine, lui commande deux cariatides monumentales pour l'Exposition universelle de 1867.

La célébrité

En 1869, Henri Chapu reconstitue dans la cour de Marbre du château de Versailles, Modèle:Citation datant de 1679<ref>Versailles, décors sculptés extérieurs, catalogues des collections, Hercule et Mars au repos, allégorie de Louis XIV victorieux.</ref>, les statues Mars au repos de Gaspard Marsy et Hercule au repos de François Girardon formant, en allégorie de Louis XIV victorieux, l'ensemble décoratif encadrant l'horloge du pavillon central<ref name="PHI">Wikiphidias, encyclopédie des sculpteurs français, Henri Chapu.</ref>.

Fichier:Cour du murier ensba paris 009.jpg
Le Monument à Henri Regnault (1876), avec la figure de La Jeunesse, École des beaux-arts de Paris.

Chapu s'engage dans la Garde nationale en 1870, avant que le mandat d'arrêt dont il fait l'objet, à la suite de ses protestations contre le vandalisme subi par les monuments de Paris, ne le contraigne à demeurer caché dans une chambre de l'hôtel de Vogüé jusqu'à l'entrée des troupes versaillaises dans Paris<ref name="OCT"/>.

Sa production, qui devient alors très abondante, est souvent inspirée de l'antique. Il reçoit de nombreux honneurs et distinctions, et devient l'un des sculpteurs les plus sollicités de la Troisième République. Le marbre de sa Jeanne d'Arc écoutant ses voix<ref>Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, Éditions du C.T.H.S., 2012, Modèle:P..</ref>, exposé au Salon de 1872, le révèle au grand public. Cette œuvre dévoile en effet son talent pour rendre des expressions et des sentiments subtils et justes dans une enveloppe idéale. Il est promu officier de la Légion d'honneur le Modèle:Date-. Le marbre de La Jeunesse, Modèle:Citation qui témoigne de l'influence de la Renaissance qui vient s'ajouter à l'idéal des années romaines<ref>Françoise Cachin (dir.), L'art au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Seconde moitié : 1850-1905, Citadelles, 1990, Modèle:P..</ref>, sculpté pour le Monument à Henri Regnault et aux élèves morts pour la patrie érigé dans la cour du Mûrier à l'École des beaux-arts de Paris, lui vaut l'obtention de la médaille d'honneur au Salon de 1875<ref>Catherinne Chevillot et Laure de Margerie (dir.), La sculpture au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Mélanges pour Anne Pingeot, Paris, Éditions Nicolas Chaudun, 2008, Modèle:P..</ref>. Cette œuvre, que Chapu réutilisera maintes fois pour des monuments aux morts<ref name="La Jeunesse">« La Jeunesse », notice sur musee-orsay.fr.</ref>, connut un grand succès d'édition en bronze par la Maison Barbedienne. Il fait encore mémoire du récent conflit en co-réalisant avec Charles-Arthur Bourgeois le sphinx pour le Mémorial aux soldats français tombés durant la guerre franco-prussien de 1870-1871 du cimetière de Bruxelles<ref name="BRU"/>.

Henri Chapu réalise en 1875, en association avec le médailleur Alphée Dubois, la Médaille du vœu national<ref>Le dessin du projet est conservé au musée d’art et d’histoire de Melun.</ref>, frappée en l'honneur de la pose de la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre<ref>Jacques Benoist, « Henri Chapu et la médaille de vœu national (1875) », Le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours, Les Éditions ouvrières, 1992, Modèle:P..</ref>. Il épouse Marie Cozette de Rubempré (née en 1847) le Modèle:Date-<ref name="LAM"/>, dont il avait réalisé le portrait en médaillon en 1861<ref name="RUB">Musée d'Orsay, Portrait en médaillon de Marie Cozette de Rubempré.</ref>. Une lettre écrite à son épouse depuis Nohant, où il restitue un dîner en présence d'Ivan Tourgueniev, Pauline Viardot et Ludovic Vitet, le situe alors dans l'entourage de George Sand<ref>Les amis du musée de Melun, Une lettre du sculpteur Henri Chapu.</ref>. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1880 au fauteuil no 7 de la deuxième section, et deviendra le président de cette institution en 1889.

Après son séjour à Munich en 1883 dans le cadre de l'Exposition internationale des beaux-arts qui s'y tient, Chapu séjourne plusieurs semaines durant en 1885 à Copenhague sur l'invitation du collectionneur et mécène Carl Jacobsen qui, à Munich, s'est porté acquéreur d'un exemplaire en plâtre de La Jeunesse<ref name="JAC">Archives Jacobsen, Lettre de Henri Chapu à Carl Jacobsen, 28 octobre 1883.</ref> et qui l'y charge d'exécuter en marbre le buste d'Alexandra, princesse de Galles<ref>Ny Carlsberg Glyptotek (cf. Ny Carlsberg Glyptotek, buste d'Alexandra de Danemark, princesse de Galles, par Henri Chapu).</ref>, en même temps que Jean Gautherin est appelé à y réaliser celui de sa sœur Dagmar, future tsarine Maria Feodorovna<ref name="OCT">Octave Fidière, Chapu, sa vie, son œuvre, E. Plon, Nourrit et Cie, 1894.</ref>. [[File:Cathedrale Saint-Brieuc 56 Archives nationales France.jpg|thumb|redresse|[[Augustin David|Modèle:Mgr Augustin David]], cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc.]] Les œuvres de Chapu ornent de nombreux bâtiments parisiens, notamment l'hôtel de ville, l'Opéra Garnier, le Palais de justice, la gare du Nord, le palais Galliera ou le grand magasin Printemps Haussmann. Quelques statues funéraires lui valent également un grand succès : le Tombeau de [[Félix Dupanloup|Modèle:Mgr Dupanloup]] (1886) dans la cathédrale d'Orléans, celui en marbre de Modèle:Mgr Augustin David dans la cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc, et surtout la statue funéraire de la duchesse d'Orléans, sculptée pour la chapelle royale de Dreux ; la jeune femme y est représentée sur son lit de mort, le bras droit pendant.

Une partie de sa production, et en particulier sa Jeanne d'Arc à Domrémy, ainsi que le Buste de Jean-Félix Bapterosses, ont été édités en bronze par la fonderie Barbedienne.

Projets inachevés

Fichier:Benoite-Vaux34.JPG
Désiré Fosse, Chemin de croix (1895, détail), d'après les dessins et la maquette inachevée d'Henri Chapu, Notre-Dame-de-Benoite-Vaux.

La Société des gens de lettres lui avait initialement commandé une statue d'Honoré de Balzac. Mais Henri Chapu meurt avant d'avoir pu exécuter son œuvre et n'a laissé que des esquisses et des ébauches de son monument<ref name="HON"/>. En outre, il ne réalisera jamais la statue de La Grèce à Byron, qui sera reprise et sculptée par Alexandre Falguière<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ni même le chemin de croix de l'église Notre-Dame-de-Benoite-Vaux, à Rambluzin-et-Benoite-Vaux, dont il a entamé les dessins en 1889, n'ayant le temps que de dessiner treize des quatorze stations et d'entreprendre une seule maquette<ref>Le sculpteur Désiré Fosse (1862-1913) achèvera en 1895 l'œuvre constituée de quatorze grands monolithes alignés tels des mégalithes bretons.</ref>,<ref>Église Notre-Dame-de-Benoite-Vaux, Histoire du chemin de croix.</ref>. L'artiste est emporté en trois jours par une congestion pulmonaire au cours de la grande épidémie de grippe de 1891 et il meurt dans son domicile parisien du 14, cité Vaneau le Modèle:Date-<ref>Généa 77, Les célébrités : Henri Chapu.</ref>. Il est inhumé au cimetière du Mée-sur-Seine.

Le tombeau en marbre de Carrare d'Henri Chapu, commandé par Henri Delaborde, le secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts, est orné d’un haut-relief réalisé par son élève Henri-Auguste-Jules Patey, qui réalisa aussi les deux médaillons représentant les parents du sculpteur. La statue du Génie de l'immortalité, réalisée en 1880 pour la sépulture de Jean Raynaud, orne également le tombeau. Celui-ci sera inauguré en 1894<ref>« Tombe d'Henri Chapu », sur le site Cimetières de France et d'ailleurs, consulté le 15 février 2015.</ref>.

Œuvres dans les collections publiques

Fichier:Sadi Carnot par H Chapu 8325.jpg
Sadi Carnot, musée des beaux-arts et d'archéologie de Châlons-en-Champagne.
Fichier:Pluton Chapu chateaudeChantilly.jpg
Pluton, parc du château de Chantilly.
Fichier:Corbeil-Essonnes IMG 2774.jpg
Monument aux frères Galignani, Corbeil-Essonnes, place Galignani.
Fichier:Bust of Frederic Le Play.jpg
Frédéric Le Play, buste en marbre, musée Henri-Chapu, Le Mée-sur-Seine.
Fichier:Melun Saint-Aspais Jeanne d'Arc 49.JPG
Jeanne d'Arc, médaillon, église Saint-Aspais de Melun.
Fichier:Marie d'Agoult - Père-Lachaise 02.jpg
La Pensée, tombe de Marie d'Agoult, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
Fichier:Ferdinand Barbedienne - Père-Lachaise 06.jpg
Ferdinand Barbedienne, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
Fichier:Père-Lachaise - Adolphe Thiers 04.jpg
Le Génie du Patriotisme ranimant la France, tombe d'Adolphe Thiers, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
Fichier:P1010920 Paris XIV Obervatoire de Paris Statue de Le Verrier reductwk.JPG
Monument à Urbain Le Verrier, observatoire de Paris.
Fichier:Salle des pas perdus du Palais de justice de Paris, monument de Berryer.JPG
Monument à Berryer, palais de justice de Paris.
Fichier:Buste a thiers.png
Adolphe Thiers, buste en marbre, Paris, palais du Luxembourg.
Fichier:Figures representing the seasons attributed to "Chapil".jpg
Les Saisons, Paris, Printemps Haussmann.
Fichier:Rue des Ecoles - Sorbonne4.jpg
Les Lettres, Paris, Sorbonne.
Fichier:Priant du cardinal de Bonnechose.JPG
Orant du cardinal de Bonnechose, cathédrale Notre-Dame de Rouen.
Fichier:Saint-Yrieix-sous-Aixe Monument aux morts 083.jpg
Monument aux morts, Saint-Yrieix-sous-Aixe.
Fichier:Morgan Family Monument (Seated Maiden by Henri Chapu), Springfield Cemetery, Springfield, MA 01.jpg
Monument funéraire Morgan, Springfield.

Belgique

Danemark

États-Unis

France

Italie

Royaume-Uni

Suède

Collections privées référencées

Œuvres non localisées ou disparues

Galerie

Réception critique

  • Modèle:Citation - Octave Fidière<ref name="OCT"/>
  • Modèle:Citation - Maurice Demaison<ref> Maurice Demaison, « La sculpture. L'exposition centennale », Revue de l'art ancien et moderne, 10 juillet 1900.</ref>
Fichier:Orléans - cathédrale, intérieur (12).jpg
Tombeau de Félix Dupanloup, cathédrale Sainte-Croix d'Orléans.

Récompenses et distinctions

Expositions

Expositions collectives

Fichier:Le Mée-Rue et Musée Chapu.jpg
Le musée Henri-Chapu au Mée-sur-Seine.

Expositions personnelles

Élèves et collaborateurs

Modèle:Citation<ref name="OCT"/>. Il a été professeur à l’Académie Julian à Paris<ref>Site officiel de ESAG Penninghen.</ref> où, parmi d'autres, il a eu pour élèves : Modèle:Colonnes Modèle:Saut

Iconographie

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Henri Chapu, Rapport sur la sculpture, Paris, Imprimerie nationale, 1884.
  • Octave Fidière, Chapu, sa vie, son œuvre, E. Plon, Nourrit et Cie, 1894 (lire en ligne).
  • Henri Delaborde, Notice sur la vie et les ouvrages de M. Henri Chapu, Académie des beaux-arts, 1895.
  • B. d'Oyloct, Henri Chapu, sculpteur, membre de l'Institut (1833-1891), Les Contemporains, Modèle:N°, 1903.
  • Charles du Bousquet, « Chapu - Lettres, pages d'albums et croquis inédits », Revue de l'art ancien et moderne, Modèle:Date-.
  • Henri Lapauze, « Lettres inédites du sculpteur Chapu », Le Gaulois, Modèle:Date-.
  • Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tome premier, Librairie ancienne Honoré Champion, 1914 (lire en ligne).
  • Encyclopédie Larousse, Larousse, 1964.
  • Maurice Rheims, La sculpture au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Arts et métiers graphiques, 1972.
  • Anne-Marie Lussiez, Henri Chapu au Mée-sur-Seine, Le Mée-sur-Seine, Éditions du musée Henri-Chapu, 1977.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} James Mackay, The Dictionary of sculptors in bronze, Woodbridge, Suffolk, Antique Collectors Club, 1977.
  • Anne Pingeot, « Le Flaubert et le Balzac de Chapu », Revue du Louvre, Modèle:N°, 1979.
  • Françoise Cachin (dir.), L'art du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Seconde moitié : 1859-1905, Citadelles, 1990.
  • Antoinette Le Normand-Romain, Philippe Grunchec, Annie-Claire Lussiez, Jacques Letève, Laure de Margerie, Chantal Rouquet, Marie Bouchard et Annette Gélinet (préface de René André et Jacques Marinelli), Centenaire Henri Chapu. 1833-1891, co-édition musée Henri-Chapu et musée de Melun, 1991.
  • Antoinette Le Normand-Romain, Mémoire de marbre. La sculpture funéraire en France, 1804-1914, Agence culturelle de Paris, 1995.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ruth Butler, Suzanne Glover Lindsay, Alison Luchs, Douglas Lewis, Cynthia J. Mills et Jeffrey Weidman, European sculpture of the nineteenth century, Washington, National Gallery of Art, 2000.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau, Dictionnaire encyclopédique de Jeanne d'Arc, Paris, Desclée de Brouwer, 2017.
  • Dominique Ghesquière, « Des musées, une collection (1887-2017), Henri Chapu, sculpteur : études, recherches et prospectives », Sculptures, Modèle:N°, 2017.

Conférences

Article connexe

Liens externes

Modèle:Portail