Il s'agit d'un village à l'aspect essentiellement rural positionné au cœur des Terres froides, une région naturelle du Nord-Isère et l'ancienne province du Dauphiné, situé au sud de l'agglomération de Bourgoin-Jallieu et ses habitants se dénomment les Tramolois<ref>Site habitants.fr, fiche sur le nom des habitants des communes de l'Isère], consulté le 10 février 2020</ref>.
Tramolé est une commune située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Son territoire est rattaché au canton de L'Isle-d'abeau<ref>Décret Modèle:N° du Modèle:Date- portant délimitation des cantons dans le département de l'Isère - Le canton Modèle:N° (L'Isle-d'Abeau) comprend les communes suivantes : Chèzeneuve, Crachier, Culin, Four, L'Isle-d'Abeau, Maubec, Meyrieu-les-Etangs, Saint-Agnin-sur-Bion, Saint-Alban-de-Roche, Saint-Jean-de-Bournay, Tramolé, Vaulx-Milieu, Villefontaine. Le bureau centralisateur de ce canton est la commune de l'Isle-d'Abeau.</ref>
Les étés sont chauds et plutôt sec mais connaissent de nombreuses périodes orageuses. Les hivers sont généralement assez froids et marqués par des gelées fréquentes, d'autant plus que le secteur, resté très longtemps marécageux, est souvent marqués par de nombreuses brumes matinales et des brouillards plus ou moins persistant durant les périodes froides.
Hydrographie
Le ruisseau de l'Agny, d'une longueur de Modèle:Unité, traverse le territoire communal en formant une boucle partant du sud-est vers le nord-est<ref>Modèle:Sandre.</ref> avant de rejoindre la Bourbre, un affluent du Rhône. Cette petite rivière est rejointe par le ruisseau de Valausin d'une longueur de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>., en limite du territoire communal.
Voies de communication et transports
Le territoire communal est situé hors des grands axes de circulation et n'est traversé que par quelques routes d'importance secondaire dont la RD56 qui permet de rejoindre Bourgoin-Jallieu par la commune des Éparres.
La bretelle d'autoroute la plus proche (A43 relie la commune à Lyon et à Chambéry) est située à moins de dix kilomètres du bourg :
Tramolé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (45,9 %), prairies (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Tramolé est composé d'un bourg central à l'aspect essentiellement agricole avec quelques maisons rurales et des résidences de facture plus moderne. Les hameaux sont essentiellement composés de corps de fermes et de maisons particulières.
Hameaux, lieux-dits et écarts
Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Tramolé, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national<ref>Site géoportail, page des cartes IGN</ref>.
Une tempête s'est déroulé du 06 au Modèle:Date-<ref>Arrêté JO du 18/11/1982.</ref>. Des inondations et coulées de boue se sont déroulées du 26 au Modèle:Date-<ref>Arrêté au JO du 24/12/1982.</ref>, du Modèle:Date- au Modèle:Date-<ref>Arrêté au JO du 20/07/1983.</ref>.
Un glissement de terrain s'est déroulé du Modèle:Date- au Modèle:Date-<ref name="a">Arrêté au JO du 21/06/1983.</ref> et du 05 au Modèle:Date-<ref>Arrêté au JO du 19/10/1993.</ref>. Le gel du Modèle:Date- entraîne des calamités agricoles;
Une sécheresses en 2003 (calamités agricoles, sécheresse) qui se répète en 2005 (calamités agricoles, sécheresse)<ref>Arrêté ministériel du 13/12/2005.</ref>, puis en été 2006 (calamités agricoles, sécheresse)<ref>Arrêté ministériel du 11 janvier 2007.</ref>.
Toponymie
Tramolé signifie « au-delà de la colline »<ref>Grosse colline ou petite montagne arrondie, point élevé, aussi digue, levée.</ref>. Le mot Tramole vient du latin trans (« au-delà »), préfixe signifiant « au-delà de, outre, derrière »<ref>Le terme trans vient du patois trai, de l'ancien français tres et du latin trans, « au-delà », ou signifiant « le lieu, l'endroit, le pâturage », du latin tractus, « quartier, coin de terre, endroit ».</ref> et de moles (« amas, tas »).
Tramolé a eu successivement plusieurs noms Tresmolus, Tresmollin (ce qui confirmerait l'histoire des trois moulins) et même Tresmusia à l'époque où Bourgoin s'appelait Bergusia<ref>archives cure de Tramolé à l'époque de l'abbé Durand</ref>.
Fait marquant sur la commune, c'est le nombre impressionnant de mûriers sur les terrains de l'ancienne ferme Barril (chemin Davas) jusque vers les années 1950. Les mûriers servaient à la nourriture des vers à soie (bombyx du mûrier ou Bombyx mori).
La peste de 1628 : au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une épidémie de peste avait ravagé la région et Saint Roch avait guéri de nombreux pestiférés. Les cinq paroisses constituant la commune des Éparres (les Éparres, Culin, Tramolé, Meyrié, et Vermelle-Ruffieu) firent vœu de se rendre le Modèle:Date- de chaque année en pèlerinage à Meyrié car l’église abrite une statue du Saint (la commune des Éparres incluait aussi Badinières, d'appartenance religieuse à Éclose, et qui est devenue commune en 1858 ; le Plan Bourgoin faisait alors aussi partie des Éparres) ;
Trois ouvriers agricoles, de nationalité austro-polonaise, rôdaient avec des allures menaçantes autour d'une ferme isolée, exploitée par la famille Martinet. Les fils Martinet les invitèrent à déguerpir. Deux d'entre eux prirent la fuite à travers champs. Le troisième s'obstina à rester. Les fils Martinet l'appréhendèrent. Mais. soudain, l'homme, saisissant son revolver, fit feu sur ses adversaires, dont le plus jeune, Marcel, âgé de 18 ans, tomba mortellement atteint, et dont l'autre, Emile, âgé de 20 ans, grièvement blessé, dut être transporté l'hôpital de Bourgoin. Attiré par le bruit. l'oncle des fils Martinet accourut et maîtrisa le meurtrier. Des villageois du voisinage, arrivant à leur tour, lynchaient l'ouvrier polonais et le rouaient de coups de bâton et de coups de pied à tel point que son corps ne forma bientôt plus qu'une plaie et qu'il succomba, Son cadavre fut transporté à la mairie de Tramolé.
Plusieurs citoyens, sous la conduite de M. Casanoya brigadier de gendarmerie à Saint-Jean-de-Bournay, et de deux gendarmes s'empressèrent alors de battre les bois d'alentour pour retrouver les deux Polonais fugitifs. Des cultivateurs de Tramolé, MM. Louis Douillet et Théophile Dechène, lancés à sa poursuite, se trouvèrent face à face avec le bandit. Il tira sur eux une balle de revolver qui effleura la tête de M. Douillet, puis il disparut. L'un de ceux-ci fut capturé, au cours de la nuit, près de Sainte-Anne-d'Estrablin, et conduit à la maison d'arrêt de Vienne l'autre ne put être rejoint. La battue sera continuée aujourd'hui. Le meurtrier lynché et tué par la foule se nommait Antonin Novach il avait 28 ans. Son complice, écroué à Vienne, se nomme Zagikowski. Le nom du bandit en fuite reste inconnu. Tous trois vivaient depuis quelque temps de vols et de rapines et terrorisaient les fermes d'alentour.
Le dimanche Modèle:Date-, Jean Pierre Badin (23 ans), tua de deux coups de revolver, à Tramolé, Mlle Francine Goy (21 ans), sa voisine, et a été arrêté. Il a tué la jeune fille parce que ses parents lui avaient refusé la main. Quand on l'arrêta, il joua la stupeur, et mis en présence du cadavre de sa victime, il nia encore. Les gendarmes durent le protéger des villageois pour éviter un lynchage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'incendie a éclaté pendant la messe, et il n'y avais que deux à trois personnes au village. Quasiment rien n'a pu être sauvé, et un jeune enfant a été brulé vif et il est décédé faute de secours. Il y a eu plus de 50 000 Fr de dégâts.
Le 8 septembre 1937, un cantonnement de militaire (Modèle:28e régiment de Tirailleurs Tunisiens) a brûlé pour une raison inconnue. Les chevaux du détachement de cette unité on pût être sauvé, mais pas le fourrage ni les céréales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Association La Saint-Hubert des Amis, association de chasse, sur un territoire privé ;
Association Zone Rouge Sono - animation et organisation de soirées publiques et privées ;
Fêtes et célébrations locales
Le Salon des Grands Vins de France et Produits du Terroir reçoit près de 80 exposants, vignerons, producteurs récoltants et viticulteurs de France, le premier week-end du mois de décembre ;
La Vogue (ou fête foraine) a lieu au mois de juin, organisé par le club des jeunes ;
Le repas des anciens, un moment de rencontre et de partage pour les plus de 65 ans, organisé par l'AFL ;
Plusieurs soirées "disco" et bals, organisés tout au long de l'année, pour financer des sorties et excursions des jeunes de Tramolé ;
La nuit de la Saint-Jean a été remplacée par la kermesse du village, organisée par le Sou des Écoles et dont le feu d'artifice est offert chaque année par l'AFL aux habitants de Tramolé ;
Médias
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Cumin TP (BTP) ; Euro Services Industrie (fabrication de machines) ; Gaec de l'Agny (agriculture) ; Libtal Marie, née Bavu (vente de pommes et autres) ; Paillet Germain Joseph (bar des amis) ; CP Logistics (transport routier et interurbain de marchandises) ; Perret Michel Maurice Antonin (secrétariat et traduction) ; Semasema For (fabrication de machines pour l'industrie agroalimentaire).
Installations industrielles
Réseau de pipelines
Un réseau de pipelines passe sur le territoire de Tramolé (géré par la société SPMR), avec un débit maximal de Modèle:Unité/h. Ce réseau fait plus de Modèle:Unité.
Ce réseau transporte des produits tels que : essence et gazole pour les véhicules, fioul domestique pour le chauffage et du carburéacteur pour l’aviation.
Ces produits sont issus des raffineries et dépôts situés près de l'Étang de Berre et Lyon, et sont destinés à alimenter les dépôts pétroliers répartis dans la vallée du Rhône, le Dauphiné, les Pays de Savoie en Région de Fréjus – Saint Raphaël, jusqu'en Suisse (près de Genève).
Ce transport par pipelines représente 90 % de la consommation des régions qu'il dessert<ref>Pour connaitre le tracé exact, il faut se rapprocher de la mairie et consulter le cadastre.</ref>.
Station d'épuration
La commune de Tramolé ne disposait pas de collecteur d'eaux usées jusqu'en 2007. Chaque propriété disposait alors d'une fosse septique pour le traitement des eaux usées. Le système étant très polluant, la mairie a décidé en 2007 la construction d'une station d'épuration écologique : station d’épuration de type "filtres plantés de macrophytes (roseaux)"<ref>récépissé de déclaration en préfecture de construction d'une station d'épuration Modèle:N° Cette construction se trouve sur la parcelle Modèle:N° (voir plan cadastral).</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Ancien "Café Bonnet", tenu par Paul (dit le Tailleur) et Suzanne Bonnet-Gonnet ;
Ancien pigeonnier du château de Tramolé : le pourtour de la maison possède toujours un rebord pour que les pigeons se posent ; devenu plus tard une maison d'habitation avec un bistrot et ensuite une épicerie.
Monument aux morts pour la France (lors de la Guerre 1914-1918) ;
La cloche en bronze de l'église de Tramolé (propriété de la commune) fabriquée en 1676 sur laquelle est inscrite : IHS MAR SS MORIS ORA PRO NOBIS & N SOVFFREY DARZAT & IANE BOVCHAT ONT ESTE MES PARAIN & MARAINE & MON MIS NON IANE 1676 (traduction: Jésus et Marie, saint Maurice, priez pour nous. N. Souffrey Darzat et Jeanne Bouchat ont été mes parrain et marraine et m'ont donné mon nom en l'an 1676).
Évènement historique: Grande manœuvre militaire en 1874<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
À partir du Modèle:Date- : manœuvre militaire du [[14e corps d'armée (France)|Modèle:14e corps d'armée]] (Il représentait la région de Lyon et de Grenoble et était composé de Dauphinois et de Savoyards, ces « redoutables Allobroges » dont le roi Charles-Emmanuel disait « Qu'ils furent la gloire des Celtes et la terreur de Rome ») ordonné par le Général Bourbaki qui était basé sur l'hypothèse suivante : un corps ennemi marche sur Lyon. La garnison de Lyon est envoyée vers Bourgoin et la Tour-du-Pin avec comme mission de prendre position et de repousser l'ennemi vers Grenoble. Effectif mobilisé pour cette manœuvre :
13 bataillons d'infanterie (231 officiers, 5 503 hommes et 68 chevaux)
16 escadrons de cavalerie (118 officiers, 1 510 hommes et 1663 chevaux)
6 bataillons d'artillerie (20 officiers, 540 hommes et 400 chevaux)
1 détachement de Pontonniers (1 officier, 42 hommes et 21 chevaux)
Une demi compagnie du Génie (1 officier, 40 hommes et 7 chevaux)
1 détachement de la Gendarmerie (1 officier, 15 hommes et 6 chevaux)
Le Modèle:Date- : une reconnaissance de cavalerie composée de deux escadrons du [[11e régiment de cuirassiers|Modèle:11e cuirassiers]], deux escadrons du [[12e régiment de cuirassiers|Modèle:12e cuirassiers]] et de la batterie à cheval partent de Bourgoin à 7h, montent à Culin et Tramolé, marchent jusqu'à Éclose et rentrent à Bourgoin vers 11h par la route de Nivolas. La brigade de Cuirassiers et la batterie à cheval s'établissent ensuite pour la nuit à Culin.
Le Modèle:Date- : le général commandant la division de la cavalerie établit la brigade de cuirassiers entre Culin et Tramolé. Des voitures du train on amenés les vivres et fourrages au campement.
Le Modèle:Date- : simulation de combat vers Châteauvilain. À la fin, conformément au Général commandant le Modèle:14e corps d'armée une ration de vin est accordée aux troupes. Retour au campement (bivouac) de la brigade de cuirassiers entre Culin et Tramolé.
Les 9 et Modèle:Date- : diverses manœuvres entre Bourgoin et Saint-Priest.
Modèle:Méta bandeau d'avertissement{{#ifeq:||{{#ifeq:||[[{{#ifexist:Catégorie:Article à vérifier{{#if:géographie|/géographie}}|Catégorie:Article à vérifier{{#if:géographie|/géographie}}|Catégorie:Article à vérifier}}|Tramolé]]{{#if:novembre 2018||}}}}|}}
Pion-Gaud : en Modèle:Date-, fermier à la Côte-Saint-André et à Tramolé. Il invente un nouveau procédé d'engrais pour le blé (technique dite "Fertilisa") qui augmenta les récoltes de près de 67% en grains et 75% pour la paille. Son procédé fût ensuite testé dans plus de 11 départements et eu un article dans Le Petit journal<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Une analyse dans le bulletin du comité de lecture de Beaune à validé cette nouvelle technique<ref>Modèle:Lien web.</ref> en Modèle:Date- ;
Eudoxie Chareton<ref>Modèle:Lien web.</ref> : le Modèle:Date- à Tramolé, Eudoxie a sauvé d'une mort certaine Philomène Gentaz (cinq ans) qui était tombée dans un réservoir d'eau dans un pré. La petite Eudoxie a eu une récompense de la part du gouvernement : la médaille du sauvetage ;
Crétinon Victor-Jean-Baptiste<ref>Modèle:Lien web.</ref>,médaille du mérite agricole (Décret du Modèle:Date-) ;
Michel Perret, inventeur de la chambre de coupure de courant à double chambre de compression ;
Didier Branchard, inventeur d'un système destiné au contrôle de qualité des œufs de consommation.
Personnalités célèbres liées à la commune
Guy Fréquelin : vice-champion du monde des rallyes en 1983, plusieurs fois champion de France de divers compétitions nationales et internationales en rallye.
Les parents de Guy Fréquelin se rencontrèrent et se marièrent le Modèle:Date- à Tramolé. Le père de Guy Fréquelin, Roger, est né le Modèle:Date- (militaire mobilisé) et avait 20 ans quand il fut prisonnier de guerre du côté d'Orléans. Il réussit à s'évader lors d'une corvée d'eau et apu rejoindre la zone libre et l'armée française vers Marmande. Au bout de 24 mois de service, il pu partir en permission chez des amis vendeur de chevaux et ayant une ferme et une petite usine sur Tramolé. C'est à ce moment-là qu'il rencontra la mère de Guy Fréquelin, Paulette Bonnet (née le Modèle:Date-), qui vivait sur Tramolé. Le père de Paulette Bonnet était meunier sur la commune<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Tramolé a fait l'objet d'un Inventaire par la direction régionale de l'environnement, et a fait l'objet d'un Périmètre<ref>Modèle:PdfPérimètre</ref> de la ZNIEFF de type 1*, notamment grâce aux différents étangs créés par l'homme dans les années 1970 (étangs Doyeux, etc.).
Ce périmètre (grande zone de marais) a été désigné comme ayant un intérêt écologique et est décrit ainsi :
Modèle:Citation bloc
La faune
Liste des espèces de la faune observées à Tramolé (oiseaux, mammifères, reptiles, amphibiens)<ref>Observations de l'association CORA 38 (Centre Ornithologique Rhône-Alpes).</ref> :