Édouard Branly

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 17 août 2023 à 16:04 par >Mk is watoo (→‎Hommage : Sarcelles)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Scientifique

Désiré Eugène Édouard Branly, né à Amiens le Modèle:Date de naissance et mort à Paris le Modèle:Date de décès, est un physicien et médecin français.

Il découvre le principe de la radioconduction et celui de la télémécanique. Il est l'un des précurseurs de la radio.

Biographie

Fichier:Perelachaise-Branly-p1000348.jpg
Cimetière du Père-Lachaise.

Grâce à la découverte par Branly du radioconducteur et ses travaux sur le principe de la radioconduction, Guglielmo Marconi effectue en 1899 les liaisons radiotélégraphiques qui marquent la naissance de la télégraphie sans fil (Modèle:Cf. ci-dessous le paragraphe « Le radioconducteur et la télégraphie sans fil »). Quelques années plus tard, Édouard Branly découvre le principe de la télémécanique, qui est le fondement de la télécommande aujourd'hui.

Édouard Branly est le type même du savant travailleur, passionné, désintéressé et opiniâtre de cette époque. Catholique convaincu, il se bat toute sa vie pour obtenir des conditions de travail décentes à l'Institut catholique de Paris et lutte contre l'opposition des milieux universitaires et scientifiques anticléricaux<ref group="n">Une partie du matériel de son laboratoire est exposée au musée Branly, dans l'enceinte de l'Institut catholique, 21 rue d'Assas, dans le [[6e arrondissement de Paris|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:|  }} }} arrondissement de Paris]]. Dans ce bâtiment maintenant occupé par l'Institut supérieur d'électronique de Paris, on peut visiter trois pièces de son laboratoire, dont son bureau et une salle transformée en magnifique cage de Faraday par des plaques de cuivre apposées sur les six faces.</ref>.

Enfance et formation

Édouard Branly naît rue Martin-Bleu-Dieu à Amiens le Modèle:Date de naissance<ref name=Leo>Modèle:Base Léonore</ref>. Il est le premier enfant d'Édouard Joseph Branly, maître d'études au collège royal d'Amiens, et d'Elisa Gillion. Son père, ami de Paul Desains, est nommé professeur au collège communal de Saint-Quentin, où s'établit la famille en 1845. Un deuxième enfant, prénommé Edgar, voit le jour en 1851. Élève brillant, Édouard est scolarisé à partir de 1852 au collège de Saint-Quentin qui devient un lycée impérial de Modèle:3e en 1853. Il entre en classe de Modèle:6e en 1854 dans la division des lettres. En 1860, à la fin de la classe de rhétorique, sans faire l'année de logique, il obtient, à l'âge de 16 ans, le baccalauréat ès lettres devant la faculté des lettres de Douai<ref>certificat d'aptitude du 13 novembre 1860, diplôme du 25 avril 1861.</ref>. Edouard Branly souhaite cependant se consacrer aux sciences. Il prépare donc le baccalauréat ès sciences, qu'il passe l'année suivante devant la faculté des sciences de Paris<ref>diplôme de mai 1862.</ref>. Il fait ensuite des études supérieures en classe de mathématiques spéciales au lycée Napoléon où il a comme professeur de physique le frère de Paul Desains, Édouard Desains (élève par le passé de Joseph-Charles d'Almeida), puis, de 1865 à 1868, à l'École normale supérieure, où il suit les conférences de physique de Bertin-Mourot, et à la faculté des sciences de Paris, où il suit les cours de physique de Paul Desains et Jules Jamin et obtient les licences ès sciences mathématiques et ès sciences physiques en 1867.

Vie de famille

Fichier:Plaque Édouard Branly, 87 boulevard Saint-Michel, Paris 5.jpg
Plaque au Modèle:N° boulevard Saint-Michel (Paris).

Ses funérailles nationales sont célébrées à Notre-Dame par le cardinal Verdier le Modèle:Date-, l'éloge funèbre est prononcé par le Ministre de l’Éducation nationale Albert Sarraut en présence du Président de la République Albert Lebrun<ref>Modèle:Article</ref>. Branly est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 10) à Paris. Ses traits nous restent fixés par le portrait que peignit Maurice Asselin en 1936, aujourd'hui conservé au Musée Toulouse-Lautrec d'Albi.

Carrière

Nommé agrégé des sciences physiques et naturelles en 1868<ref name="Boudenot p13-14">[[#Boudenot|Jean-Claude Boudenot, Modèle:P.]].</ref>, il est affecté brièvement au lycée de Bourges avant d'être nommé en 1869 chef des travaux du laboratoire d'enseignement de physique de la faculté des sciences de Paris et de l’École pratique des hautes études, dirigé par Paul Desains. Durant la guerre de 1870 il est sous-lieutenant du génie auxiliaire. Il est nommé directeur-adjoint après l'obtention du doctorat ès sciences physiques devant la faculté des sciences de Paris en 1873 (thèse de physique sur les phénomènes électrostatiques dans les piles). Sa première communication à l'Académie des sciences, cosignée avec Desains, porte sur le rayonnement solaire<ref>Modèle:Article</ref>,<ref name="Boudenot p13-14"/>.

En 1876, il quitte la faculté pour devenir professeur à l'Institut catholique de Paris, nouvellement créé. En 1877 il reprend des études de médecine et obtient le doctorat en 1882 avec une thèse sur le dosage de l'hémoglobine et le traitement des malades anémiés. À partir de 1896, il pratique la médecine en parallèle avec l'enseignement et la recherche à l'Institut catholique.

Recherches et découvertes

Fichier:Musée Edouard Branly plaque.jpg
Plaque en hommage à Édouard Branly au Modèle:N° rue de Vaugirard, sur la façade de l'Institut Catholique de Paris, pour sa découverte de la radioconduction.
Fichier:Saint-Quentin - Plaque hommage Edouard Branly.jpg
Plaque hommage à Edouard Branly, Rue des Suzannes à Saint-Quentin.
  • 1890 : découverte du principe de la radioconduction et mise au point du radioconducteur basé sur le tube à limaille. Travaux sur la photoélectricité.
  • 1895 : recherche sur les contacts imparfaits.
  • 1895 : mise au point du trépied-disque, le « radioconducteur à contact unique ».
  • 1905 : invente la télémécanique.
  • 1911 : recherches sur les diélectriques minces.
  • l'antenne, une tige métallique, aussi l'auteur de recherches sur la décharge des corps électrisés sous l'influence de la lumière et d'expériences de télécommande.

Évènements

Honneurs

Actions de la comtesse Greffulhe

Édouard Branly fait la connaissance d'Élisabeth de Caraman Chimay, comtesse Greffulhe, en 1902, par l'intermédiaire d'Albert de Mun. La comtesse Greffulhe se passionne pour ses travaux, visite son laboratoire, se fait expliquer le principe de la radioconduction et les expériences en cours<ref>« Elle s'intéressa avec un enthousiasme inusité aux recherches du grand savant… » Jeanne Terrat-Branly, op. cit. Modèle:P..</ref>. Elle prend conscience de la vétusté du laboratoire et des conditions de travail difficiles du physicien, elle lui apporte une aide efficace à plusieurs reprises grâce à ses relations.

  • Elle convainc Maurice Bunau-Varilla directeur du Matin d'organiser une conférence sur la télémécanique au Trocadéro en Modèle:Date-<ref name=Matin050628>Modèle:Article</ref>.
  • En 1905, elle organise dans sa propriété de Bois-Boudran, en Seine-et-Marne, une démonstration de radiotransmission de la voix sur trois kilomètres, à laquelle elle convie le tout-Paris. Marcel Proust figure parmi les invités à cette manifestation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Elle intervient auprès d'Alexandre Millerand, alors ministre des Travaux publics, pour le renouvellement du bail de l'Institut catholique à la fin de l'année 1909.
  • Par l'intermédiaire de sa sœur Ghislaine de Caraman Chimay elle introduit Édouard Branly à la cour de Belgique et le présente au roi [[Albert Ier de Belgique|Albert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]. Il est élu membre associé de l'Académie royale en 1910.
Fichier:Autographe Comtesse Greffulhe.svg
Signature de la comtesse Greffulhe. Billet à É. Branly, 1905.

Autres

  • 1871 : participe à la défense de Paris.
  • 1932 : inauguration du nouveau laboratoire à l'Institut catholique.

Hommage

Un Monument à Édouard Branly, par Carlo Sarrabezolles (1888-1971), a été inauguré à Paris au jardin du Luxembourg en 1932. Un musée situé dans son ancien laboratoire au sein de l'Institut Catholique de Paris, rue d'Assas à Paris, lui est consacré.

Au moins huit lycées en France portent le nom d'Édouard Branly : à Amiens<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Boulogne-sur-Mer<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Châtellerault<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Créteil<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Dreux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, La Roche-sur-Yon<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Lyon<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Nogent-sur-Marne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

À Paris, une partie du quai d’Orsay a reçu le nom de quai Branly en 1941. En Modèle:Date-, Anne Hidalgo propose de débaptiser une partie du quai Branly pour le renommer quai Jacques-Chirac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

À Amiens, une esplanade porte son nom sur laquelle se dresse l'église Saint-Honoré construite par son gendre, Paul Tournon. La façade présente une mosaïque, réalisée par Florence Tournon-Branly, la petite-fille du savant.

À Montreuil, une rue et l'un des quatorze quartiers de la ville portent son nom<ref>Modèle:Lien web</ref>. A Sarcelles, une rue porte son nom depuis les années 1960. À Forest (Bruxelles) une rue porte son nom et à Toulouse une allée près de la place du Busca.

Travaux

Fichier:Tube de Branly (no. 78) pour la détection radio, cohéreur 02.tif
Tube de Branly (portant le no. 78) pour la détection radio.

Expérience fondamentale sur la radioconduction

Modèle:Article connexe

Fichier:Radioconducteur.jpg
Schéma du radioconducteur de É. Branly.
Fichier:Radioconducteur 1.jpg
Tube à limaille.
Fichier:Trepied 01.jpg
Trépied-disque conçu par Édouard Branly.

L'expérience fondamentale fut réalisée par É. Branly et son préparateur Gendron, le Modèle:Date-.

Description de l'expérience :
Dans une salle de cours, se trouve un éclateur à étincelles dont les boules sont les pôles d'une machine électrostatique de Wimshurst. Dans une salle éloignée de la salle de cours et séparée d'elle par trois pièces est installé un circuit (voir schéma ci-contre) comportant une pile (3), un galvanomètre (2) et un tube de verre étroit contenant un peu de limaille métallique intercalée entre deux tiges conductrices (1). L'éclateur et le circuit sont séparés par une distance de Modèle:Unité et plusieurs murs.
Si, à un moment donné, une étincelle est produite au niveau de l'éclateur, la limaille devient instantanément conductrice et le galvanomètre accuse une déviation qui indique le passage d'un courant.
Un très léger choc sur le tube à limaille supprime le courant, une nouvelle étincelle entre les pôles de l'éclateur le rétablit.

Édouard Branly vient donc de commander à distance, la fermeture d'un circuit électrique, sans qu'il y ait de lien matériel entre l'organe de commande (le générateur d'étincelles) et le tube à limaille, celui-ci agissant comme un organe sensible aux ondes électriques produites par l'éclatement de l'étincelle.

Après des années de recherches sur la déperdition des charges électriques d'un corps électrisé soumis à l'action de la lumière<ref>Note du 8 avril 1890 devant l'Académie des sciences : « La déperdition des deux électricités à la lumière de radiations très réfrangibles ».</ref>, Édouard Branly vient de mettre en évidence le principe de la « radioconduction » et baptise le tube à limaille du nom de « radioconducteur ».

Édouard Branly présente cette expérience dans une communication, désormais célèbre, devant l'Académie des sciences le Modèle:Date-<ref>Communication intitulée : « Variations de la conductibilité sous diverses influences électriques ».</ref>.

Radioconducteur ou cohéreur ?

À l'issue de l'expérience fondamentale du Modèle:Date-, É. Branly, constatant que la conductibilité du tube à limaille varie sous l'effet de radiations, donne au dispositif le nom de « radioconducteur ».

En 1894, Sir Oliver Lodge, professeur de physique à l'université de Liverpool en Grande-Bretagne, fait une série d'expériences à partir des travaux d’É. Branly. Il ajoute au tube à limaille un trembleur qui permet d'interrompre automatiquement le passage du courant. Il émet une théorie pour expliquer le phénomène de la radioconduction : Modèle:Citation. Pour décrire ce phénomène Sir O. Lodge utilise le verbe anglais Modèle:Langue qui va être à l'origine du néologisme « cohéreur » en France<ref group="n">Sir Oliver Lodge présente le résultat de ses expériences en juin 1894 devant la Modèle:Langue et en août 1894 devant la Modèle:Langue à Oxford.</ref>.

É. Branly déclare devant la Société des électriciens en Modèle:Date- : Modèle:Citation<ref>Bernard Baris, op. cit., Modèle:P..</ref>,<ref group="n">Cet appareil découvert par Édouard Branly en 1890 et nommé par lui « radioconducteur », fut appelé par Lodge « cohéreur », in Larousse du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en six volumes, 1932.</ref>.

Radioconducteur et contacts imparfaits

Édouard Branly multiplie les expériences et remplace les grains de limaille tout d'abord par des billes d'acier poli, puis par des disques métalliques, le phénomène de radioconduction persiste. Il utilise des métaux différents et teste l'influence de l'oxydation. Il constate une nette amélioration de la sensibilité du radioconducteur lorsque le contact se fait entre métal oxydé et métal poli. Il imagine alors un nouveau type de radioconducteur :
Modèle:Citation

C'est le trépied-disque (voir photo ci-contre) qui va se révéler beaucoup plus efficace que le tube à limaille.
Le Modèle:Date-, il fait une communication à l'Académie des sciences sur la théorie des contacts imparfaits :
Modèle:Citation

Modèle:Article détaillé

Le radioconducteur et la télégraphie sans fil

Fichier:Marconi wimereux 1899.jpg
Première liaison par TSF à partir de Wimereux - 1899.

Modèle:Article détaillé À la suite des liaisons de télégraphie sans fil réalisées avec succès par Guglielmo Marconi du Modèle:Date- au Modèle:Date- entre une station installée à Wimereux (Pas-de-Calais), une à South-Fireland (Douvres) et deux navires L’Ibis et La Vienne, naviguant dans la Manche, Guglielmo Marconi adresse le Modèle:Date le télégramme suivant à Édouard Branly : Modèle:Citation bloc

En effet, tous les récepteurs utilisés au cours de ces expériences, à terre comme à bord des deux navires, sont équipés des radioconducteurs conçus par Branly. Édouard Branly répond à ce télégramme : Modèle:Citation bloc

La télémécanique sans fil

Le Modèle:Date, Édouard Branly présente devant l'Académie des sciences une application du radioconducteur : le contrôle d'actions produites à distance par les ondes électriques<ref name=CRAS050320>Modèle:Article</ref>. Modèle:Citation<ref>Édouard Branly, La T.S.F. télégraphie et téléphonie sans fil, Modèle:P., Payot, Paris, 1925.</ref>.

Le Modèle:Date, Édouard Branly présente devant 5 000 personnes, au Trocadéro, une expérience de télémécanique<ref name=Matin050706>Modèle:Article</ref>.

Publications

Communications à l'Académie des sciences

  • Édouard Branly, Mesures de la polarisation dans l'élément voltaïque, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Mesures de l'intensité des courants au moyen de l'électromètre, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Évaluation en unités mécaniques de la quantité d'électricité que produit un élément de pile, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Sur l'emploi du gaz d'éclairage comme source constante dans les expériences de rayonnement, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Nouveau mode d'emploi du thermomultiplicateur, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, La déperdition des deux électricités à la lumière de radiations très réfrangibles, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Courants photoélectriques entre les deux plateaux d'un condensateur, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Variations de la conductibilité sous diverses influences électriques, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Variations de conductibilité des substances isolantes, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Déperdition des deux électricités par les rayons très réfrangibles, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Nouvelle conductibilité unipolaire des gaz, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Conductibilité des radioconducteurs ou conductibilité électrique discontinue. Assimilation à la continuité nerveuse, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Télégraphie sans fil et collisions en mer, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Radioconducteurs à limaille d'or et de platine, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Récepteur de télégraphie sans fil, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Distribution et contrôle d'actions produites à distance par les ondes électriques, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-<ref name=CRAS050320/>.
  • Édouard Branly, Appareil de Télémécanique sans fil de ligne, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Conductibilité intermittente des minces couches diélectriques, Académie des sciences, séance du Modèle:Date-.

Ouvrages

  • Édouard Branly, Traité élémentaire de physique, Éditions Poussielgue, Paris, 1899<ref group="n">Six éditions, constamment remaniées entre 1899 et 1924.</ref>.
  • Édouard Branly, Cours élémentaire de Physique et Problèmes de Physique, Éditions J. de Gigord, Paris, 1900<ref group="n">Sept éditions entre 1900 et 1922.</ref>.
  • Édouard Branly, La TSF, télégraphie et téléphonie sans fil, Éditions Payot, Paris, 1923<ref group="n">Deuxième édition en 1925.</ref>.
  • Édouard Branly, Électricité, Éditions J. de Gigord, Paris, 1934.

Notes et articles

  • Édouard Branly, Variations de conductibilité des isolants sous diverses influences électriques, Congrès scientifique international des catholiques, Paris 1-Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Les radioconducteurs, Congrès International de Physique, Paris 1900.
  • Édouard Branly, Remarques sur l'historique de la télégraphie sans fil, in Bulletin de la Société internationale des électriciens, Paris, 1898.
  • Édouard Branly, Une enveloppe métallique ne se laisse pas traverser par les oscillations hertziennes, in Journal de physique, Paris, Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, Conductibilité intermittente des diélectriques, Annales de chimie et de physique, Paris, Modèle:Date-.
  • Édouard Branly, La télégraphie sans fil à la guerre, in Journal de l'Université des Annales, Paris, Modèle:Date-.

Citations

Les papiers personnels d'Édouard Branly sont conservés aux Archives nationales sous la cote 522AP<ref>Archives nationales.</ref>.

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage
  • Michel Amoudry, Le général Ferrié et la naissance des transmissions et de la radiodiffusion, Presses universitaires de Grenoble, 1993.
  • Bernard Baris, Docteur É. Branly, Atelier Claudine B., Moulins, 1990.
  • Alphonse Berget, La Télégraphie sans fil, Librairie Hachette, Paris, coll. « La Bibliothèque des merveilles », 1914.
  • Élizabeth Branly, Notes et croquis sur Édouard Branly, Marion Tournon-Branly, Paris, 1997.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Arthur Fürst, Modèle:Langue, Deutsche Verlags-Anstalt, Stuttgart und Berlin, 1923.
  • Robert Gabillard, Les premiers détecteurs de la TSF, ancêtres des transistors, in Le Monde industriel no 605, 1963.
  • Jeanne Terrat-Branly, Mon père, Édouard Branly, Corréa, Paris, 1941.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Albert Van Der Nailen, Two mysteries of Wireless Telegraphy, in The Journal of Electricity Power and Gas, vol. IX, no 2, San Francisco, Modèle:Date-.
  • J. Waszik, Les phénomènes électrostatiques dans les détecteurs à limaille à contacts imparfaits, in L'Onde électrique, Modèle:3e, Modèle:P. à 541, E. Chiron, Paris, 1904.
  • Musée Branly, Appareils et matériaux d'expériences, Association des amis d'Édouard Branly, Paris, 1997.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Portail