Castres (Aisne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Castres est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte Castres est située en bordure de la Somme à une altitude de 73 mètres au-dessus du niveau de la mer, à 46 kilomètres au nord-ouest de Laon, à 8 km au sud-ouest de Saint-Quentin et à 9 km au nord de Saint-Simon. Sa fête patronale tombe le 1er dimanche après le 3 mai<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Giffécourt est un hameau dépendant de Castres situé plus au nord et proche des marais de la Somme.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,2 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Castres est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,4 %), zones urbanisées (4,9 %), forêts (3,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

En 1143, Castres était désignée sous le nom de Castra, dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Crépin-le-Grand, et en 1584 sous le nom de Castre dans les actes de Claude Huart, notaire. Les noms de Castra, Castrum, ont fait supposer que Castres devait son origine à l'établissement d'un camp romain sur l'emplacement qui porte encore aujourd'hui le nom de Mont des Vignes.

Histoire

Castres, qui, avant la Révolution, appartenait au chapitre de Saint-Quentin, a eu pour seigneurs, en 1126, un nommé Hugues de Castres, et vers 1620, Charles de Postel, écuyer, seigneur de Castres ; femme Charlotte d'Y ; enfants : Françoise, Marie, femme de Sacques du Boulet, écuyer. Il est question aussi d'un chevalier de Castres nommé Charles-Antoine, et qui vivait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et d'un autre chevalier de Castres, en 1788.

Giffécourt appartenait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à un dénommé Boson, coûtre de Saint-Quentin Saint-Quentin. On y voyait alors un hôpital qui fut détruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Politique et administration

Fichier:Localisation EPCI du Saint-Quentinois dans l'Aisne, France.svg
La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Simon<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Saint-Quentin-3.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le 9 février 1960, rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du 30 mars 2016<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant Modèle:Unité<ref name="SDCI2016">Modèle:Lien web.</ref>.

Cette fusion est intervenue le Modèle:Date-, et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois<ref name="arrete1">Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Article connexe

En 1760, on dénombrait 40 feux. Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Quentin.
  • Monument aux morts.
  • Plaque commémorative victimes de guerre sur la façade de l'église.
  • Dans l'ancien cimetière : les croix des fosses communes de soldats français et de soldats allemands de la guerre 1870-1871.

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

Notes

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Cartes

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Références

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