Saint-Martin-de-Queyrières

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Saint-Martin-de-Queyrières, en provençal alpin Sant Martin de Queiriero (prononcer [sɑ̃m maʁˈtin de keˈrjɛro]), est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Géologie et relief

Hydrographie

Climat

Communes limitrophes

Voies de communication et transports

Voies routières

Modèle:Article détaillé La voie principale est la route nationale 94 qui emprunte la vallée de la Durance et traverse la commune. Elle relie Gap à l'Italie via Briançon et le col de Montgenèvre Modèle:Unité<ref group="Note">La RN 94 se prolonge en Italie par la S24 qui permet de gagner Turin</ref>.

Transports

Saint-Martin-de-Queyrières est traversée par la voie ferrée de la SNCF, depuis Le Pré du Faure au nord, jusqu'à la Bâtie des Vignaux au sud ; mais il n'y a pas de gare. La voie emprunte quatre tunnels et longe la Durance. Les gares les plus proches sont celles de L'Argentière-la-Bessée et de Briançon.

Urbanisme

Typologie

Saint-Martin-de-Queyrières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,0 % 55
Équipements sportifs et de loisirs 0,7 % 37
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 5,3 % 296
Forêts de conifères 45,9 % 2552
Pelouses et pâturages naturels 9,9 % 551
Landes et broussailles 0,4 % 20
Roches nues 16,9 % 939
Végétation clairsemée 15,3 % 851
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

La commune de Saint-Martin-de-Queyrières

Entre 1050 et 1079, les mentions « sancti martini de carerie », puis en 1118 « capellam de ecclesiam caireria » dans le cartulaire d'Oulx, renseignent sur la présence d'un lieu de culte à Saint-Martin-de-Queyrières dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En 1376 un chapelain est connu à « Sancti Martini de Cayreria » et ce jusqu'à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Le village comprend à quelques kilomètres à la ronde plusieurs monuments célèbres pour leurs belles peintures, comme la chapelle Saint-Hippolyte au hameau du Bouchier ou Saint-Jacques de Prelles en bordure de l'ancien chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle dont l'ancienne abside en cul de four évoque une origine romane.

Le hameau de Prelles

Fichier:Saint-Martin-de-Queyrières hameau de Prelles et RN 94.jpg
Prelles vu depuis la RN 94.

Au Moyen Âge, nombreux étaient les voyageurs qui parcouraient la région ; dans le Briançonnais, la meilleure attestation du passage des pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle en empruntant la via Domitia se trouve dans la chapelle Saint-Jacques de Prelles. Il s'agit de fresques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle relatant la légende du pèlerin pendu-dépendu.

À proximité on trouve l'ancienne gare de Prelles du PLM.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Careria en 1101, Caireria, capellam de ecclesiam caireria<ref>Dans le cartulaire d'Oulx.</ref> et Sanctus Martinus de Ponte rufo en 1118, Sanctus Martinus de Caireria en 1120<ref>Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises, page 1628.</ref> et 1148, Sanctus Martinus de Quaireria en 1225, Sanctus Martinus de Cayreria en 1265, Sanctus Martinus de Quarreria en 1311, Universitas Sancti Martini en 1343, Villa Cayre en 1351, Sanctus Martinus de Cayreria en 1352, Castellania Sancti Martini en 1352, Sanctus Martinus de Cheyreria en 1390, Queyreria et Sanctus Martinus en 1395, Sanctus Martinus de Quereria en 1409, Castellania Sancti Martini de Quayreria en 1476, Sanctus Martinus de Queyreria en 1491, Sainct Martin de Queyrières en 1568<ref>Toponymie de l'Argentière-Étymologie des noms de lieux.</ref>.

Sant Martin de Cairiera en occitan haut-alpin.

La mention en 1118 « capellam de ecclesiam caireria » dans le cartulaire d'Oulx, renseigne sur la présence d'un lieu de culte à Saint-Martin dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

La forme Sanctus Martinus de Punte rufo en 1118 fait allusion au Pont Roux ou Pont de Roche Baron, elle signifie littéralement « Saint-Martin du Pont de la Roche ».

Queyrières proviendrait du latin populaire quadraria (endroit où les blocs de pierre sont nombreux), issu du préfixe ligure Kar, de l'occitan Caire signifiant « rocher ». Ce rocher remarquable; c'est le « verrou » qui barre la vallée de la Durance juste au-dessus du pont Roux aussi appelé Pont Rufo.

Roche Forte de Queyrières en 1793.

Histoire

Temps modernes

Époque contemporaine

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Chapelle Saint-Jacques-de-Prelles

Cette chapelle fut édifiée à Prelles en 1502, à cause de l'éloignement de l'église de Saint-Martin, mais surtout à cause de l'abondance des fidèles qui se trouvaient de passage. Elle était l'ancienne église paroissiale. La chapelle Saint-Jacques se trouve en effet en bordure du chemin de Compostelle. Les pèlerins, après avoir emprunté le col de Montgenèvre ou de l'Échelle, suivaient la vallée de la Durance pour rejoindre la via Tolosane à Arles. Ce chemin encore empierré et muré - praticable entre Prelles et Bouchier - reprend le tracé de la via Domitia.

La chapelle Saint-Jacques, comme beaucoup d'autres était pour les fidèles une étape spirituelle sur la longue route qui les conduisait à Compostelle. Elle est ornée de peintures murales datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, restaurées en 1955. Ces peintures se répartissent en trente-deux scènes qui trouvent place dans l'abside, sur l'arc triomphal, sur les murs nord et sud.

Dans les années 1960, lors de la construction du bureau de poste de Prelles, d'anciennes fondations furent mises au jour aux abords de cette chapelle : il pourrait s'agir des restes d'une maison hospitalière.

Le miracle du Pèlerin pendu-dépendu, mur nord de la chapelle Saint-Jacques.

Ce miracle est relaté dans le De miraculi sancti Jacobi, qui est le Modèle:2e du Codex Calixtinus, et s'est transmis par l'intermédiaire des mystères religieux et de la littérature. À Prelles, c'est une variante de cette histoire qui est traitée en neuf panneaux peints.

Il s'agissait de mettre en garde les pèlerins contre les mauvais agissements d'aubergistes peu scrupuleux.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle existait une auberge de « sale réputation » à La Bessée. Cette dernière était surnommée « l'auberge ensanglantée », à cause des nombreuses disparitions suspectes qu'on y avait signalées. L'auberge étant située à proximité de la Durance, il était facile aux aubergistes, de faire disparaître les corps des malheureux voyageurs.

La chapelle Saint-Jacques-de-Prelles est classée Monument historique en 1990<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Elle recèle des objets inscrits Monument historique, propriété de la commune :

Église paroissiale Saint-Martin

Le prix-fait de l'église Saint-Marcellin de La Salle-les-Alpes passé avec Mathieu Guras le Modèle:Date- établit qu'elle devait être reconstruite sur le modèle de Saint-Martin-de-Queyrières vraisemblablement édifiée peu de temps auparavant, c’est-à-dire au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Saint-Martin-de-Queyrières, voûtée en cintre brisé, dotée d'un chœur plus petit à chevet plat, et de deux portes sur le flanc sud dont l'une comprend un portail (peut-être plus tardif) en plein cintre avec ses colonnettes en retrait surmontées de masques humains, est typique des monuments rencontrés dans le Briançonnais.

Bien que l'on manque aujourd'hui de recul (l'édifice est dans un tournant en bordure de la route), son allure frappe surtout par son beau clocher très élancé à cinq étages, cantonné de pyramidions aux angles et festonné d'arcatures lombardes, qui font appel aux usages anciens dans l'ordonnancement des registres (réminiscences lointaines de Saint-Maurice et Saint-Firmin), puisque la composition des grands panneaux linéaires en creux, s'effectue au moyen des festons placés au-dessus des baies dont les supports en allègent la structure au fur et à mesure que l'on progresse dans les étages (fine meurtrière, baies jumelles, et deux étages de baies triplées). L'emploi d'une ligne de dents d'engrenage de caractère très archaïque, rappelle celle du clocher de La Salle-les-Alpes ; toutes deux sont ouvragées comme en respect de l'héritage roman.

L'église paroissiale de Saint-Martin-de-Queyrières est classée Monument historique depuis 1914<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Elle recèle une multitude d'objets inscrits Monument historique, propriété de la commune. Ce sont 45 œuvres remarquables d'ornement (statues, tableau, retable), de mobilier, de vêtements sacerdotaux, d'objets sacrés de la liturgie chrétienne, fonts baptismaux, porte<ref>Liste des œuvres sur la base Palissy</ref>.

Chapelle Saint-Hippolyte-du-Bouchier

Perchée au sommet d'un piton rocheux au lieu-dit le Bouchier, accolée à une cellule d'ermite, richement décorée de fresques, cette petite chapelle date de 1509. Elle attirait les malades qui venaient réclamer l'intercession du saint. Des peintures murales relatant les guérisons miraculeuses d'Hippolyte sont peintes sur le mur méridional de la chapelle.

Lors de la restauration de cette dernière, dans les années 1950, le curé Bonnardel de L'Argentière-la-Bessée découvrit dans une faille, à proximité de l'édifice, des squelettes de nouveau-nés enroulés dans des draps de lin, une croix autour du cou. S'agissait-il de corps d'enfants malades que les parents avaient portés auprès du saint ? Une découverte semblable eut lieu en 1953, à la chapelle Saint-Sébastien aux Vigneaux : trois jeunes enfants enroulés dans des draps de lin, une croix autour du cou, y avaient été inhumés.

La chapelle Saint-Hippolyte-du-Bouchier d'utilisation cultuelle, est classée Monument historique depuis 1990 pour ses peintures murales<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Elle renferme sept peintures monumentales remarquables :

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}}, reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy</ref> ;

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}}, reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy</ref> ;

  • L'ensemble des peintures monumentales de la chapelle Saint-Hippolyte limite {{#switch: e
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}}, est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy</ref> ;

Chapelle Saint-Sébastien

Ce petit édifice religieux datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, a toujours une utilisation cultuelle. elle se trouve au N-NO du village de Saint-Martin-de-Queyrières, en bordure de route D 36C.

La chapelle Saint-Sébastien est inscrite MH<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Saint-Barthélemy

Cette chapelle datée de la deuxième moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, se situe au hameau du Villaret, au nord-est de Prelles. C'est un petit édifice de plan rectangulaire allongé, couvert d'un toit à longs pans.Le clocher-mur se situe sur le pignon de la façade principale dotée d'une porte avec une fenêtre au-dessus.

La chapelle Saint-Barthélemy est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Saint-Antoine

Cette chapelle se trouve à Villard-Meyer. Elle date probablement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. C'est un édifice de plan allongé avec chevet plat ; la nef est couverte d'une charpente et le toit à longs pans est couvert d'ardoises. Le clocher-mur à une baie, couvert de dalles de pierre, est décentré sur le mur-pignon principal.

La chapelle Saint-Antoine est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Sainte-Marguerite

La chapelle Sainte-Marguerite se situe au lieu-dit éponyme. Elle a été construite à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. C'est un édifice de plan allongé au chevet plat ; la nef de deux travées et le chœur sont voûtés d'arêtes. est couverte d'un berceau transversal. Le toit à longs pans est couvert d'ardoises et de tôle ondulée. L'édifice est flanqué d'une tour-clocher surmonté d'un bulbe en tôle.

La chapelle Sainte-Marguerite est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Saint-Claude

La chapelle Saint-Claude se situe au lieu-dit Sachas, au N-NE de Prelles, en limite de la commune de Puy-Saint-André. Elle est datée limite {{#switch: e

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}} et figure sur le cadastre napoléonien. C'est un édifice de plan allongé au chevet plat et à un seul vaisseau, constitué de deux travées voûtées d'arêtes. Le pignon antérieur est surmonté d'un campanile en bois couvert d'un toit en pavillon. Le toit à longs pans est couvert de bardeaux.

La chapelle Saint-Claude est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Sainte-Anne

La chapelle Sainte-Anne se situe au lieu-dit « Ratière », au nord de Prelles. Elle figure sur le cadastre napoléonien. C'est un édifice de plan allongé au chevet plat et à un seul vaisseau, aux murs de pierre crépis. La façade antérieure présente un pignon surmonté d'un clocher-mur à une baie.

La chapelle Sainte-Anne est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Saint-Michel

Cette chapelle située au sud du hameau de Queyrières, aurait été construite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle est mentionnée en 1225 dans le cartulaire d'Oulx et la poutre faîtière porte la date de 1848. L'édifice présente un chevet polygonal avec une abside en cul-de-four aplatie. Il est de plan allongé au chevet plat et à un seul vaisseau, aux murs de pierre de taille partiellement enduits, avec couverture d'ardoises et de tôle ondulée.

La façade antérieure présente un pignon surmonté d'un clocher-mur à deux baies.

La chapelle Saint-Michel est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours

La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours se trouve à Prelles. Elle doit dater du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, de l'époque napoléonienne car elle apparaît sur le cadastre napoléonien. C'est un petit édifice en pierre, de plan massé avec chevet plat, dépourvu de clocher, propriété privée.

La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle Saint-Joseph

La chapelle Saint-Joseph est localisée à Prelles. Elle pourrait dater du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, apparaissant sur le cadastre napoléonien. Le petit édifice en pierre, de plan massé avec chevet plat, est dépourvu de clocher. Sa couverture est faite de tôle ondulée.

Propriété privée, la chapelle Saint-Joseph est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle des Andrieux

Cette autre chapelle sans nom se trouve aussi à Prelles, au cœur du quartier des Andrieux situé au nord du village. Elle date de 1710, année portée par la poutre faîtière. L'édifice est de plan allongé, à un seul vaisseau, au chevet semi-circulaire avec abside en cul-de-four, et aux murs de pierre partiellement enduits. Le toit à longs pans avec pignon couvert, a une couverture de tôle ondulée. Le clocher-mur à une baie se trouve sur la façade principale.

Propriété publique, la chapelle est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Église paroissiale Saint-Jacques

L'église paroissiale Saint-Jacques se situe au centre de Prelles. Elle date de 1832. Sur la clé de l'arc et sur le tympan en fer forgé sont gravées respectivement 1832 et 1833. L'édifice de plan allongé, doté d'une tribune, a une nef à trois travées couvertes d'une voûte en berceau fractionné à lunettes, et limitées par des pilastres et des arcs-doubleaux. Il est flanqué d'une tour-clocher surmonté d'un bulbe couvert de tôles plates. Le toit à longs pans avec pignon couvert, est en tôle ondulée.

Propriété publique, l'église est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle du Piolier

La chapelle est localisée à Piolier, tout petit hameau se trouvant au N-NE de Prelles. Elle pourrait dater du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, apparaissant sur le cadastre napoléonien. Le petit édifice en pierre, de plan allongé avec nef voûtée en berceau, possède un clocher-mur à une baie construit au-dessus du pignon antérieur. Son toit à longs pans est couvert d'ardoises.

Propriété publique, la chapelle est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Autres

Patrimoine culturel

Patrimoine naturel

Saint-Martin-de-Queyrières est concernée par quatre ZNIEFF de Modèle:2e :

Coteaux steppiques de L'Argentières-la-Bessée à Saint-Martin-de-Queyrières

Cette ZNIEFF 930020067 couvre Modèle:Unité et concerne les communes de : L'Argentière-la-Bessée, Saint-Martin-de-Queyrières et Les Vigneaux. Le site correspond au fond de la vallée de la Haute Durance, entre le massif des Écrins à l'ouest et le massif du Queyras à l'est. Il présente des milieux remarquables sur la flore et sur la faune, dans deux habitats déterminants : pelouses steppiques sub-continentales et mattorals arborescent à genévrier thurifère (Juniperus thurifera)<ref>Modèle:ZNIEFF</ref>.

Façade ouest du massif du Béal Traversier

La ZNIEFF 930012777 couvre Modèle:Unité et concerne neuf communes du nord-est du département des Hautes-Alpes. Le site englobe la façade ouest du massif du Béal Traversier et les affluents est de la vallée de la Haute Durance, entre le massif des Écrins à l'ouest et le massif du Queyras à l'est. Sept habitats déterminants y sont représentés<ref>Modèle:ZNIEFF</ref>.

Massif de Montbrisson - Condamine - Vallon des Combes

La ZNIEFF 930012791 couvre Modèle:Unité de sept communes dans la partie nord-est du département des Hautes-Alpes. Le massif s’insère entre la vallée de la Durance à l’est, et celle du Gyr et de l’onde à l’ouest. Le site inclut la réserve naturelle régionale des Partias. Quatre habitats déterminants y sont représentés<ref>Modèle:ZNIEFF</ref>.

Roche Baron et coteaux steppiques à l'est de Saint-Martin-de-Queyrières

La ZNIEFF 930020066 couvre Modèle:Unité de la commune, soit l'éperon rocheux de la Roche-Baron, correspondant au bas du versant, en rive gauche, de la vallée de la Haute Durance, entre le massif des Ecrins à l'ouest et le massif du Queyras à l'est. Deux habitats déterminants y sont représentés : pelouses steppiques sub-continentales et mattorals arborescents à genévrier thurifère<ref>Modèle:ZNIEFF</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune


Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail