The Economist
Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox/Titre Modèle:Infobox/Ligne optionnelle Modèle:Infobox/Image Modèle:Infobox/Image optionnelle Modèle:Infobox/Séparateur optionnel Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Séparateur optionnel Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Sous-titre optionnel Modèle:Infobox/Ligne optionnelle Modèle:Infobox/Notice Modèle:Infobox/Fin
Modèle:Lang est un magazine d'actualité hebdomadaire britannique fondé en 1843 par James Wilson.
Il couvre l'actualité internationale et traite de questions économiques, politiques et culturelles.
Le magazine accorde également des interviews à des dirigeants politiques comme Barack Obama<ref>Modèle:Lien web</ref>, Emmanuel Macron<ref>Modèle:Lien web</ref>, Ranil Wickremesinghe<ref>Modèle:Lien web</ref> ou Lula Da Silva <ref>Modèle:Lien web</ref>.
La ligne éditoriale du journal est généralement considérée comme néolibérale, proche du patronat et des milieux financiers internationaux. Karl Marx l'a décrit comme l'organe européen de l'aristocratie financière<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref>.
Il se présente comme centriste favorable au libéralisme économique (mondialisation, libre-échange) et au libéralisme politique (démocratie libérale, liberté de la presse)<ref name="left or right">Is The Economist left- or right-wing?, The Economist, 2 septembre 2013</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il dit s'inspirer de la pensée de John Locke, David Hume, Adam Smith et John Stuart Mill<ref>Modèle:Article.</ref>.
The Economist a été décrit comme Modèle:Citation de par le nombre important de personnalités que compte son lectorat<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien archive.</ref>.
Propriété de The Economist Group, il est majoritairement détenu par la famille Agnelli<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref> avec une participation des familles Rothschild, Cadburry et Shroders.
Sa rédactrice en chef actuelle est Zanny Minton Beddoes.
Présentation
Mission
Le journal a comme slogan :
« prendre part dans une compétition impitoyable entre l'intelligence, qui nous pousse à aller de l'avant, et une ignorance craintive et indigne entravant nos progrès »<ref>The Economist brand family, Site de The Economist Group</ref>,<ref group="Note">« To take part in a severe contest between intelligence, which presses forward, and an unworthy, timid ignorance obstructing our progress. ».</ref>.
À cette fin, l'entreprise affirme qu'elle respecte une stricte indépendance et intégrité dans tous les services qu'elle propose<ref>Our mission, Site de The Economist Group</ref>.
L'Obs et Le Monde diplomatique le citent comme l'hebdomadaire Modèle:Citation en raison des personnalités qui le lisent<ref name="lobs2016">Modèle:Article.</ref>.
Actionnariat
The Economist est une filiale de The Economist Group.
Via sa Holding Exor, la famille Agnelli est le premier actionnaire du groupe The Economist avec 43,4% du capital. Les grandes familles britanniques présentes au capital sont les familles Rothschild, Sainsburry, Cadbury et Shroders.
Direction
The Economist est doté de
- Un conseil de 4 Trustees en charge de la rédaction.
- Un conseil d'administration en charge de l'entreprise.
Le conseil d'administration de The Economist est le suivant :
Nom | Statut | Qui-est ce ? |
---|---|---|
Lord Paul Deighton | Président du Conseil d'Administration | Issu de la noblesse britannique
Membre du gouvernement Cameron (Tory) Associé-Dirigeant de Goldman Sachs. |
Lara Boro | Membre du Conseil d'Admistration | PDG du groupe The Economist |
Zanny Minton Beddoes | Membre du Conseil d'Admistration | Directrice de la rédaction de The Economist
Membre du groupe Bilderberg |
Vindi Banga | Membre du Conseil d'Admistration | Financier international
Frère du patron de la Banque Mondiale Ajay Banga |
Eli Goldstein | Membre du Conseil d'Admistration | Représentant de la famille Rothschild |
Lady Heywood | Membre du Conseil d'Admistration | Membre de la noblesse britannique
Ancienne dirigeante de McKinsey Représentante de la famille Agnelli |
Georgina Cadbury | Membre du Conseil d'Admistration | Membre de la famille Cadburry |
Diego Piacentini | Membre du Conseil d'Admistration | Conseiller du fond financier KKR
Représentant de la famille Agnelli |
Mustafa Suleyman | Membre du Conseil d'Admistration | Entrepreneur |
Les 4 Trustees de The Economist ont pour objectif d'être les garants de l'Indépendance de la rédaction par rapport aux actionnaires.
Seuls les Trustees ont le pouvoir d'approuver le directeur ou la directrice de la rédaction.
Nom | Statut | Qui est-ce ? |
Baroness Bottomley of Nettlestone PC, DL | Trustee | Issue de la noblesse britannique
Membre du gouvernement Thatcher (Conservateur) |
Dame Alison Carnwath | Trustee | Issue de la noblesse britannique
Présidente du Comité d'Audit de Zurich Assurance |
Tim Clark | Trustee | Ancien avocat d'affaires du cabinet Slaughter and May
Consultant chez Hudson Sandler |
Lord O’Donnell CB, KCB, GCB, F | Trustee | Issu de la noblesse britannique
Conseiller du Premier Ministre John Major (Tory) Ancien représentant du Royaume-Uni auprès du FMI. |
Rédaction
En 2015, la rédaction du magazine comptait 97 journalistes et éditorialistes. Parmi ceux-ci, une soixantaine travaillent à son siège à Londres<ref name="lobs2016" />. Les États-Unis sont le pays étranger comportant le plus de journalistes de The Economist, 12 d'entre eux y étant basés.
Les autres journalistes sont répartis à travers le monde : France, Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Mexique, Brésil, Pérou, Égypte, Liban, Inde, Singapour, Chine, Corée du Sud et Japon<ref>Media directory, Site officiel</ref>. En Modèle:Date-, Zanny Minton Beddoes devient le Modèle:17e rédacteur en chef de The Economist et la première femme à occuper ce poste<ref name="lobs2016" />,<ref>Zanny Minton Beddoes appointed new editor of The Economist, Site de The Economist Group.</ref>,<ref group="Note">Rédacteurs-en-chef successifs de The Economist : James Wilson (1843-1857), Richard Holt Hutton (1857-1861), Walter Bagehot (1861-1877), Daniel Conner Lathbury (1877-1881), Inglis Palgrave (1877-1883), Edward Johnstone (1883-1907), Francis Wrigley Hirst (1907-1916), Hartley Withers (1916-1921), Walter Layton (1922-1938), Geoffrey Crowther (1938-1956), Modèle:Lien (1956-1965), Alastair Burnet (1965-1974), Andrew Knight (1974-1986), Rupert Pennant-Rea (1986-1993), Bill Emmott (1993-2006), John Micklethwait (2006-2014)</ref>.
À l'inverse de la grande majorité des journaux actuels, aucun journaliste ne signe ses articles, même le nom rédacteur en chef n'est pas mentionné dans un signat<ref name="monde-diplomatique.fr" />.
The Economist justifie cet anonymat par la volonté de ne s'exprimer que par une seule voix commune, définie lors de réunions hebdomadaires, plutôt que par une multitude de voix aux opinions diverses : dans une sorte de Modèle:Citation, chaque article devient une Modèle:Citation<ref name="lobs2016" />.
De plus, le journal considère que le contenu importe plus que l'auteur<ref>Why are The Economist’s writers anonymous?, The Economist, 4 septembre 2013.</ref>.
Enfin, les articles sont vérifiés avec minutie par le service de documentation. Zanny Minton Beddoes précise que Modèle:Citation Ce principe comporte néanmoins certaines exceptions, notamment à l'occasion de certains articles et dossiers spéciaux ou quand la critique d'un livre risque de créer un conflit d'intérêts. Depuis la création de la publication, un « guide du style » immuable reste imposé à l'ensemble des journalistes, renforcé depuis peu par une correction informatique du style de leurs écrits<ref name="lobs2016" />.
Sur l'échiquier politique anglais, The Economist se définit lui-même comme proche des radicaux, voyant dans l'« extrême centre » sa position historique. Modèle:Lien qui fut rédacteur en chef de 1922 à 1938 et de 1944 à 1963 était membre du Parti libéral. De 1938 à 1944, le rédacteur en chef fut Modèle:Lien<ref name="monde-diplomatique.fr" />.
Le journaliste américain Michael Lewis a vivement critiqué cet anonymat en 1991, considérant qu'il pourrait permettre de dissimuler le fait que certains articles soient écrits par de jeunes journalistes inexpérimentés<ref>The Economics of the Colonial Cringe, The Atlantic, 26 février 1991.</ref>. L’essayiste John Ralston Saul a également dénoncé ce procédé, affirmant que l'anonymat a pour but de donner l'illusion d'un journal objectif alors que The Economist ne véhicule que des opinions.
Histoire
The Economist est fondé par l'homme d'affaires écossais James Wilson en 1843 et paraît pour la première fois en septembre de la même année. Il est créé pour soutenir la campagne du patronat demandant l'abrogation des Corn Laws, lois protectionnistes sur les céréales, et pour promouvoir le libre-échange<ref name="about us"/>.
Son titre reflète alors cette orientation politique marquée, le terme « économisme » désignant à l'époque principalement le libéralisme économique. Bien que les Corn Laws soient abolies en 1846, le journal perdure, restant fidèle aux idées libérales de Wilson.
Karl Marx décrit The Economist comme Modèle:Citation <ref name=":1" />
Le journal se montre assez hostile envers les plus défavorisés, qu'il estime responsables de leur condition :
Modèle:Citation<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>.
En 1847, il se montre favorable à l'usage de la force pour défendre les intérêts britanniques et défend ainsi la guerre contre la Chine et l'écrasement de la révolte des cipayes en Inde, allant jusqu'à relever avec satisfaction la Modèle:Citation.
En 1861, Walter Bagehot devient son troisième rédacteur en chef. Il élargit le lectorat du journal en couvrant les questions politiques en plus des questions économiques et en montrant un intérêt particulier pour l'Amérique du Nord<ref name="about us"/>. Néanmoins, jusqu'aux années 1930, le magazine demeure peu diffusé en dehors de Londres et vendu à moins de 10 000 exemplaires<ref name="independent">So what's the secret of 'The Economist'?, The Independent, 26 février 2006.</ref>.
Fermement non-interventionniste, The Economist dénonce en 1877 la gestion de la famine en Inde par l'administrateur colonial Richard Temple qui a massivement fait importer du riz depuis la Birmanie pour sauver la population.
Le journal estime qu'il valait mieux les laisser mourir de faim. Il reproche à Richard Temple d'introduire ainsi l'idée auprès des Modèle:Citation que Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>.
The Economist ne devient réellement un journal d'envergure internationale qu'après la Seconde Guerre mondiale.
Geoffrey Crowther, rédacteur en chef de 1938 à 1956, développe la couverture de l'actualité internationale par le magazine et créé une section dédiée exclusivement aux États-Unis. Alors que les ventes au Royaume-Uni stagnent durant les années 1960 et 1970, sa diffusion à l'international augmente régulièrement. Son logo est conçu en 1959 par Reynolds Stone, remplaçant l'écriture gothique d'origine<ref name="about us" />. La rédaction du journal établit son siège sur St. James's Street à Londres dans les années 1960<ref name="reuters">Agnelli family becomes largest Economist investor as Pearson sells out, Reuters, 12 août 2015.</ref>.
Son tirage reste toutefois limité jusqu'aux années 1980, n’atteignant les 100 000 exemplaires qu'en 1970. Le magazine commence à être imprimé aux États-Unis en 1981<ref>Modèle:Article.</ref>. Entre 1984 et 1992, son lectorat double pour atteindre les 500 000. Cette forte augmentation se maintient jusqu'aux années 2000, lui permettant d'être diffusé à plus de 1 000 000 exemplaires hebdomadaires<ref name="independent" />.
En 2012, la Chine devient le second pays à se voir consacrer une section entière chaque semaine<ref>Our new China section, Site officiel.</ref>.
En 2015, Pearson, qui détenait la moitié du journal depuis 1928, cède ses parts au groupe italien Exor, qui devient le nouvel actionnaire principal du groupe<ref name="reuters" />.
Ligne éditoriale
Ligne générale
La ligne éditoriale de The Economist est considérée comme proche du patronat et des milieux financiers.
Historiquement, il a défendu l'invasion militaire de la Chine par l'Empire Britannique. Il a qualifié d'irresponsable la décision de la Chine de refuser le libre-échange de l'Opium défendu par les hommes d'affaires anglais.
Partisan de l'intervention américaine au Viêt Nam, il a également soutenu et épousé certaines causes libérales en se montrant favorable à la décolonisation<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le journal donne une couverture favorable au putsch du général Pinochet en 1973 contre le gouvernement démocratiquement élu de Salvador Allende<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. The Economist soutient l'invasion militaire de l'Irak en 2003 par les américains<ref>Modèle:Lien web</ref>, malgré l'opposition de l'ONU<ref>Modèle:Lien web</ref>.
The Economist se revendique comme « d'extrême-centre »<ref name="about us" /> et comme partisan d'un libéralisme inspiré d'Adam Smith, de John Stuart Mill et de William Ewart Gladstone. Il affirme s'opposer à toute limitation injustifiée des libertés individuelles, qu'elles soient économiques ou personnelles<ref name="left or right" />. Il prend position en faveur à la fois d'un libéralisme économique, notamment le libre-échange<ref>Why did The Economist favour free trade?, The Economist, 6 septembre 2013.</ref>, la dérégulation des marchés<ref>Over-regulated America, The Economist, 18 février 2012.</ref>, et d'un libéralisme sociétal, en défendant par exemple la légalisation des drogues<ref>The right way to do drugs, The Economist, 13 février 2016.</ref> et le mariage homosexuel<ref>The case for gay marriage, The Economist, 26 février 2004.</ref>.
Le magazine affirme néanmoins être plus pragmatique qu'idéologue<ref name="left or right" /> et supporte parfois des mesures étatiques que il juge raisonnables, comme le contrôle des armes à feu<ref>Newtown’s horror, The Economist, 22 décembre 2012</ref> et une couverture de santé universelle<ref>Pass the bill, The Economist, 18 mars 2010.</ref>.
Prises de position lors des élections
États-Unis
The Economist a soutenu des dirigeants politiques conservateurs comme Ronald Reagan ou George W. Bush<ref>Modèle:Lien web.</ref> ainsi que des démocrates (John Kerry, Barack Obama et Bill Clinton). Pour l'élection présidentielle américaine de 2020, The Economist apporte son soutien à Joe Biden, candidat du Parti Démocrate<ref>Modèle:Article.</ref>.
France
Lors de l'élection présidentielle d'avril 2007, le journal soutient Nicolas Sarkozy « faute de mieux » <ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} France's chance, The Economist, 12 avril 2007.</ref>
Avant la présidentielle francaise de 2012, The Economist estime "Si nous pouvions voter le 6 mai, alors nous voterions pour Nicolas Sarkozy<ref>Modèle:Lien web</ref>". En 2017, il appelle à voter pour Francois Fillon ou pour Emmanuel Macron, avec une légère pour ce dernier<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 2022, il soutient Emmanuel Macron <ref>Modèle:Lien web</ref>
Europe
En 2016, The Economist s'oppose clairement au Brexit qui divise l'Angleterre<ref name="lobs2016" />.
En 2008, il est clairement opposé à Silvio Berlusconi depuis les années 1990, il a appelé à voter pour Walter Veltroni.
Polémiques et critiques
Polémique de The Lancet à propos des pays de l'ancien bloc communiste
Le Modèle:Date-, la revue médicale britannique The Lancet publie un article démontrant que le programme de privatisations massives et rapides des années 1990 dans les anciens pays communistes est lié à un effondrement soudain de l'espérance de vie (Modèle:Citation)<ref>David Stuckler, Lawrence King, Martin McKee Mass privatisation and the post-communist mortality crisis: a cross-national analysis The Lancet, 31 janvier 2009.</ref>.
À la parution de l'article, The Economist, qui avait soutenu la « thérapie de choc », balaie ces critiques et affirme que The Lancet Modèle:Citation, et affirme que Modèle:Citation<ref>Mass murder and the market, The Economist, 22 janvier 2009.</ref>.
Dans leur livre The Body Economic: Why Austerity Kills, David Stuckler et Sanjay Basu décortiquent la réponse de The Economist à The Lancet. D'après eux : Modèle:Citation<ref>David Stuckler et Sanjay Basu, The Body Economic : Why Austerity Kills, Allen Lane, Londres, 2013.</ref>.
Attaques contre la France
The Economist a régulièrement dénoncé le modèle social francais comme « dangereux » et trop « anti-business ».
En Modèle:Date-, The Economist est accusé par Arnaud Montebourg de s'en prendre trop régulièrement la France<ref>« La France, souffre-douleur préféré de The Economist », Le Monde, 15 novembre 2012.</ref>.
Le directeur du Nouvel Observateur a qualifié la rédaction de The Economist de « talibans du libéralisme »<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Critique de fond du Monde diplomatique
En Modèle:Date-, le mensuel de la gauche antilibérale Le Monde diplomatique publie un article critiquant ce qu'il appelle les contradictions, les manipulations et l'alignement de la ligne éditoriale du journal sur celle des gouvernements américains successifs.
Pour l'auteur, le libéralisme qui caractérisait The Economist à ses débuts a profondément changé : Modèle:Citation<ref name="monde-diplomatique.fr">Modèle:Article.</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
- Liberalism at Large: The World According to the Economist, Alexander Zevin, Verso, November 2019, 538 pages